Nofreedom Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 21/08/2016 à 09:02, h16 a dit : Après, c'est une question de proportion. Pour qu'une majorité bascule, il a été montré dans diverses études (à retrouver) qu'il faut environ 10% d'un groupe pour le décider. Autrement dit, avec 10% de gens libéraux, la France basculerait libérale. Mmh. Bon. Je sors. Le problème des libéraux, c'est que tu en mets 3 dans une pièce, il en ressort 4 courants qui se bouffent la gueule. Dans ces conditions, difficile d'avoir les 10% qui restent ensemble le temps d'une campagne.
Sloonz Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Les SJW disent la même chose des SJW, les marxistes disent la même chose des marxistes, les écolos disent la même chose des écolos… C’est pas un problème des libéraux, c’est un problème de l’espèce humaine en général.
Citronne Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Citation Audrie & Daisy review: teenage rape documentary is essential viewing A year after the documentary The Hunting Ground exposed a campus rape epidemic and systemic coverup efforts by some administrations, Audrie & Daisy debuts as an equally devastating film that shows how high school students are also at risk. Life, Animated review – how Disney films helped a boy with autism Incredibly moving documentary takes us into the interior life of an autistic person, and explores how films helped him communicate with the outside world Read more Bonni Cohen and Jon Shenk’s documentary is sure to provoke a national discussion (Netflix recently acquired it out of Sundance) – and scare viewers off from ever setting foot anywhere near the town of Maryville, Missouri. The film-makers open Audrie & Daisy by recounting the horrific events that led to the suicide of 15-year-old Audrie Pott, in Saratoga, California, in 2012. At a Labor Day weekend party, an intoxicated Audrie passed out and was carried to an upstairs bedroom. A group of boys used a Sharpie to scrawl obscenities all over her naked body, and then sexually assaulted her. Audrie became the ridicule of her school when video of her assault was circulated around school. A week later, she hung herself in her bathroom at home. The film then somewhat clumsily turns to high schooler Delaney Henderson, who was allegedly attacked the year before by boys she considered friends. Like Audrie, Delaney says she considered ending her life. Delaney’s story is then sidelined to make way for Daisy Coleman, another alleged victim of sexual assault. There’s a relief that comes with seeing Daisy on camera to tell her own story; unlike Audrie, she’s still alive. But her story sadly does largely parallel Audrie’s: after drinking too much she ended up unconscious at a male friend’s house, where she was allegedly raped by a popular senior and friend of her older brother. Another boy filmed. Her family’s town of Maryville, instead of condemning the boys’ alleged actions (one admits to the Nodaway County sheriff in a taped interview that he “had sex” with Daisy), turned on her and her family, accusing them of spreading lies. Daisy’s alleged assailants are initially let off, but once the rest of the country catches wind of the shocking outcome, national media descend upon the town. The neighbors then vilify Daisy and her family. Her story is made all the more tragic when a few years later Daisy, having moved to escape death threats hurled at her and her family, is revealed to be a shell of her former bubbly self: fixated on her own mortality, she spends her spare time drawing morbid imagery and working as a tattoo artist. To tell the stories of Audrie and Daisy, the film-makers make conventional use of talking heads. Although uncreative, it works: the parents and friends of both girls make for affecting subjects and speak from the heart. Best of all, Audrie and Daisy also feature sheriff Darren White and Maryville’s mayor Jim Fall as key subjects – and remarkably, neither holds back from voicing sexist, deeply troubling remarks before the camera. “Girls have as much culpability” in cases like Daisy’s, says White at one point, looking smug. Infuriating, heartbreaking and vital, Audrie & Daisy is required viewing. https://www.theguardian.com/film/2016/jan/30/audrie-daisy-review-teenage-documentary-sundance
Tramp Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 J'espère que c'est pas du niveau de The Hunting Ground.
Citronne Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 23/08/2016 à 09:15, Tramp a dit : J'espère que c'est pas du niveau de The Hunting Ground. Pas vu. C'était comment ? Je me méfie de l'appellation "documentaire" qui est donné à un peu tout et n'importe quoi maintenant.
Tramp Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Ce n'est pas un documentaire, c'est à charge contre les étudiants masculins et les universités. La description que le Guardian fait du sujet donné assez bien le ton : " The Hunting Ground exposed a campus rape epidemic and systemic coverup efforts by some administrations" C'est du documentaire à la Moore.
