Nathalie MP Posté 11 juillet 2017 Signaler Posté 11 juillet 2017 Pour info : entre le 22/7 et le 22/8 grosso modo, j'aurai plus de temps pour faire des traductions. Si ça peut être utile pour CP pendant les vacances ...
Nigel Posté 11 juillet 2017 Signaler Posté 11 juillet 2017 Je me rends compte qu'il y a pleins d'articles de McCloskey qu'on pourrait traduire. Mais c'est un peu long http://www.deirdremccloskey.com/articles/index.php
Rincevent Posté 11 juillet 2017 Signaler Posté 11 juillet 2017 il y a 54 minutes, NoName a dit : Ça ferait certainement plaisir à fmas Et à plein d'autres gens. 1
Nick de Cusa Posté 12 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 12 juillet 2017 Pas très long. Climat, les accords de Paris sont bien morts, http://www.thegwpf.com/looks-like-global-action-on-climate-change-is-dea
F. mas Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 La 4ème révolution industrielle, c'est maintenant ! https://fee.org/articles/the-fourth-industrial-revolution-is-now/
Adrian Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 Il y a 6 heures, Nick de Cusa a dit : Pas très long. Climat, les accords de Paris sont bien morts, http://www.thegwpf.com/looks-like-global-action-on-climate-change-is-dea Citation Sans les États-Unis dans la partie, tous les plus grands joueurs vont augmenter leurs émissions, et non pas diminuer. En réalité, l'ensemble de « l’action globale sur le changement climatique» est complètement mort. En point de départ, je suggère que, sur toute histoire d’importance politique tirée du New York Times, la vérité est probablement exactement contraire à ce que le journal rapporte. Considérez cet article en une d’hier : « Les leaders mondiaux avancent sur le changement climatique sans les États-Unis » Effrayant ! Les États-Unis s’isolent de la communauté internationale ! « Dans le communiqué final à la fin du sommet du G20 à Hambourg, en Allemagne, les nations ont pris note de la décision de M Trump d’abandonner l’accord de Paris et de cesser immédiatement les efforts du Président Barack Obama visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 26 à 28 % en dessous du niveau de 2005 d’ici 2025 ». Mais les 19 autres membres du groupe ont signé un plan détaillant comment leurs pays pourraient atteindre leur objectif. » Vous pouvez certainement compter sur la Pravda pour ne pas regarder ce que ces 19 autres pays ont promis de faire, et vous faire savoir s’il y a de la substance. Si vous cherchez sur Google les lettres « INDC » (« Contribution prévue à l’échelle nationale ») ainsi que le nom du pays, vous pouvez trouver exactement ce que ce pays a promis de faire dans le cadre de l’accord de Paris. Examinons donc certains grands pays : • Chine : Nous avons déjà une réponse suite à ma publication de la semaine dernière. La Chine, par l’entremise de ses entreprises, envisage de construire, au cours de la prochaine décennie, plus du double du nombre de centrales à charbon que les États-Unis ont aujourd’hui. Sa « contribution à l’échelle nationale » indique que la Chine peut augmenter ses émissions de CO² autant qu’elle le veut jusqu’en 2030, et seulement alors (Lorsque tout le monde en Chine aura vraisemblablement l’électricité et quelques voitures) elles diminueront. D’ici là, ces émissions seront probablement au moins le triple de celles des États-Unis. • Inde : La « contribution à l’échelle nationale » de l’Inde admet ouvertement qu’il entend tripler son approvisionnement en électricité d’ici 2030, sans aucun engagement quant à sa provenance, énergies fossiles ou non. Ils disent qu’ils ont l’intention de réduire « l’intensité » des émissions de leur production d’énergie et d’élargir considérablement la capacité éolienne, solaire ainsi que nucléaire. Whoopee! • Indonésie : Ces choses sont de plus en plus comiques au fur à mesure que vous les lisez. La première chose que vous lisez dans la « Contribution prévue à l’échelle nationale » de l’Indonésie est que la grande majorité de leurs émissions