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Tout ce qui a été posté par WBell
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Salaire minimum sans SMIC
WBell a répondu à un sujet de Philippe-le-bel dans Politique, droit et questions de société
C'est mécanique. Il y a un tas de jobs qui ne sont pas proposés ("créés") par des patrons, des responsables et des entrepreneurs parce que le coût du travail a effectuer ne vaut pas le SMIC. Ces jobs n'existent pas pour l'instant. Sans le SMIC, ils seraient proposés au marché. Il y aurait plein de jobs plus bas que le SMIC, mais beaucoup plus de disponibles (en sachant qu'actuellement, il y a déjà des jobs non pourvus, mais que personne ne veut prendre). Cela me fait penser à un phrase d'un des protagonistes de la série Firefly "mon père disait : si tu n'as trouvé de boulot, c'est que tu n'as pas assez cherché". -
Travailleur handicapé
WBell a répondu à un sujet de Chiwaruchk dans Politique, droit et questions de société
Il est très fort, parce que diagnostiquer une fracture sur une radio, sans la vue, c'est une performance ! -
C'est parce que Lucilio, en bonne âme, est finalement venu faire le ménage…
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Travailleur handicapé
WBell a répondu à un sujet de Chiwaruchk dans Politique, droit et questions de société
Ce que tu détailles revient à un travail sur soi, pour trouver une activité utile. C'est quelque chose que tout le monde doit faire. Les personnes handicapées vont devoir faire ce travail de manière plus poussée que quelqu'un d'autre. Mais personne ne peut le faire à leur place. Discuter avec quelqu'un, son entourage, peut faciliter cette étape. Mais en aucun cas faire une loi forçant à avoir 3% de personnes handicapées dans une entreprise ne va répondre à ce problème. -
Travailleur handicapé
WBell a répondu à un sujet de Chiwaruchk dans Politique, droit et questions de société
L'Etat n'a aucune idée de comment trouver le travail le plus adapté à une personne suivant le profil de son handicap. Dans un autre fil, j'avais présenté une société pour laquelle c'est très intéressant de travailler avec un profil spécifique de handicap, les autistes. Ce n'était pas vrai au siècles passés, mais aujourd'hui tant que le cerveau marche, il est toujours possible de bosser (au moins dans le secteur IT). Comme le dit Tremendo, l'investissement financier de départ est forcément plus important, mais pour la suite ça ne préjuge pas de la productivité ou de l'efficacité. -
Les 10/15 meilleurs essais non politiques
WBell a répondu à un sujet de Punu dans Lectures et culture
Tu avais 15 en lisant Joystick. C'est une revue des années 90. Or, vu la durée de vie d'un chimpanzé, tu vas donc bientôt mourir… Blague à part, "Gödel Escher Bach" est intéressant par le fait d'utiliser au moment de l'écriture la technique qui est elle-même décrite lors de l'écriture. J'avais retrouvé cet effet dans une autre branche, les arts graphiques, en lisant Scott McCloud, notamment l'Art Invisible (en anglais et en français, la traduction est bonne). Il utilise l'effet graphique expliqué par son texte dans le dessin qui explique le texte. C'est un plaisir de s'y replonger quand on aime la BD, ou tout simplement l'interaction & le design d'interfaces. Edit: alors qu'il est tout ce qu'il y a de plus éloigné d'un neuro-spécialiste, ce qu'il présente illustre très bien le fonctionnement de la perception humaine. Un clin d'oeil pour Anthropo, le bouquin explique bien mieux que moi certains concepts que j'avais essayé de détailler sur le cerveau… -
Le fabricant français de panneaux solaires Photowatt est en redressement judiciaire : http://www.romandie.com/news/n/_Le_fabricant_de_panneaux_solaires_Photowatt_place_en_redressement_judiciaire081120111211.asp Il semble que ce soit la seule usine en France. C'est vrai ça, ça se vend pas, alors faut que quelqu'un nous donne des sous sans les acheter…
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Tout à fait d'accord pour dire que l'image que j'avais du scoutisme a pris un certain coup dans l'aile après avoir vu faire ce que c'est devenu aujourd'hui. Le chef de camp doit prévoit un semi-remorque pour transporter le frigo, le micro-ondes (+ un générateur pour tout ce bazar), les diverses trousses de secours et machins, les papiers contresignés, les plats en double exemplaires pour les intox alimentaires, etc… Pour une activité qui doit apprendre à faire quelque chose de ses 10 doigts lorsqu'on crapahute, c'est mal barré. A l'ancienne, c'était une trousse de secours, une hachette et des conserves…
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Heureusement qu'ils ont trouvé vite, ça aurait pu partir en luciole (moi, moche et méchant, par exemple )
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La nuance est juste, c'est vrai. Mais dans l'état actuel des choses, comme l'édifice étatique est construit sur de la dette, ces fameux droits acquis "payés" par les charges sont surtout payés par du vent. Et quand ça va s'effondrer, la disparition de tout ce à quoi ces charges "donnait droit" va amener un résultat similaire : on prélève de l'argent, sans service rendu en face.
