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xara

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Tout ce qui a été posté par xara

  1. xara

    Guitares & lectriques

    Il a l'air chouette le morceau. Aussi chouette que son album avec Adrenaline Mob m'a paru chiant. Apparemment, ça vient de son nouvel album solo, je prends note.
  2. xara

    Guitares & lectriques

    Enters Guthrie Govan : http://youtu.be/TgQwBGe-GzM?t=2m56s
  3. xara

    Guitares & lectriques

    De toute façon, avant d'avoir des ambitions lorgnant vers le "shred", il faut apprendre les bases et je doute que les vidéos les plus appropriées pour cela soient celles de ses zicos préférés qu'on aimerait bien jouer comme eux.
  4. xara

    Guitares & lectriques

    Ça veut dire quoi "musique de vieux"? Si on en est là, je te ferais remarquer que la vidéo des Sex machins, c'est le parfait cliché du groupe pour ados crétins sans discernement qui ne voient que ce qui est flashy et par conséquent fascinés par des poseurs ridicules. Par ailleurs, ce qu'ils jouent est une musique "de vieux" aussi mais ça, notre ado ne le sait pas.
  5. Ce qui voudrait dire qu'une action de A changeant quelque chose au prix d'un bien possédé par B devrait être considérée comme illicite. Ceci n'est bien sûr pas compatible avec une quelconque conception libérale des droits de propriété. Si quelqu'un débarque et vend un produit si formidable pour ses acheteurs que la demande pour mon produit devient nulle, il faudrait alors dire que cela revient à une agression de sa part.
  6. Votre sujet a été traité dans un article important de Rothbard. Le concept clé: l'unité technologique. Il y a eu d'autres articles dans la même revue en réponse (à retrouver).
  7. xara

    Le Négationnisme Du Sida

    Mais non. Personne ne dit que le VIH n'existe pas que je sache. La question est de savoir s'il cause le SIDA ou non.
  8. xara

    Le néo-libéralisme

    Note au passage: je ne vois pas ce que fait ce fil dans la Taverne, le sujet et le gros des interventions sont sérieux.
  9. xara

    Bar du football

    Je ne suis pas le football américain, encore moins universitaire, mais mes contacts d'Auburn étaient tous hystériques aujourd'hui sur fessebouc, étant donné la manière dont les Tigers ont battu dans les derniers instants du match l'éternel rival de l'université d'Alabama:
  10. xara

