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Sanson

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Tout ce qui a été posté par Sanson

  1. Bah dans le cadre d'une commission parlementaire, c'est bien une espèce d'enquête/information pour les parlementaires.
  2. Je doute de son libéralisme.
  3. Faire comme en Suède quoi. Une bonne idée sur le principe, mais bonne chance pour faire cohabiter les "anciens" fonctionnaires et les "nouveaux" contractuels". Une recette pour le succès.
  4. Mais à part ça, il n'y a pas de délit de solidarité !
  5. L'avant dernier paragraphe sauve les finances publiques d'une sacrée catastrophe !
  6. De mémoire il y a une prime pour les profs dans les ZEP.ZUS.etc. Mais elle est faible, comme de l'ordre d'une dizaine d'euros par mois...
  7. Ce ne sont pas les collèges qui décident de la rémunération de leurs profs et personnels administratifs. Et puis le personnel administratif proprement dit ce n'est pas grand-chose comparé à la masse des professeurs. Dans pas mal de collèges c'est une personne qui fait l'intendance. Je suis passé par une cité scolaire (+2000 collégiens et lycéens) où l'intendance et l'agence comptable faisaient 4 personnes.
  8. Là, exactement ce que je veux dire.
  9. Cadre 'stratif dans un grand ministère, ce sondage est particulièrement discriminant.
  10. Ces modèles sont basés sur un syndicalisme responsable (~70% des salariés syndiqués), avec un droit du travail par branche principalement issu de négociation syndicale, y compris sur des thèmes tels que le salaire minimum. Ces modèles ont également pris des mesures fortes dans les années 90, qui passeraient pour fascistes en France. par exemple la capitalisation partielle des retraites suédoises, qui ont d'ailleurs baissé en 2009 après la crise. Par ailleurs le statut de la fonction publique y est très réduit (en gros limité aux cadres administratifs), tous les autres sont des contractuels de droit privé, donc licenciables. Y compris les profs, qui assurent souvent plus d'une matière, et l'école y est privée (en tout cas au moins en Suède). les collectivités locales se financent directement par l'impôt sur le revenu (et non des impôts tels que le foncier), ce qui les responsabilise face à leurs administrés/électeurs. Appliquer ces modèles en France impliquerait de passer par pertes et profits 90% du droit du travail, de supprimer le SMIC, les horaires légaux, le droit du licenciement, de remettre assez largement en cause la Sécu. Observer ces modèles par la fiscalité et le niveau de dépense est passer à coté de l'essentiel.
  11. C'est pas un Darwin si il a pu se reproduire.
  12. En même temps ça fait 25 ans qu'elle est "officielle" cette réforme. Je m'attends à un nombre de changements strictement égal à 0,0%.
  13. Les célibataires ont plus de facilités à partir et à tout quitter que les familles.
  14. Pierre veut donner 100 à Sophie pour financer son assoce de boulistes, et à la fin de l'année il sera taxé 100 parce que le gouvernement ne trouve pas les boulistes très bons électeurs. Il pourrait aussi donner 100 à Jacques et à son assoce qui tient un journal communal éco-friendly, mais là il sera taxé 30 à la fin de l'année. Il préfère les boulistes la nature, et évidemment dans les deux cas il est libre de donner son argent à qui il veut mais bizarrement à la fin de l'année Sophie doit plus restreindre son budget associatif que Jacques. Parce que Pierre est libre, mais un peu plus libre dans un cas que dans l'autre. Ben oui, il peut financer ce qu'il veut... si ce qu'il veut financer est ce que l'élu qui a voté la DF veut qu'il finance. Quant à Paul, qui gagne autant de Pierre mais a des charges qui l'empêche de donner à des associations doit tout de même payer ses 100. Sophie est jalouse de Jacques, qui peut louer des locaux neufs pour son asso. Donc qu'est-ce qu'on a à la fin de cette opération : - Les incitations économiques de Pierre sont perverties, vu qu'il aurait préféré consommer de la pétanque que du papier-journal. Maintenant étend ce système et imagine ce que ça peut donner dans une économie telle que la France où les dépenses fiscales sont très nombreuses. - Jacques aura reçu de l'argent qu'il n'aurait pas eu s'il n'avait pas bénéficié d'un programme étatique. - Sans la réduction d'impôts, certes Pierre aurait payé plus d'impôts, mais Paul en aurait payé moins à dépense budgétaire égale. Si l'on ajoute à ça que les DF sont nombreuses, portent sur des trucs anecdotiques, voire sont poussées par des élus aux idées bizarres ou des lobbies, sont très mal évaluées, et que par dessus le marché ce qui tue l'économie française c'est précisément que les impôts sont constitués de taxes aux taux très élevés sur des assiettes très réduites, ce à quoi contribue directement les dépenses fiscales... Il vaudrait mieux toutes les supprimer et baisser les taux pour tout le monde, les impôts seront plus clairs, plus justes et en plus ce serait très facile à mettre en œuvre techniquement à défaut de l'être politiquement (mais ça c'est le cas pour tout).
