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Mathieu_D

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Tout ce qui a été posté par Mathieu_D

  1. 'tention, Jacky, c'est sirious business. On n'en aprle pas si légèrement.
  2. Je me demande si, vraiment, quelqu'un qui s'autopersuade de combattre pour le bien est malade ou non. 'fin bon, je n'ai pas lu le rapport non plus.
  3. Un lien s'il te plaît ?
  4. Pour la nationalité, l'hérédité ne compte pas pour rien non plus.
  5. J'ai voté non. Je m'imagine mal acheter un recueil d'articles de presse quel qu'il soit présenté comme un best of de l'année. (Quelque soit le media.) Je pourrais en revanche être intéressé par un recueil selon une thématique. ("Le droit naturel expliqué par Contrepoint" par exemple.) Je pourrais revoir ma position si le Best of est organisé par thématique dont quelques unes m'intéresse. (Mais pas si c'est une chronologie selon l'actualité de l'année.)
  6. SCM, en fait je pense que nous sommes d'accord sur le fond, mais pas sur le vocabulaire. Cependant, je ne penses pas que le processus de création et d'innovation soit par essence irrationnel. On cherche à refourguer des trucs qui vont se vendre. On use de sa raison pour inventer un truc qui va plaire. Et si c'est un junkie sous LSD qui fait la création, on va très rationnellement faire un screening derrière. (et ce cas n'arrive jamais.) LA concurrence aussi va user de sa raison pour refourguer un truc qui va plaire au même public. Si nous sommes payés pour sonder le marché et estimer ce qui va plaire, ce n'est pas pour rien.
  7. Je ne vois pas en quoi un risque est rationnel ou non. Un risque, c'est au choix la probabilité que le futur ne se passe pas comme prévu ou que le futur ne soit pas sympa. J'ai bossé dans les FMCG* à l'interface R&D / Marketing. Oui, nous observions le réel et usions de nos capacités de raisonnement. Les concurrents aussi. Leurs produits n'étaient pas si prévisibles pour autant. Donner un go ou un no-go pour le lancement d'un nouveau produit est tout ce qu'il y a de plus rationnel. (Et parfois ça va loin : étude des profils de voiture probablement appréciés 10 ans plus tard. Oui ok ce n'est pas du FMCG ça) *Fast Moving Consumer Goods, je crois pouvoir dire que c'est concurrentiel)
  8. Je n'arrive toujours pas à comprendre en quoi un point de vue matérialiste exclut le libre-arbitre. Lois de la physique = lois de la matière. (au sens large, hein, pas seulement la matière baryonique.) La liberté existe dans le cadre où nous nous trouvons, dans la nature, quoi. Et non, il n'y a rien en dehors. Mais je n'ai toujours pas compris ce qu'est la vraie liberté je suppose.
  9. En tout cas en marketing, on parle volontiers de néophobie pour désigner l'attitude de rejet des choses nouvelles. (Surtout en agroalimentaire, et là c'est dur de jeter la pierre aux gens : c'est dans les gènes.)
  10. Tes arguments sur les fratries sont mal choisis. Tu cites à chaque fois des fratries où les deux frères ont réussi. On pourrait en conclure qu'ils avaient la même intelligence mais l'ont excercée dans des voies différentes.
  11. "Tout" ce sera dans beaucoup plus que 40 ans. (sauf si ?)
  12. Evidemment sur le fond, cet article est fondé sur un compte rendu du Gartner, dont le métier est de vendre du rêve. Après on peut quand même faire des choses très automatisées.
  13. Je parlais de l'expédition de Suez. L'opération Mousquetaire selon la nomenclature française. (et Dédé n'a besoin que d'une phrase pour résumer cet épisode. On peut bien sûr chercher à en savoir plus comme chez D'iberville - qui n'est pas tendre avec les buts de guerre franco-anglais- .)
  14. Been on y est allé avec les anglais leur mettre une branlée, mais les russes et les ricains ont fait les gros yeux et nous sommes rentrés aussi sec. (en gros)
  15. N'importe quoi. Un bon manager sait prendre des risques et ces risques sont évalués rationnellement. (Enfin, j'espère que c'est le cas chez vous.)
  16. Le meilleur de la télé ce sont les pubs. Et la dernière pub Renault est très forte.
  17. N'oubliez pas que "prendre une décision rationnelle" ça veut dire déterminer le paramétrage des inputs en fonction du niveau espérer de l'output. par exemple : en fonction de [-> vos leviers d'actions identifiés ici <-] maximiser le revenu de l'entreprise. Le programme ne mouline que l'information qu'on lui donne. Il faudra toujours rentrer les données d'une manière ou d'une autre. Les leviers d'action, il faudra les identifier et recueillir leur mesure avant de les proposer aux algorithmes.
