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Flashy

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Tout ce qui a été posté par Flashy

  1. "Pardonnez-moi de vous interrompre pendant votre coït, nous voulions simplement vérifier que le coït susmentionné était consentant ; pourriez-vous remplir ce formulaire? Merci d'avance :)"
  2. Article du 30 novembre 2017 ! Ce sont des visionnaires
  3. C'est aussi le rôle d'un parti politique, normalement, d'assurer cette formation, de donner les outils aux militants pour s'améliorer (et évoluer, peut-être, dans les structures du parti). C'est aussi leur boulot de produire des idées et de les défendre publiquement. Le moins qu'on puisse dire, c'est que les partis classiques, du PS à LR en passant par le FN, sont un petit peu défaillant sur ces points-là. La FI ne fait que revenir à un état plus "normal" des choses, sur ce point-là du moins.
  4. Une mine à ciel ouvert pour récupérer des terres rares pour les éoliennes, ou du lithium pour les voitures électriques, si je devais préciser ton projet.
  5. On pourrait bâtir une centrale nucléaire à la place de cet aéroport.
  6. Je sais, j'en ai parlé (brièvement) sur mon blog sur mon article sur Numénera. J'ai aussi lu le blogueur français Apophis sur la question, il a fait une série d'articles sur les classifications de la SFFF, et il aborde la science-fantasy dans cet article-ci.
  7. On peut, effectivement, se poser la question. Cela dépend de ce que tu entends par SF. Avoir des lasers, un bras robotique et des vaisseaux spatiaux suffit-il à classer une oeuvre comme SF, alors même que la science n'a absolument aucun rôle, ni de près, ni de loin, avec l'oeuvre? La présence de technologie disqualifie-t-elle directement l'appellation "fantasy"? Regarde Star Wars. Tu as de la magie (la Force, à qui on a tenté de coller bien plus tard une pseudo-explication scientifique, mais de base tu es sur un truc totalement inexpliqué) ; des chevaliers noirs, des chevaliers blancs ; des combats à l'épée ; une princesse, un roublard & son acolyte, un bouffon, un apprenti chevalier ; tu as des fantômes, des sorcières... Comment fonctionne un sabre laser, comment le vol FTL fonctionne, comment l'Etoile de la Mort fonctionne, cela n'est, ni de près, ni de loin, le propos. La technologie est juste là pour le décorum. Star Wars, c'est soit de la soft soft SF, soit de la Fantasy quelconque. On a les mêmes lectures, je vois.
  8. Les juifs ont un passif de franchissements illicites des bras de mer, si je puis me permettre. #Moïse
  9. Ces questions relèvent du droit public. Je suis nul en droit public. A fortiori en droit administratif des biens (- la propriété publique, les rivières, les littoraux, les lais et relais, les ondes hertziennes, les expropriations...-).
  10. Que c'est réducteur ! (On peut partir dans un débat sur ce qu'on peut faire du M-O après l'avoir nuké ; je sais que, collectivement, on peut y arriver )
  11. Aucune idée. Et je me demande s'ils peuvent obtenir réparation du préjudice (ils ont perdu leurs baraques/terres pendant X temps, ils ont dû déménager, exposer des frais, leur baraque a pu être dégradée ou perdre de la valeur, leurs terres n'ont pas été exploitées etc...). Je sais que ces questions-là relèvent du droit administratif des biens. Un truc de publiciste.
  12. Bah ils ont été expropriés à la suite d'une déclaration d'utilité publique, non? Si le projet d'utilité publique ne se fait pas, je suppose que l'expropriation tombe aussi. Enfin, ça ne me paraîtrait pas absurde.
  13. C'est dommage, j'y avais résolu l'ensemble des questions liées à l'altérité, asséchant tout débat. Demain, je résous le problème (surestimé) du Moyen-Orient.