  15. C'est sûr dit comme ça je suis convaincu.
  16. Une dépense fiscale c'est une forme de subvention hein. ça n'est en rien une théorie fumeuse. Dans la mesure où tout le monde bénéficie des mêmes services/politiques publics, ceux qui sont exonérés de tout ou partie du coût que cela représente reportent la charge sur les autres. Comme des colocs dont l'un ne paierait jamais sa part de al facture d'électricité. On ne peut pas d'un coté dénoncer le clientélisme politique et ses dons directs d'argent et de l'autre trouver normal que certains se voient exonérés du coût d'un service dont ils profitent. C'est rigoureusement la même chose in fine.
  17. Oui. Toutes les politiques de redistribution ou presque ont pour fondement l'idée que chacun doit pouvoir accéder à certains biens et services quel que soit sa situation économique par ailleurs. Le rôle de l'allocation est alors de permettre une consommation normale, débarrassée des contingences propres à l'individu. Donc si l'on a des enfants, si l'on est au chômage, si l'on vie dans un coin paumé ou dans un logement trop cher, il faut pouvoir neutraliser ce désavantage : allocation, prix préférentiels subventionnés, fiscalité avantageuse... C'est évident que si, par un incroyable concours de circonstance, la France adoptait le RU du jour au lendemain, il resterait plus de quelques années indifférencié selon les individus. Il y aura tout de suite des politiciens qui proposeront des aménagements pour favoriser tels ou tels, des groupes qui se constitueront pour expliquer que leur situation est tellement exceptionnelle que ce serait injuste de ne pas leur donner plus, ou de les taxer sur ce RU, etc. Les mentalités et les pratiques politiques doivent changer avant que le RU soit adopté, et ce serait certainement un travail autrement plus difficile que la suppression de la Sécu et des politiques de subventions...
  18. AJA au Venezuela le gouvernement n'est pas responsable devant le Parlement...
  19. Sérieux. Déjà c'est mal orthographié dans l'article, mais surtout cette ville a un nom français, c'est Gothembourg, que les journalistes l'utilisent au lieu de l'abominable Gueuteubaurgue qui n'existe pas. J'assume et revendique ma psychopathie sur ce sujet.
  20. D'ailleurs ça vaut quoi Molyneux ? Je vois de temps en temps ses vidéos sur la page d'accueil Facebook, mais il n'a pas l'air très franc du collier. Il raconte quoi en général ?
  21. Je ne comprends pas ce qui vous choque. La question est pourtant très claire, étudier l'image permet d'y répondre. Ce n'est pas un exercice très difficile.
  22. Jusque là une demande de rapport n'est pas un projet.
  23. Les gens. Cet qu'a voté l'Assemblée est le gouvernement lui remettra un rapport sur l'éventualité d'un tel OS. Autant dire que de là à imaginer un tel bousin il y a encore trèèèès loin. A la rigueur je préfère que nos élus s'amusent à ces moindres frais qu'en prenant de vraies décisions bien craignos pour les libertés publiques ou qui coutent vraiment cher à la collectivité...
  24. Cela pourrait surtout indiquer que les moyens financiers de l'EI sont en diminution.
  25. Il ne parle pas de dépenses d'intervention somptuaires ou de prestige (les départements n'en n'ont presque pas). Il parle des contrats de plan États-régions (certains départements participent à leur financement). Ils viennent d'être signés, et certains présidents de région issus des dernières élections prétendent renégocier ces contrats pour obtenir plus de l'État. Bussereau se joint au mouvement. Mais vu la part des départements dans ces plans la menace est plus politique que financière...
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