  18. 1 an environ après les femmes.
  19. Puisque vous avez rendu vos devoirs maintenant, nous pouvons en parler sereinement. Voici par exemple l'avis de Madelin : Un même impôt pour les revenus du capital et du travail ? Absurde 21 février 2011 Alain Madelin 4 commentaires var addthis_product = 'wpp-256';var addthis_config = {"data_track_clickback":false,"ui_language":"fr"}; Faut-il taxer à l’identique les revenus du capital et les revenus du travail ? On savait l’idée populaire chez les socialistes, voici qu’elle gagne les rangs d’une majorité en recherche désespérée de nouvelles recettes fiscales. L’idée suscite d’autant plus la tentation que les écarts d’imposition entre revenus du travail et revenus du capital font que l’impôt des plus riches apparaît en fait comme dégressif compte tenu de la part plus importante pour eux des revenus du capital (et aussi de l’existence de multiples niches fiscales). Car c’est un fait : le capital se capitalise et l’effet de la loi des intérêts composés dans la reconstitution de fortunes privées est aujourd’hui d’autant plus redoutable que le capital n’est plus détruit par les guerres ou l’inflation et que la population vieillit. Il y a pourtant de multiples raisons pour que travail et capital fassent fiscalité à part. 1. C’est le capital qui fait le revenu du travail Le capital productif est un élément essentiel de la productivité dont dépend le niveau général des revenus du travail. Même si la productivité du coiffeur de Neuilly et de Dakar est la même, le prix de la coupe de cheveux et le revenu du coiffeur dépendent du niveau de capital de la société. La part respective du travail et du capital dans la production de richesse est d’ailleurs toujours de l’ordre de deux tiers/un tiers sur longue période et cela quels que soient les pays (73/27 en France aujourd’hui). 2. Le revenu du capital est le revenu d’une indispensable épargne productive Si le mot « capital » a mauvaise presse, celui « d’épargne » est positif. à juste titre car de tout temps, le comportement d’épargne est apparu comme moral. L’accumulation patrimoniale et la transmission entre générations permettent de nourrir une épargne de long terme investie dans le secteur productif et donc féconde pour l’ensemble de la société. 3. Le « revenu du capital » est un « revenu du travail » épargné qui a déjà payé l’impôt à cette première taxation s’ajoutent les impôts relatifs à l’activité économique dans laquelle le capital est employé à l’instar de l’impôt sur les sociétés qui frappe les bénéfices avant leur distribution en dividendes. Ce n’est pas pour autant que les revenus du capital doivent être exemptés d’impôts, mais cela explique la spécificité des impôts qu’on leur applique. 4. Un impôt sur le capital n’est pas le plus souvent supporté par celui qui le paie Sa répercussion réelle est difficilement prévisible. Maurice Lauré dans son magistral « Traité de politique fiscale » a montré comment « l’économiquement fort » en rejette la charge sur « l’économiquement faible ». Ainsi une augmentation apparente d’un impôt sur le capital peut être, in fine, supportée par le travail, le locataire ou l’acquéreur d’un bien immobilier. 5. Une imposition trop forte du rendement du capital peut ruiner le capital Car à la différence du travail, le rendement du capital s’inscrit dans le temps et une partie de l’enrichissement obtenu est fictif du fait de l’inflation. Ainsi avec une inflation à 2 %, un capital qui rapporte 3 %, c’est-à-dire avec un revenu réel de 1 %, un prélèvement de 31,3 % (19 % de fiscal et 12,3 % de social) représente en fait un impôt de 93,3 % sur le revenu net réel ! Tout ceci explique la spécificité – et aussi l’extrême complexité – de notre système de taxation du capital avec ses encouragements fiscaux de l’épargne vers telle ou telle affectation (encourager les obligations d’état, les placements dans les PME, la propriété immobilière…), ses très nombreux produits à fiscalité spécifique (épargne réglementée, assurance-vie, épargne salariale, épargne logement…), et le cortège d’abattements, d’exonérations et de prélèvements libératoires. 