Invité rogermila Posté 21 décembre 2011 Signaler Posté 21 décembre 2011 La bourse replonge car la BCE a du débloquer 500 milliards d'euros pour les etablissements bancaires en Europe Alors que l'indice CAC semblait confortablement installé dans le vert, il est passé en territoire négatif aux alentours de 13 heures 30. La Banque centrale européenne (BCE) a prêté 489,191 milliards d'euros à 523 banques de la zone euro. . Une deuxième opération similaire sera menée le 29 février 2012. http://www.lefigaro.fr/marches/2011/12/21/04003-20111221ARTFIG00260-seance-de-hausse-en-vue-a-la-bourse-de-paris.php
h16 Posté 21 décembre 2011 Signaler Posté 21 décembre 2011 Oh. Comme c'est trop triste pour ton PEA, mon pov'choupinou.
hagakure23 Posté 21 décembre 2011 Signaler Posté 21 décembre 2011 Quand on voit comment le média régional traite la dette (et donc la crise) on comprend mieux pourquoi… personne ne comprend rien http://www.midilibre…nuls,430427.php Extraits : Voilà, classique, c'est la faute aux cadeaux aux entreprises et aux Riches (bouh, les méchants) qui, au lieu d'investir dans l'économie réelle font de la spéculation (l'horreur absolue, le mal, le vrai). On passe ensuite à : L'état baisse ses dépenses et évidemment, ferme les écoles etc… (rappelez-vous : tout ça pour les méchants riches) Bref, quand le péquin moyen lit ça, il y croit, et il pense sincèrement que tout cela est la faute aux grandes entreprises et aux riches, que l'état réduit les dépenses "pour de vrai". La boucle est bouclée. Il y a même un professeur à HEC qui est venu approuvé. Il a même sorti une phrase bizarre: "Pour le reste, la journaliste ne dit pas, comme vous l'affirmez que "allégement fiscal ne se traduit jamais par une recette supplémentaire équivalente", elle dit qu'il s'agit de manque à gagner pour l'Etat, ce qui est vrai" Okay, donc si je suis bien, dans la novlangue, un manque à gagner peut signifier des recettes fiscales supplémentaires. Mais faut utiliser manque à gagner, c'est plus joli. Je crois rêver. En fait, mine de rien, ça explique pas mal de phrases de politiciens qui se sont emportés contre le turbo-libéral bouclier fiscal.
Hank Rearden Posté 21 décembre 2011 Signaler Posté 21 décembre 2011 "Pour le reste, la journaliste ne dit pas, comme vous l'affirmez que "allégement fiscal ne se traduit jamais par une recette supplémentaire équivalente", elle dit qu'il s'agit de manque à gagner pour l'Etat, ce qui est vrai" Donc, pour ce monsieur, il s'en suit que le taux normal d'imposition est de 100 % car tout ce qui n'est pas pris par l'état représente un manque à gagner. Qu'on lui saisisse donc la totalité de ces émoluments pour voir s'il continue à avoir le même type de raisonnement vicié.
Noob Posté 22 décembre 2011 Signaler Posté 22 décembre 2011 Qu'on lui saisisse donc la totalité de ces émoluments pour voir s'il continue à avoir le même type de raisonnement vicié. Pas uniquement, il a bien eu la possibilité de s'acheter avec ses gains indus une maison ou que sais-je de honteux. Dépouillons le cuistre !
Tounet Posté 22 décembre 2011 Signaler Posté 22 décembre 2011 Donc, pour ce monsieur, il s'en suit que le taux normal d'imposition est de 100 % car tout ce qui n'est pas pris par l'état représente un manque à gagner. Qu'on lui saisisse donc la totalité de ces émoluments pour voir s'il continue à avoir le même type de raisonnement vicié.
Nicolas Azor Posté 24 décembre 2011 Signaler Posté 24 décembre 2011 La BBC a fait un documentaire sur la fin de l'Occident. Pas encore regardé, mais rien que le titre, ça fait envie: http://thepiratebay.org/torrent/6906308/BBC_The_Partys_Over_How_the_West_Went_Bust_1of2_576p_x264_AAC_HD PS. Ayé, vu. Pas mal, mais ni très original, ni très pertinent amha. Un peu déçu, donc.
ph11 Posté 24 décembre 2011 Signaler Posté 24 décembre 2011 G3068E5dtN8#! La BBC a fait un documentaire sur la fin de l'Occident. Pas encore regardé, mais rien que le titre, ça fait envie:http://thepiratebay….76p_x264_AAC_HD Lien TPB. N'oubliez pas les Belges de changer vos DNS.Par exemple ceux de Google : 8.8.8.8 et 8.8.4.4 plutôt que ceux de votre hébergeur qui font un bloquage du site.