    Agir

    Et elles viennent d'où les aides et subventions? Pourquoi être libéral en premier lieu si on trouve ok de maximiser la violence sur des tiers? C'est vraiment n'importe quoi ce truc. Et une excuse moisie pour se servir à volonté.
  11. Non, l'utilitarisme est une conception de l'éthique. Il est lié au libéralisme dans la mesure où il lui sert de justification. La spéficicité de l'agorisme est d'être une théorie et une stratégie de la transition vers la liberté.
  12. Un truc tout bête mais qui m'a l'air pas mal du tout, c'est le format bref texte sur un grand thème puis liste de mesures ou positions.
  13. Ça m'avait échappé, merci de laisser ma foi de côté.
  14. Parce que c'est plus facile d'accès, que ça ne présuppose pas quantités de connaissance, que c'est mieux structuré, et qu'au final, ça donne de bons points de repères pour ne pas se perdre dans L'action humaine.
  15. Sauf que la burka ne figure pas dans le doc. La "tolérance bienveillante" concerne ici invariablement le libertinage et autre truc cools d'un point de vue gauchiste culturel, comme le droit inaliénable de se balader nu place Flagey avec une plume dans le cul. Quid de la "tolérance bienveillante" envers ceux qui voudraient parader en uniforme SS?
  16. Ce que j'ai dit n'est pas "yaka". C'est plutôt du "fokon" très général et du "fopakon" spécifique. Fopakon se tire une balle dans le pied, en envoyant bouler n'importe qui parce qu'il n'est pas libéral, ou pas assez à notre goût. Autrement dit, c'est notre boulot d'accueillir prudemment mais avec bienveillance ses revendications dès lors qu'elles sont compatibles avec les nôtres, en particulier lorsqu'il fait un pas vers nous (en venant causer sur ce forum par exemple) Et ce n'est pas censé être une révélation ni un programme détaillé d'actions, juste du gros sens commun, un premier filtre pour éviter un écueil élémentaire qui me semblait impliqué dans le post auquel je répondais, celui que Rothbard qualifiait de "sectarisme de gauche" en référence aux réflexions stratégiques des marxistes. Ce n'est pas du vent. Dans le concret, la persuasion a lieu notamment dans les contacts que les gens établissent au quotidien. Si on se met en mode autiste, on sort du jeu tout simplement.
  17. Les solutions 1. Surveiller les sites de vente d'occasion et attendre que l'édition PUF apparaisse quelque part. 2. Renoncer à s'en faire un livre et imprimer par chapitre. C'est un pavé peu commode à balader de toute manière. 3. l'acheter en anglais, la version de poche n'est pas chère et la seule commode à balader et il ne faut pas se laisser intimider par l'anglais (penser tant qu'à faire à acheter Man, Economy and State/Power & Market dans le même format pas cher, qui devrait être lu avant Human Action.) 4. Etre prêt à payer un prix exorbitant pour mon exemplaire PUF dont je n'ai pas envie de me séparer sauf pour une somme parfaitement indécente.
  18. Il ne va jamais y avoir un mouvement de masse libéral qui tombe du ciel. C'est le boulot des libéraux que de convaincre d'autres gens. Et les gens qui ont des revendications allant dans un sens libéral, même si leurs motivations sont corporatistes, sont déjà des gens qui ont fait un pas dans ta direction. C'est mieux que rien. C'est le boulot des libéraux de les encourager dans ce qui va dans la bonne direction dans leurs revendications, de les aider à faire plus de pas, et de les ignorer ou les décourager suivant la situation sur les trucs qui ne vont pas dans le bon sens. Dans le monde réel, on n'attend pas que comme par magie, la solution apparaisse comme par miracle, on part de l'existant quel qu'il soit. "Récupérer", coopérer, faire des coalitions avec des gens qui ne partagent pas les mêmes vues au départ, c'est normal. Mais c'est de l'art.
  19. Pendant ce temps dans le Nevada: http://www.rawstory.com/rs/2013/11/24/chairman-claims-nevada-libertarian-party-infested-with-idiots/ Comme quoi le gazon n'est pas toujours plus vert ailleurs.
  20. Enorme l'article de BHL. Il adopte la ligne habituelle, dès lors que le principe même de l'impôt est en jeu, i.e. le chantage à la civilisation, en tenant pour acquis que c'est le "pilier du vivre ensemble", sans discuter des thèses opposées. Là où il y a une surprise, c'est qu'il nomme les adversaires, dont Rothbard et D. Friedman (en faisant de Friedman un auteur justifiant sa position par le droit naturel )
  21. Quelles que soient les variations dans les détails, lorsqu'on parle de banque libre normalement, on parle d'absence de banque centrale. Si les "banques libres d'Ecosse avaient des banques centrales", alors on peut bien dire aussi que les aveugles voient. On peut définir les mots comme on veut, mais si tente une conversation sans égard à aucun usage sémantique et sans expliquer qu'on entend par un mot autre chose que ce que l'usage indique, ça va forcément être de la bouillie inintelligible. La question n'est pas là ce qui s'est passé en Ecosse, raison pour laquelle une réponse historique est à côté de la plaque, la question est d'abord ce qu'on entend par les termes X ou Y. Une banque libre ayant une banque centrale, étant donné les usages, c'est aussi éclairant que de parler de cercle carré. Et la recherche historique d'exemples de cercles carrés n'indique rien d'autre qu'une extrême confusion.
  22. Vous ne comprenez pas. Avant la question empirique de ce qui s'est passé en Ecosse, il y a la question des concepts tenant la route ou non, permettant de parler de ce qui s'est passé ou non. Quand on parle de plusieurs banques centrales, pour une même monnaie et/ou pour une même zone où elle(s) circule(nt), ça veut en fait dire qu'il n'y a pas de banque centrale. De la même manière, il n'y a qu'un centre dans un cercle. Si vous prenez plusieurs points à l'intérieur du cercles et que vous les appelez "centre", il y a plusieurs "centres", mais ce n'est pas ce qu'on entend normalement par "centre". C'est juste une façon de s'exprimer extrêmement confuse. Alors vous pouvez appeler "banque centrale" tout ce que vous voulez et du coup un système de banque libre est un système de banques centrales multiples, chaque banque étant sa propre banque centrale. Mais bien entendu, cela n'a aucun sens d'appeler chaque banque indépendante les unes des autres des banques centrales. Le centre de quoi? On est vraiment dans le chaos sémantique et conceptuel total. Mais qui a dit que ça "changeait quelque chose à la valeur