Rübezahl

à propos de la coercition comme étant dans l'adn des socialopes : «Tous les auteurs d’utopies inscrivent le système répressif totalitaire dans l’organigramme initial de leur projet de société tel qu’ils le conçoivent dans sa perfection. La tyrannie traduit l’essence de leur pensée, avertit Revel, et non point la difficulté de la mettre en pratique. »

https://web.developpez.com/actu/364649/Sauve-de-la-faillite-Qwant-s-associe-a-Ecosia-pour-creer-un-index-de-recherche-europeen-afin-de-concurrencer-Google-et-Microsoft-Qwant-a-connu-une-serie-d-echecs-et-une-gestion-financiere-desastreuse/ OVH qui aurait racheté cette merde ☹️

J'ai explicitement écrit "violence (réelle)", ie physique. (et la violence verbale, ça reste bien du verbe avant tout). Et entre les 2, il y a bien un seuil.

Il n'y a pas 36 façons de gagner sa croûte sur terre, - soit de façon "honnête" : gain sur la nature, service à ses prochains - soit le vol Bref, le vol est un comportement inhérent/ancré de base aux espèces vivantes, donc quoi qu'il arrive il finit toujours par ressortir, tôt ou tard. Tout le monde n'est pas capable d'arracher un bout de croûte à mère nature, le vol est souvent vu comme plus facile. Pour le socialisme, le vol est une intention consciente dès le départ, chez tous les participants, militants et/ou futurs dirigeants.

Le truc avec la violence (réelle) c'est que, à l'échelle locale, c'est assez binaire : ou bien tu t'es fait agresser, ou pas. (Et la vision que l'individu en a, change forcément lorsqu'il franchit ce pas critique). Et en même temps, il y a l'accoutumance/habituation au risque statistique réel, l'acceptation de ce risque. Quand tu vis tous les jours avec un risque de 1% d'être agressé, tu finis (logiquement) par intégrer cette possibilité.

Si tous les régimes socialistes (sans exception) finissent en kleptocratie, c'est bien que la kleptocratie est absolument dans l'ADN du socialisme dès le départ.

Quand tu peux monnayer qui a le droit de produire quoi, et qu'en plus c'est un travail payé, ça rapporte beaucoup beaucoup d'argent.

La coercition est bien une valeur fondamentale/basique du socialisme.

Dans la même veine, je constate très souvent de la part des automobilistes une adaptation nulle aux conditions météo, même très dégradées. ça donne eg des conducteurs sur la rocade de Toulouse qui roulent tous à la vitesse habituelle quand bien même il neige et que celle-çi est verglacée. Pour le bonheur des garagistes. J'imagine qu'il doit y avoir le fantasme de vivre dans un monde normalisé où les caprices de la nature n'existent pas ou n'ont pas leur place, et donc on fait tout le temps comme d'habitude.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Djanibekov (serait lié aux inversions des pôles magnétiques terrestres ?)

Il y a plein de manières de rendre le monde meilleur, et tu as bien raison de vouloir être ambitieux. Mais ama aucun travail n'empêchera jamais les gens qui ont plaisir à être cons à être cons. Et pour être plus spécifique, ama rien n'empêchera non plus les cons d'être cycliquement majoritaires ou au moins d'avoir une majorité. La clé, c'est plutôt d'arriver à ce que la minorité un peu lucide ne soit pas simplement exterminée.

... on pourrait jouer à se rebricoler un ETF Arg Liborg ?

Les illusions sont probablement (?) consubstantielles de la conscience. L'illusion communiste est probablement l'hameçon le plus simplet/niais qui soit, ergo la clientèle est probablement éternelle.

L'indice MERVAL peut peut-être offrir un substitut : https://finance.yahoo.com/quote/^MERV/

Le livre est recensé sur CP : https://www.contrepoints.org/2024/10/25/479650-limposture-ecologiste-debusquee-une-fois-de-plus

un échappé de la crèche gauchiste

- la menace nuke ru est à prendre au sérieux - les pays Baltes sont de pauvres paranos C'est marrant de voir les 2 caches cochées parfois.

c'est quand même invraisemblable en 2024.

Une société un peu pleutre prend des décisions un peu pleutre. C'est plutôt cohérent.

Si les gauchistes comprenaient la notion de capital, ils ne seraient pas gauchistes.

Pour le coup, je pense que le fondement des villes, à leur naissance et lors des grands moments, est constructiviste : militaire, politique, etc. Par dessus ce cristal constructiviste, se greffe ensuite une croissance "organique" avec des réels mécanismes de marché etc, ok. ça n'est cependant en rien incompatible avec une création constructiviste, et ama ce constructivisme il se voit très bien dans l'ADN de la cité, son fonctionnement et de ses habitants. Les cartes électorales à travers le monde sont sans aucune ambiguïté.

Il y a des individus qui montent et grossissent des entreprises à la cambrousse, mais de facto ça implique de ramer à contre-courant de pleins de choses (dont les idées reçues).

ama c'est réellement parce que la bureaucratie fr (et UE maintenant) ne veut pas de grands groupes puissants en France et Europe. Il n'y a qu'à voir comment un minable comme T. Breton a harcelé Twitter (et d'autres) pour constater à quel point les bureaucrates font tout pour ne pas avoir de concurrence qui ose les contredire.

oui, dans le sens où c'est effectivement ce que (se) racontent les urbains. Quand on gratte un peu, la facilité et le mimétisme sont quand même des ressorts très forts. On peut aussi se fabriquer une life à la campagne, mais c'est moins courant et donc plus compliqué à imiter. Les gens qui planifient leur vie en ville, c'est bel et bien parce que, au minimum, ils supporteront la vie avec la promiscuité. Le biais collectiviste est donc forcément présent. Le mec qui ne supporte pas (physiquement) la promiscuité de la ville, il n'y va pas.