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Tout ce qui a été posté par free jazz
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Je me demandais justement à quoi sert un ministre des solidarités. Incidemment, où qu'elles soient, les femmes de l'UMP sont des calamités.
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L'euro n'est pas responsable de la décadence actuelle, en revanche après avoir dopé l'endettement il est en train de devenir une prison socialiste. Il ne reste plus qu'à espérer que l'Allemagne tiendra bon, c'est le dernier rempart du bon sens et du réalisme dans cet asile de fous. Sur le moyen terme, sans céder à un optimisme timurien, je suis confiant: l'Europe millénaire survivra à cette énorme crise socialiste.
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Avec la mise en place du défaut sur 50% de la dette grecque, ce sont déjà 15 trilliards de $ d'actifs fantômes qui sont partis en fumée. Et la Grèce n'est que la partie émergée de l'iceberg. Avec la décote généralisée des dettes européennes, cette purge va s'amplifier avec son corollaire, la destruction des contreparties fictives adossées aux subprimes obligataires occidentales et le démantellement des grands établissements financiers défecteux, ce qui obligera les investisseurs imprudents à prendre leurs pertes. Que voulez-vous de plus pour tondre les rentiers qui se sont repus d'argent facile: reprendre la fausse épagne par un impôt confiscatoire sur l'héritage? L'impôt, par son caractère aveugle et arbitraire, ne frapperait pas les renards rapides et mobiles, mais spolierait in fine l'épargne des classes moyennes travailleuses, puisque les consommateurs d'allocations y échappent également. En revanche augmenter la taille de la cavalerie en donnant aux eurocrates le pouvoir de manipuler la monnaie, c'est le meilleur moyen de garantir aux riches papy boomers leur fausse épargne en dette publique, obtenue en récompense d'avoir fait les poches de leurs enfants et pillé la caisse publique. Viser une politique inflationniste en remboursant les dettes en monnaie de singe, reviendrait à détrousser une seconde fois leurs enfants et leurs maigres économies. C'est aussi le meilleur moyen de poursuivre la gabegie, d'augmenter le pillage, les marchés en sont d'ailleurs tout-à-fait demandeurs.
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Au fond poser la question de la banqueroute versus monétisation revient à poser la question "qui doit payer": les cigales et les renards qui se sont goinfrés de repas gratuits en hypothéquant l'avenir, ou les travailleurs et épargnants? Débat intéressant des experts entre Jean-Marc Daniel et Olivier Berruyer sur la monétisation de la dette. Le premier, kéynésien bon teint qui s'inspire de Ricardo, explique que la banque centrale doit permettre aux Etats de s'endetter sans risque de faillite, à condition que les gouvernants se comportent en gentlemen vertueux soucieux d'investir dans l'avenir. Le second répond qu'en dehors de la parenthèse keynésienne la dette des Etats a toujours été au cours de l'histoire un actif risqué, qu'ajouter une pyramide de dettes à de la dette ne peut jamais créer de la croissance, et surtout que monétiser en empêchant les faillites avec de la fausse monnaie reviendrait à instaurer un socialisme des riches en Europe. http://podcast.bfmbusiness.com/channel78/20111115_experts_1.mp3
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Images fun et leurs interminables commentaires
free jazz a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/11/16/smac-obama-embrasse-chavez-sur-la-bouche/ -
La Russie fonctionne grâce à un modèle autoritaire propre au despotisme asiatique. Le système de l'euro, dans sa forme bureaucratique, en tant que projet d'intégration forcée, est plutôt comparable à l'ex URSS, les chars en moins, union fondée elle aussi sur une technostructure dont on sait ce qu'il est advenu dès lors que les forces centrifuges ont été libérées. Quant aux Etats-Unis (où le dollar préexistait à l'indépendance), s'ils formaient à l'origine une confédération d'Etats relativement homogène articulés sur un projet de république agrarienne, il a fallu ensuite une guerre civile pour uniformiser l'Etat fédéral et imposer les velléités fédéralistes du nord. Voulons-nous du retour de la guerre civile en Europe? D'ailleurs les grands esprits se rencontrent, je lis sur Contrepoints un article du bon Charles Gave qui va dans mon sens. http://www.contrepoi…atie-assassinee . Oui en plus, la construction artificielle d'une monnaie purement fiat n'est pas comparable avec une véritable monnaie souveraine, métallique et trébuchante.
