-
Compteur de contenus
6 861 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
17
Tout ce qui a été posté par Vilfredo
-
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
C'est un film parfait pour un étudiant des lettres classiques en somme. -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Je suis surpris, toujours pas de commentaire de @Rincevent me recommandant de retrouver cette prof avec un waist to hip ratio si avantageux. O tempora o mores! -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Peut-être bientôt -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Je comprends. C'est stylé. Au-dessus de mon lit j'ai une citation de Rothbard et un dessin d'Hugo Pratt. Je ne suis pas si romantique. En réfléchissant j'ai quand même rarement été troublé par de la peinture. La manière dont Mishima se branle sur le Saint Sébastien de Guido Reni me laisse un peu froid (le tableau je veux dire le texte par contre...), et pas seulement parce que je préfère celui de Preti. -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
En seconde j'avais un crush sur ma prof de lettres, une jeune blonde avec la peau très pâle, des taches de rousseur mais très légères, qui faisait sa première année. Elle avait des hanches énormes (oestrogènes rpz) et portait souvent un jean slim noir qui les moulait à la perfection. Donc plutôt team jambes en fait. Seul crush sur prof mémorable. Il y avait aussi ma prof de maths particulière qui quittait son copain à l'époque où je venais chez elle (pour le coup, <toutes les hormones> rpz). -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Ne nous lançons pas dans la peinture licencieuse! Mais j'ai toujours trouvé La Grande Odalisque un peu seule. Pourquoi ne pas peindre 50 odalisques toute nues? Voici donc Odalisque et ses copines: -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Nooon, c'était pas creepy du tout! A titre de comparaison, voici moi quand je me lève le matin (réveil/première interaction sociale/bâillement) Totally normal behavior. (Sinon moi aussi j'aime bien Bacon, surtout quand Pasolini filme le sublime Terence Stamp dans la fleur de sa jeunesse en train de séduire le fils gringalet et roux d'une famille bourgeoise en commentant un catalogue de lui, mais je charriais un peu ) -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
Mais tout va bien quand même? -
Je raconte my life 9 : hache de bûcheronnage et vaporetto
Vilfredo a répondu à un sujet de poney dans La Taverne
J'aime bien regarder mes profs tout en tapant leur cours. Ça fait un peu secrétaire pupute/périscope mais c'est rigolo. -
Ce que j'ai du mal à comprendre là-dedans, c'est le déterminisme que me semble impliquer la notion de désignateur rigide. S'il réfère à la même personne dans tous les mondes possibles, alors Walter Scott n'aurait pas pu ne pas écrire Waverley (parce qu'il n'aurait pas été Walter Scott), mais c'est un peu sophistique. 1) Si je ne me trompe pas dans ma définition du désignateur rigide comme "ce qui ne peut référer qu'à une seule chose", je ne comprends pas bien de quel type de possibilité il s'agit (logique? matérielle?) 2) Dans le cas russellien de Scott et Waverley, dans la mesure où "Waverley" serait aussi un désignateur rigide, alors "auteur de Waverley" serait aussi un désignateur rigide, et par extension, tous les prédicats de Scott deviennent des désignateurs rigides. Ça commence à faire des paquets de désignateurs rigides. En fait j'ai l'impression que c'est complètement trivial comme théorie: Scott ne pourrait pas être Scott s'il n'avait pas les propriétés de Scott, parce qu'alors ce ne serait plus Scott. Mais je rate sans doute un truc.
-
Ok merci de rectifier alors. Et sur Aristote, c'est ce qu'il entend par "désignateur rigide" non?
-
Images fun et leurs interminables commentaires
Vilfredo a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Je vais dire ce que je comprends: @Freezbee est une femme ou a été pris pour une femme par un mec qui apparemment me ressemble (grosse révélation de ma part: en fait non je ressemble pas à ça) et qui a demandé, en faisant beaucoup de fautes d'orthographe, une photo du mec de Freezbee afin qu'il sache s'il était suffisamment gaulé pour faire l'amour avec lui. Et visiblement, c'est le genre de comportement qu'on considère comme typique de moi. Ce qui me flatte un peu en tant qu'introverti, mais dans une étrange sorte de façon. -
Images fun et leurs interminables commentaires
Vilfredo a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Mon avatar exprime parfaitement ma tête en ce moment -
Images fun et leurs interminables commentaires
Vilfredo a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Wat -
Mon troll était que de fait, dans la vie, notre attitude par rapport aux choses est purement pratique et pas théorique et que de ce point de vue se regarder le nombril rationnellement est un peu une illusion. Ensuite que “la science” moderne décrit un monde si éloigné de l’expérience qu’il peut s’apparenter à un “autre monde” selon un modèle qui au moins rappelle la religion. Le problème de la croyance inductive est qu’on peut dériver de l’induction des trucs totalement faux et cons et des trucs tout à fait raisonnables comme les exemples que tu viens de donner. Après je ne dis pas que c’est pas ce qu’on fait. Au contraire: la manière dont on croit prédispose l’objet sur lequel la croyance porte à avoir une certaine forme. Dailleurs c’est my bone to pick with behavioral economics. Ces gens qui veulent décrire l’homme tel qu’il est vraiment en vrai en porte-à-faux avec une théorie qui prétend juste bien marcher et pas “décrire la réalité” c’est un peu nunuche. Edit sur le track record de “la science” la physique antique fonctionnait très bien for all practical purposes. Il y a parfois des erreurs qui fonctionnent bien. Alors est-ce que c’est rationnel d’y croire
-
Pas très "scientifiques" toutes ces histoires de croyance ?