Citronne Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 23/08/2016 à 09:26, Tramp a dit : Ce n'est pas un documentaire, c'est à charge contre les étudiants masculins et les universités. La description que le Guardian fait du sujet donné assez bien le ton : " The Hunting Ground exposed a campus rape epidemic and systemic coverup efforts by some administrations" C'est du documentaire à la Moore. C'est ce à quoi je m'attends quand je vois ce genre de bande annonce. C'est filmé de la même façon. C'est intéressant la façon dont le traite le Guardian quand tu sais ce qui est dit dans le film. Apparemment Citation The filmmakers also contend that most rapes are committed by a small number of repeat offenders. Director Kirby Dick stated that less than eight percent of the population is responsible for more than ninety percent of all sexual assaults. Ce qui justement contredit l'idée d'une "épidémie". D'ailleurs même la page Wikipedia a été sujette à une guerre d'édition. https://en.wikipedia.org/wiki/The_Hunting_Ground
ShoTo Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 23/08/2016 à 08:31, Sloonz a dit : Les SJW disent la même chose des SJW, les marxistes disent la même chose des marxistes, les écolos disent la même chose des écolos… C’est pas un problème des libéraux, c’est un problème de l’espèce humaine en général. Non c'est un problème des mouvements minoritaires/groupusculaires mais pas de l'humanité en général
Sloonz Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le PS et l’UMP sont des groupuscules minoritaires ? Parce qu’ils ont le même problème de 256 courants internes qui se crèpent le chignon.
Neomatix Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 23/08/2016 à 08:24, Nofreedom a dit : Le problème des libéraux, c'est que tu en mets 3 dans une pièce, il en ressort 4 courants qui se bouffent la gueule. Dans ces conditions, difficile d'avoir les 10% qui restent ensemble le temps d'une campagne. Faut des libéraux qui ne sont pas des surhommes randiens. Genre prêts à transiger sur le revenu universel ou 2-3 conneries.J'y suis de moins en moins opposé mais on me traite d'ultraliberal quand j'en parle. Alors fuck.
Brock Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 l'humanite c'est 80% d'anes bates.Les liberaux se crepent le chignon parce qu'ils sont des intellos.Les autres se le crepent parce qu'ils sont des fuckings idiots. C'est la meme difference que deux mecanos de paddock en grand prix pas d'accord sur le parametrage de l'injection et deux alcolos dans un terrain vague pas d'accord sur a-qui-appartient-la-botte-sans-trou.
Sloonz Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 23/08/2016 à 13:14, JIM16 a dit : l'humanite c'est 80% d'anes bates.Les liberaux se crepent le chignon parce qu'ils sont des intellos.Les autres se le crepent parce qu'ils sont des fuckings idiots.
ShoTo Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 23/08/2016 à 10:39, Sloonz a dit : Le PS et l’UMP sont des groupuscules minoritaires ? Parce qu’ils ont le même problème de 256 courants internes qui se crèpent le chignon. Ça n'a pas toujours été comme ça, là ils sont en crise
Sloonz Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le RPR a été un assortiment de courants de droite différents depuis sa création. C’était même dans son nom.
Poil à gratter Posté 23 août 2016 Signaler Posté 23 août 2016 Le 20/08/2016 à 20:23, Jesrad a dit : Le plus intolérant ne gagne tant qu'il est pris au sérieux Il est pris au sérieux car menaçant et/ou violent Le 20/08/2016 à 21:08, Lancelot a dit : Le concept correspondant en psycho sociale est l'influence minoritaire. Avec un papier classique qui reprend le paradigme de Asch : http://www.jstor.org/stable/2786541 Good stuff. On pourrait sûrement faire un lien avec le Public Choice aussi mais j'y connais rien. Merci, mais du coup ça me fait encore un peu plus de lecture alors que je venais de dépiler un peu Le 21/08/2016 à 00:57, JIM16 a dit : Attention les amis, ca marche aussi pour l'Islam et ses terroristes.Où les islamistes moderes sont des millions mais n'ont aucune importance puisque ceux qui nous interessent sont ceux qui virent terro. Bien sûr que ça marche pour l'islam et c'est même un des exemples qu'il cite. L'islam s'est renormalisé autour de sa branche sunnite la plus intolérante car ce sont les plus intolérants qui ont gagné. Le 21/08/2016 à 09:02, h16 a