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RaHaN

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Tout ce qui a été posté par RaHaN

  1. Ils ont omis "éco-responsable" à la fin quand même. Mince. "La variété, c'est de l'organisation ; l'uniformité, c'est du mécanisme. La variété, c'est la vie ; l'uniformité, c'est la mort." Benjamin Constant.
  2. Avoir du caractère plutôt qu'être sous contrôle : voilà l'antidote contre le Mal Par Tricia Beck-Peter, le 19 avril 2018 Les hommes sont de dangereuses créatures capables d'un grand mal. Cette vérité inéluctable nous assaille à chaque fois que nous regardons les infos. Savoir cela affecte toutes les âmes humaines, et chaque tragédie nous le rappelle avec force. Nous crions pour que quelqu'un nous sauve de notre capacité inhérente pour le mal. Ou bien alors nous nous disons : "Jamais je ne pourrai faire ça !" Mais vous avez tort, vous en êtes capable. Les hommes peuvent tuer. Nous pouvons faire du mal, nous pouvons voler, nous pouvons commettre de graves atrocités. Pourquoi ? Parce que nous sommes libres. Être libre signifie que vos choix vous appartiennent. Il n'y a pas d'organisme gouvernemental capable de surveiller toutes nos actions, toutes nos pensées violentes, tous nos instincts maléfiques. Aucune organisation gouvernementale ne peut empêcher tout acte de violence parce que tout acte de violence est une expression du potentiel humain. Il n'y a pas de bureaucratie plus puissante que les actions d'individus qui sont libres de choisir d'être mauvais. À chaque tragédie - une fusillade dans les écoles, un acte de terrorisme, un meurtre très médiatisé - nous nous demandons comment cela est possible. Comment un humain pourrait-il choisir de faire du mal ? La question n'est peut-être pas de savoir pourquoi cela s'est produit. La question est peut-être plutôt de savoir pourquoi un plus grand nombre d'entre nous ne commet pas d'atrocités. Nous ne pouvons pas être bons si nous ne pouvons pas faire le mal. Le psychologue Jordan B. Peterson affirme que nous ne pouvons avoir aucune idée de notre capacité de faire le bien tant que nous ne reconnaissons pas notre capacité de faire le mal. Je pense qu'il a raison. Tant que nous ne comprenons pas que les humains peuvent être mauvais, nous ne pouvons pas choisir d'être bons. Si nous n'avions pas la capacité de faire beaucoup de mal, il n'y aurait rien de louable à ne pas le faire. Si nous ne pouvions pas commettre de pêchés, il n'y aurait aucune vertu à ne pas pécher parce que ce ne serait pas un choix. Nous ne pouvons choisir de ne pas faire que ce que nous pouvons faire. Sinon, c'est un défaut, pas un choix. A l' inverse, si nous sommes libres de déterminer le cours de notre propre vie, libres de faire nos propres choix, cela signifie en soi que nous sommes libres de choisir de faire des choses terribles. Le revers de la médaille d'être libre de devenir de bonnes personnes, c'est que nous sommes aussi libres d'en devenir de mauvaises. Cela effraie beaucoup de gens, tant sur le plan personnel que sur le plan social. La noirceur au sein de notre espèce n'est qu'une part aussi terrifiante des ténèbres à l'intérieur de nous-mêmes. Rien n'est plus effrayant que sentir la noirceur s'élever dans nos propres cœurs et que d'avoir à faire face à ce choix : est-ce que je verse dans le mal, ou est-ce que je m'élève vers le bien ? C'est effrayant, mais il est nécessaire pour nous, en tant qu'individus à fort caractère, de faire face à notre capacité de mal. Sinon, nous ne pourrions pas choisir la bonté. Et si nous ne pouvons pas choisir la bonté, nous flotterions impuissants dans un vide morale, incapables d'affiner les épées de notre personnage sur la pierre à aiguiser des choix difficiles. Nous devons être capables de choisir la bonté pour être bons. Parce que vous pourriez le faire, mais vous ne le faites pas. Car vous avez choisi de ne pas le faire. Suite à la fusillade de Parkland au lycée Marjory Stoneman Douglas, un grand mouvement national aura été de restreindre l'accès aux armes à feu afin de diminuer la capacité de l'homme à faire le mal. Pourtant, nous observons dans d'autres pays ayant adopté