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Tout ce qui a été posté par Bastiat
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Proposition de loi déposée pour la démocratie directe en France
Bastiat a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
Info marrante et insolite du jour. Tiré au sort à 4 ans dans une petite commune des Etats Unis, ça en dit long sur le besoin qu’éprouvent les habitants du cru a être "gouvernés"... Chaque année, Dorset élit son maire en tirant un nom au sort dans un chapeau. Il n’y a évidemment pas d’âge minimal pour entrer dans la course. La rumeur de sa candidature s’est ébruitée au sein de la ville d’une trentaine d’habitants et plusieurs citoyens ont joyeusement placé le nom de l’enfant dans le chapeau, pour lui assurer une meilleure chance de gagner. http://www.huffingtonpost.fr/2013/05/16/robert-tufts-maire-de-dorset-a-quatre-ans_n_3284944.html?utm_hp_ref=france http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=G0IeFRULlhM -
Voici en tous cas ce qu'en pense Wilheim Röpke p133 "En effet, notre monde économique a évolué dans cette fausse direction non seulement parce que l'on a créé des formes et des constructions juridiques, comme la société anonyme, la société à responsabilité limitée, la législation sur les brevets, la faillite, les cartels et bien d'autres choses encore; mais aussi parce que la législation, la jurisprudence et les usages ont fini par développer ces 133 formes et ces créations d'une manière qui se révèle abusive aujourd'hui et met en danger l'organisation économique en violant l'intérêt général des communautés. Il suffirait de s'habituer à l'idée qu'une vie économique saine est fort bien concevable sans sociétés holding, sans monopoles protégés par les lois, sans brevets entravant la concurrence et même, au besoin, sans sociétés anonymes et sans sociétés à responsabilité limitée comme formes habituelles de l'entreprise industrielle. On ne devrait pas non plus s'exposer à être traité d'hérétique parce qu'on préconise un système économique dans lequel les attributions de l'Etat : l'autorité, la protection judiciaire, la jurisprudence seraient plus équitablement réparties, dans lequel on se déclarerait en faveur des petits contre les grands, pour la loyauté et la concurrence contre l'exploitation et les monopoles, pour l'équité contre les privilèges, pour la décentralisation contre la concentration qui fait gripper les rouages." La crise de notre temps, de Wilhelm Röpke 1962
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Un article de contrepoint sur le sujet http://www.contrepoints.org/2013/05/16/124503-les-brevets-sont-ils-necessaires-a-linnovation Je dois dire que je partage de plus en plus cette vision des choses. Pour ma part, l'emploi du terme "propriété" intellectuelle est inpropre, elle à sans doute été utilisé pour mettre le droit de copie sous la protection de la constitution US. Monopole intellectuel serait sans doute plus approprié... Pour témoignage, la page de gzip http://www.gzip.org/index-f.html Et les brevets? gzip a été conçu comme un remplacement pour compress à cause des brevets d'UNISYS et d'IBM couvrant l'algorithme LZW utilisé par compress. J'ai probablement passé plus de temps à étudier les brevets qu'à réellement coder des algorithmes de compression. Je maintiens une liste de plusieurs centaines de brevets sur des algorithmes de compression sans perte, et j'ai fait en sorte que gzip ne soit couvert par aucun de ceux ci. En particulier, l'option --fast de gzip n'est pas aussi rapide qu'il serait possible, précisement pour éviter une technique déjà brevetée. La première version de l'algorithme de compression utilisé par gzip est apparue dans zip 0.9, rendu public le 11 Juillet 1991. Donc tout brevet obtenu après le 11 Juillet 1992 ne peut pas menacer gzip pour cause de publication antérieure, et j'ai vérifié tous les brevets obtenus avant cette date. Pendant ma recherche, j'ai trouvé deux brevets intéressants sur une opération mathématiquement impossible: la compression de données aléatoires. Ceci est à peu près équivalent aux brevets sur les machines à mouvement perpétuel. Jetez un oeil ici (en anglais) pour voir une courte analyse de ces deux brevets.
