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free jazz

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Tout ce qui a été posté par free jazz

  1. Vous connaissez un bon moteur fiable alternatif à Google? Google m'énerve, avec sa propagande féministe et ses animations débiles.
  2. free jazz

    Bar du football

    En torturant les chiffres on leur fait dire ce qu'on veut, par exemple Henry n'a fait que deux saisons pleines en Espagne, donc déjà ça ne veut rien dire, Zidane n'était pas un buteur, etc. Compare plutôt les stats de Benzema à celle de Ronaldo (pourtant pas un 9) ou même de Higuain, tu verras qu'elles sont médiocres. Les faits sont là, une saison réussie sur 4, Benzema est une doublure décevante, il ne devrait d'ailleurs pas faire long feu au Real, sil n'était protégé par qui vous savez. Quant au discours de Tremendo sur la pépite au potentiel mal utilisé par Blanc et Deschamps mais qui devrait s'exprimer incessamment sous peu, c'est risible, ça fait des années qu'on entend cette antienne à propos de joueurs tombés dans l'oubli.
  3. free jazz

    Bar du football

    Benzema en Espagne fait plus parler de lui dans la chronique judiciaire que sur le terrain. Joueur surcoté, sur le banc au Real, fantômatique chez les bleus, c'est l'imposture du foot français : http://www.lepoint.fr/sport/karim-benzema-l-imposture-du-football-francais-06-03-2013-1636561_26.php
  4. free jazz

    Bar du football

    Comme tu le sais, l'Angleterre est l'exemple type du pays qui a fait le ménage pour éloigner les voyous des stades, en leur faisant la guerre pendant plus de 20 ans. Il est clair qu'en France le ménage n'a pas été fait, chacun doit balayer devant sa porte. Et les Ribery, Anelka, Benzema Nasri & co sont en effet des contre-exemples en matière de sportivité et de comportement civilisé. Encore que pour Ribery, la discipline allemande et les séances de frigo lui ont fait du bien, il parle moins aussi,
  5. Si l'autorité du roi venait uniquement de Dieu ce serait une théocratie, non une monarchie, sauf monarchie pontificale. La monarchie de droit divin correspond à une dérive absolutiste, d'ailleurs la désignation des rois carolingiens jusqu'à Hugues Capet combinait hérédité et élection par la noblesse. En tant qu'héritière de la féodalité, la monarchie tire son autorité de l'art militaire, elle est la puissance armée et pacificatrice, gardienne des "libertés, privilèges, franchises, provisions et juridictions des Gens d'Eglise, nobles, cités, pays et villes." Dans l'ouvrage de référence, "Les deux corps du roi", Kantorowicz montre que la monarchie représente une identité double: le corps mortel du souverain, et le corps immortel de la communauté politique, qui assure la perennité du royaume selon la formule "le roi est mort, vive le roi". Mais Kantorowiscz montre aussi qu'il n'y a pas de rupture entre l'autorité de la monarchie et l'Etat-nation moderne, puisque la souveraineté dérive d'une catégorie théologico-politique forgée par le droit canon. Selon Jean Bodin, le roi n'est pas seulement lieutenant de Dieu, mais détient une autorité paternelle sur le peuple en vue de la sauvegarde du Bien commun, sa légitimité vient du pater familias. Les choses changent avec Machiavel, le Prince devient détenteur de la Raison d'Etat, conçue comme science de la conservation du pouvoir et de son équilibre intérieur et extérieur. Je parle sous le contrôle de f.mas. Puis avec Hobbes, la souveraineté devient une puissance abstraite et autonome, indépendante du roi. n.b : un split serait bienvenu.
  6. Pas mal les commentaires pour une fois, on y apprend que les rats peuvent être transformés en pâté, dressés pour détecter les mines, ou recyclés chez Findus.
  7. La presse d'opinion est une conséquence nécessaire de la démocratie. Pas de démocratie sans ce que Hegel appelle la prière du matin pour le citoyen, autrement dit pas de démocratie sans lecture des journaux (aujourd'hui on parlerait de la messe du J.T) et donc sans une classe bavarde. D'autre part l'engouement de la presse d'opinion pour le Printemps arabe montre bien que les passions démocratiques s'ancrent dans une mythologie messianique, qui s'est jointe à ce moment avec un imaginaire orientaliste typiquement romantique.
  8. Les églises se vident, pendant que les cabinets de psy se remplissent, les gourous entrent dans l'entreprise et les gnoses prolifèrent.
  9. http://www.huffingtonpost.fr/2013/03/05/iran-snipers-deployes-combattre-invasion-rats-mutants_n_2810010.html?ncid=webmail_fr2
  10. Parce que quand la presse d'opinion s'enfièvre pour le Printemps démocratique arabe, pour l'élection du dernier Caudillo socialiste latino, ou pour des expéditions guerrières menées au nom des droitsdelhomme et de la démocratie, ça ne suinte pas du tout le romantisme?
  11. Je ne vois guère la pertinence d'opposer pragmatisme et idéalisme sur la question du bon régime politique. Il est clair qu'un régime excellent ne convient pas à des peuples, des climats, des circonstances différentes. Mais si on discute de la nature des régimes, il faut comparer leurs vertus et leurs pathologies respectives. On peut très bien trouver que l'aristocratie ou la monarchie sont supérieures à la démocratie, tout en restant légaliste et en acceptant le compromis démocratique, comme on s'accomode d'un mauvais voisinage bruyant et malodorant. En revanche, conserver pour conserver, c'est une attitude de repli stérile. Ne confondez pas république et démocratie, la démocratie étant la forme dégénérée de la république. Enfin les libéraux savent ou devraient savoir que ce qui compte est moins la nature du régime que la surface et l'étendue du pouvoir, donc les mécanismes de sa corruption.
  12. free jazz

