Gio

Par beaucoup de choses. Écris pas "les 2" ça me rappelle les élèves. Tu veux des exemples ? Plus ou moins, sur le moment. Mais il faut savoir que c'était une punition qui s'ajoutait déjà à une autre dans la même heure. En gros : Les élèves : BROUHAHA BROUHAHA Moi (hurlant) : Si vous continuez à faire du bruit, vous aurez un contrôle la semaine prochaine ! Vague silence durant trente secondes jusqu'au retour progressif du bruit : Les élèves : BROUHAHA BROUHAHA Moi (hurlant) : Je vous ai prévenu, vous voulez donc vraiment un contrôle la semaine prochaine !? Vague silence durant trente secondes jusqu'au retour progressif du bruit : Les élèves : BROUHAHA BROUHAHA Moi (hurlant) : Okay, comme vous voulez, vous aurez un contrôle la semaine prochaine, prenez votre agenda. Les élèves : NON MONSIEUR NOOONNNNN ! OH NAANNNNN ! Nous on a pas parlé c'est les autres ! (Protestation et tentatives de négociations pendant 2 minutes.) Moi (hurlant) : Je vous avais prévenu ! Prenez votre agenda ! Une fois le contrôle noté, trente secondes plus tard : Les élèves : BROUHAHA BROUHAHA Moi (hurlant) : Si vous voulez je peux encore rajouter un devoir à faire à la maison ! Les élèves : NON MONSIEUR NOOONNNNN ! Moi (hurlant) : Alors taisez vous ! La prochaine fois je rajoute du travail, il y a aucun problème ! Vague silence durant trente secondes jusqu'au retour progressif du bruit : Les élèves : BROUHAHA BROUHAHA Moi (hurlant) : Okay, comme vous voulez, je vous rajoute un travail à faire à la maison, prenez votre agenda. Les élèves : NON MONSIEUR NOOONNNNN ! OH NAANNNNN ! Nous on a pas parlé c'est les autres ! (Protestations et tentatives de négociations pendant 2 minutes.) Moi (hurlant, la voix cassée depuis longtemps) : Je vous avais prévenu ! Prenez votre agenda ! Là ensuite j'ai eu à peu près un vague silence jusqu'à la fin de l'heure (mais il restait peut-être dix minutes maxi)...et la semaine suivante avec la même classe, c'est reparti. (Et bien sûr, j'ai en gros la même chose avec toutes les classes que j'ai dans la journée.)

Je sais pas. Je sais juste qu'il gagne sa vie comme ça. Enfin c'est ce qu'ils disent dans les reportages et c'est ce qu'il dit en interview. J'en sais pas plus.

J'ai donné pour la première fois de ma vie à des élèves une rédaction à faire à la maison (c'était une sorte de punition collective). Un genre d'analyse d'oeuvre. Aujourd'hui je les ai lus. Je suis effaré. Effaré. Mais que font-ils à l'école primaire ?

Purée mais vous êtes vraiment incultes quoi... en plus faut vous faire un dessin. Donc il ressemble à Michel (ou Jacquie je sais plus lequel des deux, osef) et french bukkake c'est (ou c'était) le nom de leur site à la base. Sinon, je vous met la suite de la page précédente.

Il gagne sa thune via son think thank. C'est son métier.

Palmarès du jargon de l'ÉdNat.

Ou "impressionnisme".

Il faut aussi voir que le mot pute ne désigne pas toujours la même chose. Il faut distinguer les deux catégories de putes : les professionnelles et les bénévoles.

Vous connaissez Jean Guidoni ?

CQVCQP ne se limite pas au premier chapitre. Même si tous les autres sont aussi l'application du raisonnement par le coût d'opportunité.

Sinon, si on veut faire un compromis, on peut dire les prostiputes.

Ah ouais ?

Adrian aurait eu beaucoup de like.

Bin ouais, c'est exact. Sinon il y a un film de Pierre Carles qui fait l'apologie de cette organisation : Ni vieux, ni traîtres.

Elles ne sont pas d'accord avec eux, voilà tout. Tu peux avoir conscience que tel mot est péjoratif pour les autres tout en pensant qu'ils ont tort.

Oui, mais....

Où est le problème dans l'article ? Le Figaro relate des faits. Chacun est capable de se faire son opinion.

Elles en ont conscience, même celles qui se revendiquent putes.

J'ai lu beaucoup de Bastiat et pour autant que je me souvienne il ne parle pas tellement de méthodologie. Ou alors d'une manière un peu détournée, par allusion. Ce qui violerait la logique, c'est de contredire cet énoncé : L'argent dépensé quelque part n'est pas dépensé ailleurs. (Ce qui est fondamentalement ce que dit Bastiat à travers CQVCQP, résumé aujourd'hui sous le concept de coût d'opportunité.) Parce que ça violerait la loi d'identité pour parler comme Aristote ou Rand. A est A.

La réponse est simple : Il ne s'agit pas vraiment d'une théorie scientifique, mais d'un simple raisonnement logique, assez élémentaire qui plus est. Nul besoin de postuler la rationalité des acteurs pour dire que de l'argent qui est dépensé quelque part ne peut pas être dépensé ailleurs. Même pas besoin de le vérifier par l'expérience, il faudrait violer la logique pour affirmer le contraire. On pourrait même dire que c'est tellement sous nos yeux que l'expérience on la fait en permanence.

Bon dans Les Échos c'est pas un truc de fou. Si ç'avait été sur Mediapart, là...

Pas un strip, une planche. Mais oui, j'avais une double source d'inspiration dont celle-ci, comme je l'ai indiqué dans les commentaires sur CP.