Librekom Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Est-ce que vous êtes ou avez été, à l' école ou dans les colonies de vacances, la tête de turc, le petit rémi sans amis qui se faisait régulièrement insulter, rabaisser, frapper par les autres? Les colonies de vacances étaient particulièrement atroces, dormir dans la chambres de 3 enfoirés qui perpétuellement faisaient tout pour faire de votre vie un enfer, en pleurer la nuit et ne pas oser en parler par honte de votre faiblesse… Ce groupe de waterlooboys qui en colonie s' amusaient à se branler sur mon oreiller et à se torcher dans mes draps, je pense que j' abandonnerai toute notion d humanité si j' étais amené à les recroiser J' en garde une énorme rancoeur et violence intérieure encore des années après, bien sûr à l'époque je m'étais juré de retrouver plus tard mes tortionnaires, mais avec le temps et la maturité toute idée de vengeance m' a quitté. J' en reste cependant fragilisé encore aujourd'hui et je supporte peu la moquerie blessante et les gens violents. J'ai été le souffre douleur dés la première maternelle, mais j'ai vite compris que ça venait de moi et pas des autres, parce que quelque soit le groupe où je me retrouvait c'était pareil, à l'école, au sport, aux scout,… ça a commencé à aller mieux à partir de mes études secondaires. Et ça s'est definitivement terminé à partir des mes 15-16 ans A chaque foi que je rentrais dans un nouveau groupe ou personne ne me connaisait, je me disais "cette foi ça va être différent je vais me faire pleins de copains" et en fait non ct à chaque foi pareil. Le truc c'est que gt extremement gentil et que je ne supportais pas la violence. Donc j'éprouvais un énorme sentiment d'injustice quand qqn était méchant avec moi alors que je n'étais méchant avec personne. Je disais "vous êtes méchant !!! je vais le dire à madame" et elle était faites, ct fini pour moi ! GT vraiment incapable de me défendre tout seul. Jamais je n'aurais osé frapper un connard qui m'insultait ! Non pas parceque j'avais peur de lui (bien que je n'ai jamais su me battre), mais parceque j'avais peur d'être puni. On m'avait dit, "tu ne peux pas dire de gros mots et tu ne peux pas frapper, si t'as un problème tu dois le dire madame." Et moi comme un con, je le faisais ! En plus, je n'aimais pas les mêmes choses que les autres : pas les même dessins animés, pas les mêmes jeux (je me souviens que tout le monde adorait les GI Jo alors que je trouvais que ct pour les bébés). En primaire, je préférais rester avec les filles, mais même elles ne voulaient pas de moi ! Vous imaginez la frustration. En fait ça c'est arrété quand j'ai eu 15-16 ans parceque je plaisais aux filles (les pauvres, si elles avaient su !!) ce qui m'a donné confiance en moi et ça rendait vert de jalousie tous les gars de l'école !!
pankkake Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 J'ai déjà été souffre-douleur et suiveur.
WALDGANGER Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 rien de tout ça, j'ai eu la chance d'être avec des gens cools au collège et en primaire. Et il n'y avait pas de souffre douleur dans la classe, . par contre j'ai un ami homo qui m'a raconté que c'était l'enfer pour lui, pourtant il ne savait même pas qu'il l'était à l'époque, mais il s'est fait traité de sale pd toute son enfance, on lui jetait des pierres etc.
L'affreux Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Souffre-douleur parfois, leader (tortionnaire de prof) ça m'est arrivé aussi mais au lycée, suiveur super rarement et les rares fois où je me suis laissé aller j'ai regretté.
Librekom Posté 26 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 26 novembre 2006 WALDGANGER a dit : par contre j'ai un ami homo qui m'a raconté que c'était l'enfer pour lui, pourtant il ne savait même pas qu'il l'était à l'époque, mais il s'est fait traité de sale pd toute son enfance, on lui jetait des pierres etc. je connais plus d'un crétin qui y verrait immediatement un lien de cause à effet incontestable !
José Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Rien de tout ça : j'ai toujours été le plus grand de ma classe. La paix royale et aucune envie de faire chier personne. Une seule exception ; vers mes 16 ans, un petit groupe me chercha des crosses, je les laissai m'emmerder une semaine, juste le temps de passer pour une pôve victime et le vendredi j'arrivai à faire jouer la faute à un des emmerdeurs, je l'étalai aussitôt devant témoins, nez cassé et quelques jours de repos at home. On me ficha la paix dès lors. Aucune sanction : j'étais la victime qui s'était défendue. librekom a dit : A chaque foi que je rentrais dans un nouveau groupe ou personne ne me connaisait, je me disais "cette foi ça va être différent je vais me faire pleins de copains" et en fait non ct à chaque foi pareil. Je te rassure tout de suite, ni moi, ni personne de l'AGLLB n'a jamais pensé à te torturer. (Bon, peut-être bien Constantin )
Calembredaine Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Grand et costaud, on ne m'a jamais emmerdé. J'ai mis quelques branlées à quelques tortionnaires avant de m'apercevoir que c'était très dangereux, certains n'ayant aucun honneur et frappaient dans le dos. Depuis, les petits se démerdent.
Wali Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Malgré ma petite taille, j'étais plutôt un mâle alpha en primaires. C'est pourquoi j'ai répondu en "1": j'imagine que quelques-uns ont pu souffrir de mon statut passé -- sans que je m'en sois rendu compte. Mais généralement, j'étais quand même rassembleur: je prenais des "plus faibles" sous ma coupe. Me souviens que j'ai même osé croiser le fer avec des types d'un an au-dessus (ce qui était très courageux en primaires, à l'époque). Au final, cela a fini par retomber sur moi quand j'entrai dans un monde différent: celui de la ville, de l'adolescence et des humanités. Au revoir, docteur… Combien vous dois-je?
Rincevent Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Très clairement souffre-douleur. Il ne se passait pas une année sans que je reçoive quelques coups (non, ça n'explique pas mon apparence physique actuelle ! ), et il faut dire que j'étais une cible toute désignée. Un an d'avance scolairement, deux ans de retard de croissance, toujours isolé avec un livre à la main et préférant la lecture aux activités "sociales" (ces derniers points ont assez peu changés )… Je passe sur quelques autres détails, mais en gros j'ai pas mal morflé.
KaptN Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Pour ma part à la primaire j'étais à la fois souffre-douleur (certains abrutis m'embêtaient tout le temps) et tortionnaire (je démolissais ces mêmes abrutis et je m'acharnais contre des gars qui me titillaient légèrement au point parfois de les battre à terre). Je me souviens aussi des bastons collectives, classe contre classe, dont je sortais en leader et victorieux. Mais actuellement, au lycée, personne ne me cherche de problème et je ne cherche de problème à personne, car je suis rarement seul et pas vraiment gringalet. Toutefois, une petite baston avec les guévaristes du coin ne serait pas de refus.
h16 Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 A.B. a dit : Souffre-douleur a 100% Jusqu'ici ? Noooon. On n'est pas aussi méchants tout de même ! Oser dire des trucs comme ça ! Allez. Enlève tes lunettes, …
A.B. Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 h16 a dit : Jusqu'ici ? Noooon. On n'est pas aussi méchants tout de même ! Les choses ont beaucoup changé quand j'ai fini par échapper à la carte scolaire… (et que je suis passé du dernier percentile en taille au premier) Plus que les eleves j'ai souvent été la tête de turque de profs sadiques qui attisaient les autres.
wapiti Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Rien de tout ça, en primaire, je n'ai pas souvenir de baston. Ensuite, c'est devenu un peu plus hard, mais toujours bon enfant (faire bouffer des marrons, enfermer dans les chiottes, ligotter des petits dans leur cabanne, batailles d'eau, grenouilles dans le tee-shirt des filles, divertissements citoyens et festifs qui se déroulaient sans réel leader, tout le monde pouvant être la victime au gré des alliances). Mais très vite ma cible préférée a été les profs, emmerdeur professionnel en cours, et stratège le reste du temps, ma plus grande fierté étant d'avoir fait sauter les plombs de la moitié du collège plusieurs jours de suite en court-circuitant les prises, sans me faire chopper.