vincponcet Posté 29 décembre 2011 Auteur Signaler Posté 29 décembre 2011 J'hallucine sur la popularité qu'il a dans les journaux. Un journaliste avait écrit un truc une fois, sans rire, "Paul Krugman avait prévu la crise des subprimes en 2007", sachant qu'elle a eu lieu en 2008. C'est vers le 15 juin 2007 que Bears Stern a fermé deux hedge funds investis dans les dettes titrisées de subprime parce que leur cours s'était éffondré. Aussi, c'est vers le 20 août 2007 que la BCE a injecté des centaines de milliards parce qu'il y avait alors un risque de liquidité. De même, c'est à partir de septembre 2007 que la Fed a baissé son taux directeur. etc… La crise financière a bien commencé vers mi-2007, et non 2008 comme on l'entend partout.
E.T. bleu Posté 29 décembre 2011 Signaler Posté 29 décembre 2011 C'est vers le 15 juin 2007 que Bears Stern a fermé deux hedge funds investis dans les dettes titrisées de subprime parce que leur cours s'était éffondré. Aussi, c'est vers le 20 août 2007 que la BCE a injecté des centaines de milliards parce qu'il y avait alors un risque de liquidité. De même, c'est à partir de septembre 2007 que la Fed a baissé son taux directeur. etc… La crise financière a bien commencé vers mi-2007, et non 2008 comme on l'entend partout. And Krugman n'a rien predit.
Gilles Posté 29 décembre 2011 Signaler Posté 29 décembre 2011 Okay, donc si je suis bien, dans la novlangue, un manque à gagner peut signifier des recettes fiscales supplémentaires. Mais faut utiliser manque à gagner, c'est plus joli. Je crois rêver. En fait, mine de rien, ça explique pas mal de phrases de politiciens qui se sont emportés contre le turbo-libéral bouclier fiscal. T'inquiète, c'est d'une logique irréprochable. Comme sur cette , par exemple. ça se voit que tout est logique et cohérent, ils sont bien d'accord, non ? (mais si, il le dit à la fin, l'Etat nomme les dirigeants des banques donc les banques contrôlent les Etats, c'est logique ! )
Stephdumas Posté 29 décembre 2011 Signaler Posté 29 décembre 2011 Krugman qui annonce maintenant que la Chine va s'annoncer, c'est un peu le contre-maître de la mine qui explique, une fois le coup de grisou passé, que le canari est mort et qu'il va y avoir un problème. Il y a de quoi se demander s'il veut prendre un peu le crédit de cette prédiction que James Chanos avait déjà mentionné? http://www.bloomberg.com/news/2011-10-11/chanos-says-china-banks-deteriorating-.html
Sous-Commandant Marco Posté 6 janvier 2012 Signaler Posté 6 janvier 2012 Unicredit, première banque transalpine serait sur le point de faire faillite. A l'époque, je n'avais pas relevé (ça paraissait incroyable) mais il semble bien que tu aies raison. Ses actions sont tombées de 30% en deux jours: http://www.zerohedge.com/news/unicredit-lost-30-its-market-cap-two-days Un commentaire signale que c'est sans doute en lien avec ses investissements en Hongrie, qui ne va pas très fort en ce moment. A mon avis, Unicredit va bientôt devoir être sauvée par les deux super-Marios.
Fedaykin Posté 6 janvier 2012 Signaler Posté 6 janvier 2012 Depuis quelques mois il parait que les crédits sont en train de s'assécher, et la faillite de Dexia n'arrange pas les choses. Dès 2009, le Crédit agricole, la Société générale et les Caisses d'épargne n'avaient pas caché qu'ils ne pourraient plus financer à plus de 15 ans les investissements des grands acteurs publics et parapublics, compte tenu des contraintes imposées par le régulateur. Depuis cet été, la situation s'est nettement dégradée: les banques elles-mêmes peinent à se financer. Elles comptent leurs sous sur tous les financements, y compris à court terme, et choisissent leurs clients. Or elles privilégient plutôt les entreprises au détriment d'un secteur parapublic moins rentable pour elles. Facteur aggravant: la disparition du grand argentier du secteur local, Dexia. Elle-même en grande difficulté, la banque franco-belge faisait tout de même encore crédit ces derniers mois. Mais, selon des sources concordantes, depuis la mi-décembre, elle ne renouvelle plus les lignes de financement à moins d'un an accordées à ses clients, hôpitaux et collectivités locales. En clair, la banque exige le remboursement… Si les collectivités locales peuvent y faire face, grâce à leurs rentrées mensuelles, l'onde de choc commence à se faire sentir du côté des hôpitaux. «L'assèchement du crédit est réel, y compris pour les établissements dont la situation est parfaitement saine. Je n'ai jamais connu une telle situation en vingt ans de carrière, assure Philippe Blua, président du syndicat SMPS, majoritaire chez les directeurs d'hôpital. C'est une situation stressante, inquiétante et sans précédent». http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/01/05/04016-20120105ARTFIG00913-la-crise-bancaire-rattrape-le-secteur-public.php
h16 Posté 6 janvier 2012 Signaler Posté 6 janvier 2012 Oh, tout commence à craquer. Comme c'est surprenant. Je suis tout surpris. Vraiment. Achetez de l'or.