provient des feux de forêts tropicaux (« La plupart des émissions (63 %) sont le résultat d’un changement d’utilisation des terres, des feux de tourbe et de forêts ») et très peu en utilisant les énergies fossiles pour la production d’énergie (« Les énergies fossiles contribuent à environ 19 % de leur émission totale »). Ils promettent donc de brûler moins de forêt tropicale, et rien en ce qui concerne la réduction de l’utilisation des énergies fossiles pour l’énergie. Leur « objectif de réduction » (complétement illusoire) de 29 % d’ici 2030 n’est pas basé sur une quantité fixe d’utilisation passé (comme la référence des États-Unis sur les émissions de 2005) mais plutôt sur un projeté des émissions futures qui est un multiple de ceux d’aujourd’hui. • Russie : leur « Contribution prévue à l’échelle nationale » appelle à réduire leurs émissions de 25 à 30% en dessous du niveau de 1990 d’ici 2030. Impressionnant ! Attendez une minute ! L’URSS s’est effondrée en 1991. Ensuite, ils ont fermé toute cette industrie soviétique inefficace. Selon un graphique de Climate Action Tracker, en 2000, leurs émissions ont diminué de près de 40 % par rapport à 1990, et elles ne sont que très petite depuis. En d’autres termes, les « engagements » supposés de la Russie représentent une hausse de leur émission par rapport à aujourd’hui. Encore une arnaque totale ! • Allemagne : L’Allemagne fait partie de l’engagement supposé de l’UE de réduire les émissions de 40 % par rapport au niveau de 1990 d’ici 2030. Mais maintenant que 30 % de leur électricité provient des énergies renouvelables, il semble que l’Allemagne ait atteint un mur. Leurs émissions de CO² ont augmenté ces deux dernières années (2015 et 2016) selon Clean Energy Wire. Comment prévoient-ils d’atteindre leur objectif ? Excellente question. En d’autres termes, tout cela n’est qu’une farce. Ces discussions sur le climat au G20 et l’article du New York Times ne sont rien d’autre qu’un effort international visant à intimider les États-Unis pour paralyser son économie alors que tous les autres vont de l’avant et utilisent les énergies fossiles exactement comme ils le souhaitent. Quoi que vous puissiez dire au sujet du président Trump, il semble être anormalement immunisé contre ce type d’intimidation.
RaHaN Posté 16 juillet 2017 Signaler Posté 16 juillet 2017 Suite à la vidéo postée par Fenster dans le fil "Santé & Nutrition", j'ai commencé à traduire l'article source. Est-ce que ça peut éventuellement intéressé du monde par ici ?
Nick de Cusa Posté 18 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 18 juillet 2017 on pourrait le prendre en été ; les liens donnent-ils des sources défendables comme des articles publiés visés par des pairs ?
RaHaN Posté 18 juillet 2017 Signaler Posté 18 juillet 2017 Il y a 6 heures, Nick de Cusa a dit : on pourrait le prendre en été ; les liens donnent-ils des sources défendables comme des articles publiés visés par des pairs ? Concernant les sources, y a en majorité des liens youtube de conférences (5, principalement de docteurs), et des papers (4). Le reste, c'est blog/article de journal/lien amazon).
Nick de Cusa Posté 18 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 18 juillet 2017 ça semble suffisamment robuste
Nick de Cusa Posté 19 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 19 juillet 2017 Pour le climat, pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions https://wattsupwiththat.com/2017/07/18/no-kids-no-cars-no-meat-no-flying/
RaHaN Posté 21 juillet 2017 Signaler Posté 21 juillet 2017 Le 19/07/2017 à 11:50, Nick de Cusa a dit : Pour le climat, pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions https://wattsupwiththat.com/2017/07/18/no-kids-no-cars-no-meat-no-flying/ Je commence ça ce soir. J'ai bouclé le précédent article à 95%, je débute l'article sur le climat, histoire d'avoir autre chose en tête que la diète intermittente (overdose), pour y revenir ensuite et y faire une première relecture plus efficace.