  14. Je pensais qu'on avait fini ce débat sur le constat que j'avais raison?
  15. Si ça peut être raciste, alors c'est raciste. Cela me paraît un bon résumé de la situation.
  16. Comme toute sanction. Priver de nourriture un enfant est une violence. Le séquestrer dans sa chambre aussi. Je peux faire toute une liste de sanctions envisagées, qui sont toutes violentes. Le tabou autour de la violence physique me paraît idiot, de ce point de vue. Surtout que je trouve plus violent, en vérité, de priver un gosse de dîner et de le cloîtrer dans sa chambre, que de filer une bonne fessée et vingt minutes plus tard, on n'en parle plus. Le dressage, c'est s'assurer que les limites sont respectées. C'est du disciplinaire. Tu ne mets pas tes pieds sur le siège du métro. Tu ne tapes pas tes camarades. Tu ne mords pas quand tu n'es pas content. Tu ne fous pas le feu aux trucs. Tu ne tortures pas les animaux. Tu ne macules pas les murs de caca. Bref, faire du mioche un être un minimum civilisé, et pas un animal sauvage. Tu énonces la règle, tu mets en garde en cas de violation, tu sévis si la mise en garde reste sans effet. L'éducation, c'est tout ce qui vient en bonus (aimer telle ou telle activité, développer la curiosité du mioche, l'aider à développer une personnalité propre etc etc). L'objectif premier en tant que parent me paraît être de veiller à ce que son enfant ne soit pas un animal sauvage (c'est déjà pas mal). Ensuite, l'objectif bonus, c'est de transformer ton enfant en adulte épanoui et équilibré. Mon propos se borne au premier objectif (qui ne me paraît pas si dur à atteindre : sanctions justifiées, proportionnées, pas d'incohérences flagrantes ou d'arbitraires, veiller à ne pas être le genre de parent qui cède sur tout, ou le genre de parent à tout sanctionner tout le temps -ce qui endurcira le gamin et émoussera l'utilité de la sanction- ; bref, tu fais au cas par cas, au feeling, comme tu peux : c'est jouable). Pour transformer ton enfant en adulte épanoui, je ne suis pas plus avancé que la plupart des gens. +1. Tout à fait. Je ne suis pas en train de dire "il faut faire ceci" ou "didiou, la voie sacrée du bon parent, c'est celle-là". Je dis simplement qu'en tant que futur parent, je veux juste avoir ma boîte à outils pleine (peut-être que je n'aurai jamais besoin de mettre la moindre fessée, ce n'est pas un objectif d'être dur ! Je ne m'interdis simplement pas d'avoir recours à des méthodes plus dures si les circonstances l'exigent). C'est complètement con de taper pour de vrai l'enfant, ou de le faire pour rien. Cela banalise la sanction, émousse la crainte, et la rend ineffective. Or, après ça, tu fais quoi? Tu prives de dessert? La violence physique, c'est un peu l'extrême ; faut que ça reste exceptionnel. C'est un peu ma position. J'avoue que j'ignore totalement comment gérer un adolescent. Je me dis que l'essentiel, c'est de réussir à faire de son enfant autre chose qu'un sauvage. Un objectif modeste
  17. Non, ça vient en plus. Quand tu sanctionnes quelqu'un, tu n'as pas besoin de lui infliger ton mépris, de l'ignorer ou de manquer de savoir-vivre (c'est non seulement inutile, mais contre-productif et cela donne un fort mauvais exemple). Tu gardes un ton poli, ferme, tu écoutes ce qu'il a à dire, tu ne le prends pas pour un attardé, quand ce qui est dit n'a pas de sens, tu lui signales les incohérences sans le prendre de haut. Une fois l'échange terminé, tu décides, et tu sanctionnes (s'il y a encore lieu, malgré les explications). C'est un mode opératoire classique, au pénal, en RH, dans toute institution ayant à connaître des travers humains et de les sanctionner. Un enfant n'est pas une race distincte. C'est plus compliqué, la relation avec lui n'est pas la même, tu dois gérer le facteur conjoint, et c'est une responsabilité à gérer sur le temps long. Il n'en reste pas moins que se priver de ce qui peut potentiellement fonctionner pour des raisons dogmatiques me paraît aléatoire. De mon côté, je vais faire des expériences : je ferai ce que je peux, en utilisant ce qui marche (et sans me priver pour des raisons dogmatiques), et en commettant probablement des boulettes. Comme tous les parents. Une menace de sanction sans sanction n'est pas une menace. Si tu veux que ta menace ait un effet utile, bah faut sanctionner. Pareil avec toute obligation, ou toute infraction, d'ailleurs.
  18. Un adulte, tu le dresses (c'est mon job) avant de songer à le former. Un gamin, tu le dresses avant de songer à l'éduquer. Dans les deux cas, il faut du respect et de l'écoute. Mais cela ne change rien au constat.
  19. Je suis en désaccord avec toi, Bisounours. La violence physique est un échec éducatif lorsqu'elle n'est qu'une réaction de stress ou d'énervement. Je ne pense pas qu'elle soit condamnée à n'être que ça, toutefois. Une sanction physique vient après une mise en garde. Elle est la démonstration que la parole de l'adulte a force de loi ; que ce n'est pas du vent ou de la flûte. Le but, moins que de faire mal, est de susciter la peur. Bien sûr, pour atteindre son objectif éducatif, il faut que ça soit justifié (une sanction non justifiée envoie un message très contradictoire, je trouve...) et relativement exceptionnel (si c'est une habitude, ça endurcit le mioche, qui n'aura pas vraiment peur et estimera que c'est une réaction classique/normale dans ses interactions avec autrui...).
  20. Théorie du complot sexiste, en plus, puisque les pauvres "instigatrices" de la pétition sont les victimes de "ceux qui l'ont suscitée".
  21. La violence est logique et normale. Un salarié qui fait le con, tu le vires. Tu lui dis, en passant, pourquoi il est mauvais. C'est violent. Et c'est normal. Ton mari ou ta femme, si ça se passe mal et qu'il y a des conneries, tu te sépares. Ce peut être violent dans les mots, la démarche. Mais c'est normal. Un gamin, tu peux pas le virer. Tu peux pas te séparer à l'amiable (ou pas). Tu te le traînes. S'il fait le con, tu lui fais la leçon. S'il t'ignore (et un gamin rusé sait jouer la comédie ou faire semblant d'être obéissant pour calmer le parent faiblard), tu menaces d'une sanction. S'il y a réitération, tu sanctionnes fermement. La sanction, c'est une violence. Mais on s'en branle, parce que c'est justifié. Le seul point, c'est que ce soit proportionné à la faute. Moi, gamin, j'aimais bien le feu. On m'a expliqué, on m'a raisonné, on m'a grondé, rien n'y a fait. Quand j'ai foutu le feu à l'armoire avec tous les manteaux, je me suis fait baffer. Même a posteriori, je ne vois pas comment je peux réussir à me faire passer pour la victime. Après, on peut préférer la séquestration dans la chambre (qui est une violence) ou d'autres choses jugées culturellement plus acceptables. Cela ne me paraît être que l'air du temps, que de condamner la violence physique sans distinguer (i) si elle est justifiée quant à l'existence -ou non- d'une faute et (ii) si elle est proportionnée à la faute commise.
  22. Cela continue : http://www.lemonde.fr/idees/article/2018/01/16/yvette-roudy-on-trouve-encore-des-femmes-du-cote-de-la-domination-masculine_5242262_3232.html
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