Galaad Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Source : Le Figaro.fr Citation Joris Fioriti[10 octobre 2005] Les entreprises aiment les stagiaires. Qui ne le leur rendent pas. Passage obligé vers un emploi, ou une meilleure formation, le stage est aussi un passeport pour la précarité. Car il est très mal payé. Pour changer le système, qui pénalise de très nombreux étudiants ou jeunes diplômés, le site www.generation-precaire.org, propose que les stagiaires se mettent en grève dès novembre. «Que se passerait-il si, du jour au lendemain, les stagiaires n'occupaient plus leur poste ?», s'interroge le collectif Grève des stagiaires, à la base du mouvement. La plupart des entreprises et administrations emploient ce personnel formé en quête d'expérience. Près de 95% des jeunes diplômés ont fait au moins un stage, selon une étude de l'Agence pour la promotion et l'emploi des cadres (Apec), parue en 2003. Et 50% en ont effectué trois ou plus. Pour des salaires dérisoires. Le Parti socialiste a même dans ses cartons électoraux une proposition pour donner un statut aux stagiaires inscrit dans le code du travail. D'après l'arrêté du 11 janvier 1978, qui réglemente les stages, les entreprises sont exonérées de charges tant qu'elles paient leurs stagiaires moins de 30% du smic. Un étudiant en DESS est alors payé 300 euros. Pour des responsabilités de cadres. Les abus sont fréquents. Plutôt que d'embaucher un salarié pour un CDD d'un an, ou un CDI, des sociétés vont employer quatre stagiaires pendant trois mois. Julien, 25 ans, ancien étudiant de l'Institut d'études politiques de Strasbourg et titulaire d'un DEA, qui a fait six stages durant ses études, se souvient avec frustration de sa première expérience. «Les entreprises profitent de ce système. Puisque rien ne les oblige à payer un stagiaire, pourquoi le feraient-elles ? Ainsi, elles bénéficient d'une main-d'oeuvre très qualifiée, spécialisée, hypermotivée et quasi gratuite», déplore Julien, co-fondateur et actuel coordinateur du mouvement Grève des stagiaires.L'effet sur les étudiants et jeunes diplômés est désastreux. «Ils n'ont aucun droit, s'emporte Julien tout en reconnaissant : l'idée de grève est provocatrice car il paraît un peu utopique que des stagiaires ultraprécaires se mettent en grève.» D'autres solutions sont dès lors envisagées : la mise en place d'une journée-morte, le port d'un brassard noir sur le lieu du stage. «L'objectif est d'arriver à une réforme de ce statut», observe Julien. «Car si on veut que les jeunes puissent s'intégrer dans une entreprise, il ne faut pas les dégoûter avant qu'ils ne s'y insèrent.»
h16 Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Galaad a dit : Source : Le Figaro.fr Encore une réponse bidon à un vrai problème.
Dilbert Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 "une main-d'oeuvre très qualifiée", je rigole. Encore la diplomite qui frappe. Quand ils arrivent, ils ont tout à apprendre, en général…
h16 Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Dilbert a dit : "une main-d'oeuvre très qualifiée", je rigole. Encore la diplomite qui frappe. Quand ils arrivent, ils ont tout à apprendre, en général… En plus, oui.
Calembredaine Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 h16 a dit : En plus, oui. <{POST_SNAPBACK}> Quelle galère de prendre un stagiaire! C'est vraiment pour rendre service, alors si en plus c'est pour se prendre des coups de bâton, je me passerais très bien de "stagiaires". A quand le quota obligatoire de stagiaires?
Galaad Posté 28 octobre 2005 Auteur Signaler Posté 28 octobre 2005 Eh ben, sur quatre réponses, une seule, celle de h16, admet l'existence d'un problème ??? Je ne pense pas qu'il faille remettre en cause le principe du stagiaire, qui n'est pas en soi inéquitable. Personne ne le remettait sérieusement en cause il y a deux ans. Mais depuis deux ans, les abus se sont multipliés. Dans certaines branches (pharmaceutique, encadrement), on trouve des personnes qui ont accumulé les stages les uns à la suite des autres sans aucune perspective d'embauche, et qui, à force d'expérience, deviennent pourtant aussi productives que des employés ordinaires. Alors, ne montez pas si vite sur vos grands chevaux ! Bien sûr que prendre un stagiaire inexpérimenté, c'est lui rendre service. Mais à partir du moment où il devient utile et productif, où la multiplicité de ses stages finit par s'apparenter à une vrai expérience professionnelle qu'on lui dénie, une certaine amélioration du statut devient légitime, sans quoi c'est vraiment de l'abus. Il me semble normal que les stagiaires concernés se regroupent pour exercer une pression.