Etienne Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 wapiti a dit : Mais très vite ma cible préférée a été les profs, emmerdeur professionnel en cours, et stratège le reste du temps, ma plus grande fierté étant d'avoir fait sauter les plombs de la moitié du collège plusieurs jours de suite en court-circuitant les prises, sans me faire chopper. Au primaire et au collége, j'oscillais entre souffre-douleur et rien de tout ça, étant assez solitaire et toujours plutôt décalé par rapport aux activités de mes petits camarades - j'ai toujours été assez cérébral. Du coup, soit on me faisait chier soit on me laissait dans mon coin. Jamais leader ni suiveur en tout cas. A partir de la 3ème, tout ça s'est nettement arrangé, j'arrivais à concilier mes diverses passe-temps hétérodoxes avec des activités plus dans la norme.
Rincevent Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Etienne a dit : Au primaire et au collége, j'oscillais entre souffre-douleur et rien de tout ça, étant assez solitaire et toujours plutôt décalé par rapport aux activités de mes petits camarades - j'ai toujours été assez cérébral. Du coup, soit on me faisait chier soit on me laisse dans mon coin. Je connais bien ça… Habitué du coin du préau, là où l'on peut s'assoir pour bouquiner tranquillement. Je préférais, à l'origine, m'assoir dans les couloirs plutôt que de descendre dans la cour (où l'on trouve des … des gens !), mais on m'en chassais régulièrement, pour des raisons que j'ai toujours du mal à saisir. Que ce soit parce que "ne pas être comme les autres, c'est mal", parce que "ne pas se socialiser, c'est mal", ou encore parce que "rester seul dans les couloirs, ça cache forcément quelque chose de louche". Ca doit être de cette période que date mon dégout envers les ordres illégitimes, envers l'hétéronomie.
Punu Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Trop grand, bizarre et méchant pour être le souffre-douleur de qui que ce soit. Et trop bon pour ennuyer les faibles. Mais cela ne m'a empêché de constater que certains faibles méritaient d'être des souffre-douleurs.
Librekom Posté 26 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 26 novembre 2006 Wali a dit : C'est pourquoi j'ai répondu en "1" VENGEANCE VENGEANCE VEANGEANCE BANNISSONS CE TORTIONNAIRE OU QU'ON LE PENDE HAUT ET COURT!!!! Gadrel a dit : Mais cela ne m'a empêché de constater que certains faibles méritaient d'être des souffre-douleurs. Dévelloppe ton propos stp, ça m'interesse. Au fait, je précise que la taille n'a rien à voir la dedans, J'ai toujours été le plus grand de ma classe, ça ne m'a jamais permis d'échapper à la torture !! (d'ailleurs aujourd'hui, je mesure toujours 1,92M)
Stranger Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Gadrel a dit : Trop grand, bizarre et méchant pour être le souffre-douleur de qui que ce soit. Et trop bon pour ennuyer les faibles. Mais cela ne m'a empêché de constater que certains faibles méritaient d'être des souffre-douleurs. Autant dire que les bébés méritent de mourire de faim parce qu'ils sont trop faibles pour se nourrir seul.
A.B. Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 librekom a dit : Au fait, je précise que la taille n'a rien à voir la dedans, J'ai toujours été le plus grand de ma classe, ça ne m'a jamais permis d'échapper à la torture !! (d'ailleurs aujourd'hui, je mesure toujours 1,92M) Hum pour moi ca a eu beaucoup a voir. Entre le milieu de la premiere et le milieu de la terminale je suis passé du dernier percentile en taille au premier, de maniere assez spectaculaire. Ca a changé beaucoup de choses.