RaHaN Posté 21 juillet 2017 Signaler Posté 21 juillet 2017 Citation Pour le climat, pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions Pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions! Et même cela ne vous sauvera pas du changement climatique imputable à l'activité humaine. Si le premier ministre canadien Justin Trudeau souhaite réellement sauvé la planète d'un réchauffement climatique causé par l'homme, il devrait dire à tous les canadiens d'arrêter d'avoir des enfants, de ne plus conduire, de ne plus prendre l'avion, et de ne plus manger de viande. Ce sont les quatre facteurs les plus efficaces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre corrélées au changement climatique sur la scène mondiale. Par contre, les solutions appuyées par le gouvernement canadien et autres pédagogues, tels que le recyclage et la transition aux ampoules à basse consommation, bien qu'elles puissent être “feel good” exercises, sont insignifiantes. Ce point a été souligné par Seth Wynes, doctorant de l'université de la British Columbia et le professeur Kimberly Nicholas de l'université de Lund en Suède, dans leur article « The climate mitigation gap: education and government recommendations miss the most effective individual actions » publié la semaine dernière dans le journal Environmental Research Letters. L'action la plus utile, et de loin serait de ne plus faire d'enfants, ou alors le moins possible. Chaque futur bébé éviterait en moyenne l'émission de 58,6 tonnes de dioxyde de carbone par an à une famille canadienne, en comparaison en 0,213 tonnes d'émission liées au recyclage. Arrêter de rouler en voiture épargnerait 2,4 tonnes d'émissions, par rapport aux 0,1 tonnes gagnées par le remplacement des ampoules incandescentes par celles à économie d'énergie. Eviter un vol transatlantique par an épargne en moyenne 1,6 tonnes d'émissions, par rapport au 0,247 tonnes obtenues en lavant son linge à l'eau froide. Opter pour un régime alimentaire végétarien ferait nous ferait gagner 0,8 tonnes d'émissions, comparativement aux 0,21 tonnes obtenues en faisant sècher son linge dehors plutôt qu'avec un sèche-linge. Malgré ceci, Wynes et Nicholas rapportent : “Nous nous sommes aperçu que 10 manuels scientifiques destinés à des lycées canadiens (couvrant 7 provinces, avec 80% de la population) négligent en grande partie de mentionner ces actions – Elles comptent pour 4% des actions recommandées – préférant mettre l'accent sur les changements progressifs ayant un potentiel de réduction d'émissions plus faible”. Aussi, “En Europe, aux États-Unis, au Canada ainsi qu'en Australie, les ressources gouvernementales pour un changement climatique mettent l'accent sur les actions à faible portée”. Fort heureusement, les scientifiques ne recommandent pas au gouvernement de forcer les canadiens à avoir des familles moins nombreuses, bien que cela soit une position courante chez les environnementalistes les plus extrêmes, dont l'amour pour l'Humanité est surpassé seulement par leur haine envers les gens, save for themselves of course. Dans ce contexte, considérez la « dictature élémentaire » en Chine ( que Trudeau dit admirer), qui abandonna en 2015 seulement son immonde politique de l'enfant unique, imposée depuis 1979. But that didn’t stop China from taking credit at international meetings on climate change for decades, avançant que sa mesure pour l'enfant unique avait empêché la survenue de 300 millions de naissances, l'équivalent de la population américaine, et préservé ainsi de l'émission de l'équivalent de 1,3 milliard de tonnes de dioxyde de carbone, en se basant sur une moyenne globale de 4,2 tonnes d'émissions par enfant. Pour le climat, pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions Pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions! Et même cela ne vous sauvera pas du changement climatique imputable à l'activité humaine. Si le premier ministre canadien Justin Trudeau souhaite réellement sauvé la planète d'un réchauffement climatique causé par l'homme, il devrait dire à tous les canadiens d'arrêter d'avoir des enfants, de ne plus conduire, de ne plus prendre l'avion, et de ne plus manger de viande. Ce sont les quatre facteurs les plus efficaces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre corrélées au changement climatique sur la scène mondiale. Par contre, les solutions appuyées par le gouvernement canadien et autres pédagogues, tels que le recyclage et la transition aux ampoules à basse consommation, bien