subjective"? C'est un sketch ou quoi? Cette conversation est parfaitement surréaliste. Je crois que cette conversation va s'arrêter là pour ma part. On ne peut pas avoir de discussions sensées avec des gens qui font l'histoire tout seul dans leur coin sans considérer aucune recherche, sans ouvrir un livre, et même en ignorant lorsque ça les arrange les articles wiki qu'ils vous ont mis sous le nez et on ne peut pas avoir de discussions sensées avec des gens qui délirent littéralement (s'ils ne trollent pas délibérément). Prétendre que pour qu'il soit vrai que les dénominations monétaires tels que les francs, le dollar, etc. correspondent initialement à des poids d'or ou d'argent, il faudrait qu'un Louis d'or corresponde au poids de Louis XIII, c'est délirer (ou troller). C'est complètement crétin. Il faut être autiste pour pas comprendre ce que j'ai rappelé 36 fois, que le franc va être initialement une dénomination pour une quantité de métal et qu'il devient donc a posteriori une "mesure", si on veut, de quantités de métal. Personne ne dit qu'étymologiquement, "franc" correspondait au départ à une mesure. Mais comment peut on me faire dire un truc pareil? Quel nœuds avez-vous dans la tête? La marque imprimée sur la pièce, c'est la marque de celui qui les frappe, sa garantie que les pièces font bien le poids de métal qu'elles sont censées faire. Par exemple peu après la naissance de la banque de France et de son monopole sur la frappe des pièces, le franc (germinal) est défini comme -et la pièce correspondante est censé contenir- 0,3225 grammes d'or. Le dollar américain en 1792 correspond à 24,056 grammes d'argent, etc. C'est de l'histoire bien établie, pas un truc prêtant à controverse et difficile à prouver comme la question de savoir qui a assassiné Kennedy. A noter l'origine de la dénomination "franc" d'après wikipedia:
  23. Plusieurs banques centrales Je me disais que mon histoire de cercle carré était un peu exagérée mais finalement non, c'est bien de ça qu'il s'agit, ou plutôt d'un cercle avec plusieurs centres, ce qui est vraiment très balaise. C'est dingue. Je vous dis d'abord que cette affaire n'a pas spécialement avoir avec notre sujet et c'est vous qui venez me le rétorquer ensuite quand j'accepte néanmoins de faire un aparté là-dessus que c'est hors sujet. On a compris que vous parliez "d'étalon de valeur" pour "valorimètre", ce n'est pas en le répétant n fois que ça va changer quelque chose au fait que si la valeur est subjective, il n'y a pas de mesure de la valeur possible, pas de "valorimètre". Ce n'est pas en nous parlant du choix entre deux monnaies possibles que vous allez pouvoir vous débarrasser de la contradiction. Que vous choisissiez l'un ou l'autre pour faire un échange, où est la "mesure de la valeur", où est cette valeur mesurable? Et qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire quelque chose qui n'a pas de grandeur objective (comme dit dans l'article) et qui peut en même temps faire l'objet de mesure. La contradiction est directe, évidente. La seule chose qui a un rapport avec le monde réel dans cette histoire et à laquelle vous faites peut-être allusion de manière confuse est que "l'étalon" utilisé est en pratique ce en quoi les prix sont exprimés. Un prix est un ratio des quantités échangés dans un échange, par exemple 6,50 euros pour 1 paquet de cigarettes. Le prix du paquet en termes d'euros est de 6,50/1, autrement dit 6,50 euros. Le prix des euros en termes de ces paquets de cigarettes est de 1/6.50 soit approximativement 0,15 paquet. Etant donné que ce qui est utilisé comme monnaie ce sont les billets et pièces "euros" plutôt que les paquets de cigarettes, on exprime les prix en euros. Exprimer les prix est une chose, "mesurer la valeur" en est une autre. On mesure des prix qui n'ont rien de subjectifs mais peuvent être constatés comme des événements objectifs en principe observables, mesurables. Si la valeur est bien subjective, alors la seule chose qu'on peut tirer de l'observation qu'un tel échange a eu lieu est que pour l'acheteur des cigarettes au moment et dans les circonstances de l'achat, le paquet était préféré à n'importe quel autre usage des 6.50 euros qu'il a lâché et vice versa pour le vendeur. Allez au moins au bout des articles que vous lisez sur wikipedia. Evidemment que ça a voir avec des quantités. Comment cela pourrait-il être autrement? Et plus précisément, des quantités d'argent dans ce cas. Lisez un tout petit peu. Vous croyez qu'on a frappé des pièces pourquoi au départ, si ce n'est pour garantir des poids du métal dans lequel elles étaient faites et ne pas avoir à peser à chaque transaction le métal qui sert de monnaie? Vous balayez l'histoire monétaire d'un revers de main, c'est profondément grotesque. Tout ça pour ça? Je résume donc: vous évitez comme la peste de considérer ce qu'est un système d'étalon-or avec banques libres à réserves 100%, pour démontrer qu'un tel système n'est pas viable. Parfait.
  24. Par définition, la compétition impliquée est un jeu à somme nulle, le pouvoir des uns s'étend au détriment de celui des autres. Ils ne peuvent pas tous s'étendre à l'extérieur. Ils peuvent y avoir tous intérêt mais ce n'est pas la même chose. Aussi, je ne vois pas que le fait que l'impérialisme puisse être d'intérêt pour tous les Etats rende le concept trop large. Basé là dessus, la qualification d'empire est plus ou moins judicieusement employée suivant le degré de succès d'un Etat à réaliser ses tendances "naturellement" impérialistes. Important aussi, la définition ne préjuge pas du caractère plus ou moins démocratique, républicain, etc., du régime concerné et on peut alors commencer à se demander si il y a un rapport et lequel entre le relatif succès ou échec historique d'un Etat et la nature du régime politique.
  25. Le problème au départ du fil est l'apparente suggestion qu'un "empire" est un régime politique dans le même sens que "démocratie", "république" ou "monarchie" peuvent l'être, si bien que cela donne l'impression que ce sont toutes des catégories mutuellement exclusives. Il existe en tout cas quelque chose d'assez précis auquel les termes "empire" et "impérialisme" peuvent se référer, à savoir toute tendance à l'expansion "extérieure" du pouvoir d'un Etat du moment t au moment t+1, i.e. en dehors des frontières géographiques à l'intérieur duquel le pouvoir en question est exercé en t.
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