-
Compteur de contenus
4 961 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Yozz
-
Journée de l'esclavage
Yozz a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
+1 -
Journée de l'esclavage
Yozz a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Tout-à-fait d'accord. -
Journée de l'esclavage
Yozz a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
C'est pas aberrant de pointer une erreur ou maladresse dans une énumération, si? -
Journée de l'esclavage
Yozz a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Le 3. Qui à mon avis était une maladresse. Epicétou, y a pas mort d'homme, comme quelqu'un l'a déjà signalé, je crois que tout le monde est d'accord sur le fond (les points 1 et 2 de ton post). -
Journée de l'esclavage
Yozz a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Personne n'a prétendu ça Chitah, il y a juste eu discussion sur un point précis de ton post. Personne ne conteste le reste, et Raoul vient même d'indiquer qu'il était d'accord avec -
Journée de l'esclavage
Yozz a répondu à un sujet de free jazz dans Politique, droit et questions de société
Je ne pense pas. Le raisonnement de Tramp et Raoul consiste juste à montrer qu'utiliser le non-paiement de prestations comme tu proposais de le faire est complètement inadéquat. Tous deux me semblent dire que le crime gravissime qui peut être indemnisé est d'avoir été privé de liberté (et les conséquences morales en tous genres que cela entraîne), et non pas le fait d'avoir été suffisamment payé. Ce qui me paraît extrêmement sain. Ils ne prétendent certainement pas que c'est la seule indemnisation possible, ils ne font que répondre à -
Je ne dirai rien, mais je n'en pense pas moins.
-
Ah ben c'est dommage, j'étais dans le southwark il n'y a pas longtemps et je n'en ai pas vu...
-
Mes machines sont complètement sauvegardées sur timecapsule, les docs de ma boîte (rien d'ultra-confidentiel, mais je ne peux pas les perdre) sous dropbox.
-
Disons, plus envisageable sous l'angle de "oui bon je suis bourré en soirée, ok je veux bien la ramener" que sous l'angle de "waouw, je la veux". C'était un grand moment d'élégance signé Yozz.
-
Bon ben tiens, j'ai recommencé la cigarette électronique aujourd'hui avec la Janty Neo. Sympa.
-
J'aurais peut-être dû préciser que les moches c'était pas mon truc non plus. (D'ailleurs Jolie, ben bof quoi).
-
Voilà
-
Question de goûts, moi pas.
-
[mauvaisgout on] Est-ce qu'on verra la différence vu que la majeure partie de ses seins sont sans doute déjà en plastoc? [mauvaisgout off]
-
Je suis le seul à réaliser que Raoul fait de l'humour?
-
J'aime beaucoup Hoppe, mais cette idée-là est un peu bancale, et un peu "OSEF". Paradoxalement, l'article en lien est le plus convaincant quand il parle de l'athéisme de Keynes comme d'un lien avec son économie.
-
Hinhinhin. Si on va par là, http://www.lewrockwell.com/rothbard/frb.html Ce qui indique que le vieux Murray voyait bien que c'était deux choses différentes.
-
Waouw. Faire un contre-sens aussi énorme sur le droit d'opposition est beau. Ce n'est pas du tout ça que le droit d'opposition permet. Ou bien tu es de la pire mauvaise foi, ou bien tu n'as pas les moyens de cette discussion. Au vu de la remarque présente, c'est une démonstration de rien de tout. La relativité s'applique aux effets internes des conventions. Les effets externes sont applicables aux tiers. Notamment ce qui grève le patrimoine (on peut songer aux hypothèques). La grosse condition est généralement de publicité. Ca tombe bien, la RL est publique dis donc. Personne n'a dit que c'était une clause, mais que c'était l'équivalent fonctionnel, et à ce titre pas plus critiquable qu'une clause qui sortirait les mêmes effets. Alors ça c'est beau. Un démembrement de propriété où celui qui a le fructus est le propriétaire en lieu et place de celui qui a l'abusus. Et après une ineptie pareille, encore attaquer les compétences juridiques de son interlocuteur. Magnifique. Volens nolens, tu viens de démontrer que c'est bien lui qui est propriétaire, pas la banque. Un contrat de donation responsabilise moyennement, et une clause d'exonération de responsabilité pas du tout. Tu prends tes rêves pour des réalités. Plus exactement, Raoul continue d'employer des concepts qu'il comprend adéquatement, là où tu étales erreur sur erreur et refuses d'apprendre quoi que ce soit. Ca ne me poserait pas de problèmes si ça ne se couplait à l'arrogance adolescente en sus.