Calembredaine Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Galaad a dit : Mais à partir du moment où il devient utile et productif, où la multiplicité de ses stages finit par s'apparenter à une vrai expérience professionnelle qu'on lui dénie, une certaine amélioration du statut devient légitime, sans quoi c'est vraiment de l'abus.<{POST_SNAPBACK}> En quoi est-ce un abus? Accepte-t-on le statut de stagiaire un couteau sous la gorge? Galaad a dit : Il me semble normal que les stagiaires concernés se regroupent pour exercer une pression. <{POST_SNAPBACK}> Absolument. Faudra simplement en accepter les conséquences.
h16 Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Galaad a dit : Eh ben, sur quatre réponses, une seule, celle de h16, admet l'existence d'un problème ??? Avec les charges sociales, les coûts de la main-d'oeuvre, et les risques qu'on prend en concrétisant une embauche, le comportement des entreprises est tout à fait (économiquement) logique. Humainement discutable, disons, mais logique. Au delà, l'assertion de Dilbert est tout à fait exacte. La plupart du temps, les stagiaires ont à peu près tout à apprendre : lire et écrire correctement, se comporter de façon idoine en respectant les codes de la société (horaires, aspect vestimentaire, habitudes de travail, respect de la hiérarchie). Pour le premier stage au moins, il est logique qu'ils ne soient pas rémunérés. Après le premier stage, il est normal qu'ils soient rémunérés. Mais une question se pose alors : si ce n'est pas le cas, c'est que certaines conditions ne sont pas remplies a/ pour l'entreprise, les conditions d'embauches ne sont pas encore satisfaisantes (on revient au premier paragraphe de ce post) b/ peut être le niveau général d'un stagiaire, même après un stage, ne justifie-t-il pas un salaire ? La question, aussi apocryphe soit-elle, mérite d'être posée. La valeur du diplôme et de la formation de base dispensée par l'Edulcoration Nationationale n'est peut être pas du tout à la hauteur de ce qu'espèrent les entreprises. Et puis, il y a stage & stage…
Julien Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Si les entreprises ont autant recours aux stagiaires pour des missions qui devraient être confiées à des salariés, c'est parce que le coût artificiellement élevé du travail, notamment en comptant le risque d'avoir un salarié incompétent dont on ne pourra pas se séparer, est en inadéquation avec l'offre très abondante, particulièrement chez les jeunes. Beaucoup d'étudiants ou jeunes actifs préfèrent faire un stage, quitte à être peu payé et forger leur expérience, puisqu'ils n'arrivent pas à trouver un emploi normal. Le fait que les entreprises prennent ces stagiaires montre bien qu'il y a une demande, mais à un prix compris entre la rémunération du stage et le coût de l'embauche.
Messer Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Je sais qu'en DESS je connais pas mal de personnes ayant fait des stages photocopieuses/machine à café. Je sais pas ce que ca donne en expérience professionnelle mais bon, on va pas non plus leur confier des dossiers délicats…
Largo Winch Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Citation Un étudiant en DESS est alors payé 300 euros. Pour des responsabilités de cadres. Mouarf !… … je me gausse…
Sous-Commandant Marco Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Largo Winch a dit : Mouarf !… … je me gausse… <{POST_SNAPBACK}> Tu ne devrais pas. Tu n'imagines pas comme il est agréable d'avoir quelqu'un qui sait faire les photocopies recto verso grâce à son diplôme d'ingénieur ou qui fait un bon café en sortant d'une école de chimie. Ca vaut au moins 350 euros par mois.
h16 Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Sous-Commandant Marco a dit : ou qui fait un bon café en sortant d'une école de chimie. Ca vaut au moins 350 euros par mois. Et puis ça mène à tout, même à Matignon. … [cynisme agaçant] et puis 350 EUR/mois qd on est encore chez popa-moman et qu'on ne paie pas d'impôts, c'est de l'argent de poche, non ? [/cynisme agaçant]
Sous-Commandant Marco Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 h16 a dit : Et puis ça mène à tout, même à Matignon.… [cynisme agaçant] et puis 350 EUR/mois qd on est encore chez popa-moman et qu'on ne paie pas d'impôts, c'est de l'argent de poche, non ? [/cynisme agaçant] <{POST_SNAPBACK}> Ce qui est triste, c'est qu'il ne voient pas d'autre solution qu'une "réforme de leur statut" et des "obligations" pour les entreprises et puis que des hommes politiques embrayent en faisant moultes promesses. Comme quoi, ni la valeur ni la connerie n'attendent le nombre des années.