cette ligne de conduite que la violence n'est pas éliminée par la restriction des armes à feu, mais qu'elle devient tout simplement plus créative. Ceux qui ont choisi de commettre le mal trouvent d'autres moyens de le faire - des bombes à clous, des couteaux, des attaques à la voiture-bélier. L'arme n'est pas le problème, le choix de commettre la violence l'est. Oppression & caractère Il n'y a que deux façons de prévenir la violence : l'oppression et le caractère. Nous pouvons ou bien autoriser le gouvernement à nous opprimer au-delà des moyens de choisir la violence, ou bien nous, en tant qu'individus, nous pouvons choisir d'être non-violents. Beaucoup appellent pour le premier, mais si nous choisissons cette voie, nous nous privons nous-mêmes et les autres en la capacité d'être de bonnes personnes. Si nous ne pouvons pas choisir le mal, nous ne pouvons pas choisir le bien. Si le bien est un défaut dérivé de l'impuissance, il n'y a rien de vraiment bon. Il reste donc l'autre option : le caractère. Le caractère est quelque chose qui commence dans le cœur d'un individu. C'est l'état d'affronter ses options infinies d'action et de ne choisir que les actions qui ne privent pas les autres de leur vie, de leurs biens ou de leur dignité. Le caractère, c'est avant tout choisir d'être des vecteurs de bienveillance plutôt que des serviteurs du mal. Un caractère fort est contagieux. Quand nous rencontrons des gens qui sont bons, gentils et honnêtes, nous voulons être comme eux. Une personne au caractère fort inspire et élève tous ceux qu'elle rencontre pour qu'ils soient comme eux. Nous voulons être le genre de personnes qui inspirent le courage face à l'adversité. Nous voulons être des héros. Mais chaque individu ayant la capacité d'héroïsme est un méchant potentiel qui a choisi différemment. Je ne dis pas que nous devrions accepter la violence comme quelque chose d'inhérent à la nature humaine dont nous ne pouvons jamais échapper. Ce serait cracher au visage de tous ceux qui ont pleuré une victime de violence et de terrorisme. En fait, nous ne pouvons pas créer une société juste et morale sans permettre aux gens de choisir le mal. Nous ne pouvons pas laisser la possibilité à quelqu'un qui a le pouvoir de nous contraindre et de nous opprimer sans sacrifier tout ce qu'il y a de bon dans l'humanité. Afin d'être de bonnes personnes, nous devons nous-mêmes le choisir. En tant que société, nous devons donner la priorité à la non-violence et enseigner aux autres les moyens de combattre les ténèbres à l'intérieur de nous-mêmes. Parce que nous sommes libres de commettre la violence, nous avons la responsabilité de l'éliminer. Nous, le peuple, pas la nation. Article source : Character, Not Control, Is the Antidote to Evil (fee.org) J’enchaîne avec une autre traduction : https://fee.org/articles/why-socialism-means-slavery/ Et sûrement celui-ci aussi, ça peut être drôle : https://fee.org/articles/18-spectacularly-wrong-predictions-made-around-the-time-of-the-first-earth-day-in-1970-expect-more-this-year/
  3. http://www.europe1.fr/politique/le-gouvernement-presente-un-plan-anti-gaspillage-3633743 Le Premier ministre a annoncé la création d'un "portail qui permettra aux consommateurs de déposer plainte facilement et de mieux faire valoir leurs droits" en matière de "garantie légale de conformité" des produits. Le gouvernement compte en outre rendre obligatoire à partir de 2020 un affichage permettant de savoir si un produit électrique ou électronique est réparable ou non.
  4. Je m'étais arrêté aux processus inflammatoires pour la CrP. Comme marqueur de risque cardio-vasculaire, j'entends davantage parler de score calcique.
  5. Ah ?
  6. Cibler l'oppresseur. Y a un type qui a fait une charte récemment qui donne à peu près ceci : Une dose d'anticapitalisme : Un point sur l'écologie : la souffrance animale : L'égalité Homme-femme : J'aurai facilement dit que tout ceci sort du programme de Méluch, ou d'un autre suppôt de Maduro. Mais non, c'est Phillipot. Autant dire que cela valide le dernier point manquant, à savoir la défense des gays, d'autant qu'il s'est dit en faveur du mariage pour tous. E.G/E.D, même combat.