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http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/11/15/une-jeune-egyptienne-pose-nue-pour-denoncer-l-obscurantisme_1604141_3212.html
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Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
free jazz a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
Pour faire court, l'intellingentsia multiculturaliste s'est appropriée Lévi-Strauss (parmi d'autres) pour en faire un apôtre du métissage version UNESCO & village global, alors que la propagande absurde autour du dialogue des cultures le faisait marrer, puisqu'il a passé sa vie à défendre la diversité et la singularité de leurs identités. Ils ont voulu en faire une sorte de messie de l'universalisme planétaire alors que toute son oeuvre tend bien plutôt vers Huntington et Burke. Il y a maintenant le même type d'opération avec René Girard, on entend ainsi la basse-cour médiatique parler à toutes les sauces de boucs-émissaires, en dévoyant la théorie du mimétisme sacrificiel. Tous victimes, tous boucs-émissaires: dites le contraire et vous voilà accusé de populisme. C'est devenu une notion fourre-tout qui sert de faire-valoir à certains groupes dans la concurrence victimaire, un slogan déresponsabilisant qui anesthésie la critique des rapports de force entre groupes d'oppression. -
Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
free jazz a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
Je pensais davantage à sa théorie de la violence que celle de la stratégie, ici exposée par René Girard. [dailymotion]xefnq3[/dailymotion] A propos de Girard, il faut se méfier des tentatives de récupération par la gauche bien-pensante, qui après son OPA sur Lévi-Strauss, a complètement détourné la théorie du bouc-émissaire pour l'utiliser dans son entreprise de terrorisme intellectuel et d'apologie de l'irresponsabilité. -
Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
free jazz a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
Pour déniaiser Anthropo, il faudrait plus qu'un peu d'anthropologie et moins de sentimentalisme féminin. Lire Hobbes évidemment, Machiavel, Clausewitz, René Girard . Qu'elle s'observe donc elle-même au quotidien quand, prenant le métro ou un train de banlieue, elle use de précautions et cherche à être bien accompagnée, quand, allant se coucher, elle ferme ses portes à clef, et même dans sa maison,verrouille sa chambre ou sa salle de bain; et cela alors qu'elle sait qu'il y a des lois et des agents de police suffisamment armés selon ses dires, pour la protéger ou venger les dommages qui lui seraient faits. Quelle opinion a-t-elle de ses frères humains quand elle s'enferme ainsi dans sa maison, pourquoi ne pas laisser ouvertes portes et fenêtres, si elle a réellement le sentiment que le monopole légal de la violence suffit à la protéger des agressions? Par son comportement suspicieux et maniaque du contrôle, n'accuse-t-elle pas davantage les passions humaines que Hobbsiens et libertariens le font par leur mots? A chaque fois que je croise ces pacifistes confits de bons sentiments, qui préparent en fait la guerre et non la paix, il me revient ce mot d'Oswald Spengler : "La paix est un souhait, la guerre est un fait, et l'histoire n'a jamais prêté attention aux désirs et aux idéaux humains. Le pacifisme signifie laisser les non-pacifistes prendre le contrôle." -