-
I pretty my face with all this cream and stuff Ugliness inside much harder to cover up I lack the thought to care about politics Just do what I like ain't that democratic
-
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Vilfredo a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Il a limite l'air sympa. "Ça grainceuh, ça pikoteuh". Je peux totalement sympathiser avec son impression de gosse quand tout le monde est choqué par une blague que t'as faite et qui va trop loin. Et "un meeting de Jean-Luc Mélenchon, c'est un conseil de classe" Par ailleurs, sur l'affaire avec Mélenchon, je commence à en avoir par-dessus la tête des shows d'indignation sur ses propos "complotistes". Les experts psychologiques défilent sur les plateaux pour nous présenter "le cas Mélenchon" (dernièrement Céline Pina pour Le Figaro), tous avec un air très grave et solennel. Ils sont tellement fiers d'avoir trouvé un nouveau vilain mot à lui jeter (après "populiste") que c'est presque touchant de naïveté. Mélenchon est parti dans son délire de la persécution habituel, aucun doute là-dessus, mais le degré de triggering est pathétique. -
@Jonathan (putain mais comment on te tague!?) sur Kripke, de ce que je comprends, il reprend la métaphysique leibnizienne des mondes possibles, et il montre que p est possible s'il existe au moins un monde où p est vrai. P est nécessaire s'il n'existe aucun monde où p n'est pas vrai. S'il est nécessaire que p soit possible, alors il est nécessaire que dans tous les mondes possibles, "p est possible" soit vrai. On pourrait penser que dans le monde où p est vrai effectivement, dans ce monde il est aussi vrai que p est possible, ce qui est contradictoire, mais en fait non: s'il est nécessaire que p soit possible (ça serait plus cool si je pouvais formaliser avec de la logique modale, mais vu la pdm je vais même pas essayer), alors il y a (1) une classe de mondes accessibles de w(0) où il est vrai que "p est possible" (2) une classe de mondes accessibles de w(1) où p est vrai dans au moins un de ces mondes (appelons-les w(n)). Donc dans w(0), il est vrai qu'il est nécessaire qu'il est possible que p. W(0) a donc "accès" à w(1), ce que Kripke note w(0)Rw(1) dans w(1), comme pour tout w(x) tel que w(0)Rw(x), il est vrai qu'il est possible que p. C'est vrai pour tout w(x) car la possibilité de p est nécessaire donc vraie dans tous les mondes accessibles. dans w(2) ou pour tout w(x) tel que w(1)Rw(x), p peut être est vrai sachant qu'il existe au moins un w(x) où p est vrai. Et ainsi meurt notre "on pourrait penser que" du début.