qu'elles puissent être “feel good” exercises, sont insignifiantes. Ce point a été souligné par Seth Wynes, doctorant de l'université de la British Columbia et le professeur Kimberly Nicholas de l'université de Lund en Suède, dans leur article « The climate mitigation gap: education and government recommendations miss the most effective individual actions » publié la semaine dernière dans le journal Environmental Research Letters. L'action la plus utile, et de loin serait de ne plus faire d'enfants, ou alors le moins possible. Chaque futur bébé éviterait en moyenne l'émission de 58,6 tonnes de dioxyde de carbone par an à une famille canadienne, en comparaison en 0,213 tonnes d'émission liées au recyclage. Arrêter de rouler en voiture épargnerait 2,4 tonnes d'émissions, par rapport aux 0,1 tonnes gagnées par le remplacement des ampoules incandescentes par celles à économie d'énergie. Eviter un vol transatlantique par an épargne en moyenne 1,6 tonnes d'émissions, par rapport au 0,247 tonnes obtenues en lavant son linge à l'eau froide. Opter pour un régime alimentaire végétarien ferait nous ferait gagner 0,8 tonnes d'émissions, comparativement aux 0,21 tonnes obtenues en faisant sècher son linge dehors plutôt qu'avec un sèche-linge. Malgré ceci, Wynes et Nicholas rapportent : “Nous nous sommes aperçu que 10 manuels scientifiques destinés à des lycées canadiens (couvrant 7 provinces, avec 80% de la population) négligent en grande partie de mentionner ces actions – Elles comptent pour 4% des actions recommandées – préférant mettre l'accent sur les changements progressifs ayant un potentiel de réduction d'émissions plus faible”. Aussi, “En Europe, aux États-Unis, au Canada ainsi qu'en Australie, les ressources gouvernementales pour un changement climatique mettent l'accent sur les actions à faible portée”. Fort heureusement, les scientifiques ne recommandent pas au gouvernement de forcer les canadiens à avoir des familles moins nombreuses, bien que cela soit une position courante chez les environnementalistes les plus extrêmes, dont l'amour pour l'Humanité est surpassé seulement par leur haine envers les gens, save for themselves of course. Dans ce contexte, considérez la « dictature élémentaire » en Chine ( que Trudeau dit admirer), qui abandonna en 2015 seulement son immonde politique de l'enfant unique, imposée depuis 1979. But that didn’t stop China from taking credit at international meetings on climate change for decades, avançant que sa mesure pour l'enfant unique avait empêché la survenue de 300 millions de naissances, l'équivalent de la population américaine, et préservé ainsi de l'émission de l'équivalent de 1,3 milliard de tonnes de dioxyde de carbone, en se basant sur une moyenne globale de 4,2 tonnes d'émissions par enfant.
RaHaN Posté 23 juillet 2017 Signaler Posté 23 juillet 2017 Longévité, ou pourquoi je ne mange qu'une fois par jour Nutrition & corps hybride Dans les années 50, mon ami Bill était un ingénieur très talentueux, qui mis au point une voiture extraordinaire. Elle ressemblait très fortement à une Chevrolet Corvette, mais c'est l'intérieur de cette voiture qui la rendait si unique. Il ne s'agissait pas de la première voiture hybride, mais elle était davantage fonctionnelle et plus attirante que ses prédécesseurs. Il y eu cependant un hic: elle ne prit jamais son essor car les gens ne l'utilisaient pas correctement. La source principale d'énergie de la voiture était l'électricité, et l'essence était à rajouter lorsque que c'était possible. Utiliser l'essence un jour sur deux convenait à la voiture, mais le problème était que les gens roulaient à l'essence environ 90% du temps. Résultat, la voiture tombait en panne fréquemment, à la surprise des conducteurs. Chacun se donnait des petits conseils sur comment conduire cette voiture sans heurt, tandis que Bill s'efforçait de dire à tout le monde «Utiliser juste la voiture de la manière pour laquelle elle a été conçu.». En dépit de tous ces efforts, chacun continuait de théoriser sur comment utiliser correctement la voiture. Bill fit banqueroute, et quitta un peu plus tard l'industrie automobile. Cette situation de mon pauvre ami imaginaire Bill est fort comparable à notre Santé-Environnement moderne. Pourquoi bien manger est-il devenu si compliqué ? Une majorité d'entre nous veut simplement être en bonne santé, avoir une bonne apparence et vivre longtemps. Vous pourriez penser que désormais il y aurait un consensus simple sur ce à quoi nos habitudes alimentaires devraient