  7. https://fee.org/articles/character-not-control-is-the-antidote-to-evil/?utm_source=zapier&utm J'enchaîne avec celui-ci
  8. Justice sociale : Quand le bien devient mal ? par Devin Foley, le 15 Avril 2018 Posons-nous la question de savoir comment nous pouvons vivre et permettre le Bien sans causer davantage de dégâts. Traditionnellement en Occident, la Justice se définissait ainsi : "Donner à chacun son dû". Les Occidentaux étaient censés juger l'individu et ses actions par rapport à ce qui était alors considéré comme des vérités objectives. En observant ce qu'il se passe de nos jours, notamment sur les campus universitaires, il devrait clairement apparaître que ce n'est plus la compréhension acceptée de la Justice. Influencés par la croyance simpliste du marxisme culturel selon laquelle l'histoire et la vie ne sont rien de plus qu'une lutte quasi perpétuelle entre opprimés et oppresseurs, nos leaders culturels ont substitué la Justice par la justice sociale. Quelle différence ? Eh bien, pour résumer l'idée centrale de la Justice Sociale, il s'agirait de la croyance selon laquelle une société juste ne peut exister tant que tous les groupes identitaires ne sont pas égaux avec les autres. Dans un tel système, nous ne jugeons pas l'individu en fonction de ses actions, mais plutôt en fonction du groupe identitaire auquel celui-ci est associé. Les SJW œuvrent ensuite à déterminer quels groupes identitaires sont les oppresseurs et lesquels sont les opprimés. Ceci fait, ils recourent à l'action collective pour aider les opprimés et faire chuter les oppresseurs. D'une certaine manière, la justice sociale a un aspect plutôt romantique, dans lequel vous vous sentez bien en utilisant tous les moyens nécessaires pour aider les opprimés. Vous venez en aide aux laissés-pour-compte tout en humiliant les puissants. Vous luttez contre le racisme, le sectarisme, l'âgisme, l'homophobie et bien d'autres choses encore ; vous êtes le bon gars. Par conséquent, beaucoup de jeunes Américains sont attirés par cet engagement. Avec sa popularité actuelle, il convient cependant de se pencher la revendication opaque du mouvement pour l'Egalité et les graves dangers inhérents à l'application de la justice sociale telle qu'elle a été présentée jusqu'à présent. Individus Vs Groupes Pour rappel, la vision traditionnelle de la Justice nous demande de juger un homme en fonction de ses actions. Par exemple, comment déterminer si un homme est raciste ? Nous examinons ses actions envers des individus d'une race différente. L'homme agit-il avec justice à ceux d'une race différente en mesurant la somme de chaque individu ? Ou bien juge-t-il simplement les individus et leurs actions simplement en se basant sur des suppositions concernant le groupe d'identité auquel ceux-ci appartiennent ? Dans ce dernier cas, l'homme est raciste. Mais si c'est le premier, alors il n'est pas coupable de racisme. Il convient également de noter que le racisme et le sectarisme sont injustes au sens traditionnel de la Justice parce qu'ils jugent l'individu par association plutôt que par rapport aux actions de l'individu. Faire reculer le racisme ou le sectarisme est donc souvent une bonne chose. Mais dans leurs efforts pour redresser ces torts, les SJW commettent souvent le mal qu'ils tentent d'effacer. En fait, ils sont même allés jusqu'à changer la définition du racisme, passant de quelque chose qu'un individu commet, à quelque chose que les groupes identitaires établissent, apparemment dans le but de masquer l'hypocrisie. Par exemple, les SJW pourraient déterminer qu'un groupe identitaire a créé un gouvernement et qu'il est, par conséquent, coupable d'avoir établi un système qui donne au groupe le pouvoir sur d'autres groupes identitaires. Ainsi, le groupe identitaire qui a créé le système est coupable d'avoir instauré des politiques racistes, homophobes ou âgéistes par le biais de la structure de pouvoir du système. Le groupe identitaire au pouvoir est donc mauvais parce que les guerriers de la justice sociale pensent qu'il peut opprimer et même qu'il opprime très probablement d'autres groupes identitaires. En termes simples, un groupe identitaire est mauvais s'il a créé une inégalité qui lui est bénéfique. Par conséquent, ce qui se passe dans les universités, les instances gouvernementales et même les départements des ressources humaines, c'est que les personnes sont bien ou mal traitées, en fonction du groupe identitaire auquel elles sont associées. Par exemple, l'homme hétérosexuel blanc n'est plus