Mirisme Posté 6 janvier 2012 Signaler Posté 6 janvier 2012 http://fr.reuters.co…WEA726620120106 Ah ça faisait un petit moment qu'on l'attendait voilà enfin que ça arrive. L'état sauve les banques le retour de la vengeance du come back.
Tramp Posté 6 janvier 2012 Signaler Posté 6 janvier 2012 On progresse, la Hongrie dégradée par Fitch : http://www.lemonde.f…l#xtor=RSS-3208
xavdr Posté 9 janvier 2012 Signaler Posté 9 janvier 2012 La bourse replonge car la BCE a du débloquer 500 milliards d'euros pour les établissements bancaires en Europe Plus précisément les banques ont bénéficié d'un inhabituel emprunt à faible taux à 3 ans alors que nous soupçonnons un choc inflationniste d'ici quelques mois. Rappelons que les banques centrales prêtent normalement à 1 jour (!) et que dans le passé elles ont consenti pour certains prêts à un horizon de 1 an et pas 3. Par exemple si l'inflation cumulée sur ces 3 ans se montait à un total de 50% ce prêt serait alors un cadeau d'une moitié de la somme, soit 250 milliard ou 500 euros par habitant de la zone euro bébés et vieillards compris. Fillon déclare que le déficit public sera probablement inférieur à 5,7%. http://www.lesechos….evus-272704.php A ce jour l'agence France Trésor affiche 90 G€ d'accroissement de la dette de l'état entre la fin 2010 et la fin novembre 2011, soit plus de 4,5% de PIB (chiffre stable depuis juillet -!-). Au fil du 2d semestre 2011 des mesures fiscales ont été prises en urgence, qui sont censées rapporter ~ 1% de PIB si je me souviens bien. A cela s'ajoute les déficit des collectivités territoriales (salés en raison de l'indexation d'une partie de leur endettement sur des devises fortes), agences publiques et sécurité sociale (salé avec le papy boom et la montée du chomage). Lors des années récentes l'écart entre déficit public français (selon Eurostat) et accroissement de la dette de l'état (selon l'agence France Trésor) représentait entre -30 et +60 G€ soit -1,5% à +3% du PIB (la tendance étant pessimiste). En outre l'état français est engagé à auteur de 160 G€ au sein du FESF qui peut lever quand bon lui semble cette somme rondelette égale à 8% du PIB français ; cet engagement était moitié moindre fin 2010. Pour mémo mon récapitulatif du début aout 2011: http://www.liberaux….post__p__745628 Comme prévu par nous, la croissance sera presque nulle en 2011 (2 premiers trimestres revus à la baisse, 3ème trimestre nul et 4ème trimestre récessionniste).
Tounet Posté 9 janvier 2012 Signaler Posté 9 janvier 2012 http://fr.reuters.co…WEA726620120106 Ah ça faisait un petit moment qu'on l'attendait voilà enfin que ça arrive. L'état sauve les banques le retour de la vengeance du come back. Quand on voit La Poste, monopole étatique chargé à la base du courrier financé Dexia par l'intermédiaire d'une filiale c'est complètement fou, il dilue les créances foireuse de partout et: jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien…..