Interrogation légitime si l'on raisonne dans le cadre du relativisme des valeurs, ou du goût pour le droit subjectif introduits par le libéralisme des moeurs en vertu d'une neutralité axiologique douteuse. Mais je ne comprends pas comment vous pouvez convoquer Nietzsche pour réfuter le droit naturel, alors que toute sa science généalogique de la morale repose sur une naturalisation du droit et de la justice pénale, allant même jusqu'à en faire un instinct humain. Ce précisément en vue de combattre le relativisme, la subversion de la justice par la morale égalitariste (chrétienne ou socialiste, corruptrice du bon et du mauvais) décrite par lui comme morale des esclaves, l'instrument de vengeance des faibles contre les forts au moyen du ressentiment contre l'exercice de la responsabilité individuelle. Responsabilité dont l'origine est à découvrir dans l'économie des instincts consistant à rendre à chacun son dû, ce qui lui appartient. L'instauration des lois, la justice nécessaire pour domestiquer l'animal humain, animal capable de promettre et de passer des contrats, apparaît ainsi sous la forme d'une relation d'obligation entre créancier et débiteur, car tout peut être payé, tout acte doit se payer. Et le débiteur qui viole ses obligations envers son créancier se verra naturellement infligé un châtiment qui sera une compensation pour le créancier, car «voir souffrir fait du bien, faire souffrir encore plus». Je cite la Généalogie de la morale : "C’est là précisément la longue histoire de l’origine de la responsabilité. Cette tâche d’élever et de discipliner un animal qui puisse faire des promesses a pour condition préalable, ainsi que nous l’avons déjà vu, une autre tâche : celle de rendre d’abord l’homme déterminé et uniforme jusqu’à un certain point, semblable parmi ses semblables, régulier et, par conséquent, appréciable. (…) La fière connaissance du privilège extraordinaire de la responsabilité, la conscience de cette rare liberté, de cette puissance sur lui-même et sur le destin, a pénétré chez lui jusqu’aux profondeurs les plus intimes, pour passer à l’état d’instinct, d’instinct dominant : — comment l’appellera-t-il, cet instinct dominant, à supposer qu’il ressente le besoin d’une désignation ? Ceci n’offre pas l’ombre d’un doute : l’homme souverain l’appelle sa conscience… Pendant la plus longue période de l’histoire humaine, ce ne fut absolument pas parce que l’on tenait le malfaiteur pour responsable de son acte qu’on le punissait ; on n’admettait donc pas que seul le coupable devait être puni : — on punissait plutôt comme aujourd’hui encore les parents punissent leurs enfants, poussés par la colère qu’excite un dommage causé et qui tombe sur l’auteur du dommage, — mais cette colère est maintenue dans certaines limites et modifiée par l’idée que tout dommage trouve quelque part son équivalent, qu’il est susceptible d’être compensé, fût-ce même par une douleur que subirait l’auteur du dommage. D’où a-t-elle tiré sa puissance, cette idée primordiale, si profondément enracinée ? cette idée peut-être indestructible, aujourd’hui que le dommage et la douleur sont des équivalents ? Je l’ai déjà révélé plus haut :des rapports de contrats entre créanciers et débiteurs qui apparaissent aussitôt qu’il existe des « sujets de droit »,des rapports qui, à leur tour, ramènent aux formes primitives de l’achat, de la vente, de l’échange, du trafic en un mot. " http://fr.wikisource…me_dissertation
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La rhétorique de Sloonz selon laquelle soulever le problème de la souveraineté des peuples annonce un retour populiste aux heures les plus sombres, au moment de la confiscation des démocraties par une technostructure centralisée, est pathétique et ne mérite guère de s'y attarder. Ce poncif est suffisamment rabâché par les fédéralistes amateurs de point Godwin comme le cuistre Quatremer, à qui chaque consultation démocratique donne des sueurs froides. Plus intéressant est celui de la viabilité intrinsèque d'une monnaie unique entre des nations culturellement hétérogènes, que l'euro était censées faire converger vers une construction politique artificielle. A ce titre , l'expérience que nous voyons se dérouler sous nos yeux est instructive en termes d'effets pervers du constructivisme: en interdisant les ajustements par la concurrence et la contrainte des taux de change flottants, la monnaie unique agit finalement comme une centrifugeuse. Il en