POE Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Je crois que Jim essaye ne nous dire qqchose, mais quoi ?
Invité Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Il parait qu'il y a pas mal de recherche prometteuses sur des applications medicales du lsd. Ou il y en avait avant le ban. un truc pareil, il y a forcément quelque chose à en tirer. Je crois qu'il reste deux labos qui en produisent légalement dans le monde, en Suisse et USA.
Cugieran Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Je crois que Jim essaye ne nous dire qqchose, mais quoi ? Il est un peu grincheux parce que ça cause d'un truc qui l'intéresse pas dans le fil images fun.
Jean Karl Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Vous faites une erreur commune, un biais de beaucoup de libertarien qui théorisent sur la drogue sans la pratiquer : si mécaniquement ça ne semble pas toxique, le trip peut l'être car il va mener à des comportement à risque. Et un petit comportement qui peut sembler anodins, quand on le fait pendant 8 heures on peut s'abîmer. Bref, les risques sont indirects, mais ils sont bien là surtout qu'on a pas forcément autant d'emprise qu'on veut bien le croire dans les gros trips LSD/Salvia, etc. L'avantage avec les psychédélique c'est que plus tu pars loin dans ta tête, moins tu bouge ton corps. L'avantage aussi du LSD, c'est qu'il n'y a aucun intérêt à le couper avec autre chose. Si tu veux augmenter tes marges, tu diminue la dose vaporisée sur le buvard, c'est tout. Et cette histoire de 8 mois de séquelles physiologiques, ça me parait plus qu'étrange. Le problème avec les champignons c'est qu'il n'y a pas qu'une seule substance active. A ce sujet, c'est toujours marrant de troller les écolos car une drogue de synthèse correctement coupée (peut être qu'un jour on pourra dire "pas coupée") sera toujours moins dangereuse qu'une plante. Par contre, même avec une petite dose, il peut y avoir des effets à très long terme ("je me suis rendu compte que ma vie n'avait aucun sens" ; "je suis un putain de procrastinateur" ; "je suis une pourriture pour mon entourage") mais c'est plus du domaine de l'épiphanie que de la séquelle psychologique.
Tramp Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Les voyages introvertifs peuvent s'averer eprouvant.
Jean Karl Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Les voyages introvertifs peuvent s'averer eprouvant. Oui, c'est là qu'on se rend compte que les barrières qui protègent l'égo sont importantes. On voit les effets sur ceux qui ne redescendent jamais : hypersensibilité, perte d'initiative, "overthinking", paranoïa... Merde, cette description correspond aussi aux SJW. Je ne sais pas si c'est un argument a charge ou a décharge pour le lsd. Regardez, des gens se le font tout seul ! Oh mon dieu ! cette drogue transforme les gens en SJW !
neuneu2k Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Par contre, même avec une petite dose, il peut y avoir des effets à très long terme ("je me suis rendu compte que ma vie n'avait aucun sens" ; "je suis un putain de procrastinateur" ; "je suis une pourriture pour mon entourage") mais c'est plus du domaine de l'épiphanie que de la séquelle psychologique. Le phénomène de persistance des effets est tout de mème bien documenté, c'est bien entendu rare, mais suffisament courent pour avoir une documentation extensive, maintenant les causes restent inconnues, il semblerait que ça ne dépende pas du tout ni de la dose instantanée, ni de la dose cumulée (d'autant plus qu'il n'y à que très peu d'accumulation biologique) mais que certaines personnes soient vulnérables, et tant qu'on ne sais pas détecter à l'avence la vulnérabilité, ça me semble imprudent de se mettre à consommer. Par contre, une fois le risque pris, celui qui à déjà consommé plusieurs fois et est redescendu à de fortes probabilités de ne pas être sensible à cet effet secondaire extrême, donc si il est irrationnellement dangereux d'en prendre une fois (à moins d'etre dans un état psychique tel que le rapport bénéfice/risque vaille le coup, je ne doute pas qu'il y ait des applications thérapeutiques possibles pour certains cas psychiques, mais la encore, c'est une mesure bénéfice/risque qui devrait être faite par le patient et/ou son représentant légal avec l'accord du médecin, ni par une commission, ni par un pote bien intentionné...), il est tout à fait rationnel à posteriori de consommer à nouveau si on à déjà consommé plusieurs fois.
neuneu2k Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 On voit les effets sur ceux qui ne redescendent jamais : hypersensibilité, perte d'initiative, "overthinking", paranoïa... Tu à oublié l'hypervigilence, et merde... Pourtant je n'ai jamais pris de LSD de ma vie...
