-
Compteur de contenus
14 564 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
27
Tout ce qui a été posté par Neomatix
-
Suggestions d'améliorations du forum
Neomatix a répondu à un sujet de Copeau dans Annonces, aide et tests
Dans la partie "Association Liberaux.org", le linkedin et le twitter de la case président pointent toujours vers ceux d'Axpoulpe et non ceux de Rincevent. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Neomatix a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Dis-donc c't'avalanche de titres, il y aura bientôt plus de modos que de forumers Félicitations à vous tous et merci de votre dévotion -
Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
Neomatix a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
C'est corrigé, au temps pour moi. A force de chercher à corriger la syntaxe je lis en anglais des mots censés être français -
Taxe de la semaine
Neomatix a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
C'est quoi ce délire journalistique avec la mesure des surfaces en terrains de foot. C'est trop dur d'écrire "3200 ha" au lieu de "l'équivalent de 6400 terrains de football" ? -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Neomatix a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Transcript : -
Chief Happiness Officer, baby-foot et ronchonneries
Neomatix a répondu à un sujet de Mathieu_D dans Politique, droit et questions de société
Mais le titre en forme de CXO c'est juste pour faire classe ou il a vraiment sa place au CoDir le mec ? -
Le site sur lequel il y avait 3 femmes et des centaines de mecs se faisant passer pour des femmes ? Paye ton échantillon de qualitay.
-
Les jeunes savent-ils encore se servir de leurs mains ?
Neomatix a répondu à un sujet de Adrian dans Actualités
Enfin en l'occurrence c'est du 1337 pour "faer" qui, selon Wikipédia, signifie "ensorceler" en ancien français. -
Il a les municipales avant, puis des sénatoriales qui en dépendent, et une réélection ça se prépare quelques années à l'avance.
-
Au pays, oui, clairement. Au politocard ça lui rapporte gros à court terme pour un coût nul à long terme.
-
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Neomatix a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Pays de merde. Je retire tout ce que j'ai pu dire de bien ou de tolérant sur Macon, cramez-le lui et ses sbires. -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Neomatix a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
TGCM L'Homme cherche à augmenter son bien-être. Ce qui est fait en partie grâce à l'exploitation de la nature, certes. À moins de ne pas être humaniste j'ai du mal à y trouver à redire. Ces chefs d'oeuvre de civilisation. Pfffrrrttt, non mais lol. Rien à voir. Prenez pas vos mythes de païens adorateurs de Gaïa pour des réalités les mecs. Plus sérieusement, entre une civilisation qui exploite la nature pour s'assurer sécurité et confort, et une autre qui vit comme les Amérindiens (au pif, les Incas, en espérant que deux-trois sacrifices vont leur sauver la mise), laquelle résiste mieux à ton avis ? Quel héro libéral que de s'opposer farouchement à la libre circulation des personnes. Oh, wait. -
C'est un très bon coup médiatique à pas cher, faites pas genre vous ne comprenez pas.
-
Bitcoin et autres cryptomonnaies
Neomatix a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Cryptomonnaies & Co
Nick a posté ça dans le fil des traduction, je me suis dit que c'était suffisamment intéressant pour avoir sa place ici. IMF Head Foresees the End of Banking and the Triumph of Cryptocurrency https://fee.org/articles/imf-head-predicts-the-end-of-banking-and-the-triumph-of-cryptocurrency/ Et ma trad pour ceux qui ne parlent pas anglais : -
Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
Neomatix a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Lors d’un discours remarquablement franc lors d'une conférence de la Banque d'Angleterre, le directeur général du Fonds monétaire international a émis l'hypothèse que le bitcoin et les autres cryptomonnaies ont autant d'avenir qu’Internet lui-même. Elles pourraient destituer les banques centrales, les banques conventionnelles et mettre en question le monopole des monnaies nationales. Christine Lagarde, originaire de Paris, qui occupe son poste au FMI depuis 2011, affirme que les seuls problèmes importants liés aux cryptomonnaies existantes peuvent être résolus au fil du temps. À long terme, la technologie elle-même peut remplacer les fonds nationaux, l'intermédiation financière conventionnelle et même "mettre en question le modèle bancaire fractionnaire tel que nous le connaissons aujourd'hui". Dans une conférence elle a réprimandé ses collègues pour ne pas savoir appréhender l'avenir. Elle y a averti que "Il n'y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu'il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles." Voici les parties pertinentes de son article : « Commençons par les monnaies virtuelles. Pour être clair, il ne s'agit pas de paiements numériques en devises existantes - via Paypal et d'autres fournisseurs de "monnaie électronique" comme Alipay en Chine, ou M-Pesa au Kenya. Les monnaies virtuelles appartiennent à une