dit : Après, c'est une question de proportion. Pour qu'une majorité bascule, il a été montré dans diverses études (à retrouver) qu'il faut environ 10% d'un groupe pour le décider. Autrement dit, avec 10% de gens libéraux, la France basculerait libérale. Mmh. Bon. Je sors. Oui, 10%, mais des gens très décidés et... intolérants. Le 21/08/2016 à 10:24, Sloonz a dit : Le mainstream d’aujourd’hui est souvent une minorité d’hier mais ça ne signifie évidemment pas que toutes les minorités d’hier ont fini en mainstream d’aujourd’hui. Ou dit autrement : dans tout changement de position la position précédente était nécessairement minoritaire (sinon on appelle ça un non-changement, duh !), mais ça ne signifie pas que le caractère minoritaire ait le moindre pouvoir prédictif sur la capacité d’une opinion à devenir maintream. Il faut trouver l’explication ailleurs. Ça tombe bien ce n'est pas ce qu'il dit. Le 21/08/2016 à 16:01, Lancelot a dit : On a vu qu'une condition nécessaire à la propagation d'une doctrine minoritaire est la consistance de ceux qui la défendent (donc déjà c'est mal barré pour les hésitants et autres pragmatiques). Ça serait intéressant de connaître les autres. Par exemple l'adoption par des représentants de l'état est un gros facteur de normalisation, et je pense qu'il y a un gros appel d'air de ce côté en faveur des idées qui demandent une intervention. C'est pour ça que je disais d'aller voir si ça n'avait pas déjà été théorisé par les gars du Public Choice. Bien sûr il y a aussi des stratégies qui permettent de contrebalancer le faible nombre de militants comme parler très fort et souvent et faire en sorte d'être majoritaires dans un cadre modeste (par exemple il suffit d'être 4 ou 5 pour plomber les reviews d'un bouquin pas très médiatisé et l'observateur naïf se dira que "c'est ce que tout le monde pense"). Une autre condition nécessaire avancée est qu'il faut que ceux qui la défendent soient réparties uniformément sur le territoire. Si tous les intolérants sont concentrés sur un petit territoire ça va juste donner une communauté. S'ils sont répartis uniformément ils va se produire des renormalisations qui vont faire plier la majorité. L'autre condition c'est qu'il faut que la renormalisation ne soit pas trop coûteuse (en gros moins coûteuse que le statu quo ou la résistance). Un exemple donné est que ça ne coûte pas énormément plus cher de sélectionner des produits sans arachide, même si une petite minorité de la population est allergique. Du coup les compagnies aériennes ne vendent pas de produits avec des arachides.
Nyl Posté 24 août 2016 Signaler Posté 24 août 2016 Le 22/08/2016 à 19:34, Citronne a dit : T'as des liens pour tes deux propos ? Bien-sûr Mademoiz... Madame! Le lien, pour Tinder, comment ils ont initié leur développement viral: https://growthhackers.com/growth-studies/what-ignited-tinders-explosive-growth Saviez-vous qu'une jeune caissière, début de 20 aine, jolie, -ça m'a choqué- m'a dit que c'était sexiste de l'appeler Mademoiselle plutôt que Madame? Quant à la loi de diffusion de l'innovation, expliquée par Simon Sinek, elle commence à 10:55. https://www.ted.com/talks/simon_sinek_how_great_leaders_inspire_action?language=fr#t-646073
Nihiliste frustré Posté 25 août 2016 Signaler Posté 25 août 2016 Le 24/08/2016 à 11:52, Nyl a dit : Saviez-vous qu'une jeune caissière, début de 20 aine, jolie, -ça m'a choqué- m'a dit que c'était sexiste de l'appeler Mademoiselle plutôt que Madame?C'est là où il faut se scandaliser qu'elle t'ai appelé monsieur ! Tu sous-entends que tu es une sorte de transgenre bicéphale, tu commences a pleurer en insinuant que tu va contacter "SOS fascisme". En partant tu lui files une carte de visite des "casses-couilles anonymes" (toujours en avoir sur soi).
Arna Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 http://static.mmzstatic.com/wp-content/uploads/2016/08/viol-bd-dans-mon-tiroir.jpg TL;DR Si tu demandes à ta meuf de baiser, qu'elle te dit "Non", et que tu réponds "T'es sûre ?", c'est une tentative de viol.
Philiber Té Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Le 29/08/2016 à 14:37, Arna a dit : http://static.mmzstatic.com/wp-content/uploads/2016/08/viol-bd-dans-mon-tiroir.jpg TL;DR Si tu demandes à ta meuf de baiser, qu'elle te dit "Non", et que tu réponds "T'es sûre ?", c'est une tentative de viol. C'est carrément ce qui est dit dans cette BD...