jugé en fonction de ses actions individuelles, mais plutôt en fonction de ce qui est supposé être le symbole du racisme et de l'homophobie de son groupe identitaire lorsque les hommes hétérosexuels blancs ont établi le gouvernement fédéral et les administrations locales en Amérique il y a plusieurs siècles. Parce que l'individu est un homme blanc, on suppose qu'il bénéficie toujours des privilèges créés par son groupe identitaire il y a plusieurs siècles, qu'il s'en rende compte ou non. Par conséquent, parce que son groupe identitaire est raciste, il est de fait raciste lui aussi Ainsi, les SJW qui s'évertuent à agir pour le Bien, comme notamment mettre fin au racisme, se sont égarés et commettent eux-mêmes le Mal. La vertu devient souvent vice, le bien devient souvent mal. G.K. Chesterton, auteur du début du XXe siècle, était préoccupé par de tels questionnements. Dans son essai Orthodoxy, il a soutenu qu'une fois que les vertus ne sont plus ancrées dans la métaphysique holistique qui les a développées à l'origine, les individus et les groupes se déchaînent souvent avec eux, à tel point qu'ils se concentrent sur une vertu qu'ils répandent en fait le vice. "Le monde moderne n'est pas méchant; à certains égards, le monde moderne est beaucoup trop bon. Il est rempli de vertus à l'état sauvage et gaspillées. Quand un système religieux est fracassé, comme le christianisme le fut lors de la Réforme, ce n'est pas seulement les vices qui sont libérés. Certes, les vices sont libérés; ils s'en vont à l'aventure et font des ravages. Mais les vertus aussi sont relâchées : les vertus s'en vont à l'aventure d'une façon plus sauvage, et les vertus causent des dégâts plus plus terribles. Le monde moderne est rempli d'anciennes vertus chrétiennes devenues folles. Les vertus sont devenues folles, parce qu'elles ont été isolées les unes des autres et vagabondent en solitaires. Ainsi, certains hommes de science se soucient de la vérité, mais leur vérité est sans pitié. De même, certains humanitaires ne s'intéressent qu'à la pitié; mais leur pitié, je regrette de le dire, est souvent mensonge." Ne semble-t-il pas que notre monde moderne est rempli de vieilles vertus chrétiennes devenues folles ? Si tel est le cas, le seul remède est que notre société creuse profondément dans son passé et ses traditions pour mieux comprendre comment nous en sommes arrivés à comprendre les vertus et les vices traditionnels. Nous devons également nous demander comment nous pouvons vivre et promouvoir le Bien sans causer encore plus de dégâts. Il est peut-être temps pour nous de récupérer nos amarres, de nous amarrer aux vérités intemporelles de notre patrimoine civilisationnel. Article source : Social Justice: When Good Becomes Evil? (fee.org) *SJW pour Social Justice Warriors : les guerriers de la Justice Sociale
  9. RaHaN

    Flims du moment

    Et il serait dommage de s'arrêter là dessus
  10. Ce tir de Middleton ! woaw ! Ca s'annonce épique comme série. https://twitter.com/NBA_Reddit/status/985233412289114113?s=20
  11. Par ailleurs, je débute celui-ci : https://fee.org/articles/social-justice-when-good-becomes-evil/
  12. Je confirme! J'ai bien apprécié sans plus la première, la seconde j'ai décroché davantage de poilades devant. Ca monte crescendo jusqu'à la fin de la saison où l'arrivée de Rob Lowe (et de son compère) est juste nickel. Son personnage m'a trop fait rire, et le besoin de coupes budgétaires réveille Ron, c'est magique. J'attaque la 3 !
  13. Oui, je suis curieux aussi Nick
  14. J'ai eu une période où je sautais le petit dej, c'était la plus compliqué pour ne pas me "gaver" le soir. En ce moment, je ne mange que le matin et ça tient. J'ai pas retrouvé des études de chrono-nutrition qui considèrent que le mieux c'est d'ingérer les prot dès le matin. Plein de prot !
  15. J'ai uniquement le Losalt pour le potassium, le cérébos, naturellement iodé blablah, c'est pour le sodium
  16. Un pote en voyage à Dam cette semaine a croisé le seul rescapé du groupe originel (encore qu'en chipotant vraiment, non, mais bref), Paulo Jr ! Le gars possède un bar dans la ville. Mon pote a essayé de creusé pour en savoir plus sur le split de 96 (ce boulet ..><), et Paulo lui a juste répondu "He is a motherfucker" en parlant de Max. Bref, c'est toujours un plaisir d'entendre ces putains de riffs.
  17. C'est pas une question de faire changer les avis, c'est de rester cohérent et logique dans ce qui est présenté. Une fois que cela est fait, chacun gère comme il veut sa dissonance.