catégorie différente, car elles fournissent leur propre unité de compte et leurs propres systèmes de paiement. Ces systèmes permettent des transactions de pair à pair sans chambre de compensation centrale, sans banque centrale. Pour l'instant, les monnaies virtuelles comme le bitcoin ne remettent pas ou peu en question l'ordre actuel des monnaies de change et des banques centrales. Pourquoi ? Parce qu'elles sont trop volatiles, trop risquées, trop énergivores et parce que les technologies sous-jacentes ne sont pas encore adaptables. Beaucoup sont trop opaques pour les organismes de réglementation, et certaines ont été piratées. Mais bon nombre de ces défis technologiques pourraient être relevés au fil du temps. Il n'y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme plateaux à café coûteux. Je pense donc qu'il n'est peut-être pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. Un meilleur rapport qualité-prix ? Par exemple, pensez aux pays dont les institutions sont faibles et les monnaies nationales instables. Au lieu d'adopter la monnaie d'un autre pays, comme le dollar américain, certaines de ces économies pourraient voir une utilisation croissante des monnaies virtuelles. Appelons ce phénomène dollarisation 2.0. L'expérience du FMI montre qu'il existe un point de basculement au-delà duquel l’adoption d'une nouvelle monnaie est exponentielle. Aux Seychelles, par exemple, la dollarisation est passée de 20 % en 2006 à 60 % en 2008. Et pourtant, pourquoi les citoyens détiendraient-ils des monnaies virtuelles plutôt que des dollars, des euros ou des livres sterling ? Parce qu'un jour, cela pourrait être plus facile et plus sûr que d'obtenir des billets papier, surtout dans les régions éloignées. Et parce que les monnaies virtuelles pourraient devenir plus stables. Par exemple, elles pourraient être émises à raison d'un dollar pour un dollar, ou à partir d’un panier stable de devises. L'émission pourrait être entièrement transparente, régie par une règle crédible et prédéfinie, un algorithme qui peut être contrôlé... ou même une "règle intelligente" qui pourrait refléter l'évolution des circonstances macroéconomiques. Par conséquent, à bien des égards, les monnaies virtuelles pourraient simplement donner aux monnaies existantes et à la politique monétaire une chance de s'en sortir. La meilleure réponse des banquiers centraux est de continuer à mener une politique monétaire efficace, tout en demeurant ouverts aux nouvelles idées et aux nouvelles demandes, à mesure que les économies évoluent. De meilleurs services de paiement ? Par exemple, il faut tenir compte de la demande croissante de nouveaux services de paiement dans les pays où l'économie de services, décentralisée et partagée, prend son envol. Il s'agit d'une économie fondée sur les transactions entre pairs, sur des paiements fréquents de petite valeur, souvent transfrontaliers. Quatre dollars pour des conseils de jardinage d'une dame en Nouvelle-Zélande, trois euros pour une traduction experte d'un poème japonais, et 80 pence pour un rendu virtuel de la Fleet Street d’autrefois : ces paiements peuvent être effectués avec des cartes de crédit et d'autres formes de monnaie électronique. Mais les frais sont relativement élevés pour les transactions de faible valeur, en particulier au-delà des frontières. Les citoyens préféreront peut-être un jour les monnaies virtuelles, car elles offrent potentiellement le même coût et la même commodité que les espèces : pas de risques de règlement, pas de délais de compensation, pas d'enregistrement central, pas d'intermédiaire pour vérifier les comptes et les identités. Si les monnaies virtuelles émises par le secteur privé restent risquées et instables, les citoyens peuvent même faire appel aux banques centrales pour fournir des formes numériques de monnaie légale. Alors, quand la nouvelle économie de services viendra frapper à la porte de la Banque d'Angleterre, allez-vous l'accueillir à l'intérieur ? Leur offrir du thé et de la liquidité financière ? Nouveaux modèles d'intermédiation financière Cela nous amène à la deuxième étape de notre parcours : les nouveaux modèles d'intermédiation financière. L'une des possibilités est la dissociation ou le dégroupage des services bancaires. À l'avenir, nous pourrions conserver des soldes minimaux pour les services de paiement sur porte-monnaie électronique. Les soldes restants peuvent être conservés dans des fonds communs de placement ou investis dans des plateformes de prêt de pair-à-pair avec un avantage dans les grandes données et l'intelligence artificielle pour la notation automatique du crédit. Il s'agit d'un monde de cycles de développement de six mois et de mises à jour constantes des produits, principalement des logiciels, avec une prime énorme pour les interfaces utilisateurs simples et pour la confiance dans la sécurité. Un monde où les données sont reines. Un monde de nombreux nouveaux acteurs sans structure institutionnelle pesante. Certains diront que cela remet en question le modèle des réserves fractionnaires que nous connaissons aujourd'hui, s'il y a moins de dépôts bancaires et que les flux monétaires affluent dans l'économie par de nouveaux canaux. Comment définir la politique monétaire dans ce contexte ? Les banques centrales d'aujourd'hui ont généralement une incidence sur les prix des actifs par l'intermédiaire des négociants principaux, ou grandes banques, auxquels elles fournissent des liquidités à des prix fixes - ce qu'on appelle les opérations d'open market. Mais si ces banques perdaient de leur pertinence dans le nouveau monde financier et si la demande de liquidités auprès des banques centrales diminuait, la transmission de la politique monétaire pourrait-elle demeurer aussi efficace ? » -
Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
Neomatix a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Il existe un consensus scientifique entre les économistes sur les principes et concepts fondamentaux. Les professeurs d'économie enseignent pratiquement tous les mêmes principes (avantage comparatif, coût d'opportunité, élasticité-prix), même si nous ne sommes pas d'accord sur certaines questions de politique générale. Les débats sur les questions de politique publique suscitent beaucoup d'attention, mais les économistes s'accordent généralement sur un ensemble de propositions fondamentales, connues sous le nom d'économie conventionnelle. Il y a, bien sûr, certains dissidents qui s'opposent ou rejettent l'économie traditionnelle. Certains professeurs et étudiants contemporains prônent le "pluralisme" dans l'enseignement de l'économie. Le pluralisme signifie généralement inclure des points de vue hétérodoxes dans les programmes et les textes économiques. Les théories hétérodoxes actuelles proviennent principalement des interprétations de Marx, Veblen et Keynes. Les économistes traditionnels rejettent Marx et Veblen et acceptent une version diluée de Keynes. Il y a lieu d'envisager d'autres points de vue. John Stuart Mill a fait valoir que le débat d'idées conduit au progrès intellectuel. Même la défense contre une théorie "incorrecte" incite les défenseurs des théories correctes à réfléchir soigneusement et de manière critique à leurs propres croyances. Bien sûr, le débat consomme toujours du temps, et l'utilisation du temps est coûteuse. L'inclusion de perspectives hétérodoxes dans les cours d'économie contemporaine en vaudrait-elle donc la peine ? Le pluralisme en économie Le dernier appel au pluralisme a été lancé à l'Université Tufts. Cet appel au pluralisme est ouvertement politique - son auteur appelle explicitement au pluralisme pour préparer les étudiants à "naviguer et affronter cette période turbulente" de l'Administration Trump. Cet appel au pluralisme pose plusieurs problèmes. Premièrement, l'économie est une science sociale et non un instrument de politique. La foule hétérodoxe trouverait-elle l'économie dominante plus acceptable si Clinton avait gagné le vote électoral ? Non. Quant aux économistes, nous avons rejeté Marx et Veblen il y a environ un siècle, non pas à cause des opinions politiques, qui étaient variées, mais plutôt parce que leurs théories étaient perçues comme irréfléchies. Les économistes ont révisé la théorie de Keynes à plusieurs reprises en raison du débat, et non de la politique. Les partisans du pluralisme doivent s'attaquer aux objections que les économistes ont aux théories hétérodoxes plutôt que de se concentrer sur leurs objections au président actuel. Deuxièmement, les partisans du pluralisme devraient en apprendre davantage sur l'économie traditionnelle. L'économie traditionnelle est très flexible. De nombreuses formes d'économie conventionnelle soutiennent l'intervention étatique et même le socialisme. Les économistes du marché libre sont une minorité dans la profession économique - peut-être 25% des économistes sont favorables au libre marché ou à l'économie de marché. Les économistes du marché libre, comme Milton Friedman et Friedrich Hayek, ont été mis à l'écart au milieu du XXè siècle et se sont fait un nom en utilisant la logique et les preuves. L'idée que l'économie conventionnelle soutient un point de vue pro-capitaliste unique est fausse. Il convient toutefois de noter que les économistes du courant dominant rejettent généralement le refus de l'Administration Trump de libéraliser le commerce international. Troisièmement, et c'est le plus important, les partisans du pluralisme devraient en apprendre davantage sur ce que sont vraiment les principes de l'économie de marché. L'appel au pluralisme lancé à Tufts suscite de vives accusations, notamment les suivantes. « Aux Etats-Unis, le capitalisme a créé des industries qui bénéficient directement de l'éclatement des moyens d'existence des familles de couleur au travers de son héritage raciste. Cet héritage s'est manifesté par la rentabilité des prisons privées et de la détention des immigrants. Il y a une incitation économique à l'incarcération si l'argent utilisé pour entretenir les prisons remplit les poches des gens. Et si le capitalisme dicte que les gens soient enfermés pour que certains individus puissent amasser des richesses, la population carcérale ne fera qu'augmenter selon la théorie économique. C'est exactement ce que nous avons vu, puisque les États-Unis incarcèrent plus de personnes par habitant que n'importe quel