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Pour lever tout doute, je ne parle pas de la seule SARL, mais de toutes les sociétés à Risque Limité (SARL, SA, SAS, SCA avec des dirigeants personnes morales, etc...). J'emploi le terme Risque Limité à dessin, parce que dans mes premier articles et discussions, le lecteur interprétait "responsabilité limitée" par SARL. Sans compter que dans les abréviations le Responsabilité et Risque commencent parla même lettre et que le "L" minuscule ressemble à un "i" majuscule... Je vais donc utiliser les termes suivants: RL: risque limité (SARL, SA, SAS, SCA avec des dirigeants personnes morales, etc.) RP: responsabilité normale pleine (SNC, SCA avec des dirigeants personnes physiques, etc.) Je suis jus-naturaliste, c'est donc un peu normal que je critique le droit positif... mais ma seule "critique" sur les sociétés à responsabilité pleine tient à ce qu'il en faudrait une en plus qui fonctionne à grande échelle, susceptible donc de remplacer la SA. 1° on peut effectivement pour discuter ce point simplifier les hypothèses et considérer une société unipersonnelle ayant la personnalité morale, au quel cas l'action des deux se confond. 2° Je fais la distinction "coups graves", parce que c'est celle qui porte à conséquence, elle n'est pas nécessaire à l'apprentissage, et n'est donc pas une conséquence de l'objet du contrat de formation à la boxe, et conduit même souvent à l'abandon de l'activité. Inversement on pourrait considérer que l'objet d'un contrat avec un "fight club" serait de se faire défoncer la gueule. 3° notre divergence porte bien sur ça (au moins): "Quand on signe un contrat avec une société à RL, on ne fait pas que courir un risque, on y donne également son consentement." On doit se poser la question de savoir si l'objet du contrat est d'apprendre la boxe en sécurité ou se faire défoncer la gueule. La seule manière légitime pour cela est de décrire dans le contrat la répartition des risques à la quelle s'engagent les parties, étant entendu que la responsabilité originelle de la prestation porte sur le prestataire. C'est fondamentalement une question de validité de consentement et on ne peut pas s'y soustraire, même partiellement, sans des conséquences potentiellement très graves, selon les domaines d'activité, en particulier la banque. Corriger notre façon faire conduira évidement le juge à évaluer chaque clause de transfert de risque au regard des autres clauses du dit contrat, afin de tenter d'identifier au mieux la volonté réelle des parties. S'il y a des gains de productivité, le 100% entraîne aussi une variation "générale" des prix, à la "baisse". Il me semble que de toute façon la "hausse", comme la "baisse", comme la "constance" macro des prix "moyens" ne peu pas être un objectif dans le paradigme Autrichien, c'est une pollution intellectuelle qui nous vient d'écoles plus "macro". La question est quelle est le comportement des banquiers dans un monde qui respecte le triptyque liberté, responsabilité, propriété, et quel en est le résultat au regard de la "masse monétaire" générée par l’établissement bancaire lui même. Pour autant, si les conclusions théoriques amènent par exemple à penser que le résultat est un équilibre fragile, susceptible de s'effondrer avec avec une quantité de substituts monétaires dans les bilans bancaires déraisonnablement grande par rapport à la part monétaire (Comme c'est il me semble le cas avec la réserve fractionnaire + risque limité), Il faut évidement se demander ou est la faille de raisonnement. Si les seules solutions trouvées (incluant le 100%) impliquent manifestement une limitation de la liberté contractuelle, ce serait que le paradigme libéral est faux, ou là encore qu'il manque une clé. En ce qui me concerne je pense avoir trouvé cette clé, les arguments dans la littérature autrichienne n'avances jamais cet argument et sont généralement peu creusés. pour l'essentiel, je pense que c'est une question non posées, et qu'elle doit être mise à la table des débats. Je lirais ce blogue.
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Ha ben si c'est juste les références sur la banque libre qui vous manquent.il fallait le dire. Selgin est LE spécialiste autrichien de la banque libre outre atlantique de moins de 50 ans. Il à fait sa thèse de doctorat dessus dans les années 80 après A la suite de la publication de l'ouvrage de Hayek en la matière The denationalisation of monney dont un exposé en français est fait ici. Sa thése à été publiée et traduite en français dans la foulée avec La théorie de la banque libre. (il manque 2 graphs dans cette version PDF, je me ferais un plaisir de vous les envoyer si besoin) Selgin développe brillamment le sujet, avec réserve fractionnaire. Par contre, il évacue le Risque Limité en 10 lignes exactement comme je l'ai fait à l'époque et comme le font les libéraux qui croient qu'il est de nature contractuelle. Evidement, la réserve fractionnaire pause un problème de Qui est parfaitement réglée selon moi par la Responsabilité Illimitée. Pour avoir échangé récemment avec lui, je sais qu'il n'a absolument pas envisagé la question sous cet angle. Cependant je n'ais pas lu encore son ouvrage sur la stabilité monétaire Less than Zero. Il parle de 2% en reponse à un "quadruplement des prix" qui circule comme une Legendre urbaine, d'ailleurs il y a une autre legende urbaine qu attribue une baisse des prix au 19e sciecle américain du fait d'une fantomatique période de réserve pleine. En fait discuter de variation si faible me parait discutable... Pour ma part l'augmentation des substitut monétaires due à cette période n’entraîne tend à ne PAS faire varier les prix (à la baisse ou à la hausse) puis qu'elle à pour contrepartie une création de valeur. En revanche, le changement d'arbitrage des clients, entre monnaie et substituts monétaire, est une cause de variation des prix. Il y a ici une video de selgin. et quelques articles de lui. Je répondrais à la partie boxe ce soir si j'ai le temps
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Sans commentaires
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Ce que rothbard écrit ici, et je rappel qu'il n'est pas juriste mais économiste, en désignant les "lois sur la faillite moderne", c'est le "risque limité" et rien d'autre (pas les modalité particulières de la common law). A propos de la vision utilitariste, il parle des assurances contre la faillite d'un client créancier qui ne vous paie pas les produits que vous lui avez livré du fait de la liquidation. A suivre...