ressembler, mais nous faisons plutôt face à différents courants de pensées sur le sujet. Peut-être sommes-nous supposés choisir le régime X ou le régime Y ou quelque chose entre les deux ? Un des tous premiers régimes fut proposé par un homme appelé George Cheyne en 1724. Désormais sur Amazon, vous pouvez recenser pas loin de 50,000 différents bouquins sur le sujet. Comme la voiture de Bill, il existe certainement une manière simple de ravitailler notre corps qui soit la plus adaptée pour sa conception. Évidemment nous ne sommes pas ingénieurs, pourtant nous autres Homo Sapiens sommes apparus sur Terre il y a environ 200,000 ans et la plupart du temps, l'environnement alimentaire ne ressemblait en rien à celui que nous connaissons aujourd'hui. L'agriculture n'existait pas encore il y a 190,000 ans. Aussi, aucun des fruits et légumes actuels n'auraient ressemblé à ceux que nous connaissons si nous ne les avions pas cultivés selon nos préférences. Voici ce à quoi une banane aurait ressemblé il y a 700ans. Peinture d'une pastèque, datée de 1672. Ou peut-être apprécieriez-vous une carotte du Xèm siècle ? Dès lors, de quelle manière de manger nous sommes-nous adaptés ? L’environnement aurait choisi notre régime davantage que nous l'avons fait. Nos choix se résumaient à soit manger ce qu'il était possible de trouver, soit mourir. L'idée selon laquelle notre corps s'est adapté à un certain ratio de macronutriments disponibles dans l'environnement n'est pas nouvelle ; Et est récemment revenue à la mode du fait du « régime paléo ». Cependant, là où je veux en venir est que notre corps se serait aussi adapté à la fréquence de nourriture disponible – Et qu'il y aurait une fréquence naturelle de repas qui assurerait santé et longévité. Par où commencer? La logique serait que plus nos mangeons, plus nous nous nourrissons, et plus nous vivrions longtemps et en bonne santé. Mais jetons d'abord un coup d’œil aux principes fondamentaux de la méthode décrite par Elon Musk : «C'est certainement plus facile mentalement de raisonner par analogie que par principes fondamentaux. Ces principes fondamentaux sont une manière de regarder le monde. Et ce que cela signifie réellement est que tu réduis les choses aux vérités les plus fondamentales et que tu te demandes ''De quoi sommes-nous certain que cela soit vrai?'' et puis raisonner à partir de cela. Cela demande beaucoup plus de ressources mentales.» Alors, que savons-nous à propos de longévité? À part faire de l'exercice, le mot « super-aliment » peut éventuellement venir à l'esprit. Ou peut-être que plus d'Omega-3, ou un peu de vin rouge, ou s'assurer de prendre des compléments alimentaires voire encore boire moins d'alcool. De nombreux éléments contribuent à une éventuelle longévité, mais il y a une méthode acceptée par la Science dont vous pouvez vous servir pour allonger continuellement votre durée de vie. Qu'il s'agisse d'une cellule de levure, d'une cellule de souris ou d'un singe rhésus, la recherche montre que la réduction de calories ingérées améliorera presque toujours la longévité d'un animal. Ces résultats sont connus depuis le début du 20èm siècle. Selon l'espèce animale, une réduction de 30% des calories ingérées peut apporter une durée de vie plus grande de 30%. Partons de ce constat. Depuis un certain temps, la sagesse populaire est que vous avez besoin de 3 repas équilibrés par jour pour rester en bonne santé. Depuis mon enfance, la triade « Petit déjeuner, repas et dîner » semble aussi naturelle que dormir ou aller aux W.C. Le petit déjeuner était le repas le plus important de la journée, j'avais besoin d'un repas équilibré à midi pour rester concentré le reste de la journée et être envoyé au lit sans dîner était considéré comme de la maltraitance. La situation est foncièrement la même au Japon où je demeure désormais, ou dans le reste du monde. Si nous voulons réduire le nombre de calories ingérées pour allonger notre durée de vie, le seul choix serait alors de manger moins, puisque nous avons besoin de trois repas, n'est-ce pas ? Mais alors, d'où cette idée des trois repas par jour vient-elle ? Comme Abigail Carroll le suggère dans son livre « Three Squares : The invention of the American Meal » : Manger trois repas par jour fut principalement inventé du fait de la culture, pas de nos besoin biologiques. Depuis le Moyen-Age, les européens mangeaient un repas léger avant d'aller au travail, puis un repas copieux en milieu de journée, puis enfin un autre repas léger à la tombée de