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Tout ce qui a été posté par Nicolas Azor
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Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Des experts pourquoi pas, du moment qu'ils ne donnent pas d'ordres aux flics pour faire appliquer leur décisions avec un flingue. En fait je sais pourquoi je déteste le droit maintenant. Le droit, c'est une branche de la philosophie pour laquelle quand quelqu'un n'est pas d'accord avec les théories dominantes, on le fout en taule. -
Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Voilà, au moins ça a le mérite d'être clair. C'est tout ce que je déteste avec le droit, et c'est bien la principale raison pour laquelle je ne peux pas me prétendre libéral. Parce que malheureusement il semble que cet état d'esprit est partagé par de nombreux libéraux. Cette idée qu'il existerait une minorité de gens, investis d'un intellect supérieur leur permettant de mieux juger de la légitimité des actes par rapport à une majorité de voyoux ignorants et bêtes est absolument écoeurante. Avec une différence notable quand même: on ne peux pas trucider quelqu'un à travers des fils de cuivre ou des ondes Wifi. Bigre, internet n'est qu'un moyen de communication bordel. Et communiquer, ça ne tue personne. -
Au passage, le titane c'est vraiment un métal fascinant. http://fr.wikipedia.org/wiki/Titane
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Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
C'est pourtant bien ce que c'est stricto sensu. Sinon il n'y aurait pas de problème: c'est très précisément parce que ces oeuvres peuvent être converties en de l'information pure (une série de bits), qu'il est possible de les partager avec un cout marginal quasi nul. -
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Je ne vois pas en quoi. Je dis qu'il fait ce qu'il veut avec l'information qu'il a produite. Il peut la vendre s'il trouve des acheteurs. Mais ça ne lui donne pas le droit d'exiger de la police qu'elle s'infiltre dans les systèmes d'information de toute personne ayant une copie des données en question (afin d'empêcher et d'interdire une éventuelle transmission d'individu à individu). Si j'étais raisonnable je me contenterais de dire que je suis d'accord avec ça. Mais à la vérité j'ai bien envie de répéter que la violation d'un tel contrat est suffisamment anodine pour ne pas mobiliser les forces de l'ordre. Ca n'est jamais que la divulgation d'un secret, c'est à dire le non respect d'une promesse. Y'a pas mort d'homme, y'a aucun dégat matériel, pas de violence, ni sang ni larmes. Juste un mec dont la confiance a été trahie, et qui n'a en plus strictement rien perdu dans l'affaire, si ce n'est l'espoir de gagner des sous. C'est pas pire que l'adultère, comme je l'évoquais plus haut. -
Bon là on reste dans la SF, quand même. Parce que ce que tu décris là, ça n'existe même pas dans l'industrie conventionnelle. L'imprimante 3D selon moi est un concept plus sociologique que technologique: c'est la mise à disposition des moyens techniques industriels au niveau de l'individu. Grâce à la baisse des couts essentiellement. Le truc c'est que les hommes peuvent faire plein de choses, mais presque jamais à titre individuel. Ainsi les hommes savent voler mais presque personne n'a construit tout seul un avion dans son garage. L'industrie est un phénomène social et l'imprimante 3D est un premier pas vers son atomisation, c'est à dire vers son individualisation. Philosophiquement, c'est assez profond je trouve.