autre pays. » Actuellement, la police arrête plus de personnes pour des accusations liées à la marijuana que pour des crimes violents. La prohibition de la marijuana a éliminé un marché. L'économie de marché libre appuie la légalisation de la marijuana. Certaines personnes trouvent la consommation de drogues par d'autres répréhensible, mais l'économie dominante respecte les préférences individuelles. Friedrich Hayek, économiste du marché libre, et Abba Lerner, son étudiant socialiste, ont tous deux assumé la "souveraineté du consommateur" et évité de porter des jugements de valeur sur ce que les gens devraient vouloir. Les concepts généraux de la souveraineté des consommateurs et de la science économique sans valeur vont à l'encontre de la croyance selon laquelle l'Etat devrait dicter ce que les consommateurs peuvent et ne peuvent pas acheter sur les marchés. L'idée que le capitalisme de marché libre "dicte que des gens soient enfermés pour que certains individus puissent accumuler des richesses" est incorrecte. L'économie traditionnelle n'est pas non plus à blâmer pour la guerre contre la drogue. La taille relativement importante de la prison américaine est due à la législation moralisatrice des personnes participant à la « War on Drugs » comme William Bennet. L'application de l'économie de marché libéralisée mettrait fin à l'incarcération de masse pour les crimes liés à la marijuana (ainsi qu'à la violence chronique des gangs). L'économie traditionnelle n'est pas figée, elle a évolué. Quatrièmement, les idées alternatives bénéficient d’une attention prononcée dans d'autres matières, en particulier la sociologie et l'anthropologie. Il y a beaucoup de sociologues marxistes dans les universités contemporaines. La disponibilité de vues "hétérodoxes" dans des domaines autres que l'économie pose deux problèmes à ceux qui appellent au pluralisme. D'abord, les universités ont déjà adopté le pluralisme ; les étudiants peuvent obtenir des perspectives différentes en suivant des cours d'économie et de sociologie. Deuxièmement, il faut se demander pourquoi certains sociologues n'ont pas réussi à populariser le "marxisme culturel" auprès des économistes. Si les économistes ne voient pas les aspects positifs de Marx ou Veblen, les professeurs dans d'autres matières devraient être en mesure de faire la lumière sur ce que valent vraiment ces théories. Les étudiants choisissent de faire des études supérieures et secondaires en économie parce qu'ils trouvent que l'enseignement de l'économie est préférable à celui de la sociologie. L'économie traditionnelle n'est pas figée, elle a évolué. Milton Friedman a utilisé la théorie et les preuves pour persuader les économistes que certains aspects de l'économie keynésienne étaient erronés ou, du moins, discutables. Ce qu'il faut, ce n'est pas de la diversité intellectuelle simplement pour elle-même, et certainement pas pour des raisons politiques. Les critiques de l'économie conventionnelle pourraient plutôt tenter d'initier un débat éclairé sur la logique et la validité empirique des différentes idées. Je suis ouvert à l'idée du pluralisme. Personnellement, j'ai enseigné les idées de Marx, Keynes et Veblen dans certaines de mes classes - surtout en histoire de la pensée économique. Mais ceux qui veulent intégrer des "vues hétérodoxes" dans les programmes d'études économiques en général doivent fournir des raisons valables pour l'incorporation de ces vues dans l'économie. -
Taxe de la semaine
Neomatix a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Ben ils recevraient du pognon en échange d'un préjudice subit, quel est le problème ? -
Taxe de la semaine
Neomatix a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Du pognon ce n'est pas une indemnité ? -
Taxe de la semaine
Neomatix a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Je ne pense pas que l'Etat devienne propriétaire d'une part de ton terrain si tu ne paies pas la taxe foncière. La taxe nouvellement créée, dont ils te font grâce lorsqu'ils deviennent copropriétaires à titre gratuit. -
Taxe de la semaine
Neomatix a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
L'indemnité c'est l'annulation de la taxe. Mais en l'état ils ont un problème de chronologie. Ils devraient juste taxer l'immobilier puis s'approprier une part du terrain si le proprio ne veut pas payer tout de suite. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Neomatix a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
La FDJ c'est de l'impôt volontaire, c'est moins grave (malgré le monopole). -
C'est quoi le propulseur central du X Wing ? Ils font dans le tuning maintenant les rebelles ?
-
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Neomatix a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Mais c'est qu'il est très bien ce garçon. -
Pas de gouvernement != Pas d'État
-
Les jeunes savent-ils encore se servir de leurs mains ?
Neomatix a répondu à un sujet de Adrian dans Actualités
T'es pas un postdoc en sciences humaines qui collectionne les vélos ? Ne pas savoir se servir d'un mètre ruban me paraît absurde tellement c'est basique. Faut révoquer la mancard de tous ceux qui regardent ces vidéos pour s'instruire.
