Flashy

Ils ont des difficultés de lecture parce qu'ils ont du mal à se concentrer sur la lecture. Le professeur en question attribue cela aux écrans, également.

La ceinture, le couteau et son fourreau sont en parfait état (faudrait que je prenne tout ça en photo) ! Mais j'avoue, c'est lié au fait que c'est une relique gardée religieusement, un trésor de guerre si je puis dire. Pareil avec la baïonnette de l'arrière-grand-père. Bref !

C'est peut-être une question de statut social? Un parsi zoroastrien sera souvent plus riche qu'un hindou appartenant à la mauvaise caste, non? Ou c'est "toutes choses égales par ailleurs"? Comme quoi, les stéréotypes sont vrais la plupart du temps. Je souris, d'ailleurs, en pensant que les rebelles de la société & autres anti-conformistes sont des photocopies les uns des autres, tant dans leurs discours que dans leur façon d'être (et de paraître). C'est fou comme l'habit fait souvent le moine. J'ai aussi des amis végétarés. On m'a même traîné dans la boulangerie végane à Paris, pour bouffer une galette des rois vegan... J'ai pleuré intérieurement. J'ai ma sensibilité, quand même, et là c'était trop pour moi. Je trouve dommage qu'on ne puisse pas acheter ce genre de choses sur internet. Je trouve ça intéressant (et les uniformes SS sont, de mon point de vue, fort jolis). Je vais hériter d'un couteau nazi aussi ! Avec le ceinturon qui va avec (et la boucle de ceinture, avec l'aigle et la croix gammée :') ). C'est mon grand-père qui l'a récupéré lorsque lui et ses frères ont piqué de l'huile et se sont fait chopper sur le chemin par un soldat allemand isolé. Ils lui sont tombés dessus, l'ont foutu à poil, l'ont attaché et jeté dans la rivière ; ils se sont partagés ses affaires. S'trop cool. Quand je l'aurai, je dirai à ceux qui s'offusquent "c'est un souvenir de mon grand-père", pour rester ambigu

Tu confonds "vulgarisation scientifique" et "nouveau livre de Katherine Pancol".

Autant je suis d'accord pour l'inutilité de la comparaison -et je trouve normal qu'on investisse pas de la même façon dans l'équipement anti-neige quand on n'est pas dans la même situation de ce point de vue-là-, autant la phrase que tu mets en exergue est affligeante. Pas besoin d'être comptable pour connaître la notion d'amortissement... Peut-être les déneigeuses et saleuses ont été achetées il y a 15 ans?

Je suis inquiet. Qui va contrôler l'instance de contrôle? On devrait créer un comité de suivi des comités de suivi.

Pareil de mon côté. J'ai entendu revenir plusieurs fois qu'ils soutenaient les gens de la région et tout (via des prix et concours pour entrepreneurs locaux, ce genre de choses).

Ceux qui font cette démarche sont une minorité ; le reste ne lit pas.

La biologie, c'est l'étude du sperme d'oursin et des formes de becs de piaf.

Ce n'est pas forcément nouveau. L'école, franchement, a le don pour te dégoûter des matières. Il a fallu que j'arrête de subir l'histoire à l'école pour que je trouve (enfin) la chose intéressante. Idem pour les mathématiques. A noter que j'étais un bon élève ; ce n'est pas la frustration face à l'échec qui m'a dégoûté, mais l'ennui profond. C'est générationnel. Cela existe un peu dans ma génération, mais cela semble s'être accentué, à observer les petits stagiaires et leur mentalité. Grave ! Une illustration : je me rappelle d'une critique sur un film sur la famille royale anglaise, critique des Inrockuptibles je crois, qui disait en substance que ce film était médiocre puisqu'on n'y voyait pas le peuple et que c'était centré sur les aristocrates. Tu es biaisé parce que tu étais un petit con te croyant malin? J'ai longuement discuté avec un de mes amis, professeur au collège (agrégé en histoire). Il m'a expliqué que le niveau, en cinq ans, avait baissé de façon dramatique, et pas qu'en orthographe mais aussi en vocabulaire... Par exemple, il y a cinq ans, quand il demandait "de quel ouvrage vient cette citation?", tu avais que 3 ou 4 cassos qui ne savaient pas ce qu'était un ouvrage. A présent, c'est les 3/4 de sa classe...Il est dans un collège difficile, mais cela reste inquiétant. De la même façon, quand les professeurs donnent quelque chose à lire, ce n'est pas lu : rien de neuf. Mais les bons élèves non plus ne lisent pas : ils vont sur internet et vont chercher une lecture audio du livre, parce que c'est trop difficile de lire. Ce dernier point m'a surpris.

Ah, ça... Le nombre de bouquins de merde est assez impressionnant. Mais ça ne concerne pas que la vulgarisation scientifique : littérature, économie, sociologie, psychologie, y a 90% de merde. C'est une plaisanterie bien connue, oui. Jamais compris le dédain visant la géologie.