Domi Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Julien a dit : Si les entreprises ont autant recours aux stagiaires pour des missions qui devraient être confiées à des salariés, c'est parce que le coût artificiellement élevé du travail, notamment en comptant le risque d'avoir un salarié incompétent dont on ne pourra pas se séparer, est en inadéquation avec l'offre très abondante, particulièrement chez les jeunes. Beaucoup d'étudiants ou jeunes actifs préfèrent faire un stage, quitte à être peu payé et forger leur expérience, puisqu'ils n'arrivent pas à trouver un emploi normal. Le fait que les entreprises prennent ces stagiaires montre bien qu'il y a une demande, mais à un prix compris entre la rémunération du stage et le coût de l'embauche. <{POST_SNAPBACK}> Je ne comprend pas pourquoi vous parlez de coût artificiellement élevé du travail car c'est bien la concurrence entre employeurs qui fixe le coût du travail, l'ensemble des charges sociales venant plutôt ponctionner la paie des salariés?? Heu, cela dit vous avez raison au niveau du Smic. Et le problême se sont les interdictions de licencier. Du coup on embauche pas.
h16 Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Domi a dit : Je ne comprend pas pourquoi vous parlez de coût artificiellement élevé du travail car c'est bien la concurrence entre employeurs qui fixe le coût du travail, l'ensemble des charges sociales venant plutôt ponctionner la paie des salariés?? Pour un salaire de 100, l'employeur sort de sa poche 250.
Julien Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Domi a dit : Je ne comprend pas pourquoi vous parlez de coût artificiellement élevé du travail car c'est bien la concurrence entre employeurs qui fixe le coût du travail, l'ensemble des charges sociales venant plutôt ponctionner la paie des salariés?? Celà revient au même parce que ces charges ne sont de toute évidence pas au prix du marché des services qu'elles financent, d'autant plus pour les jeunes actifs (qui logiquement pourraient payer beaucoup moins cher, voire se passer, de ces assurances). Donc sans l'obligation de payer la SS, le prix du travail serait plus bas pour les travailleurs ayant peu d'expérience. Citation Heu, cela dit vous avez raison au niveau du Smic.Et le problême se sont les interdictions de licencier. Du coup on embauche pas. <{POST_SNAPBACK}> Les freins au licenciement augmentent aussi le coût du travail. Il faut tenir du poids financier lié au risque d'embaucher un salarié incompétent.
wapiti Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Sous-Commandant Marco a dit : Ce qui est triste, c'est qu'il ne voient pas d'autre solution qu'une "réforme de leur statut" et des "obligations" pour les entreprises et puis que des hommes politiques embrayent en faisant moultes promesses. Comme quoi, ni la valeur ni la connerie n'attendent le nombre des années. <{POST_SNAPBACK}> Oui, enfin faut pas généraliser … ça m'étonnerai que cette "grève" soit beaucoup suivie.
Dostix Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 pour ma part, j'ai effectué un petit stage d'un mois chez KSDSE à Dijon et je n'ai pas été payé. C'était prévu dès le départ. je dois avouer qu'après une année de prépa et une année d'IUP GMP, on n'a pas les bases pour bosser en entreprise..J'ai surtout passé mon temps à apprendre et eux ils ont passé du temps pour m'expliquer. Le milieu du stage n'étant pas imposé, certains de mes amis ont préféré le faire comme un boulot d'été où ils ont été rémunéré. Seulement, ils n'ont pas acquis l'expérience que j'ai pu avoir, ce qui fait que je ne regrette rien et si c'était à refaire, je le referais.
h16 Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 wapiti a dit : Oui, enfin faut pas généraliser … ça m'étonnerai que cette "grève" soit beaucoup suivie. Si elle l'est, imaginez la panique : plus de café dans les réunions. Plus de photocopieuses ronronnantes. La paralysie, l'horreur vexatoire d'avoir à faire soi-même ces tâches ingrates…
Messer Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Citation pour ma part, j'ai effectué un petit stage d'un mois chez KSDSE à Dijon et je n'ai pas été payé. !!!!! Le monde est petit Dostix
Dostix Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 tu connais KSDSE?? J'étais au service Outils Coupants que dirige mon oncle.