Librekom Posté 26 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 26 novembre 2006 A.B. a dit : Hum pour moi ca a eu beaucoup a voir. Entre le milieu de la premiere et le milieu de la terminale je suis passé du dernier percentile en taille au premier, de maniere assez spectaculaire. Ca a changé beaucoup de choses. Je suppose que c'était pour toi la condition nécessaire et suffisante pour que tu prenne confiance en toi. Je ne dis pas que c'est ce que tu as dit mais je ne pense pas qu'on puisse établir une correlation entre le rapport age/taille d'un enfant et son statut de souffre-douleur. Dans ma classe en primaire j'étais à la foi le plus grand et le souffre douleur, alors que le meneur était le plus petit de la classe (et le fils de l'homme le plus riche des envirrons, soit dit en passant). On peut aussi prendre l'exemple de Wali qui dit : Wali a dit : Malgré ma petite taille, j'étais plutôt un mâle alpha en primaires. C'est pourquoi j'ai répondu en "1" C'est une question de débrouillardise, de capacité à se faire respecter, de capacité d'adaptation à un mileu social donné, … bref d'un manque de confiance en soi. Je sais que j'étais décalé et que j'appréandais les rencontres avec les autres enfants de mon ages, mais que j'avais pourtant envie d'aller jouer avec eux. Alors que d'autres n'étaient pas interresser par eux et préférais s'isoler. J'ai aussi remarqué que les souffres-douleur ne s'apprécient pas entre eux ou rarement. En tout cas moi, les autres que tout le monde trouvait cons, je les trouvais cons aussi et je rageait d'autant plus qu'on puisse me comparer à eux, me mettre dans le même lot !
Punu Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Eh bien, je dirais que les garçons (je suppose qu'il y a aussi des faibles chez les filles mais j'ignore si les filles s'en prennent à elles de façon aussi physique que les garçons) faibles qui méritaient leur statut étaient ceux qui cultivaient leur différence et se complaisaient dans celle-ci. Lorsqu'on se montre désagréable et qu'on est un gringalet à lunettes que sa maman repeigne juste avant d'entrer en cours, on tente le diable. Le respect ou l'indifférence se méritent : moi aussi j'étais dans le top 3 des meilleurs élèves, moi aussi je lisais Molière à 8 ans, moi aussi etc., mais ça ne m'empêchait pas de faire preuve du minimum de sociabilité nécessaire, de ne pas faire croire à mes condisciples que je les prenais pour des cons et de remettre à leur place ceux qui allaient trop loin (même les amis).
A.B. Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Gadrel a dit : Eh bien, je dirais que les garçons (je suppose qu'il y a aussi des faibles chez les filles mais j'ignore si les filles s'en prennent à elles de façon aussi physique que les garçons) faibles qui méritaient leur statut étaient ceux qui cultivaient leur différence et se complaisaient dans celle-ci. Oui c'était précisément mon cas. J'aurais du faire quoi? Oublier ma différence? Me fondre dans la masse collective et sociale pour le bien commun? Une petite (re)lecture d'Anthem prescrite pour Gadrel. Gadrel a dit : Lorsqu'on se montre désagréable et qu'on est un gringalet à lunettes que sa maman repeigne juste avant d'entrer en cours, on tente le diable. Et? Est-ce qu'on mérite pour autant d'être agressé? Gadrel a dit : Le respect ou l'indifférence se méritent : On parle d'agression physiques et de harcèlement moral. Ne pas y être soumis ne se mérite pas, c'est un droit! Gadrel a dit : moi aussi j'étais dans le top 3 des meilleurs élèves, moi aussi je lisais Molière à 8 ans, moi aussi etc., mais ça ne m'empêchait pas de faire preuve du minimum de sociabilité nécessaire C'est ton droit. Ce n'est pas parce qu'on ne fait pas cet effort qu'on mérite quoi que ce soit de ce qui peut arriver dans les cours de récréation.
