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SCBastiat

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Tout ce qui a été posté par SCBastiat

  1. Putain Le pire, c'est que ça ne me paraît pas totalement inconcevable qu'on en arrive là un jour. Contrats de sexe, criminalisation de la drague de rue... Ce sont des choses qu'on n'aurait pas pu imaginer il y a 10 ans. Soyons vigilants. Bon, l'avantage c'est que ces gens luttent parallèlement en faveur de l'immigration. Or, si les blancs aujourd'hui seraient peut-être assez féminisés pour accepter des trucs pareils, je ne pense pas que ce soit le cas des musulmans, des Africains, etc. Cette contradiction idéologique pourrait leur porter préjudice.
  2. http://www.feministcurrent.com/2016/01/07/its-time-to-consider-a-curfew-for-men/
  3. Je ne sais pas trop où poster ça, mais il faut absolument que vous alliez voir ce site (même si j'imagine que Lancelot doit déjà connaître) : (badurl) http://www.lecinemaestpolitique.fr/ (badurl) C'est tout simplement le plus grand condensé de folie SJWiste jamais vu sur un site français, pour ma part. Recherchez par exemple leur analyse du "roi lion" si vous voulez rire un bon coup. Au début, je pensais même qu'il s'agissait de satire, mais non, on est vraiment face à une maladie mentale au sens propre. Le point positif de ce site, c'est qu'il m'a fait comprendre à quel point il est possible de faire dire absolument tout ce qu'on veut à un film, et d'en tirer les interprétations les plus délirantes.
  4. Sérieusement ? Moix peut être plus intéressant que la moyenne parfois, par contre sur les sujets vaguement reliés à la communauté juive, il devient vite très hystérique. Il n'est pas juif lui-même au passage, mais apparemment il semble très attaché au judaïsme. Sinon, ça fait longtemps que je ne regarde plus ce genre d'émission. C'est plat, et ça montre le niveau pitoyable du monde politique (et show-biz) français plus qu'autre chose. J'aimais bien l'époque Zemmour-Naulleau, mais plus comme un divertissement que comme un truc sérieux. Leurs clashs compensaient un peu la nullité de Ruquier et de la plupart des invités. Depuis, j'ai lâché.
  5. Complètement, ils invoquent des privilèges dus à leur classe. D'ailleurs, je suis sidéré par les réactions des gens autour de moi sur cette affaire. On est dans le sentimentalisme et surtout, dans la déresponsabilisation de classe. C'est à dire qu'un salarié serait excusable de ses actes criminels car c'est un "dominé". Mais imaginez une seule seconde les réactions si un patron avait séquestré des employés parce qu'ils avaient fait une connerie portant préjudice à l'entreprise. Je propose que la justice socialiste instaure des "points de privilège", notamment en fonction du revenu de l'accusé. Machin a tué Truc dans un accident de voiture. Allez, 5 ans fermes de base. Mais Machin est un petit prolo syndiqué à la CGT qui roulait dans une vieille twingo, alors que Truc était un sale capitaliste, cadre supérieur, sapé en costard. On enlève 3 ans. En plus, Machin est d'origine tunisienne et domicilié à Sarcelles, tandis que Truc était un blanc hétérosexuel vivant à Neuilly dans une famille bourgeoise de confession catholique. Bon, 2 ans de moins, on acquitte, l'affaire est réglée.
  6. J'adhère complètement à l'analyse de Lameador. On a déjà deux exemples d'inégalités de droits flagrantes en défaveur du père, c'est quand même symbolique du peu de considération à son égard. Mais il n'y a pas que ça. Dans les faits, autour de moi, je vois de plus en plus d'enfants séparés de leur père, comme si c'était devenu une banalité absolue. Au delà des questions de droit, et tout en sachant qu'il existe bien d'autres facteurs sociétaux à l'origine cette évolution, j'ai l'impression que la baisse de considération pour le rôle du père accentue cette banalisation. Dans cet occident assez féministe et féminisée, les caractéristiques traditionnelles du père, symbole de l'autorité et d'une certaine fermeté, sont méprisées. Au risque de me répéter, les pères modernes sont donc incités à adopter une posture plus féminine, basée sur la sensibilité, le compromis, le dialogue, la pédagogie douce et la tendresse. Du coup, ils deviennent des secondes mères, et ne sont donc plus indispensables. Quand l'altérité des rôles disparaît, alors le couple parental homme/femme n'a plus forcément de nécessité en soi. C'est en ce sens que je parle de déclin du père (que les progressistes verront comme une apologie de la tyrannie paternelle, ce qui est loin d'être ma position). Je trouve cette dislocation des rôles parentaux assez dramatique, notamment pour les enfants. Et ce n'est pas l'école actuelle qui compense cela. D'où ma révolte contre ce processus, indépendamment des lois dont on parle. Je ne veux pas faire le réac borné qui n'entrevoit aucune autre possibilité que l'image du père autoritaire, car chaque individu est libre d'agir comme il le désire, mais je suis dérangé par la destruction morale de ce symbole qui malgré tout peut avoir son importance dans l'équilibre familial, les repères, la construction des enfants. Enfin, si je fais une fixette sur ces questions, c'est également parce que j'en ai marre de lire ou d'entendre chaque jour les complaintes médiatiques sur l'homme dominant, sur les inégalités hommes / femmes unilatérales, sur la parité, sur les maris indignes qui ne font pas le ménage, sur le mythe des inégalités salariales, sur des conneries comme le "manspreading", alors qu'il existe de vraies inégalités dans le droit de la famille qui devraient être intolérables dans leur logique égalitariste, mais dont personne ne parle jamais. Je trouve ces gens d'une malhonnêteté crasse. Peut-être suis-je devenu un peu paranoïaque, mais en tant qu'homme je ressens un malaise, comme une attaque perpétuelle contre tout ce qui touche à la masculinité, même si je ne nie pas les difficultés que peuvent vivre les femmes également. Veuillez me pardonner mon coup de blues de sale conservateur, mais je crois qu'il résume un peu mon ressentiment profond à chaque fois qu'on aborde un sujet comme celui-ci. Je n'ai plus rien à rajouter du coup.