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Mais oui, pourquoi pas ? Pendant qu'on y est, on autorise tout le monde à mettre des copyrights sur tout ce qui est écrit, et même dit dans la vie quotidienne. Dès lors que quelqu'un ouvrira la bouche où tapera sur un clavier, il devra réfléchir profondément afin de savoir si ce qu'il écrit ou dit (c'est à dire au fond ce qu'il pense) coûte quelque chose et si oui, combien. On peut même imaginer qu'il dispose d'un assistant électronique automatique qui évalue le cout de chacune de ses productions intellectuelles. Bref, on marchandiserait la pensée et la communication. Et bien sûr pour faire respecter ce commerce, il faudra une police, qui s'appellera alors naturellement la police de la pensée et des communications. Super. Donc oui, les auteurs de blogs peuvent essayer d'imposer un copyright sur leurs écrits. Fort heureusement, ils n'auront aucun moyen de faire respecter ce copyright, à moins de nous plonger dans une dictature Orwellienne. -
Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Oui, on parle très peu des artistes. D'ailleurs je trouve qu'on ne fait pas assez la distinction entre les différentes branches de l'industrie du divertissement numérique. En gros moi je vois la création, la production, le marketing et la distribution. Les artistes créent, si nécessaire avec des moyens techniques et logistiques financés par les producteurs, et ensuite les supports physiques sont distribués. C'est grosso-modo sur la distribution que l'industrie faisait son beurre. Or, telle que je comprends la chose, pour diverses raisons on trouvait anormal que les distributeurs et producteurs puissent gagner des sous sur le dos des auteurs/créateurs/artistes. D'où la revendication du droit d'auteur, c'est à dire le droit de toucher une part des revenus des bénéfices de la distribution. Ce que Internet casse, c'est la partie distribution. Parce que maintenant, cette partie ne sert plus à rien: diffuser les oeuvres créés, c'est désormais un jeu d'enfant et ça ne coute rien. Donc le droit d'auteur c'est devenu le droit de toucher un pourcentage sur un truc qui ne rapporte que dalle. La création artistique a, pour beaucoup, perdu sa valeur marchande. On peut le regretter, mais c'est comme ça. C'est un fait. Non, stp n'essaie pas de me faire passer pour un coco de base. Je n'ai rien contre le fait de faire payer pour un service, à condition que pour cela le vendeur n'utilise pas la force publique pour surveiller les activités des gens dans leur sphère privée. Parce que quand j'envoie des données à quelqu'un, ça ne regarde personne d'autre que moi et la personne qui reçoit ces données. Parce que pour moi la propriété ne découle pas uniquement du concept de travail. Un mathématicien qui démontre un théorème en est l'auteur, mais pas le propriétaire. Un astronome qui découvre un astéroïde lui donnera son nom mais on ne devra pas lui payer quoi que ce soit à chaque fois qu'on pointera un télescope vers cet astéroïde. Si il veut en faire une œuvre fermée, il doit la garder secrète. C'est quasiment le seul moyen. Dès lors qu'il la dévoile, elle devient une information qu'il n'est ni légitime ni souhaitable de vouloir contrôler par la force. On ne peut faire payer les choses que si on les possède, c'est à dire si on en détient le contrôle exclusif. Or, posséder une information de façon exclusive c'est en détenir le secret. Hier je traversais un pont à Paris et j'observais un touriste qui photographait la Tour Eiffel. ça m'a immédiatement fait penser à ce fil de discussion. Un flic qui serait passé par là ne aurait pas interpelé cet individu pour lui demander de payer une quelconque redevance. Parce qu'il serait vain de chercher à imposer un quelconque droit à photographier la Tour Eiffel. Sinon, l'état peut aussi, pendant qu'on y est, vendre aux enchères le droit à regarder la Lune, de telle sorte que tout acte consistant à admirer cet astre la nuit serait immédiatement facturé dès lors qu'il serait constaté par un agent des forces de l'ordre. Faire payer quelque chose n'a de sens que si on en est capable, par ses propres moyens. Si je trouve une pépite d'or par terre, je ne peux pas me l'approprier en me contentant de planter un panneau avec écrit dessus "c'est moi, Nicolas Azor, qui a trouvé cette pépite. Elle est donc à moi, n'y touchez pas.", pour ensuite retourner chez moi. Si je veux m'approprier cette pépite, je dois la ramasser et la mettre d'abord dans ma poche, puis dans un coffre. Vouloir faire respecter un fantasmagorique droit d'auteur, c'est exactement ça: c'est vouloir faire respecter un droit de propriété virtuel, virtuel dans le sens où il ne repose sur aucun concept concret de possession. Non, s'il ne veut pas que les gens utilisent ce qu'il a créé, il doit le garder pour lui. Dès lors qu'il le publie, il ouvre la boîte de Pandore et ce qu'il a créé ne lui appartient plus. C'est irréversible. -
Bitcoin et autres cryptomonnaies
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Cryptomonnaies & Co
Une présentation du travail d'une chercheuse qui s'intéresse particulièrement aux implications morales/sociales de bitcoin. C'est assez rare pour être signalé, je trouve. http://bitcoinmedia.com/catherine-flick-bitcoin-and-the-dual-use-dilemma/ -
Traduire des vidéos pour Contrepoints TV
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Alliterator dans Action !
