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Tout ce qui a été posté par Gio
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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Gio a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Sur FB : -
Benoît Hamon m'a fait plaisir à ONCP : Aymeric Caron : Hollande s'est converti au néolibéralisme et il l'assume complètement, on pourra rentrer dans les détails tout à l'heure... Benoît Hamon : Ce sont tout de même de gros détails. Trouvez-moi un pays néolibéral qui décide de créer soixante mille postes de profs.
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http://www.youtube.com/watch?v=W0n6V8Jwkfs
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Pas du tout : la France refuse simplement la concurrence des communautés au profit d'un monopole : la "communauté nationale".
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"Cessez de placer le Parti Socialiste à gauche de l'échiquier politique."
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http://www.demotivateur.fr/article-buzz/les-20-animaux-les-plus-gigantesques-et-pourtant-bien-reels-pour-certains-on-n-aimerait-pas-se-retrouver-en-face-552
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Le Virage "libéral" De La Gauche Française Selon Zemmour
Gio a répondu à un sujet de tautelle dans Politique, droit et questions de société
Bonaparto-marxiste. -
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Le Virage "libéral" De La Gauche Française Selon Zemmour
Gio a répondu à un sujet de tautelle dans Politique, droit et questions de société
On a déjà parlé de cet article ici, et h16 en avait même fait un billet : Les fines analyses d’Éric Zemmour -
Spéciale dédicace pour Corned Beef. http://www.demotivateur.fr/article-buzz/on-dirait-que-cet-endroit-est-recouvert-de-neige-mais-lorsqu-on-regarde-de-plus-pr-s-c-est-juste-flippant-548
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Il doit faire partie de la branche la plus libérale du mélenchonisme !
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Et Pourquoi Pas La Gorafisation Des Libéraux ?
Gio a répondu à un sujet de PABerryer dans La Taverne
Un libéral devient étatiste dès qu'il a un peu de pouvoir. Se plaindre est plus confortable. Je suis sûr que c'est possible ! -
Il n'y a rien de plus objectif que les faits, puisqu'ils sont l'objectivité même. Et comme nous n'avons pas accès directement aux faits, on ne peut pas non plus se passer de "ce qu'on pense être les faits". Par conséquent, il est impossible de faire plus objectif. Ça ne me gêne pas que tu parles tout seul, mais à la base je croyais que c'était à moi que tu répondais. Moi je parle de la Justice, depuis le début, et c'est sur ce sujet que tu es intervenu. Je peux préférer l'utilisation d'un mauvais tournevis dans un contexte donné, pour une raison x. C'est d'ailleurs pareil lorsqu'on porte un jugement de valeur moral : "C'était pas bien, je le savais, mais j'ai préféré le faire parce que..." C'est vrai. "Il faut protéger la vie humaine" en tant que jugement de valeur est un problème moral. La Justice c'est : Il est juste de protéger la vie humaine. Simple description. Ensuite, savoir s'il faut ou pas faire respecter et appliquer la Justice (et doit-on pour cela faire référence à un jugement de valeur qu'on porte sur la Justice ? Est-ce une question morale ?) c'est autre chose. Je pense qu'on peut reconnaître la nécessité de la Justice comme étant de fait, car elle est la condition même des valeurs et des morales.
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Bin non...sauf si on parle d'opinion dans le sens "ce qu'on pense être les faits"...mais ça c'est une fatalité, quelle que soit notre conception des choses. Je sais. Je dis que la morale appartient à la première catégorie. La Justice à la seconde. Je décrète rien du tout, c'est une question de réalité, indépendamment des mots qu'on emploie. (Et des limites de la métaphore.) Toutefois j'ai justement précisé qu'on pouvait enlever l'adjectif "bien", et ça reste toujours conforme à ce qu'on entend par Justice. Et on peut dire, à la limite, que le "bien" fait référence à une morale à l'intérieur du cadre nécessaire de la Justice. Encore une fois je regrette, mais quand on parle d'un bon tournevis, on ne dit pas nécessairement qu'il est préférable de l'utiliser. Le désir (du moins certains désirs) fait aussi partie des lois naturelles. Exemple : Il est dans la nature de l'homme de vouloir vivre... Ce "désir" est un fait. La loi naturelle, c'est la reconnaissance factuelle de ces "tendances" ou de ces "causes finales".
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En fait notre controverse peut se résumer à ceci : quand je dis que la réalité n'est pas une valeur (elle est ce qui permet les valeurs), Lancelot me répond : "Mais si regarde, on dit bien de telle affirmation qu'elle a une grande valeur parce qu'elle est conforme à la réalité. La réalité est donc bien une valeur."
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A la limite on peut dire que dans la phrase : "Cette plante se développe bien." Il y a la Justice et la morale : Cette plante se développe (Juste, objectif) bien (morale, subjectif).
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En fait, je réalise que le problème est là, entre jugement de fait et jugement de valeur. Quand le fait (c'est-à-dire la réalité) est le critère de ce jugement (la conformité à cette réalité), c'est un jugement de fait, pas un jugement de valeur. La valeur, c'est ce qui a sa source dans l'individu.
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Ça pour un homme de paille... Je ne dis pas que je détiens la vérité, ni même que quiconque peut la détenir, je n'en sais rien, je dis tout simplement qu'il y a une vérité, et qu'elle ne dépend pas de nos opinions. Les faits ne dépendent de notre opinion. Ce sont là des truismes. Mais je ne le conteste pas. Simplement je conteste le mélange que tu fais entre les deux. Cela corrobore ce que je dis depuis le début, à savoir que la Justice est le cadre de la morale. Les conditions pour qu'une plante se développe, c'est la Justice. X ou Y, ce sont des problèmes moraux subjectifs, dans le cadre nécessaire de cette Justice. Tu mélanges toujours tout. Si, au regard de la Loi naturelle, on dit qu'une plante se développe "bien", c'est une facilité de langage, mais au fond, il n'y a pas de jugement de valeur subjectif, puisque la loi naturelle est indépendante des jugements de valeurs. On ne fait que décrire un phénomène. Et on ne prescrit encore rien du tout. Quand on dit "c'est un bon tournevis", il n'y a pas de prescription, on ne fait que décrire, par rapport à un critère qui nous est propre. On peut certes dire que c'est un jugement de valeur sur le tournevis, parce que c'est nous-même qui déterminons le critère. Pour la Justice définie dès le départ comme étant les actions, situations, etc. conformes à la loi naturelle, le critère ne nous est pas propre, ce n'est pas nous qui choisissons selon notre bon vouloir ce qui est juste ou non, ceci est déterminé objectivement par la loi naturelle. Il n'y a donc pas de jugements de valeurs subjectifs. Mais non. En ce qui concerne les faits par exemple (sur lesquels on peut être en désaccord) il ne s'agit pas de jugements de valeurs subjectifs.
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Encore une fois, ne pas confondre la Justice elle-même et le jugement que l'on porte sur elle. Tout-à-fait. Le simple fait que l'on puisse enlever l'adjectif bon ou mauvais prouve que ce n'est pas un problème de jugement de valeur. La confusion vient du fait qu'on peut aussi porter un jugement de valeur là dessus et qu'on mélange le vrai et le bien. Mais fondamentalement ces conditions ne sont pas bonnes ou mauvaises, elles sont vraies ou fausses.
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Pour ceux qui, comme moi, n'aiment que le rétro. Les meilleurs graphismes de la Mega Drive.
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