la nuit. Lorsque les colons européens arrivèrent en Amérique, ils observèrent que les autochtones mangeaient essentiellement lorsqu'ils en ressentaient le besoin, plutôt qu'à des moments précis. C'est ainsi que les Européens considérèrent ce manque de repère pour les temps de repas comme un manque de civilisation et forcèrent ainsi les natifs à changer leurs habitudes. Pour faire plus court : Le paradigme des trois repas par jour n'est pas basé sur nos besoins biologiques. Comment l'environnement nous a sculpté Dans une société de Chasseurs-Cueilleurs, il n'y avait rien d'étonnant du tout à se nourrir directement sur une grosse prise, puis de survivre sur quelques voire pas de réserves durant une certaine période jusqu'à ressentir le besoin de trouver une autre importante source de gras et de protéine. En fait, le contexte jusqu'à présent nous suggérerait que si nous ne pouvions faire cela, nous ne serions probablement pas vivant pour nous informer au sujet des régimes alimentaires. La tribu Pirahã, des indigènes chasseurs-cueilleurs de la forêt amazonienne, a minutieusement été étudié par un anthropologue linguiste, Daniel Everett. Il observa que ces derniers ne se nourrissaient pas tous les jours, voire n'essayaient pas non plus de le faire. They were even aware of food storage techniques yet never used them except to barter with Brazilian traders. Lorsqu'il les interrogeait sur le pourquoi ils ne stockaient pas de nourriture pour eux-même, leur réponse était « Je stock la viande dans le ventre de mon frère ». Jusqu'à l'apparition de l'agriculture, manger 3 repas par jour, et même dans certains cas manger tous les jours était pratiquement impossible. Certains d'entre vous souligneront peut-être que l'espérance de vie durant l'ère paléolithique était bien plus basse qu'aujourd'hui d'environ 33ans, prouvant ainsi que nos habitudes alimentaires modernes sont plus saines. Cependant, le taux de mortalité infantile est un facteur suffisamment important pour diminuer significativement cette espérance. Vous devez comprendre que l'une des conséquences de la civilisation moderne et de la technologie est que vous pouvez être sans compétence ou avoir une base génétique faible et ne pas mourir. Comme Doug McGuff l'explique: «L'espérance de vie n'a pas grand chose à voir avec l'équilibre anabolique/catabolique ou avec les bénéfices à long terme sur la santé, parce qu'il existait des survivants très âgés durant cette période, et la preuve apportée par les fossiles de ces vieux survivants, basée sur leurs fixations ligamentaires, leur structure osseuse ou la densité minérale de leurs os est que: Ils étaient particulièrement robustes.». Le métabolisme du glucose ou comment la sagesse populaire nous trompe L'idée principale la plus rependue est qu'une glycémie stable est nécessaire pour survivre. Ce qui justifierait biologiquement le besoin de trois repas par jour. Subissez en ma compagnie un peu de biochimie pour comprendre pourquoi consommer constamment des glucides pour maintenir une glycémie normale n'est pas seulement nécessaire mais peut aussi être néfaste et vous faire rentrer dans un cercle vicieux. Après avoir mangé quelques glucides – Pain, pâtes, pommes de terre, sucrerie, etc..- le sucre entre dans la circulation sanguine et l'insuline est secrétée pour distribuer le glucose efficacement dans le corps. Via les récepteurs insuliniques, le glucose entre dans la cellule et l'action d'une chaîne enzymatique sur celui-ci produit de l'énergie sous forme d'ATP (Adénosine Triphosphate). Ce processus produit du déchet, appelé pyruvate, lequel est transporté au travers de la mitochondrie, «l'usine à énergie de la cellule». La mitochondrie digère le pyruvate via du cycle de Kreb, lequel produit encore davantage d'ATP. Il en résulte un déchet produit dans la mitochondrie, le citrate, qui lorsqu'il se trouve en quantité trop importante, bloque une enzyme appelée PhosphofructoKinase dans la chaîne enzymatique qui entraîne un barrage cellulaire, empêchant ainsi qu'un excès de sucre altère la cellule. When the process can’t continue downward , 70gr sont stockés dans le foie, et 200 dans le muscle. Vous avez alors votre bagel matinal et votre café frappé, et vous avez ainsi stocké tout le sucre que vous pouvez stocker. Après quoi, le glucose ne plus plus être converti en ATP dans la cellule, ou stocké dans le foie ou le muscle. Votre corps ne souhaite pas vraiment que le glucose surcharge vos cellules ou qu'il s'accumule dans le système sanguin car comme