Invité jabial Posté 28 octobre 2005 Signaler Posté 28 octobre 2005 Il y a du vrai dans les deux positions. "Hyper qualifié", mon oeil, en effet. Sauf exception, les stagiaires ont tout à apprendre en arrivant. Mais abus il y a, dans le sens où il y a des stages où justement on n'apprend rien au stagiaire - on lui demande un travail soit non qualifié (= on le fait travailler comme un ouvrier, mais moins cher) soit un travail qualifié avec les mêmes attentes qu'un CDI junior et sans plus de prise en charge. Pour autant, ceci relève de la liberté de contracter. Les entreprises qui "abusent"… m'ont simplement vu refuser leur offre de stage. Encore faut-il être vigilant et ne pas hésiter à poser des questions lors de l'entretien!
Messer Posté 31 octobre 2005 Signaler Posté 31 octobre 2005 Dostix a dit : tu connais KSDSE?? J'étais au service Outils Coupants que dirige mon oncle. <{POST_SNAPBACK}> J'habitais à 5mn en voiture.
anonyme2000 Posté 1 novembre 2005 Signaler Posté 1 novembre 2005 Citation ça m'étonnerai que cette "grève" soit beaucoup suivie. Pourquoi elle ne serait pas beaucoup suivie ? Parceque Pas de stage = Pas de diplôme ? C'est bien la preuve de l'oppréssion dont sont victimes les stagiaires, ils ont plutôt intérêt à être dociles et à travailler beaucoup. Puisque c'est un forum de libéraux, parlons de liberté, et donc de démocratie: Certaines personnes pensent qu’un stage est mieux que des enseignements, d’autres pensent le contraire. Cependant, ceux qui pensent qu’un stage est mieux détiennent le pouvoir et ont décidé d’imposer leur opinion à tout le monde. C’est de la dictature pure et simple.
anonyme2000 Posté 1 novembre 2005 Signaler Posté 1 novembre 2005 Citation les stagiaires ont tout à apprendre en arrivant Pourtant ils apprenent beaucoup plus pendant leur études (les vraies études, sans stages), donc, si ils passaient leur temps à étudier au lieu de faire des stages, ils auraient certainement moins à apprendre en arrivant.
Dardanus Posté 1 novembre 2005 Signaler Posté 1 novembre 2005 anonyme2000 a dit : Pourtant ils apprenent beaucoup plus pendant leur études (les vraies études, sans stages), donc, si ils passaient leur temps à étudier au lieu de faire des stages, ils auraient certainement moins à apprendre en arrivant. <{POST_SNAPBACK}> En quoi stage pratique et études théoriques sont-ils contradictoires et exclusifs ? La finalité n'est pas la même. Il y a, dans tout métier, des choses que l'on n'apprend pas dans des livres mais au contact du réel, non ?
h16 Posté 1 novembre 2005 Signaler Posté 1 novembre 2005 anonyme2000 a dit : Pourquoi elle ne serait pas beaucoup suivie ? Parce que certains stagiaires ne sont pas cons et ont compris la récupération politique à 2 EUR derrière. anonyme2000 a dit : Puisque c'est un forum de libéraux, parlons de liberté, et donc de démocratie: Oups. Glissement révélateur. "et donc" de trop. anonyme2000 a dit : Certaines personnes pensent qu’un stage est mieux que des enseignements, d’autres pensent le contraire. Cependant, ceux qui pensent qu’un stage est mieux détiennent le pouvoir et ont décidé d’imposer leur opinion à tout le monde. Hein ? Vous avez vu ça où ? (pour la partie en gras) Pour le reste, il vous appartient de prouver qu'un enseignement est meilleur qu'une expérience de terrain.
anonyme2000 Posté 1 novembre 2005 Signaler Posté 1 novembre 2005 Citation En quoi est-ce un abus? Accepte-t-on le statut de stagiaire un couteau sous la gorge? Oui, le couteau s'apelle "Pas de diplôme" et il est brandit par les universités. Citation Citation Certaines personnes pensent qu’un stage est mieux que des enseignements, d’autres pensent le contraire. Cependant, ceux qui pensent qu’un stage est mieux détiennent le pouvoir et ont décidé d’imposer leur opinion à tout le monde. Hein ? Vous avez vu ça où ? (pour la partie en gras) Un stage obligatoire, c'est ce que toutes les universités ont décidé. Citation Pour le reste, il vous appartient de prouver qu'un enseignement est meilleur qu'une expérience de terrain. On apprend beaucoup plus en étudiant, c'est mon avis personnel, quand à la preuve, il ne m'appartient pas de l'apporter, chaque personne pense ce qu'elle veut à ce sujet. Mais le problème, c'est quand les personnes qui pense qu'un stage est mieux décident d'imposer leur opinion à tout le monde, c'est de la dictature.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.