  18. Il y a bien eu un passage d'interview de sa part durant le reportage Mon propos n'était pas de dire qu'il fallait interdire le sucre mais les mecs te vendent la dédiabolisation du gras, ouvre leur chapitre en expliquant les méfaits du sucre, et puis la phrase suivante te sortent tranquillement que la moitié de ton assiette doit contenir des carbs, une autre partie des prot, et voilà, c'est ça être équilibré. Ce qui est bien, c'est qu'à chaque fois où je jette un oeil à la tv, je me rappelle pourquoi j'ai arrêté depuis longtemps.
  19. J'ai jeté un œil, le documentaire avait l'air d'aller dans le bon sens. Par contre, j'ai arrêté à partir du débat, les gars débattaient autour du "repas équilibré" et chacun y allait de sa sauce et tout le monde semblait ravi. Le gars t'explique comment le sucre est stocké sous forme de graisse, puis te sort que ça ne sert à rien de tout calculer, chaque proportion, etc.. pour enfin te dire que pour manger équilibrer, il suffit de prendre une assiette et de se dire que telle partie c'est pour les légumes, telle partie c'est pour un peu de féculents, et telle partie c'est pour les protéines animales ou végétales. OK, et donc rappelle moi le titre de l'émission ? OK. Y en a d'autres qui ont regardé ?
  20. Ca serait la faute à pas de bol si effectivement il n'y avait pas d'antécédents chez l'enfant, ce qui n'est pas le cas ici. Et si son rôle à la prof, c'est d'apprendre à lire, faudra m'expliquer pourquoi elle refile de la mort au rat des crêpes aux gosses. sources ? J'aimerai rencontrer les médecins, maires et directeurs qui signent ça. Le %, j'en sais rien, mais le reste, mille fois oui. Pour les professionnels sur le terrain, c'est plus une source d'angoisse qu'autre chose.
  21. t'as pas besoin d'être infirmière pour refiler un médoc à ton gosse, pas plus que besoin d'avoir fait 3 ans d'études pour savoir qu'une crêpe au lait a de fortes chances de tuer un gamin allergique au lait. Le PAI c'est juste une signature pour protéger la structure.
  22. ah oui effectivement, je viens de lire ça...
  23. J'ai une gamine de 2 ans où je travaille qui est allergique depuis toujours aux protéines de lait de vache, et qui sait pertinemment qu'elle n'a pas le droit de toucher quoi que ce soit d'autre que ce qu'on lui donne. Pourtant c'est pas l'envie qui lui manque. Quand elle voit les copains à côté d'elle qui lui proposent de lécher la cuillère de Yaourt, elle refuse, elle sait dire non. Au départ, la directrice refusait qu'elle soit à table avec les autres copains (c'est son droit), on a bataillé pour qu'elle puisse partager la tablée avec ses camarades. Par contre on l'a aussi entraîné à tout refuser des autres, même le gros gâteau d'anniversaire, elle va dire non. Là, c'était une crêpe, dans un contexte de kermesse je crois. Comment ce gamin là a-t-il été accompagné vis-à-vis de son allergie ? @NicolasB en a parlé, les P.A.I sont obligatoires à l'école, et tout le monde y travaillant doit en être informé. En fonction de cela, il y a un protocole à suivre. Et sinon, concernant la trousse d'urgence, je ne sais pas quelles sont les obligations. Les stylos d'adrénaline coûtent chers (environ 70€, et on demande d'en avoir 2) et se périment assez vite (genre tous les six mois). Là, visiblement, le gamin a fait la réaction en dehors de l'école. Si il a mangé la crêpe dans la cours, cela m'étonne qu'il n'ait pas eu quelques signes avant coureurs. En tout cas c'est malheureux.
  24. Si y a des lyonnais motivés, ils passent dans deux semaines!
  25. Dommage.. Never Give Up Poney ! J'ai fait le Lyon Urban Trail (à jeun) ce matin en préparation du semi de Annecy, bien sympa. Ras le bol des escaliers, mais bonne ambiance, météo appréciable et super cadre! Et alors le buffet à l'arrivée, le pied! Du fromage, des amandes, du chocolat noir, et Goddamn du PÂTÉ !!! Oh ouii, j'étais refait, du pâté, entre les tranches de lard et de sauciflard, vas-y que j'ai descendu la barquette, devant le gars de PowerBar qui essayait de m'empoisonner avec ses conneries !
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