  7. Je veux bien entendre cet argument en ce qui concerne la décision de l'IVG. Mais dans le cas où l'enfant naît, je ne vois aucune différence naturelle qui justifie qu'une mère puisse se dégager de ses responsabilités sans l'accord du père, alors que l'inverse n'est pas possible. Mets toi à la place d'un homme. A 8 mois de grossesse, ta femme peut t'annoncer qu'elle est en droit d'abandonner votre enfant, et de te laisser te débrouiller tout seul sans aucune aide de sa part si tu jamais veux l'élever. Imagine juste ton indignation si l'inverse était légal, comme le propose Marcela Iacub. C'est une décision qui devrait se prendre à deux, sans exclure le père. Maintenant, je suis d'accord avec toi pour dire que cette situation n'arrive presque jamais. Mais le principe est quand même assez dégueulasse et injustifiable, non ?
  8. Allez, je suis déjà heureux d'avoir réussi à te faire admettre qu'il existe une inégalité en droit ! Je vais m'en contenter, même si je trouve que c'est bien moins insignifiant que ce que tu laisses entendre. Je précise juste que quand je parlais du fait que ça part en couilles, je faisais aussi référence à une situation qui dépasse bien largement le cadre du droit... PS : Merci Lameador pour ce sympathique message de bienvenue.
  9. Yep, c'est un peu la grosse lose. Enfin, je suis censé réviser à fond pour mes exams cette semaine, donc pas de sortie, et ma copine est dans la pièce d'à côté en pensant que je bosse. J'ai honte. Mon inscription sur liborg était une mauvaise idée.
  10. Ah, voilà. Sur demande de l'ENFANT, pas du père ! Ca n'a donc rien à voir avec la situation d'une paternité imposée par la mère au père dès la naissance. Inégalité de droit. (je ne lâcherai pas )
  11. Ah, on est enfin d'accord sur quelque chose !
  12. Ah bon ? Si le père le demande, il peut forcer la mère biologique ayant accouché sous X à participer financièrement à l'éducation de l'enfant, c'est ça ? Parce que c'est ce qui se passe dans le sens inverse : un père ne veut pas reconnaître le gosse, la mère a le droit de lui imposer la paternité. Tu me dis que ça marche comme ça dans le cas d'un accouchement sous X ? Si tu me le démontres, ok, je ferai mon mea culpa, mais j'ai jamais entendu parler de ça.
  13. Bien évidemment.
  14. Faux, archi faux. https://fr.wikipedia.org/wiki/Paternité_imposée "Un homme marié peut également se voir contraint de reconnaître un éventuel enfant naturel, notamment si une action en recherche de paternité (article 327 du Code civil) a été menée par la mère ou l'enfant, et ceci jusqu’à 28 ans après la naissance de l’enfant." "Il faut souligner enfin que même en cas d'échec d'une action en reconnaissance de paternité, un homme peut devoir assumer les frais d'entretien (pension alimentaire) d'un éventuel enfant né hors mariage (Code civil, livre I, titre VII, chap. 1, sec. 1: «Des actions relatives à la filiation» - cette partie du Code a néanmoins été modifiée par la réforme de 2006)." Même l'article parle d'inégalité en droits : "Dans cette problématique, il y a inégalité des droits entre hommes et femmes. Les femmes disposent de plusieurs moyens légaux pour arrêter une grossesse ou renoncer à une naissance non voulue : la pilule du lendemain, l’IVG, l’accouchement sous X. À l'inverse, les hommes n'en disposent d'aucun."