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Dans mes bras !
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D'ailleurs, si je ne m'abuse, la carte d'identité au sens strict n'existe pas dans plusieurs pays de l'UE, dont l'Angleterre (et Danemark aussi si je me souviens bien).
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& & Lucilio a raison (comme toujours, mais bon, il est belge…). Le cerveau "n'invente" rien. Il ne fait que réassembler constamment les souvenirs fournis pas les 5 sens. La créativité, c'est la somme de l'expérience humaine (qu'il a fallu se réapproprier et réexpérimenté), auquel on ajouter une recombinaison qui n'a encore jamais été tenté, ce petit plus qui fait crier au génie humain. D'un point de vue terre à terre, les neurones s'excitent tous seuls tout le temps en permanence, et déchargent par voie chimique et électrique sans arrêt. Lorsque ce processus dépasse le seuil de "bruit ambient", le cerveau regarde la pattern qui émerge, et classe cela au plus proche de ce qu'il a déjà expérimenté. Si la pattern s'éloigne trop de ce qu'il a déjà ressenti, il corrige le sens qui est en train de lui amener l'information, pour qu'elle ressemble à quelque chose de connu (c'est pour ça que, par exemple, lorsque vous entendez une langue inconnue, inconsciemment le cerveau cherche où sont les ruptures entre les mots). Un fou, un drogué ou quelqu'un placé dans un caisson de privation sensorielle ne peut halluciner que ce qu'il a déjà expérimenté. Rincevent cite son exemple de bisounours en kit avec des bouts de Sarkozy dedans. Il n'a jamais rencontré cette image, mais il a déjà rencontré chacun de ses constituants. Si maintenant je vous parle du bisounours en kit avec un t-shirt Sarkozy qui utilise une hi-hat, vous ne pouvez pas imaginer le machin, parce que vous n'avez jamais rencontré d'hi-hat (ça vous est inconnu tant que vous ne l'avez pas déjà rencontré) (message pour les deux qui savent ce que c'est, chut, ça dessert mon exemple ). Où tu veux.
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& Le post de François illustre bien les 4 états du savoir faire (quelque chose) : Stage 1 (le bleu, le newbie, le ravi de la crèche) : incompétence inconsciente Stage 2 (celui qui a commencé la pratique et qui galère) : incompétence consciente Stage 3 : compétence consciente (ceux là, ils sont souvent pénibles ) Stage 4 : compétence inconsciente (les pros, les meilleurs, un plaisir à travailler avec eux) L'information ne se résume pas à ce qu'on peut lire ou voir dans les (médiocre) médias français. C'est aussi la somme de tous les petits arbitrages de la vie de tous les jours. Quand tu vas acheter des baskets Nike plutôt que du sans marque, c'est parce que tu as l'information (appropriée ou nous, c'est un autre débat) qu'elles sont plus solides/plus demandées/plus jolies. Si tu t'engages dans un contrat de mariage, c'est que tu as l'information, au vu du passif, que ton partenaire est de confiance. Et ainsi de suite. Le cerveau, c'est une machine à maximiser l'information (ou pour être plus exact dans les termes, à l'extraire des faits du monde physique). Anthropo, sans vouloir porter un jugement de valeur sur ta personne, bien évidemment, lorsqu'on lit ce que tu tapes, ça peut paraître nébuleux à tes lecteurs. Ici, on aime bien être ancré dans le réel.
