Oui, un marqueur social qui stigmatise celui qui, comme moi, ose avouer qu'il a adoré écouter Poro de Haendel.
Pareil. Bach a longtemps été très au dessus des autres à les yeux (enfin, à mes oreilles)... jusqu'à ce que je découvre le Miserere d'Allegri. Et les airs de Solomone Rossi (d'ailleurs, ma synagogue en utilise un, pour les Grandes Fêtes d'automne). Et et et...