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http://bastiat.org/fr/
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oui c'est à dire celles que je combat comme étant criminelles. Je ne comprend même pas que vous fassiez cette réponse compte tenu de votre position. A suivre...
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Journée de l'esclavage
Bastiat a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Un argument faux (au quel j'ai cru moi même) répété sans arrêt, n'en devient pas vrais pour autant, il a choisi la société pour le contrat qu'il signe avec elle et rien d'autre, surtout pas les prétention de celle-ci à ne pas remplir les obligations du dit contrat. Si elle veut se protéger elle met les clauses dans celui-ci en phrase clair et sans poésie. Si vous n'avez pas d'autres argument, vous n'aurez pas d'autres réponse de ma part. Intéressante maxime, elle s'applique très bien au prétendu refus des associés de payer pour des engagement qu'ils n'ont pas tenu. S'il s'agit des crimes, on part sur une responsabilité personnelle et directe du prédécesseur, non sur les dettes de la personne morale. S'il s'agit de dette, le poste n'est pas obligatoire, soit l'organisation criminelle disparaît faute de dirigeant, sois ceux qui y tiennent paieront à votre place. Vous voyez, c'est très simple. Le plus probable pour l'etat, est qu'il commette d'autre crimes pour payer les précédents, pauvre contribuable. et ou entre deux entreprise, qui n'ont pas exécuté leurs obligations, celle qui refusera de payer armes à la main, restera, l'autre disparaîtra, le marché du crime aura choisi. Mais celui là n'est pas le mien. Le smiley, c'est juste pour pour vous remercier de poursuivre cette conversation. -
Proposition de loi déposée pour la démocratie directe en France
Bastiat a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
http://www.contrepoints.org/2013/05/12/124095-les-autorites-locales-veulent-la-liberte-de-taxer-gb Les autorités locales exigent la "liberté" de taxer (GB) Publié le 12/05/2013 Les autorités locales britanniques sont révoltées par l'idée d'un contrôle de l'électorat sur leur capacité de taxer les gens. Par Richard North, depuis le Royaume-Uni. Les travaillistes, nous dit-on, sont accusés de manigancer pour mettre fin au rabais sur les impôts locaux pour les célibataires. Dans une demande aux ministres, l'association des autorités locales appelle à obtenir le pouvoir d'en finir avec les 25% de remise offerts en reconnaissance du simple fait que qu'une personne seule pèse moins, en termes de demande sur les services locaux. Parmi les choses qui vous glacent le sang, cependant -à part la proposition elle-même- est l'affirmation que cette remise "coûte" actuellement à peu près 2,7 milliards de livres sterling par an. L'idée que de ne pas imposer une taxe particulière est un "coût" est du pur soviétisme dans sa forme distillée. Est-ce qu'un impôt sur le revenu à un taux de, disons, moins de 90%, représente aussi un "coût" pour l'Etat ? Mais ça ne s'arrête pas là. L'association des autorités locales se plaint aussi de la législation qui exige d'elles d'organiser un référendum si elles veulent augmenter les impôts communaux de plus de 2% par an. Cette règle a été introduite suite à un déchaînement pendant les années où les travaillistes étaient au pouvoir, pendant lesquelles les impôts locaux ont doublé. Aucune autorité locale n'a, jusqu'ici, osé organiser un tel référendum, bien que nombres d'entre elles aient augmenté les impôts locaux de 1,99% cette année (y compris la mienne). Maintenant, nous dit l'association des autorités locales, les mairies devraient être libres d'augmenter les impôts locaux "d'autant qu'elle le veulent", jetant même cet exemple limité de démocratie directe dans les poubelles de l'histoire. Et, bien sûr, si ça passe, quiconque refuserait de payer cet impôt irait directement en prison, sans droit à la défense. Et il y a des gens dans ce pays qui pensent que nous sommes en démocratie. Qui pour le programme de Harrogate (plan du Dr North pour soumettre le budget à référendum annuel) ? -
Journée de l'esclavage
Bastiat a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Si ça se confirme il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. La politique attire essentiellement des malfaiteurs. Normal me direz-vous... -
Journée de l'esclavage