J'ai une question con quand même. Est-ce qu'il n'y est pas sensé y avoir des fonctionnaires européens payés pour faire ce boulot de traduction normalement ?? (je sais je suis un grand naïf, mais bon…). -
Traduire des vidéos pour Contrepoints TV
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Alliterator dans Action !
Cool. J'ajoute ça à mes signets. -
Les petites inventions qui font faire de grands bonds en avant
Nicolas Azor a répondu à un sujet de h16 dans Science et technologie
ça parait presque trop beau pour être vrai. Pouvoir solidifier durablement l'eau à température ambiante, avec un cout faible, ce serait vraiment révolutionnaire. Ne serait-ce que parce que ça faciliterait énormément le stockage (pas besoin de construire de complexes et fragiles réservoirs). Il doit y avoir un hic. -
Traduire des vidéos pour Contrepoints TV
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Alliterator dans Action !
De rien. Comme je le disais, pour moi, traduire Hannan et Farage, c'est presque un honneur. -
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Alliterator dans Action !
Hannan contre la PAC, DOS/latin1: hannan-against-the-PAC.zip -
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Alliterator dans Action !
Hannan contre la PAC!? Formidable! Je m'attaque à la traduc. -
J'ai souvent l'impression que les économistes fonctionnaires citent le Japon comme modèle vers lequel on évoluera après la crise parce qu'ils pensent secrètement qu'une telle issue les arrangerait. Après tout, au Japon, envers et contre tout, la société fonctionne, et elle tourne autour d'un gouvernement toujours plus puissant et intrusif. C'est un peu le rêve pour les bureaucrates/technocrates et autres apôtres du gouvernement mondial. Et puis le Japon est le prétexte idéal pour faire tourner la planche à billets puisqu'ils suffit de dire: "mais non il n'y aura pas d'inflation, au contraire, c'est la déflation qui nous menace, comme au Japon". J'aimerais bien qu'ils aient l'honnêteté intellectuelle au moins de nous expliquer pourquoi ce serait l'issue japonaise qui aurait lieu, et pas l'issue zimbabweenne. Mais étrangement le Zimbabwe, ils ne l'évoquent jamais. Je ne crois pas du tout qu'on puisse suivre le même chemin que le Japon. Il y a trop de différences culturelles et géopolitiques. J'aimerais pouvoir détailler et argumenter plus, mais je ne peux pas parce que c'est quelque chose que je ressent presque d'instinct. PS. bon je ne veux pas me dérober non plus donc je vais quand même essayer d'argumenter un peu. La principal différence culturelle que je vois, c'est que le Japon est un archipel quasiment reclu sur lui même depuis des siècles. Ils ont par conséquent un très fort sentiment d'appartenance sociale. En occident, c'est tout l'inverse il me semble. On connait depuis des lustres de nombreux et divers mouvement migratoire, et notre société est très comospolite, pour ne pas dire communautaire. ça n'est d'ailleurs pas sans poser de vrais problèmes sociaux parfois violent. Bref ce que je veux dire c'est qu'en occident, les peuples ne vont pas se laisser pourrir la vie sans broncher. Il y a trop de frustration et de rancoeurs qui ne demandent que quelques prétextes pour exploser. La crise au japon a pu prendre la forme qu'elle a prise parce que j'imagine mal des émeutes se dérouler au Japon. Ce serait par contre très différent en Europe.