6. Compte tenu de la concurrence fiscale, augmenter la fiscalité du capital serait irresponsable Nous vivons dans un monde ouvert où le capital est largement mobile et l’économie française a d’immenses besoins de capitaux. Or déjà, globalement, les prélèvements sur le patrimoine se situent à l’un des niveaux les plus élevés d’Europe. Ils n’ont d’ailleurs cessé d’augmenter depuis dix ans comme l’a noté le Conseil des prélèvements obligatoires rattaché à la Cour des comptes. Avec 31,3 %, nous avons le record européen d’imposition des plus-values. Il n’est qu’à observer l’exil fiscal des entrepreneurs français en Belgique – où les plus-values ne sont pas taxées – à la veille de la cession de leur société pour comprendre à quel point il serait déraisonnable de porter cette taxation à plus de 50 %, comme on le propose parfois, au prétexte d’aligner la fiscalité du travail et du capital. Voudrait-on taxer également les revenus du travail et les revenus du capital qu’il faudrait alors s’orienter vers un impôt sur la dépense – « à dépense égale, impôt égal » – retenant comme matière fiscale le revenu moins l’épargne (le voilà qui permettrait en outre aux capitaux de pouvoir changer librement de mains et d’emploi pour être orientés là où ils sont le plus rentables). Derrière la question d’une prétendue sous-imposition du capital se pose celle de notre sur-imposition du travail. Celle encore d’une extension populaire des bénéfices du capital au travers de vrais fonds de pension ouverts à tous les Français. Celle aussi de notre croissance molle qui met les salaires en berne et exacerbe la question des inégalités. Celle enfin, si l’on veut réduire les trop grandes inégalités de fortune, des droits de succession. Sous réserve de préserver les entreprises familiales, la taxation des transmissions n’est pas répercutable sur d’autres et elle ne pénalise pas la création de richesse et est le plus souvent socialement comprise et acceptée.
  20. Bolchévisme.
  21. Votre prochain patron sera une machine Par Larry Dignan | 22 novembre 2011 Selon un analyste de Gartner, d’ici 40 ans, seules les tâches créatives seront laissées aux humains. Tout ce qui relève de décisions rationnelles sera dévolu à des systèmes analytiques, plus efficaces et adaptés. Orlando, Floride – Dans les 40 prochaines années, les systèmes analytiques remplaceront une grande partie de ce que fait aujourd’hui le praticien des connaissances, et des systèmes tels que Watson d’IBM seront votre patron. Les humains (notamment l’espèce connue sous le nom de cadres intermédiaires) seront en voie d’extinction. Telle est la conclusion de Nigel Rayner, analyste chez Gartner, qui s’est exprimé durant la conférence annuelle du cabinet à Orlando. Dans une présentation non conformiste (quand quelqu’un présente des arguments en faveur d’un résultat qui est encore incertain), il a prétendu que bon nombre des choses que les dirigeants font aujourd’hui seront automatisées. Prise de décisions automatisée Nigel Rayner, qui a décrit le croisement entre analytique, économie et affaires comme « un cheminement personnel », a pour le moins suscité la réflexion. Voici un condensé de ce à quoi vous devez vous attendre dans 40 ans. Nous sommes à un tournant dans l’évolution de « l’ère de l’information », mais la culture d’entreprise bride l’utilisation de l’informatique. à l’avenir, la prise de décisions sera automatisée et gérée par des modèles basés sur des machines bien meilleurs que ce que les humains peuvent accomplir. En fait, la majeure partie de ce que font les directeurs financiers, les PDG et les dirigeants aujourd’hui sera accomplie plus efficacement par des machines. Il y aura des effets profonds sur les affaires, la société et l’économie. Sur le court terme, le comportement de maximisation des primes des PDG et des équipes dirigeantes sera remplacé par un « capitalisme éclairé » dans lequel les actionnaires diront aux machines comment ils veulent que leur entreprise fonctionne. L’autre conclusion dérangeante (du moins pour les humains présents dans la salle) est que nous sommes nuls dès qu’il s’agit de prendre des décisions rationnelles. De plus, les régimes de rémunération, la pression des pairs et autres absurdités ne font que déformer la bonne prise de décisions. Les machines font tout simplement un meilleur travail. Les humains ne peuvent pas gérer le trop-plein d’informations, les cycles de vie courts des produits et la pression pour produire des résultats. « La façon dont nous avons évolué explique pourquoi les humains ne prennent pas de décisions rationnelles », a souligné Nigel Rayner. « Nous ne sommes pas conditionnés pour être rationnels. Et même si nous l’étions, l’environnement actuel et le rythme des affaires empêcheraient les dirigeants d’équilibrer les besoins à court terme et à long terme. » Les humains surestiment leurs capacités et glorifient le passé, et ces caractéristiques entraînent de mauvaises décisions. Les machines sont plus efficaces que les humains pour effectuer un diagnostic clinique, cibler les clients rentables, recruter des employés et prédire les vendanges. « Partout où je regarde dans la modélisation comportementale, les machines surpassent les humains », a constaté Nigel Rayner. C’est là qu’intervient le