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Tout ce qui a été posté par Largo Winch
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Largo Winch a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Ce soir : TF1 -> Les bronzés font du ski France2 -> Le Père Noël est une ordure Après la soirée de la variétoche boboïde de Nagui contre la variétoche bobeauf de Nikos, voici la soirée du film-de-l'équipe-du-Splendide-programmé-chaque-hiver contre le film-de-l'équipe-du-Splendide-programmé-chaque-hiver. Merci au service public de nous apporter chaque soir une telle contre-programmation culturelle à l'inculte télé privée. Pas de doute : on ne regrette pas sa redevance. -
Vu il y a quelques jours en concert, accompagné justement d'Idris Muhammad.
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
Largo Winch a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Vous n'avez pas dû tout lire… -
Il a tout de même à son actif des compositions qui sont devenues des standards incontestés du jazz : Watermelon Man, Cantaloup Island, Dolphin Dance, Maiden Voyage… Mais il est vrai qu'il a ce défaut, aux yeux de certains amateurs de jazz élitistes, de vouloir proposer une musique populaire, ce qui le situe pourtant dans la plus pure tradition de ce style musical, contrairement à tous ces free-jazzmen qui confondent émotion musicale et pseudo-intellectualisme post-moderniste.
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Bastiat est un vulgarisateur et un pamphlétaire. C'est un auteur sympathique mais franchement, ça n'a pas de sens de le mettre sur le même plan que les autres auteurs.
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Oh, Vigon ! Le soul man franco-marocain ! Je pensais être le seul à connaître ce gus… Super scopitone. Pour la petite histoire, Michel Jonasz a débuté comme musicien à ses cotés.
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Pour la petite histoire, Michael Hammer avait fini par être assez critique à l'égard de sa méthode. C'est tout juste s'il ne disait pas que le reengineering était une connerie…
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Phasmes, très zolies personnes & pissenlit
Largo Winch a répondu à un sujet de LeSanton dans La Taverne
J'approuve ! Émilie Simon a vraiment un petit quelque chose qui me plait bien. -
Où as-tu lu ça ? Je suis extrêmement surpris car j'ai lu l'autobiographie de Miles Davis (il y a longtemps, peut-être que ma mémoire me fait défaut), et j'avais au contraire gardé en tête sa conception raciale de la musique et la forte revendication d'un encrage identitaire ethnique.
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Hu hu hu ! Lorsqu'on ne supporte pas les retours de bâtons, mieux vaut s'abstenir de jouer à la provocation.
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Lucilio, tu déplaces la discussion. Celle-ci ne portait pas au départ sur l'opposition entre musique africaine et musique occidentale, mais bien sur l'existence d'une musique noire spécifique dans le cadre occidental. Quand Taranne parlait de "musique noire", il était évident qu'il se situait dans ce cadre et qu'il évoquait la musique noire américaine(*). Là-dessus, Gadrel vient nous expliquer que parler de "musique noire" n'a pas de sens… parce que les noirs jouent sur des instruments créés par des blancs ( … j'en rigole encore). De ton côté, tu nous expliques que la musique noire américaine est blanche (sous-entendu "blanc" = "occidental"…). Oui, le jazz, la soul, le rythm & blues… sont des musiques originaires des E.U. (et non d'Afrique) et ont été fondés sur l'héritage musical occidental… mais par des noirs américains. Il ne t'a pas échappé que Mingus, Monk ou Davis sont tous trois noirs, comme l'écrasante majorité des artistes qui ont innové dans ces genres musicaux. Dans les 3 ouvrages mentionnés plus haut, il doit bien y avoir plus de 90% des artistes recensés qui sont noirs américains. Il ne s'agit évidemment pas de nier l'importance d'artistes comme Glenn Miller ou Gil Evans, mais plutôt de repérer les spécificités culturelles (ou "identitaires" comme l'explique très bien freejazz) d'un courant musical. —-- (*) Il vaudrait certainement mieux parler de "musique noire américaine" que de "musique afro-américaine", le terme "afro-américain" étant assez ambigu (bien qu'il désigne clairement une population occidentale).
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C'était bien le sens de mon propos avec le clavinet. Les allemands qui ont créé cet instrument n'avaient pas imaginé que son utilisation serait "détournée" de cette façon (d'un point de vue rythmique) par la musique populaire noire américaine. Ah, maintenant, si je comprends bien, il aurait fallu que les noirs américains inventent carrément la musique pour qu'on leur reconnaisse une quelconque influence…
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Tu as oublié aussi Sun Ra dans ta liste…
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Trois ouvrages majeurs qui montrent à quel point parler de musique noire américaine n'a pas de sens :
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Ah d'accord… La musique afro-américaine n'a pas été créée ex nihilo, donc elle n'existe pas… Décidément… Quant à l'argument des "instruments de blancs", il suffit de voir par exemple la façon dont les noirs américains ont utilisé le clavinet, ce "clavecin électrique", pour mesurer combien cet argument est particulièrement creux. Les provocations gratuites à répétition de Gadrel ne correspondent pas exactement à la conception que j'ai d'un comportement de gentleman.
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Non ?! Tu crois ?… Moi aussi, je peux sortir des arguments aussi puissants : - "Je me demande si cela a un sens de parler de cinéma indien alors que le cinéma suppose l'utilisation d'une technologie inventée au départ par des français." - "Je me demande si cela a un sens de parler de littérature française alors que l'impression de livres se fait sur papier, invention qu'on attribue généralement aux chinois." Jouaient-ils au moins sur des instruments peints en noir, faute d'être inventés par des noirs ?
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Rien d'étonnant à cela quand on croit que James Brown est "l'homme d'une seule chanson" ou que Coolio est le plus grand artiste hip-hop.
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message supprimé
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Un commentaire de série B, comme d'habitude.
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Oh ! Quelqu'un qui connait Dag. C'est assez rare. C'était effectivement un bon groupe. Leur 2e album Apartment #635 était pas mal également.
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Grrrr ! Ce titre n'a strictement rien de ringard. A noter au passage que beaucoup de gens pensent, depuis "Jackie Brown", qu'il s'agit d'un titre original des frères Johnson. C'est en fait une reprise d'une chanson de Shuggie Otis : J'en profite pour recommander chaudement ce magnifique album de Shuggie Otis dans lequel il développe une sorte de funk nonchalant (outre le titre Strawberry Letter 23) :
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Réchauffement climatique
Largo Winch a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Petit rappel d'un exemple d'interventionnisme étatique : Les Bus Chiliens (fil à lire jusqu'au bout pour voir le succès de la règlementation publique en matière de transport à Santiago). -
… et passer à côté de Jennifer Connelly !?… ça ne va pas, non !!?
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Vivement la soirée : un bon concert jazz-funk des familles, comme je les aime ! Avec tout d'abord l'excellente funkateer RAD. Puis les papys de la funk, Fred Wesley & Pee Wee Elis (les cuivres de Parliament et la direction musicale de James Brown, ce sont eux !) pour An African Tribute to James Brown. Voilà qui va bien démarrer Jazz à Vienne et mettre le feu au théatre antique. Une bonne entrée en matière, avant le concert de lundi que j'attends avec impatience : Herbie Hancock.
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