Jean Karl Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Le phénomène de persistance des effets est tout de mème bien documenté, c'est bien entendu rare, mais suffisament courent pour avoir une documentation extensive, maintenant les causes restent inconnues, il semblerait que ça ne dépende pas du tout ni de la dose instantanée, ni de la dose cumulée (d'autant plus qu'il n'y à que très peu d'accumulation biologique) mais que certaines personnes soient vulnérables, et tant qu'on ne sais pas détecter à l'avence la vulnérabilité, ça me semble imprudent de se mettre à consommer. Par contre, une fois le risque pris, celui qui à déjà consommé plusieurs fois et est redescendu à de fortes probabilités de ne pas être sensible à cet effet secondaire extrême, donc si il est irrationnellement dangereux d'en prendre une fois (à moins d'etre dans un état psychique tel que le rapport bénéfice/risque vaille le coup, je ne doute pas qu'il y ait des applications thérapeutiques possibles pour certains cas psychiques, mais la encore, c'est une mesure bénéfice/risque qui devrait être faite par le patient et/ou son représentant légal avec l'accord du médecin, ni par une commission, ni par un pote bien intentionné...), il est tout à fait rationnel à posteriori de consommer à nouveau si on à déjà consommé plusieurs fois. Donner du LSD de force ou à l'insu de quelqu'un est un crime contre l'humanité il me semble. Et ça ne me parait pas exagéré. Si la dose est assez forte, la seule chose qui permet d'éviter la crise de panique c'est "c'est pas grave, tout va bien, c'est ce qui est sensé se passer." En général, le pote bien intentionné, il te file un bout de carton ocb et attends la descente pour t'annoncer que c'était un placebo. Il me semble que la mode des I-doses (drogues auditives, si si) était principalement basée sur le placebo. Je suis déçu que ça n'ai jamais marché, ça aurait été marrant de voir l'argumentaire des anti drogues si jamais ils sont complétement dépourvu de l'argument sanitaire ou addictif. Bon, ils auraient voulu quand même interdire ça, au nom du principe de précaution je suppose, ou au nom du principe qu'il y a des gens que ça emmerde au plus profond d'eux même d'en voir d'autre se marrer. Aussi, je pense qu'il y a une sur représentation des effets secondaires rares parce qu'a mon avis ça doit marcher un peu comme la dépendance. La plupart des camés lourd que je connais, c'était évident depuis qu'ils sont tout petit qu'ils allaient mal finir. Je veux dire par là que la drogue attire les populations les plus a risques d'avoir des problèmes avec elle. Des gens qui ont un faible contrôle émotionnel, voir un faible contrôle sur leur vie tout court. Sans parler des vrais cassos. Tu à oublié l'hypervigilence, et merde... Pourtant je n'ai jamais pris de LSD de ma vie...
Voy Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Donner du LSD de force ou à l'insu de quelqu'un est un crime contre l'humanité il me semble.
Jean Karl Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Donner du LSD de force ou à l'insu de quelqu'un est un crime contre l'humanité il me semble. My bad, légende urbaine. Ca vient des histoires du projet MK-Ultra. J'arrive même pas à trouver de source le présentant légalement comme acte de torture. (Je pense que c'est de là que vient la légende : c'est utilisé comme torture, la torture est un crime contre l'humanité et donc...
neuneu2k Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Aussi, je pense qu'il y a une sur représentation des effets secondaires rares parce qu'a mon avis ça doit marcher un peu comme la dépendance. La plupart des camés lourd que je connais, c'était évident depuis qu'ils sont tout petit qu'ils allaient mal finir. Je veux dire par là que la drogue attire les populations les plus a risques d'avoir des problèmes avec elle. Des gens qui ont un faible contrôle émotionnel, voir un faible contrôle sur leur vie tout court. Sans parler des vrais cassos. Oui, c'est un biais bien connu en toxicologie, on à tendance à surestimer les effets nocifs des drogues parce qu'on étudie spécifiquement des populations qui sont particulièrement vulnérables.
neuneu2k Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Ahh, MK-ULTRA, la belle époque du grand nawak total.
Theor Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Social Justice Warrior, guerriers de la justice sociale.
Brock Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 social justice warrior c'est quelqu'un qui te prends la tete pour que tu ne dises pas'transsexuel' mais autre chose si un autre arrive au meme moment ils vont se battre entre eux 1
Flashy Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 On dit pas transsexuel, on dit transgenre.Tu n'es qu'un mâle héréto blanc cisgenre bourgeois.
Bisounours Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 P.... j'en apprends des trucs ici ! Merci tous. C'est ma bibliothèque intelligente, en fait, parce que le reste du temps, je lis Guy des Cars, je vous l'avoue
Brock Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Guy des Cars il est totalement oppressif comme mec
Fenster Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Guy des Cars il est totalement oppressif comme mec Oui mais pas autant que Guy Bedo
neuneu2k Posté 13 juin 2015 Signaler Posté 13 juin 2015 Pour ce qui est des drogues auditives, j'utilise régulièrement un générateur de fréquence binaural, c'est pas mal du tout pour faciliter l'auto-hypnose et la méditation.
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