Bastiat a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Bien évidement, c’était du trollage ironique. (Holala vous mettez des Smileys) Votre texte est mal ficelé Vous dites: "La responsabilité est individuelle, personne n'a à payer pour les crimes d'un autre" pour arriver à ce que la responsabilité de l'action de l'état qui est composé d'une multitude de personnes est portée par le dirigeant. c'est la première partie qui ne me va pas, la conclusion en revanche je l'approuve. "La responsabilité est individuelle": non, elle est individuelle OU systémique. Elle est systémique quand des gens agissent honetement à faire fonctionner un processus, qui lui, cause des dommages, chacun étant du fait de la division du travail une petite par du processus, disposant d'une non moins petite part de l'information sur le résultat de celui-ci. Dans ce cas, c'est l'organisateur du processus qui en prend la responsabilité. Voilà pour le principe. Le lien avec le "risque limité" est que le "client" n'a pas plus consenti à ce qui n'est PAS dans son contrat avec la societe X, que le contribuable avec l’État puisque lui n'a même pas signé le moindre contrat avec lui, donc il ne s'est engagé à rien et surtout pas a assumer les conneries du dirigeant, à son égard comme sur des tiers. J'assimile ici l’État à une organisation en faillite permanente puisqu'il ne se finance que par la force, et c'est bien par une disposition du même ordre que le "risque limité" qu'aucun politique n'a a payer sur ses biens personnels (exemple de la dette de l'Etat). Bref, vous devriez traiter le client comme le contribuable. -
Journée de l'esclavage
Bastiat a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
mort ou pas, irresponsabilité illimitée statutaire ils n'ont rien a payer. Vous y croyez à la responsabilité limitée, pas moi, faut assumer. Notez que je réserve le sort inverse aux anti-liberaux, une fois qu'ils ont pris l'idée de la responsabilité illimitée, je transpose à l'état. -
Le Nouveau Programme Du Pld
Bastiat a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
Tres bon point à souligner. d'une maniére generale pour reformer, c'est les institutions qu'il faut changer. le reste, c'est du pipo. -
Journée de l'esclavage
Bastiat a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Holla ! Irresponsabilité illimitée statutaire ! aucun homme de l'état n'a a payer les dettes de l'état ! Même en faillite. -
voilà l'adresse http://www.liberaux.org/index.php/topic/32298-liberauxorg-cest-ma-drogue/
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EDIT, vous avez vous même considère cette phrase comme une insulte (le contraire eu été inquiétant) puisque vous l'avez changée aussi tôt. Faites de beau rêves, Bisous
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Voyez vous ne pouvez pas vous en empêcher, mais bon vous avez corrigé c'est déjà ça (la citation est de mémoire)
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un quota ? pas plus de 80% d'insultes, en deça j'ai peu peur de vous frustrer.
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Au moins un point sur le quel on est d'accord... Oui c'est le commentaire ou j'ai essayé de regroupé l'essentiel dans l'espoir que vous fassiez de même pour plus de clarté... loupé... Le tableau "A n'est pas égal à non-A" regroupe les différences inconciliables entre une clause contractuelle et le risque limité. C'est pour faire opposition à votre affirmation recurente selon la quelle le risque limité serait une clause contractuelle. Erreur TRÈS souvent commise lors des discussions entre libéraux, je l'ais moi même répète des centaines de fois. Et visiblement, en tableau c'est plus clair qu'en texte.
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J'attend toujours que vous finissiez vos réponse sinon je reposerait la liste de question, vous savez maintenant bien ou elle est. EDIT: en fait je prefererais que vous rassembliez l'essentiel en un grand post, parce que je ne songe pas aller pecher exagerement vos réponse ailleurs. Si vous reussissez à ne pas y mettre trop d'insultes ça devrait être assez court. Merci Bisou
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En fait c'est vrais, vous leur attribuez plus de valeurs qu'aux arguments, puisque qu'elle les remplace...
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Quand vous publierez autre chose que des insultes gratuites, vous pourrez donner des leçons.