Eltourist Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Bah oui t'as cru quoi ? "Sors les capotes" ça veut rien dire, elle voulait peut être faire des bombes à eau
jubal Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Le 29/08/2016 à 14:45, Philiber Té a dit : C'est carrément ce qui est dit dans cette BD... Ben un peu quand même non ? Et selon cette BD si la fille avait dit oui au final, ça aurait été un viol. C'est justement la difference classique entre dire que le viol c'est quand il n'y a pas le consentement, ou dire que c'est quand il n'y a pas l'envie.
Brock Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 c'est quand meme fascinant cette longue liste de choses que les femmes font de leur plein gre mais sans en avoir envie et il faudrait pour l'homme a la foi tout decider et tout initier mais aussi decider quand la madame ne veut pas malgre qu'elle dise oui.Ca me fait penser a ma belle-doche qui est la personne la plus submissive que j'aie jamais vu mais a part ca c'est la faute de la societe autour.
Marlenus Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Le 29/08/2016 à 15:07, jubal a dit : Ben un peu quand même non ? Pourquoi prendre cette partie et pas la totalité, donc en incluant le fait que malgré le non, le type à plusieurs reprises essaye de lui forcer la main physiquement malgré le non? Que cela n'est juste pas demander à l'autre si il dit non. Si un non, ne suffit pas à ce que l'autre arrête de te toucher, qu'il faut absolument que tu t'énerves et que tu l'insulte pour qu'il comprenne, il n'y a pas un problème? A partir du moment où il faut que tu uses de violences (verbales et/ou physique) pour faire arrêter un mec qui te touche, c'est que tu réponds à une agression. Alors ok, on peut discuter sur la différence viol/agression sexuelle, etc. Mais sur le fond, si la fille est obligé d'en arriver à la violence pour faire cesser des actes car l'autre ne comprends pas le non, c'est bien que le gars était en train de l'agresser.
Corned beef Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Son interprétation du viol par "pressions psychiques ou morales" est tordue. Alors que n'importe quel juge retiendrait des cas où il y a un abus de position dominante (professeur, patron, mari violent, maître chanteur, groupe sur individu isolé, etc.) sur une victime terrifiée, cette conne le transforme en un argument pour justifier toute tentative d'insistance non violente. Si tu cèdes, pour faire plaisir ou avoir la paix, c'est du viol. Et comme le dit jubal, elle confond le désir et le consentement. Quelle tarée.
poney Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 En lisant ça, j'en viens à me demander si, tour tour, je n'ai pas été parfois à la fois violeur et violé.
jubal Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Le 29/08/2016 à 15:21, Marlenus a dit : Si un non, ne suffit pas à ce que l'autre arrête de te toucher, qu'il faut absolument que tu t'énerves et que tu l'insulte pour qu'il comprenne, il n'y a pas un problème?Oui si tu dois insulter le mec pour qu'il arrête il y a un problème. Mais ce problème ne s'appel pas un viol, même pas de loin. Et a aucun moment de la BD la fille ou le mec n'use de violence physique, je sais pas ou tu as vu ça.
jubal Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Le 29/08/2016 à 15:29, poney a dit : En lisant ça, j'en viens à me demander si, tour tour, je n'ai pas été parfois à la fois violeur et violé.Ça m'est arrive plein de fois que des gens se montre très insistant voir lourd pour que je fasse un truc dont j'avais pas envie (c’était pas sexuel mais ça change rien).
Citronne Posté 29 août 2016 Signaler Posté 29 août 2016 Le 29/08/2016 à 15:22, Corned beef a dit : Son interprétation du viol par "pressions psychiques ou morales" est tordue. Alors que n'importe quel juge retiendrait des cas où il y a un abus de position dominante (professeur, patron, mari violent, maître chanteur, groupe sur individu isolé, etc.) sur une victime terrifiée, cette conne le transforme en un argument pour justifier toute tentative d'insistance non violente. Si tu cèdes, pour faire plaisir ou avoir la paix, c'est du viol. Et comme le dit jubal, elle confond le désir et le consentement. Quelle tarée. "Il a même pris sa main pour la forcer à entrer dans une relation sexuelle pour laquelle elle n'était pas consentante"... Admettons que les mots soient biaisés. Tu avais dit oui, puis finalement, la situation fait que, tu te ravises et tu dis non. Le mec te prend la main pour "insister". C'est non violent ou c'est violent ?
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