-
Oui, les règles et l'usage, mais pas le mécanisme par lequel on en vient à se conformer à l'usage (l'apprentissage, beaucoup plus traité par Quine par exemple, mais encore une fois je peux me tromper puisque j'ai pas tant lu W que ça donc détrompe-moi). W nous décrit comme des créatures qui se soumettent à des règles pratiques (je sais employer "jeu" dans un contexte pertinent mais je ne sais pas en formuler la définition explicite), mais il n'expliquerait pas, selon Dummett, en quoi l'usage donne son sens aux mots, the point of it (comme the point aux échecs est de gagner). W dit seulement: il en est ainsi. A ce sujet, j'ai l'impression que W fait un mauvais procès à Freud quand il fait une lecture esthétique de la psychanalyse, et en particulier de l'interprétation des rêves. Si je ne me trompe pas, l'analyse par "aspects" est centrale dans l'esthétique de W, au sens où pour lui, l'aspect d'une oeuvre doit être aussi indistinctible de l'oeuvre que son inteprétation. La perception artistique s'exprime alors davantage dans un certain comportement pertinent dans le contexte plus que par l'explicitation du "sens" de l'oeuvre: il donne l'exemple d'un certain mouvement de sa mâchoire qu'il fait quand il écoute Schönberg. C'est pourquoi il rejette les explications par les causes dans les oeuvres d'art, et lui préfère les explications par raisons, dont le critère de validité est l'acquiescement de celui à qui on explique, et reproche à Freud de trop avoir recours aux causes et de "trahir" le sens du rêve. Mais Freud ne fait pas ça du tout. C'est précisément comme ça que je lis l'argument hayékien sur le marché: outre le problème de la limite cognitive dans la centralisation de l'information, l'idée est aussi que la connaissance n'est pas "contenue" dans le marché comme si elle pouvait en être abstraite. Il s'agit au contraire d'une connaissance pratique, et la connaissance "dispersée dans" le marché est en fait le processus d'échange. Il n'y a pas d'extériorité. Je voudrais bien lire Lachmann et Kirzner parce que je crois que cette analyse fascinante de Hayek fait débat chez les Autrichiens non-praxéologistes (ça existe). C'est aussi quelque chose qui est très souvent mis en avant en IA par des gens qui se revendiquent de Heidegger (je pense à Dreyfus ou Preston) mais je ne vois rien de tel dans Heidegger. Mais c'est pour ça que je trouve que le problème de l'apprentissage, càd du mécanisme par lequel est acquis la connaissance tacite dont parle W pour expliquer la signification des mots, est très important. En gros, si je te donne 1, 2, 3, 4, 5 et en face 1, 4, 9, 16 et 25, tu supposeras que la fonction sous-jacente est n², et en ce sens, tu l'auras "apprise". On ne peut appliquer ce modèle d'apprentissage à la signification, càd à la lecture (de mots). D'abord parce que le test pour vérifier que le sens est compris n'est pas aussi straightforward que 2² = 4, et ensuite parce que la réussite à ce test suppose une connaissance d'arrière-plan qu'il est apparemment très difficile de computer dans une IA, alors qu'elle est requise en permanence dans le langage: "il a ouvert la porte avec sa clé", outre qu'il peut être demandé de savoir, si le contexte implique un homme et une femme, si la clé est celle de la femme ou de l'homme, on peut aussi supposer que l'ouverture consiste à entrer la clé dans la serrure et à la tourner, et pas de taper sur la porte avec la clé jusqu'à la casser pour l'ouvrir, ou ingérer la clé et la porte puis ouvrir la porte grâce aux contractions péristaltiques de l'intestin (ht Searle). "Quand j'aurai du temps" (cette phrase magique), je lirai des trucs sérieux sur l'IA. Bostrom, Kurzweil, Penrose, ce genre-là. Pour l'instant, je ne connais que par des articles (notamment de Aaronson), les livres de Pinker et l'entrée dans la SEP. Ah oui? Tu peux/veux en dire plus? Je sais que ça va avoir l'air fayot mais tant pis: ce n'est pas ridicule du tout, c'est super intéressant, et si j'avais pas l'impression d'usurper un peu mon statut de simple utilisateur, je les mettrais en post de référence. +1 sur ça, et j'ai découvert récemment Peter van Inwagen qui écrit des livres de métaphysiques qui ont l'air trop kwel. Je me suis acheté son Essai sur le libre-arbitre et j'ai des vues sur Material Beings.
-
Je ne connaissais pas cette critique (qui me parait complètement étrangère à ce que W a toujours écrit). En revanche, moins qu’un super usage, Dummett souligne par exemple qu’il faut bien supposer une connaissance tacite ou pratique pour justifier l’analyse de W de l’usage comme ce qui donne aux propositions leur sens, de même, pour reprendre son analogie, qu’il ne suffit pas de savoir comment bougent les pièces pour savoir comment on joue aux échecs (il faut aussi comprendre the point of the game, ie gagner). Il écrivait aussi avant Chomsky.
-
C’est aussi qu’au départ l’analyse “religieuse” de la pandémie était intéressante mais maintenant on a compris c’est galvaudé et il faudrait trouver autre chose.
-
Marxisme et postmodernisme : les aventures de la superstructure
Vilfredo a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
Ça dépend où. Sous Mitterrand oui. Pas sous Reagan et Thatcher. -
Ontologie : Qu'est-ce que l'être ?
Vilfredo a répondu à un sujet de Sekonda dans Philosophie, éthique et histoire
Je pense que la formulation prête à rire mais que c’est pas con Et quel hasard je vais faire un tour mais cet après-midi je lisais Du mode d’existence des objets techniques. J’en suis qu’au début et c’est un peu vieillot. -
Ontologie : Qu'est-ce que l'être ?
Vilfredo a répondu à un sujet de Sekonda dans Philosophie, éthique et histoire
Sujet de l'agreg: Les choses ont-elles quelque chose en commun? D'un côté, si on cherche à ridiculiser la philosophie, on peut continuer comme ça. D'un autre côté, ça a l'avantage d'être une question précise que beaucoup de philosophes se sont posée.