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@Anthropo: et pour rebondir sur Rincevent (boing), l'être humain fera un choix contraint dans l'éventail des possibilités qui s'offrent à lui. A moins d'être masochiste (ou déficient mental, c'est un constat, pas un jugement), il fera le meilleur choix pour lui, à cet instant, et dans l'éventail des choix qui lui sont possibles. Si tu veux "augmenter" la liberté des gens, il faut leur apporter plus de choix dans ce éventail. Ils feront ensuite un choix dans cet ensemble (et tu pourras espérer qu'ils choisiront ce que tu viens d'apporter, toi considérant que c'est ce qu'il y a de mieux pour eux). Cela amène plusieurs choses qui sont défendues ici : tu ne peux pas rendre les gens libres malgré aux, à l'aune de tes choix, l'information est le nerf de tout (la vie c'est maximiser l'information tout le temps pour vivre et survivre), et au final la philosophie asiatique est pragmatique, les gens ne bougent réellement que d'eux-mêmes).
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Ce que Lucilio exprimait quand il parle de lire les anciens, c'est que beaucoup des questions que tu poses ici ou que tu te poses ont déjà été travaillées avant. En connaissant le corpus, ça évite de brûler du temps de cerveau à refaire une route qui a déjà été tracée. Un lien synthétique, et pas mal pour commencer, c'est http://www.dantou.fr/ (on est une paire ici à avoir connu le libéralisme en lisant ce site…)
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Je n'en doutais pas. Je remarque juste qu'aucun n'a eu les c******* de dire "ah mais en fait, ils peuvent juste relever celui de 5,5% à 7%, oh oh oh comme ils sont joueurs…"
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C'est vrai, mais c'est le même raisonnement qui mène au fait que lorsqu'on augmente les impôts, taxes et charges, le nombre d'emplois proposés par les patrons et entrepreneurs diminue. Ceux-ci se mettent à anticiper le surcoût d'un éventuel nouvel employé, qu'il ne pourront plus assumer. C'est donc une perte d'opportunité.
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Et d'ailleurs l'action anti-trust a tourné en jus de boudin et l'affaire classée, car il n'y avait pas d'exemple valables entre le début de la procédure et la fin (plus de 5ans). Sur ce laps de temps, les exemples de solutions alternatives sont devenus tellement évidentes que le juge qui aurait dû arbitrer cette affaire aurait eu l'air trop ridicule…
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Vu de l'extérieur, ta position peut surprendre. En effet, tu défends l'idée de liberté et la liberté dans les actes (comme tous les libéraux ici et ailleurs), mais en même temps, tu expliques que, pour un tas de raisons, l'homme n'est pas libre totalement et donc qu'il faudrait lutter pour lever ces barrières (ou vues comme telles). Ici, un thème est défendu (et qui est la suite des réflexions des penseurs de libéralisme à travers l'histoire) : il y a une différence entre liberté et possibilité. Par exemple, il y a une différence entre "je suis libre de devenir médecin" et "je peux être médecin". Si tu ne peux pas devenir médecin parce que les études ça coûte cher, que l'âge des études et déjà passé ou X autre raison, mais qu'en dehors des contingences matérielle, aucune loi ne t'interdit de réaliser ce but, alors tu es libre.
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J'ai une question à ce sujet. Les médias répètent qu'avec Bruxelles, on ne peut avoir qu'un seul taux plein de TVA et 2 taux réduits. Comment ce nouveau taux peut-il exister ?
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En ce cas, et pour réconcilier les points de vues, ne pourrait-on pas formuler comme ceci : les charges "patronales", c'est une perte immédiate pour l'employé (son salaire net est réduit d'autant), alors que c'est une perte future, d'opportunité, pour un employeur (ce qui est parti dans les charges ne lui donnera pas l'opportunité, dans le futur d'investir et de se déployer).
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Je propose 300 journées de solidarité par an (pas 360, on est pas en URSS, enfin, quand même, monsieur !)
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L'augmentation de la durée de vie peut se faire avec deux méthodes : améliorations de soins en fin de vie, et amélioration des soins en début de vie. Et ce qu'on a pas mal réussi, au XXème siècle, c'est faire chuter massivement les décès des enfants entre 0 et 3 mois.
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Lucilio a été traumatisé par un chat étant petit…