Boeldieu Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 Taux négatifs pour emprunter à l'Allemagne. Tout baigne. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0201832561726-les-investisseurs-payent-pour-detenir-de-la-dette-allemande-272809.php Les investisseurs payent pour détenir de la dette allemande Pour la première fois, une émission de l'Allemagne sur le marché primaire de la dette est sortie à un taux d'intérêt négatif. L'agence de la dette allemande a ainsi collecté 3,9 milliards d'euros, les investisseurs étant en quête de placements archi-sûrs. L'Etat allemand a réussi un tour de force historique : gagner de l'argent en émettant de la dette. L'agence de la dette allemande a collecté lundi 9 janvier 3,9 milliards d'euros lors d'une émission de dette à 6 mois. Or, pour la première fois, les investisseurs ne vont pas recevoir un intérêt sur leur placement, mais au contraire consentir une prime à l'émetteur. Le taux d'intérêt est ressorti en moyenne négatif de 0,0122%, montrant l'engouement des investisseurs pour le papier allemand. On observe depuis la fin de l'an dernier des taux de rendement négatif sur le marché secondaire, pour des titres de maturité de 6 et 12 mois. Sur le marché primaire, une adjudication s'était soldée au mois de décembre par un taux d'intérêt presque nul, à 0,001%. Le Bund a fait cette fois carton plein, la souscription dépassant 1,8 fois le volume proposé. L'agence chargée de gérer le programme d'émission de la dette allemande, la Finanzagentur, assure qu'elle n'est surprise par un tel résultat. « Cela montre d'un côté la recherche d'un placement de qualité et sûr, de l'autre cela reflète un marché très volatil et nerveux », souligne son porte-parole, Jörg Müller. Selon Kornelius Purps, analyste chez Unicredit, les investisseurs pensent en ce moment d'abord à « récupérer leur argent », plutôt qu' à « un retour sur investissement ». Ils peuvent d'ailleurs à tout moment céder leur papier sur le marché secondaire en spéculant sur un gain net si les cours augmentent. Changement des modalités d'adjudications Le taux d'intérêt négatif tient par ailleurs au changement des modalités d'adjudications pour permettre aux investisseurs de formuler une offre en terme de prix et non de taux. Cela rend un taux négatif possible si le prix offert pour l'instrument est supérieur au nominal de 100. La Finanzagentur ne s'attend pas à ce que le phénomène perdure cette année. En attendant, l'Allemagne pourra économiser un peu sur sa charge d'intérêt annuelle déjà énorme, représentant plus de 35 milliards d'euros au budget de l'Etat.
DiabloSwing Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 La seule image qui me vient en tête c'est celle-là :
poney Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 http://lexpansion.lexpress.fr/economie/l-allemagne-se-fait-payer-pour-emprunter_277867.html J'ai un peu de mal a piger, disons que je comprends qu'on ne fasse plus confiance au reste, mais de la a preter en négatif… On dit souvent qu'un taux trop bas amène un risque de bulle, et avec un taux négatif ?
Calembredaine Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 J'ai un peu de mal a piger, disons que je comprends qu'on ne fasse plus confiance au reste, mais de la a preter en négatif… Je suppose que cela veut dire que les investisseurs n'osent même plus laisser leur pognon sur un compte courant…
Tremendo Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 http://lexpansion.le…ter_277867.html J'ai un peu de mal a piger, disons que je comprends qu'on ne fasse plus confiance au reste, mais de la a preter en négatif… On dit souvent qu'un taux trop bas amène un risque de bulle, et avec un taux négatif ? Je suppose que les investisseurs sont disposés à prêter davantage que la valeur du bon émis.
poney Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 J'ai lu que ça faisait office de coffre fort, tu perds une partie du pognon pour la sécurité, mais t'es sur de garder le reste. ça semble cohérent, j'y aurais jamais pensé. Ceci dit, ça me semble quand même un pari assez audacieux sur l'Allemagne.
Boeldieu Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 J'ai lu que ça faisait office de coffre fort, tu perds une partie du pognon pour la sécurité, mais t'es sur de garder le reste. ça semble cohérent, j'y aurais jamais pensé. Ceci dit, ça me semble quand même un pari assez audacieux sur l'Allemagne. Je pense aussi que c'est risqué de parier sur l'Allemagne mais ça reste le moins pire dans l'esprit des investisseurs. L'idée est aussi que si l'Allemagne coule ce sera un vrai armageddon et à ce niveau là on s'en fout un peu de perdre de l'argent car on pense plus à comment faire pour s'assurer une survie basique (respirer, boire, manger, se reproduire).
h16 Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 On est ici dans le cas "c'est pire partout ailleurs", tout simplement.
JackieV Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 Concrètement, cela veut dire que l'Allemagne à intérêt à tout financer à crédit?
JackieV Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 UK un paradis fiscal? Mouarf!! http://www.contrepoi…oupe-budgetaire Cet article ne démontre rien, le fait que la dette augmente n'est pas incompatible avec l'austérité, ni même avec la baisse des dépenses hors charge de la dette. Ce qui serait intéressant, ce serait de regarder l'évolution des dépenses primaires et du solde budgétaire primaire.
Marlenus Posté 10 janvier 2012 Signaler Posté 10 janvier 2012 L'idée est aussi que si l'Allemagne coule ce sera un vrai armageddon et à ce niveau là on s'en fout un peu de perdre de l'argent car on pense plus à comment faire pour s'assurer une survie basique (respirer, boire, manger, se reproduire). Perso, je vois pas comment l'allemagne peut ne pas couler si tous les pays autour d'elle coulent. Mais bon, il parait que c'est possible.
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