résulte une augmentation croissante des divergences et tensions entre ses membres, en les poussant jusqu'au point de rupture actuel entre les écarts de taux obligataires. Les pays pris dans ce piège exigent alors plus de solidarité, c'est-à-dire plus de transferts budgétaires, plus d'endettement et plus de cavalerie financière, en acculant les pays bien gérés à un chantage. Le raisonnement démago des fédéralistes est de prétendre que l'Allemagne paiera (comme après le Traité de Versailles) et que refuser la solidarité, c'est là encore un retour aux heures les plus sombres, en agitant la bête immonde des égoïsmes nationaux. Hayek, Friedman et Gary Becker l'avaient prévu, à partir d'un simple constat de bon sens: même un régime de despotisme éclairé avec les meilleurs techniciens à la baguette, ne pourra jamais contraindre des grecs à la discipline germanique. Seuls des idéologues de l'uniformisation pouvaient croire en la viabilité d'un tel Frankenstein anti-économique. Docteur Doom Roubini, regardant dans son rétroviseur monétariste, finit par rejoindre leurs analyses, tout en feignant de prophétiser. http://www.lemonde.f…03276_3232.html
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Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
free jazz a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
J'adore ce fil, il prouve par A+B que les libertariens sont de fervents disciples de Hobbes qui s'ignorent - comme je l'ai toujours dit - en faisant de la légitime défense et de la peur de la mort violente les fondements de toute philosophie politique. Il se distinguent d'ailleurs en cela des doux rousseauistes libertaires, pour qui l'homme du contrat social doit retourner par l'éducation à sa nature égalitaire et pacifique, corrompue par les conventions. -
J'ai encore terminé dans l'Yonne en voulant pousser sur la barque depuis un embarcadère glissant comme une rampe savonnée, puis j'ai cassé la corde du moteur avant de m'apercevoir qu'on avait oublié les rames, rentré frigorifié, une phalange écrasée et bredouille… le dieu de la pêche est décidément farceur. Sean Connery s'en sort pas mal avec son gros ceinturon rouge dans ce nanar new age.
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La fraude massive est le fruit de ce fameux modèle social pathogène, qui encourage la prévarication, le pillage entre classes et générations, récompense le vice public et privé, subventionne l'immigration familiale et l'acculturation qui s'en suit. Quant aux victimes de l'urssaf et autres organismes de répression du travail, on ne peut guère les blâmer de résister à la confiscation par la ruse, en protégeant le fruit de leurs efforts.
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Au moyen d'un mouvement de concentration verticale et horizontale sans précédent des éditeurs, qui permet de rendre les utilisateurs captifs de certaines plateformes en leur refourgant de vieux catalogues, aidés en cela par une législation coercitive. Comme ce genre de position oligopolistique ne peut être que provisoire, l'avantage ne va pas durer. J'y vois bien plutôt le chant du cygne des majors. D'ailleurs, en dehors de produits très formatés, la création a déjà migré vers l'auto-production, dont le coût ne cesse de baisser. Depuis le temps qu'on annonce la mort du star-système, ça me laisse sceptique. La demande d'idoles populaires reste en hausse, et les nouveaux talents continueront d'être reconnus dans un marché plus concurrentiel. En revanche l'américanisation à outrance du marché et la soupe Rn&B facile, je pense que c'est fini.
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Mauvais exemple pour le coup, l'expérience montre au contraire un retour au modèle le plus traditionnel : c'est la musique numérique qui, ne valant plus rien, devient une activité boiteuse, et la musique vivante, via les concerts, spectacles et produits dérivés, qui crée la principale source de revenus.