-
Globalement d'accord, mais SCUM, c'est vraiment que les plus hardcore des hardcore, je ne parlerais pas de cohortes. La plupart des gonzesses, féministes ou pas, chient dessus. Dans la série décérébrée paumée, son auteur se pose un peu là: http://en.wikipedia.org/wiki/Valerie_Solanas
-
Le truc c'est que j'ai l'impression que tu veux régler le problème des réserves fractionnaires en supprimant la limitation de responsabilité aux apports, mais c'est oublier que 99,99% des sociétés ne sont pas des banques. Pour "régler" un problème, tu en génères un beaucoup plus grand. EDIT: et en quoi est-ce que le client est "caution"? Il est forcé par la responsabilité limitée à renoncer à une partie de sa créance, mais il ne doit pas activement payer les autres créanciers de la banque (ce qui serait l'effet de se porter caution). Pour obtenir le même effet, la clause devrait approcher : "En cas de liquidation, la banque ne restituera le dépôt du client au client qu'à hauteur de la plus basse des deux sommes entre le capital social social de la banque et le montant déposé par le client, sans préjudice des droits concurrents d'autres clients". La clause que tu proposes pourrait avoir pour effet que le client pourrait récupérer son dépôt et néanmoins devoir indemniser d'autres clients. Plus encore, ça signifierait que les autres clients pourraient directement actionner ce client-là, ce qui n'est évidemment pas l'effet atteint par la responsabilité limitée de la banque.
-
En fait, une société de personnes pure (SNC ou quoi) m'inspire encore beaucoup moins confiance, entre autres parce que j'ai une idée beaucoup moins claire du patrimoine auquel j'aurais accès en cas de problème.
-
Ah oui, je viens de voir qu'en fait même une SA est problématique pour toi - donc au fond la personnalité juridique et les patrimoines réellement distincts te posent un problème? C'est vraiment le principe même. Waouw. Là je ne sais même pas par où commencer.
-
En tant que gérant de ma boîte, j'ai toujours âprement conscience du statut juridique de la boîte avec laquelle je contracte. En termes économiques, c'est un facteur que je prends en compte dans mon calcul de risques. Je suis là un exemple de la règle plutôt que de l'exception. L'accès au crédit est un domaine où on voit bien que les agents économiques prennent ce facteur en compte. Le fait que ce soit unilatéral et général ne change guère mon consentement à l'histoire - si je ne le souhaite pas, je contracte avec quelqu'un d'autre. On est face à une situation totalement comparable à un contrat d'adhésion. Ce que les conditions générales des boîtes avec lesquelles je contracte et qui comportent des clauses encore bien plus restrictives sont, du reste. De surcroît - et c'est là, je te le concède, paradoxal à première vue - les comportements les plus risqués sont souvent pris par des SA. On ne retrouve guère cette irresponsabilité tant crainte dans les plus petites structures caractérisées par une responsabilité très limitée. Parce que les moyens à disposition sont tout autres et que malgré tout, on est là pour faire du profit. Une faillite reste douloureuse, même en SARL. On n'est pas dans la situation typique des banques (SA au passage) qui profitent du fameux "too big too fail" pour prendre des risques en sachant que l'Etat est derrière. On voit d'ailleurs le vice de raisonnement - pourquoi diable existerait-il des SA si c'était si confortable d'être en SARL? Mieux vaudrait multiplier les SARL, non?