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Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
T'es pénible à un point comme c'est pas possible. Le droit, je m'en tape complètement. Si le droit stipule que les noirs doivent s'assoir à une place réservée au fond du bus, je chie sur ce droit. Si le droit stipule que je dois déclarer aux autorités si un de mes voisins est juif, j'exècre ce droit. Et si le droit dit que je n'ai pas le droit de transmettre les données que je veux avec les gens sur le net, j'emmerde ce droit. Le droit c'est pas un dogme auquel on doit obéïr bêtement, figure-toi. Si vivre en société c'est vivre conformément aux principes idiots que tu sembles défendre, alors je suis bien content de ne pas être intégré dans cette société. -
C'est exactement le problème, en effet. Un peu comme avec la vitre cassée. Non, casser une vitre pour ensuite la réparer, ça ne permet pas de créer de la richesse. /mode divagation ON En fait pour moi la richesse c'est une accumulation de valeur. Et la valeur, c'est ce qui est désirable, souhaitable. Réparer une vitre cassée, c'est souhaitable. Mais ça succède à un truc qui est indésriable, c'est à dire contraire à ce qui est souhaitable: casser une de ses vitres. Donc casser puis réparer une vitre a un bilan de valeur au mieux nul et le plus souvent négatif, car la réparation a un coût. En économie on n'étudie pas les valeurs négatives. Parce que personne n'échange des valeurs négatives volontairement. Les valeurs négatives, en général ça s'échange par la force. C'est à dire par le crime. Casser une vitre, bruler une voiture, voler, violer, tuer, etc… Finalement l'économie telle qu'on l'envisage actuellement est peut-être très largement incomplète. /mode divagation OFF
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Religions et anarcho-capitalisme
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Inso dans Philosophie, éthique et histoire
Il me parait évident que l'anarcho capitalisme ne peut pas éviter les guerres. Ceci étant je ne crois pas que quiconque ait prétendu qu'en anarcapie tout irait mieux dans le meilleur des mondes, non plus. Par contre, en anarcapie pour faire une guerre il faut la financer avec ses propres moyens. Ça limite déjà pas mal les capacités de nuisance. -
Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Tu nous saoules avec ton préjudice. Oui, le mec qui cherche à vendre des CD perdra des sous si les gens se mettent à diffuser ce CD gratuitemet sur le net. Mais c'est pas de notre faute. Quelle idée aussi de chercher à diffuser de l'information avec une méthode complètement dépassée ? C'est vraiment exactement la même chose que les moines copistes avec l'imprimerie. Oui, ils ont perdu des revenus. Ils ont subi un "préjudice" et je suis sûr qu'il y avait des gens qui pensaient qu'il fallait mettre Gutenberg en taule. Qu'ils aillent au diable. Leur modèle économique est devenu tout à fait douteux, mais il n'y a personne à blâmer. C'est comme ça, c'est le progrès, c'est la vie. Qu'ils s'adaptent ou qu'ils crèvent mais qu'ils arrêtent de nous casser les burnes en essayant de nous mettre en taule si on refuse de revenir en arrière. -
Droit d'auteur
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
N'essaie pas de noyer le poisson, tu écrivais "depuis quelque temps on a pas fait mieux… tu proposes autre chose?" Moi je dis que les principes démocratiques n'ont pas à s'appliquer sur internet. Parce qu'internet, c'est jamais qu'un moyen de communication, et que les gens doivent être libres de communiquer comme ils veulent. Selon moi le seul modèle "politique" acceptable pour internet, c'est l'anarchie. -
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Aucun, mais ta défense de la démocratie paraissait tellement saugrenue sur ce forum qu'elle méritait un commentaire. -
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
corrigé. -
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Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Politique, droit et questions de société
Là on voit que t'es relativement nouveau sur ce forum. Le matin y'a certaines personnes qui aiment boire du café, d'autres du thé et d'autres du chocolat chaud. Tu trouverais normal qu'on vote un jour pour décider de ce que devront boire les gens le matin? J'espère que non. Et bien la démocratie appliquée au net, c'est exactement ça.