superordinateur que vous connaissez déjà et qui sera monnaie courante dans 40 ans. Nigel Rayner a ajouté: Dans le monde des affaires, les applications d’optimisation et de modélisation de la rentabilité identifient des sources de profits jusqu’alors inconnues, tandis que des évaluations validées reposant sur des statistiques peuvent être plus efficaces pour le recrutement que des responsables humains. Le phénomène est déjà en marche, étant donné que les modèles prédictifs maximisent déjà les profits à travers l’entreprise. Les machines effectuent déjà mieux la modélisation prédictive et l’évaluation des talents. L’étude analytique basée sur des modèles est la prochaine course à l’armement pour les géants de la technologie. Imaginez juste à quel point ces systèmes seront répandus dans 40 ans. Les cerveaux rationnels de l’entreprise Au final, nous aurons des modèles et des systèmes d’opérations intelligents qui automatiseront les entreprises et les processus qui les gouvernent. Les machines seront les cerveaux rationnels de l’entreprise. Les humains feront ce qu’ils savent faire de mieux: élaborer de nouveaux services, étudier les risques et innover. En d’autres termes, les humains seront davantage des penseurs stratégiques, réfléchissant aux « cygnes noirs » potentiels et ajustant les modèles en conséquence. En tant qu’un des humbles humains présents dans la salle, je n’ai pas pu m’empêcher de m’interroger sur les chiffres du chômage dans 40 ans. Certes, je me ferai un peu vieux d’ici-là, mais à supposer que l’âge de la retraite passe à 95 ans (seul moyen pour la sécurité sociale d’être solvable), cet argument de Gartner a franchement de quoi inquiéter. Les machines automatisent déjà le travail des humains dans de nombreuses industries, les poussant vers la sortie. L’avantage est que le collectif sera responsable de la prise de décisions. Nigel Rayner a ainsi fait remarquer: La plupart des tâches de gestion de routine seront éliminées. à la place, l’accent sera mis sur l’innovation dans les produits, les services et les modèles opérationnels… des activités qui sont bien plus adaptées à l’esprit humain (notamment le subconscient). Dans le monde de l’informatique, les compétences en modélisation sociale et économique seront très prisées. Un argument prometteur, non? Le contrepoint est que tout ce temps disponible et cette concentration sur les tâches de niveau supérieur (puisque les machines feront tout) ramolliront les humains. Par exemple, les pilotes de ligne s’en remettent tellement aux machines que c’est à peine s’ils savent voler manuellement. Dans ce monde, nous risquons de ne pas savoir innover, raisonner et gérer une entreprise parce que nous perdrons la main. L’intelligence collective et les machines l’emporteront sur le prochain Steve Jobs. Article original : http://www.zdnet.com/blog/btl/analytics-in-40-years-machines-will-kick-human-managers-to-the-curb/61092 Le monde de demain s'annonce passionnant ;-) D'ici 40 ans ça me paraît trop tôt cependant. Enfin, je dis ça parce que je suis statisticien et cet aperçu du futur où nos modèles sont industrialisés au possible me fascine et me réjouis. Je ne sais pas ce que vous en pensez.
  22. Je me demande si au fond de leur coeur, ils pensent vraiment aider la création artistique ou s'ils ont sciemment donné de la thune à leurs copains.
  23. Ha ben tiens, d'ailleurs, à partir de quand Cicéron n'a plus été à la mode ? 1968 comme on l'entend souvent ou plus avant ? Où peut on voir les premiers germes ?
  24. Jamkan… Il y a des avantages à bosser dans la fonction publique, c'est indéniable. On peut légitimement les trouver hors de proportion voire les jalouser. Le mot "privilège" n'est pas neutre. C'est bien insultant de parler de privilèges pour un aspect de la rémunération d'un fonctionnaire alors que si on regarde bien, sa rémunération globale serait plus élevée en dehors du fonctionnariat. Tu es payé avec ton propre argent ? Ce que je veux dire, c'est que le problème d'allocation de ressource que représente les fonctionnaires doit être attaqué à sa source, à l'Etat. Les insultes envers ceux qui choisissent d'occuper une niche économique particulière ne sont pas bien malines.
  25. Leurs privilèges… faut pas exagérer non plus. Leurs avantages font parti de leur rémunération. On peut la considérer trop haute mais bon, c'est vraiment de la mesquinerie de raler pour tel ou tel aspect. Quant à l'intérêt quand par exemple quand tu montres aux enseignants que c'est en France qu'ils sont les moins bien payés d'Europe pour un enseignements pas vraiment différent de ce qu'on voit ailleurs, tu fais vraiment vibrer une corde.
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