  15. Non, la mère a le privilège de pouvoir n'assumer aucune conséquence (concrète, après la moralité c'est autre chose) si elle accouche sous X, et le père n'a rien à dire. Le père, lui, se voit imposer la paternité si la mère le désire, dans le cas où il ne veut pas reconnaître l'enfant.
  16. Si tu veux résumer mes arguments de manière si simpliste, libre à toi, mais il me semble que j'ai été plus loin que ça. Je ne vais pas non plus répéter mon argumentaire dans ses nuances. En attendant, ce que je vois c'est surtout que tu nies l'inégalité en droits pour le père aujourd'hui, et sur ce coup je te trouve vraiment de mauvaise foi...
  17. Je ne connais pas cette histoire dans les détails, donc difficile d'en parler pour moi. Tu peux toujours trouver des cas particuliers, mais dans le DROIT, ce dont on parle bien, un père ne peut théoriquement pas s'acquitter de ses responsabilités financières, en tout cas si la mère veut le faire raquer. L'inverse n'est pas vrai. Je réitère donc, sachant qu'on parle de droit : 1) La mère décide d'abandonner son enfant à la naissance. Elle peut, sans l'accord du père. Et si celui-ci veut élever son enfant, il doit le faire sans l'aide de la mère. 2) Le père décide d'abandonner son enfant à la naissance. Il ne peut pas (sans l'accord de la mère). Il doit toujours assumer ses responsabilités financières, dont il ne peut s'acquitter. Vrai, ou faux ?
  18. Tu chipotes vraiment là dessus. Au fond je m'en fous de la comparaison avec le passé (surtout que je ne parlais pas que de droits mais aussi de considération, de statut), je te démontre depuis un moment que l'inégalité en droits existe bien, ce que tu persistes à nier.
  19. Non, là c'est toi qui mélanges tout. 1) La mère décide d'abandonner son enfant à la naissance. Elle peut, sans l'accord du père. Et si celui-ci veut élever son enfant, il doit le faire sans l'aide de la mère. 2) Le père décide d'abandonner son enfant à la naissance. Il ne peut pas. Il doit toujours assumer ses responsabilités financières, dont il ne peut s'acquitter. Vrai, ou faux ?
  20. Tu tombes vraiment très bas. Et sans répondre sur le fond encore une fois. Au passage, un SJW se plaint de pseudos inégalités qui n'ont jamais rien à voir avec le droit. Un libéral est censé défendre l'égalité en droits.
  21. Mais si tu le fais, alors tu es obligé de te débrouiller seul, sans l'aide de la mère qui elle a le droit de fuir ses responsabilités parentales, contrairement à lui. C'est anormal, et inégalitaire, que l'accord du père ne soit pas demandé dans un accouchement sous X. Tu ne veux pas élever ton gosse ? Très bien. Mais tu fais comme le père dans un pareil cas, tu assumes au moins l'aide financière. Il n'y a strictement aucune raison valable pour que la mère ait ce droit et pas le père.
  22. Je dis qu'on vit dans une société où les hommes ont moins de droits sur leurs enfants que les femmes, et c'est vrai. L'homme n'a pas le droit de refuser sa paternité. Jamais. La femme, elle, a non seulement le droit d'avorter, mais également d'accoucher sous X, ce qui lui fait deux moyens de fuir ses responsabilités, sans que le père ait son mot à dire. Pourquoi une femme a le droit d'abandonner son enfant à la naissance et de laisser le père s'en occuper seul si lui désire l'élever, alors que l'inverse n'est pas vrai ? Pourquoi tu ne dis pas qu'elle devrait "assumer", alors que tu l'as affirmé plusieurs fois concernant l'homme ? C'est juste illogique. Comment peux-tu ne pas voir l'inégalité en DROITS dans ces exemples ? Elle existe bien. Tout comme les inégalités de fait. Tout comme la considération ridicule pour les pères dans notre société. Tu veux un exemple ? Regarde ça : http://www.bfmtv.com/societe/accouchement-sous-x-un-pere-biologique-peut-il-recuperer-son-fils-848609.html. Même pour ce qui est de récupérer l'enfant suite à un accouchement sous X, la justice est hyper restrictive sur les droits du père, ce sont des avocats qui le disent eux-mêmes : http://www.altajuris.com/accouchement-sous-x-et-preservation-des-droits-du-pere/
  23. Que le père n'ait pas son mot à dire pour son enfant, c'est le droit. Je ne dis pas qu'il devrait l'avoir (pas plus que la mère puisque je suis contre l'avortement), mais c'est une inégalité.
  24. Non mais ça peut sacrifier ses droits, encore une fois.
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