Rincevent Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 @ A.B. : je souscris et plussoie frénétiquement à l'intégralité de ton post.
Librekom Posté 26 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 26 novembre 2006 Je suis absolument d'accord sur le principe, ce n'est pas parcequ'on est chiant et con qu'on mérite pour autant une atteinte chronique à son intégrité morale et physique. Mais en même temps, je comprend tout à fait ce que dit Gadrel. Quand j'était souffre-doumleur, je me remettais en question (sans parvenir à trouver la clef de la paix, mais au moins j'essayais); si on essait pas c'est qu'on est satisfait de la situation. Etre faible et décallé c'est quequechose qu'on subit. Mais être prétentieux et condescendant c'est un comportement actif que j'ai du mal à comprendre.
Etienne Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Gadrel a dit : Le respect ou l'indifférence se méritent : moi aussi j'étais dans le top 3 des meilleurs élèves, moi aussi je lisais Molière à 8 ans, moi aussi etc., mais ça ne m'empêchait pas de faire preuve du minimum de sociabilité nécessaire, de ne pas faire croire à mes condisciples que je les prenais pour des cons et de remettre à leur place ceux qui allaient trop loin (même les amis). Je crois que tu ne saisisses pas bien : les autres gosses n'ont pas besoin de se chercher de bonnes raisons pour en faire chier certains, ils visent celui, celle ou ceux qui sont marginaux, et ils ne le sont pas nécessairement parce qu'ils sont désagréables. C'est de la lacheté, il ne faut pas aller chercher plus loin. Et laisse-moi te dire que cette petite sortie que tu nous fais visant à faire culpabiliser les victimes est assez gerbante.
A.B. Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 librekom a dit : Mais en même temps, je comprend tout à fait ce" que dit Gadrel. Quand on est souffre douleur faut se remettre en question ou alors c'est qu'on est satisfait de la situation. Etre faible et décallé c'est quequechose qu'on subit. Mais être prétentieux et condescendant c'est un comportement actif. Moi je ne comprends pas ca justement. Quand le principal ou les profs disaient a mes parents: il se fait tabasser dans la cours de recreation? Il faut qu'il se remette en question. Un enfant qui est souffre douleur parce qu'il est marginal ce n'est pas une remise en question qu'il lui faut, c'est apprendre un sport de combat ! Sinon ma taille n'a pas joué sur la "confiance en moi", j'en avais deja enormement mais j'ai peut-etre moins eu le besoin de l'affirmer.
Librekom Posté 26 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 26 novembre 2006 A.B. a dit : Moi je ne comprends pas ca justement.Quand le principal ou les profs disaient a mes parents: il se fait tabasser dans la cours de recreation? Il faut qu'il se remette en question. J'ai édité. Ce que je veux dire, c'est que quand tu te fait tabasser, en général t'es anhéanti et t'essaie de tout faire pour qu'on te foute la paix. Si t'arrive le matin devant un kaïde en le traitant d'ignard, faut pas pleurer s'il t'en fou une à la récré.
Rincevent Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 librekom a dit : J'ai édité. Ce que je veux dire, c'est que quand tu te fait tabasser, en général t'es anhéanti et t'essaie de tout faire pour qu'on te foute la paix. Si t'arrive le matin devant un kaïde en le traitant d'ignard, faut pas pleurer s'il t'en fou une à la récré. C'était le caïd qui arrivait devant moi. Jamais je n'allais voir les autres, et j'aurais apprécié qu'on en fasse de même avec moi.
Apollon Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Je ne sais plus où j'ai lu ça : on reconnait les faibles à ce qu'ils vont toujours emmerder les plus faibles qu'eux (en groupe si possible).
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