Tu as plein de vulgarisateurs potables, hein. Avec plus ou moins de technicité. Les cons lisent des cons. Toi, tu craches sur la vulgarisation en soi, y compris celle qui ne mérite pas tant d'opprobre. Ta petite cousine n'était pas curieuse de savoir pourquoi le ciel était bleu? C'était pour se la péter en société, ou par vanité? Ton hypothèse de départ me semble pour le moins fragile : l'envie de savoir ne serait jamais sincère et ne serait que le cache-sexe de la vanité? Rien n'est moins sûr. Désolé de prendre mon cas en exemple, mais je suis profondément curieux ; j'aime corriger les gens, c'est vrai, mais les sujets qui piquent ma curiosité sont nombreux, divers et ne permettent pas vraiment de briller en société tant tout le monde s'en branle (j'ai eu ma phase "vandale" et "wisigoth", j'ai eu ma phase "religions du monde" Il y a une différence entre "la science n'explique pas tout" et "la science n'explique rien". Savoir comment les choses fonctionnent est déjà, en soi, une grande joie. Découvrir de nouvelles questions à la suite de telle ou telle découverte est également excitant -et frustrant-. L'objet de la science ne se borne qu'à cela, savoir comment ça marche, ce qui est déjà énorme. La vulgarisation scientifique de qualité permet d'avoir un minimum de culture scientifique ; cela ne permet pas de prétendre à être un scientifique, nous sommes bien d'accord. Mais cela n'a jamais été l'objet de la vulgarisation scientifique. La bonne vulgarisation scientifique est à distinguer des titres putassiers qui se bornent à faire dans le sensationnalisme médiocre : rien n'est vulgarisé, et il n'y a point de science dans de tels procédés. Autre fonction essentielle : lutter contre l'ignorance en présentant l'état de la recherche. Alors, bien sûr, il faut prendre garde : la connaissance scientifique peut être mouvante, la controverse existe, et présenter trop tôt des résultats comme s'ils étaient définitifs, validés et non contestables est une erreur grossière qui peut avoir des conséquences agaçantes. Connaître l'âge de la Terre, l'existence des dinosaures, les diverses preuves, innombrables, de l'évolution des espèces, tout cela n'est pas anodin et mérite d'être porté à l'attention du grand public sans lui demander un master en géologie ou en biologie.

Ou alors les gens sont curieux en dehors de l'étroite spécialité leur permettant de gagner leurs vies, mais n'ont pas nécessairement le temps (voire l'envie) d'approfondir telle ou telle matière? En histoire, tu as des tas de bouquins médiocres, ou à tout le moins très superficiels. Pareil en sciences. Puis tu as des bouquins, accessibles, mais intéressants. Est-ce que tu as envie de cramer Schrödinger? Ou Feynman? Ils ont écrit des livres de vulgarisation. Servent-ils une idéologie? Laquelle?

Les contrats publics ne sont pas de nature à disqualifier tel ou tel acteur privé? Ou c'est une question de montant? Tu as un marché où le public domine très, très, très largement. De nouveaux acteurs apparaissent. Parmi les gros clients, tu as les acteurs publics. Tu conclus des contrats avec ces derniers. Quel est le problème? Tu passes d'un duopole à une pluralité d'acteurs. Où est le problème? Un peu comme si tu crachais sur l'enseignement privé parce que l'Etat est omniprésent : bah ouais, mais tu fais avec le contexte dans lequel t'évolues. Dans le spatial, si tu veux des contrats énormes, soit tu fais que dans le satellite, soit tu fais aussi des contrats avec la NASA et consorts. Y a pas 50.000 options (pour l'instant). Est-ce que tu craches sur toutes les applications mobiles utilisant la géolocalisation? L'ensemble du marché des satellites? Parce que, il faut le souligner, ces marchés bénéficient lourdement de l'intervention publique -GPS, lanceurs qui jusque récemment étaient un duopole où le public était très présent-.

C'est clair que Musk se gave de subventions sur Tesla et ses autres sociétés. Mais pour SpaceX, je lol un peu plus. J'ai l'impression qu'on lui reproche d'avoir des contrats publics avantageux avec la NASA & consorts. Les subventions éventuellement reçues sont risibles au regard desdits contrats publics (20 millions contre plusieurs milliards). Blue Origin, massivement financée par Jeff Bezos, a aussi des contrats publics avec la NASA. Je suis même sûr qu'une société comme Rocket Lab, qui dispose du premier pas de tir privé au monde en NZ, a eu à un moment ou un autre des contrats publics ou des facilités données par telle ou telle agence étatique. C'est évident.