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Je ne comprends pas cet acharnement contre DSK. Jusqu'à ces affaires de libertinage, je n'avais que mépris pour lui, aujourd'hui il apparait comme un centaure, un héros qui mérite des couronnes de laurier, il a réussi à radicaliser toutes les féministes hystériques de France, de Navarre et bien au-delà, a éclairé le peuple sur le degré de corruption perverse de la gauche caviar. Mieux encore: il a réussi à libérer la parole machiste, chose qu'on n'espérait plus de la droite. Je dis bravo et chapeau l'artiste, s'il se présentait je lui apporterais tout mon soutien. http://tempsreel.nou…-questions.html
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Soirée Fred Frith ici, tendance minimalisme-RIO & massacre. El-_oJd9QuQ MJ3Z7OhBJM4 1RL__CgrFHE 0OKTTp589Uc itbDvPItYNI XXML7R0ryFU E0fa_PrSHKI
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En même temps, on ne peut rien espérer de plus d'un type qui a mis la théorie du genre au programme de SVT. Et puis il ne faut pas se leurrer, ses collègues libéraux européens ne valent pas mieux. UKIP, vous dis-je.
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Encore une fois je partage l'avis de Bertez chez Lupus, pleine de bon sens malgré son biais monétariste. Force est de constater que les marchés naviguent au doigt mouillé, à la remorque de l'incurie politicienne (contrairement à ce que disent les journaux), que leurs signaux sont irrationnels. Sur l'écart de taux entre la France et l'Allemagne, je dis que ça sent la fin de partie pour le triple A, donc pour le FESF et pour l'euro.
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Prézidentielles 2012
free jazz a répondu à un sujet de Porcinet dans Politique, droit et questions de société
Qui a le mérite de bien porter son nom. -
La première option serait la meilleure, tant pour elle que pour les dominos suivants. Mais de fait, il y a déjà un défaut partiel d'au moins 50% sur la dette grecque. D'autre part le risque est accru dès lors que les souverains sont sous le régime de l'irresponsabilité et de l'aléa moral systémique créé par l'euro, qui interdit l'ajustement par les changes. Je dis au moins parce que ce niveau de défaut décote est provisoire, et qu'à moyen terme, quand auront été épuisées les cavaleries chimériques, les tensions exacerbées, il faudra admettre que ni la Grèce ni les autres Etats ne peuvent rembourser leur dette abyssale, pas plus qu'un ménage pris dans la spirale du surendettement. La méthode Coué est la communication du moment adoptée par les banques, avec force bilan manipulé et autres tests de résistance bidons - répétez après moi ce slogan rassurant: "un Etat est trop grand pour faillir". Certes, la peur du bouton déclencheur des missiles CDS leur donne quelques sueurs froides. Diversion et poudre aux yeux, car l'histoire économique est parsemée d'exemples de banqueroutes, mode de régulation institutionnel plus sain que la construction pyramidale du calamiteux FESF. Quant à l'autre option, rembourser en monnaie de singe, ça semble le destin des pays du sud, monétisation rendant inéluctable l'implosion de la monnaie unique en plusieurs zones. Comme l'acharnement thérapeutique actuel impose le pillage des contribuables européens, le plus tôt serait le mieux, de façon concertée et contractuelle plutôt que dans la débâcle et le conflit. Avec des bonds émis en Yuans (encore un plan saugrenu), ça m'étonnerait car les chinois y perdraient le contrôle de leur monnnaie. Avec des bonds émis en euro, après la catastrophe sur les titres grecs et italiens, ça m'étonnerait aussi qu'ils y risquent des masses, à moins de s'en servir comme d'un cheval de Troie politique. Mais se vendre ainsi signifierait que tout le discours sur l'Europe-puissance dans la mondialisation était une vaste escroquerie.
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Prézidentielles 2012
free jazz a répondu à un sujet de Porcinet dans Politique, droit et questions de société
Sans surprise, comme en Amérique, le candidat de gauche recueille le plus de suffrages des milieux économiques et intellectuels, selon le processus bien analysé par Thomas Sowell. -
Enfin, un parti politique intéressant !
free jazz a répondu à un sujet de Roniberal dans Europe et international
Proche de nous, je ne vois guère que UKIP qui tienne la route. UKIP welcomes Libertarian Party members : http://www.ukip.org/…n-party-members http://www.ukip.org/…-manifesto-2011