    Bar du football

    Nigel Farage m'approuverait. Moi je dis que la Juve qui sort Chelsea en les tapant 3-0, c'est dans l'ordre des choses, si on aime le jeu. Libre à toi de préférer les équipes de mercenaires de la perfide Albion.
  13. Il faut être contre la démocratie parce que c'est le royaume des escrocs, des Apollon et des Yozz au carré. Que demande le peuple? Du pain et des jeux, pas la démocratie.
  14. free jazz

    Bar du football

    Juve, Bayern, Dortmund c'est du très lourd cette année, dans cet ordre de préférence. Avec un Gianluigi Buffon de Gala hier : http://www.sport24.com/football/ligue-des-champions/actualites/la-juventus-en-pilote-automatique-620503 Les anglais dehors ça fait plaisir aussi.
  15. RIP Alvin Lee. http://www.youtube.com/watch?v=bFq_rW7TaIs
  16. Maison close c'est chouette, il y a la connotation d'aller s'encanailler. Hôtel de passes bof. J'aime beaucoup lupanar, ça me fait penser à un décor de rouge feutré avec un piano droit et une fontaine à absinthe. Bordel, c'est mon juron préféré.
  17. Un chercheur analyse les ressorts de la démocratie comme régime fondé sur la crédulité des citoyens, ce qui me paraît plausible (illusion de l'égalité, de la souveraineté partagée, Etat-providence des vertus du vote, etc), la démocratie ne doit-elle pas d'abord être analysée comme un système de croyances idéologique? La construction de cette illusion se trouve renforcée par la vitesse de la rumeur sur internet, où chacun, ou chaque faction (et en premier lieu les journalistes), s'estimant armé d'un pseudo esprit critique, contribue au panurgisme des opinions, dynamique de groupe qui accroît la crédulité de la foule démocratique. Pourquoi nous voyons des complots partout Par Sébastien Le Fol le 4 mars 2013 Les bouffons ont-ils gagné la partie ? Beppe Grillo va-t-il faire des petits en Europe? Cet ex-comique italien, plus proche de Dieudonné que de Coluche, incarnerait la résistance des peuples à la politique d’austérité menée par les technocrates. La légende est flatteuse, mais manichéenne. Et si Grillo était davantage le produit de cette « démocratie des crédules », dont le sociologue Gérald Bronner annonce l’avènement dans un livre salutaire*. De tous temps les pouvoirs ont inspiré la défiance. Dans la « démocratie des crédules », celle-ci étend son empire dans des proportions déraisonnables. Les citoyens revendiquent le doute comme un droit absolu. Au nom de ce doute, chacun d’entre nous a la tentation de se poser en victime, le plus souvent des puissants complotant contre la vérité. Quand le Da Vinci Code rencontre la démocratie participative, les conséquences peuvent s’avérer ravageuses, notamment si la défiance vise l’expertise médicale. Le recul de la couverture vaccinale pour des maladies comme l’hépatite B et ou la rougeole cause ainsi des morts. Face à cette opinion publique d’autant plus suspicieuse qu’elle « croit savoir », les dirigeants politiques optent le plus souvent pour la démagogie. Dans la plupart des grands débats touchant la santé publique et l’environnement (OGM, nucléaire, gaz de schiste…), mais aussi la vie économique, la parole des militants est désormais mise sur le même plan que celle des scientifiques. Les premiers étant plus motivés et communiquant mieux que les seconds, la plupart des débats sont tronqués. L’illusion l’emporte sur le savoir. Dès lors, la démocratie devient perméable à toutes les théories du complot. Des faits imaginaires ou mensongers et des peurs fantasmées sont traités comme de véritables informations. Des attentats du 11 septembre à l’affaire Allègre de Toulouse, des plages prétendument radioactives de Camargue au soi-disant fils de Michael Jackson affirmant au journal de 20h qu’il avait été violé par Nicolas Sarkozy, Gérald Bronner en dresse une liste édifiante. Comment en sommes-nous arrivés à prendre autant de vessies pour des lanternes ? Le sociologue voit d’abord dans cette dérive un effet de la révolution du marché de l’information, qu’il appelle « cognitif ». Grâce à Internet, tous les types d’informations sont désormais d’une grande accessibilité. Les sites se livrent à une guerre impitoyable. La plupart d’entre eux ne veulent pas courir le risque de passer à côté d’une information. Comme le temps de la vérification s’est considérablement réduit, le risque d’erreurs augmente. « Savant d’illusion », le démocrate crédule est ainsi conforté dans son relativisme. Pour lui, « tout ce qui est tenu pour vrai peut, au mieux, être mis en concurrence avec d’autres manières de penser, au pire, être considéré comme illusoire. » Bronner s’est livré à un test très instructif. Il a cherché à savoir ce que le moteur de recherche Google pouvait lui proposer sur cinq sujets cristallisant l’opposition entre croyance et savoir : l’astrologie, le monstre du Loch Ness, l’aspartam, les cercles de culture et la psychokinèse. Parmi les trente premiers sites proposés par le moteur de recherche sur tous ces sujets, la grande majorité font peu de cas de l’argumentation rationnelle. Nous croyons à toutes ces balivernes parce que nous avons « des raisons d’y croire », explique Bronner. Cela ne signifie pas que nous «avons raison de croire ». Contrairement à une idée fort répandue, notre niveau d’éducation ne nous immunise pas contre les superstitions. Le CV des kamikazes du 11 septembre en atteste. Partant de constat alarmant, comment rétablir la confiance des citoyens sans laquelle il ne saurait y avoir de vie démocratique sereine ? Bronner appelle de ses vœux une « démocratie de la connaissance », dont il reste à préciser le contenu. Si l’auteur ne stigmatise personne, il appelle les acteurs de la connaissance, au premier rang desquels les journalistes et les scientifiques, à prendre leurs responsabilités. Et les politiques dans tout ça ? Eux aussi devraient se remettre en question. Aux yeux d’une opinion toujours plus suspicieuse, le slogan « on n’a pas le choix » ne peut plus tenir lieu d’argument. La preuve par l’Italie. * La démocratie des crédules (PUF)
  18. Il n'y a aucun mépris quand je me réfère à l'effet Barnum, je pense que la superstition et la crédulité ont plus d'utilité sociale que la vérité. Après je ne veux pas lancer de débat épistémo en taverne, mais il est clair que l'AT et la PNL n'ont pas plus de validité scientifique que l'astrologie. Un exemple : d'où vient cette division tripartite du moi et cette identification au "Moi Parent", l'attribution à l'une ou l'autre de ces catégories est complètement arbitraire. Un sujet s'y reconnaît parce qu'il désire s'y reconnaître, donc on ne sort pas de la cosmétique. Ensuite quand je parle de Barnum au sens large, il s'agit du Barnum des charlatans new age qui prospèrent sur la demande de sécurité hédoniste.
  19. C'est aller un peu vite en besogne qu'exclure la démocratie représentative du champs démocratique : coucou Tocqueville. L'aspect dégénéré de la démocratie c'est plutôt la démagogie, la dérive klepto et techno. Quant à Hoppe j'ai l'impression qu'il mélange un peu tout : monarchie, féodalité, lutte des classes, souveraineté...
  20. ça reste assez flou pour couvrir les domaines de la cosmétique ou des thérapies alternatives. En tapant coaching & développement personnel, on tombe sur des sites bien cucul et concon : http://www.ora-coaching-paris.com/ http://www.tamajicoaching.org/ En tapant analyse transactionnelle & développement personnel, on tombe tout de suite dans le Barnum : http://www.ecoute-psy.com/se-former-et-se-connaitre-grace-a-l-analyse-transactionnelle.htm http://www.alarencontredesoi.com/outils2.htm
  21. http://www.lecri.fr/2013/02/28/deputes-marc-le-fur-franck-gilarddemande-la-suppression-du-conseil-economique-social-et-environnemental/39117
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