J'ai des déplacements partout en France, comme certains le savent peut-être. Hier, j'allais à Tours. Départ à Montparnasse prévu à 12h35. Je pars à 13h45. Mon audience est à 14h. J'arrive à 15h30. Je repars d'audience à 19h. Train retour prévu à 21h31 pour Saint-Pierre-des-corps, puis correspondance à 21h50 pour Paris. Le train pour Paris est parti à 23h. A noter que la gare n'est pas chauffée. Enculés. Le train est arrivé à Paris à 1h45. Le plan "pégase" était enclenché, avec réquisition des taxis. Sauf qu'il y avait très peu de taxis et de Uber. Une seule personne à l'accueil. Et des centaines de voyageurs. Ainsi, j'ai erré comme une âme en peine à 2h du matin sous une neige tombant drue, avec mon portable à 3% de batteries, sur le boulevard Montparnasse couvert de neige. Je réussis, finalement, à choper un Uber quelques secondes avant que mon portable ne décède. Le Uber part sur le périphérique, périphérique qui est gelé et enneigé (-et le salage des routes?). Le Uber a patiné deux fois sur le trajet. J'arrive à 2h45 chez moi. Ce matin, je me lève à 7h. Je dois prendre le RER C pour aller au taff. C'était un bordel immonde, 1h30 d'attente pour prendre le RER. Heureusement que la neige était prévue. Putain.

Ou alors les journalistes exagèrent en parlant de panique et de bain de sang : s'il y a des informations sur un revirement des banques centrales, et si les cours sont surévalués, c'est peut-être une correction normale -surtout si les cours étaient particulièrement haut-, quoique brutale.

Observe bien les dynamiques en cause. La bataille qui se déroule actuellement est médiatique (conquête des médias) et financières (il nous faut plus de thunes pour défendre les femmes : les complaintes sur le budget insuffisant des associations sont de plus en plus courantes, et de mieux en mieux rapportées par la presse qui a choisi son camp).

Je note que le journaliste de l'Immonde n'utilise pas l'écriture inclusive que lorsque les uns et les autres sont cités (alors que ça semble être de l'oral, non?), mais aussi dans le corps de l'article. Je suis curieux de voir les réactions à cette dérive.

J'espère qu'il fera beau, oh ! Faut que j'essaie de me renseigner sur les spécialités locales avant d'y aller. J'essaie de faire du tourisme judiciaire en prenant une spécialité locale à chaque voyage.

Un avocat n'a pas le droit de signer les courriers de licenciement. Un avocat spécialisé en droit du travail a deux aspects à son taff : contentieux, conseil. L'aspect contentieux est le seul cool (selon mes goûts). L'aspect conseil, ça implique de rédiger des contrats de travail, convention de mutation tripartite, accords collectifs, dénonciation d'usage ou que sais-je. Cela implique aussi de faire des recherches à la con sur des questions en tête d'épingle (j'ai déjà dû faire des recherches sur l'assurance chômage monégasque, le droit du travail saoudien, le droit des marins, le statut des aéronefs, les accréditations pour devenir agent de sécurité, les IGH, le compte nickel... tout ça pour répondre à des questions à la con impliquant le droit social, à l'origine). Cela implique aussi les audits, activité maléfique te privant de l'envie de vivre. L'aspect contentieux, c'est vraiment le côté top. Bon, là, je ne suis plus avocat, mais c'est tout comme, et je reviens d'un dossier plaidé au Havre (je me suis levé à 5h, c'est l'aspect négatif) ; la semaine dernière, c'était Dieppe et Nanterre ; encore avant, j'ai visité Dijon ; j'ai un dossier à Martigues dans une poignée de semaine, et un autre à Grasse + Béziers. Mardi prochain, je fais un saut à Tours. J'espère réussir à faire le tour de France

La stratégie la plus adaptée est de raconter la vérité à l'avocat. Bâtir une stratégie de défense sur des prémisses qui sont solides est une meilleure stratégie que de laisser son conseil dans l'ombre : ce dernier va bâtir une stratégie sur des présupposés faux, avec un risque de retour de flammes calamiteux. Faut aussi savoir qu'un avocat pénaliste rencontre rarement des innocents. Les erreurs judiciaires existent, mais sont loin d'être la norme. Le taff, c'est bien de dire la vérité, ou de mettre en lumière plutôt certains aspects du dossier que d'autres, et surtout de vérifier si la procédure est valable. Tu as certainement des avocats prêts à mentir, ce qui est détestable. Mais, concrètement, je pense que la plupart des avocats au courant de la culpabilité de leur client essaieront de convaincre ce dernier de dire la vérité (ils ne dénonceront pas, je pense) ; si le client s'entête à vouloir se présenter comme innocent, l'avocat peut se décharger du dossier, ou suivre la volonté du client après l'avoir averti 18 fois que ça allait lui péter durement à la gueule. L'avocat, dans ce cas, se fera discret et n'ira pas proclamer devant les caméras la sainteté du client.

C'est la technique du "mettre 10 balles dans la machine", qui est très connue. Je suis ISTJ aussi, d'après ces tests. C'est gentil de rassurer la confiance vacillante des ISTJ. Nous pouvons former une congrégation d'ISTJ. Joie.

J'ai mes règles. Oui, et c'est bien d'avoir cette retenue-là !

Demande-lui si elle déduit avec les frais professionnels Que de similitudes ! Un des sujets de discussion favori des avocats, outre les anecdotes croustillantes sur les clients & confrères (qui sont des cons, hein, ho, merde), c'est indubitablement "comment faire du frais professionnel" ou sa variante "mais putain, mon comptable a pas voulu que mon abonnement à BeIN Sport passe en frais pro', fais chier".