verser du sirop de pancake dans votre moteur de voiture, cela peut encrasser toute votre machinerie. Un processus inflammatoire nocif appelé Glycation rend compte de cette surcharge où le glucose se lie aux protéines et inhibe leurs fonctions. Alors votre corps continue de sécréter de l'insuline pour faire face au glucose. Tous les récepteurs insuliniques de vos cellules deviennent résistants à l'insuline, à l'exception des cellules adipeuses. Ces dernières n'ont pas toute la machinerie complexe des autres cellules, donc il s'agit certainement de l'endroit le plus sûr pour stocker le glucose. Tout en étant un lieu de stockage d'énergie, vos cellules adipeuses vous protège aussi des dommages liés à la glycation. Le problème ici est que si votre niveau d'énergie commence à faiblir, vous ne pouvez pas extraire l'énergie accumulée dans vos cellules adipeuse parce que l'hormone qui gère cela – la lipase hormonosensible – est sensible à l'insuline. L'insuline ne vous permet pas d'exploiter vos cellules adipeuse pour obtenir de l'énergie. Si vous avez un taux élevé d'insuline sérique et que vous avez besoin d'énergie, vous allez probablement devenir sévèrement affamé et aurez besoin d'élever votre glycémie à court terme avec un en-cas pour augmenter vos niveaux d'énergie. C'est pourquoi, si vous suivez les recommandations alimentaires du gouvernement américain, vous serez généralement coincés dans ce cercle de systématiquement vouloir manger à chaque fois que votre glycémie chute, et 3 repas par semaine deviendra une nécessité. Même le médecin Peter Attia s'est senti victime de cela: «En dépit de 3 à 4 heures d'exercices par jour et suivant la pyramide à la lettre, j'ai pris beaucoup de poids et développé quelque chose appelé ''syndrome métabolique''.». La cétose à la rescousse ! Il existe une autre source d'énergie dans votre corps qui est bien plus stable et efficace que le glucose. Les corps cétoniques sont produits par le foie à partir des acides gras pour produire de l'énergie lorsque vous avez épuisés vos réserves de glycogène (ce qui prend 10 à 12heures suivant votre activité et votre composition corporelle). Les corps cétoniques peuvent intégrer le cycle de Kreb (précédemment cité) comme le glucose pour produire de l'énergie sous forme d'ATP. Vous avez peut-être entendu à l'école que cet état de cétose faisait référence à un ''mode de privation'', but this by no means suggests you are about to starve. Je n'aime tout particulièrement pas ce terme car il suggère que les sucres/glucides sont la source d'énergie première pour notre corps, alors qu'il est absolument possible de vivre complètement sans glucide. Bon exemple : un écossais de 27 ans pensant 207Kg a démarré un jeûne durant 382 remarquables jours, ne consommant ainsi que de l'eau et des compléments vitaminés. Il perdit 125Kg et boucla son jeûne sans effet négatif. Il était techniquement en ''mode de privation'' durant toute cette période, son corps utilisant comme énergie sa masse graisseuse corporelle. Note rapide : Cétose et acidocétose diabétique ne sont PAS la même chose. Quelques années en arrière, lorsque j'entendis pour la première fois parler au sujet du régime low carb, je fus sceptique et franchement, lorsque j'entendis qu'une proche amie de ma mère s'essayait au régime Atkins, j'étais inquiet pour elle. Cependant, après avoir entrepris de multiples recherches, et compris exactement le métabolisme du glucose, je débuta par le régime Paléo. Je me sentais bien en général, avait une meilleure condition physique avec moins d'effort et un niveau d'énergie plus stable. La contrepartie fut que planifier mes repas était quelque peu ennuyeux, alors j'ai triché un peu de ci de là. Les bénéfices du jeûne Même après que les individus se trouvaient dans des environnements dans lesquels ils avaient la possibilité de manger bien plus fréquemment, l'idée de jeûner dans le but d'améliorer la santé a toujours été d'actualité. Une inscription sur une pyramide égyptienne datée de 3800 avant J.C nous dit ''Les hommes vivent pour un quart sur ce qu'ils mangent, leur docteur sur les trois quarts restants ''. Platon aurait apparemment jeûné pour une meilleure activité mentale, le ''Luther de la médecine'' Phillipus Paracelse appelait le jeûne ''le plus grand des remèdes'' et Mark Twain suggérait que jeûner était bien plus efficace que n'importe quelle médecine. Les romains avaient même trouvé ce qui guérissaient les personnes possédées par les démons (actually poor misunderstood Epileptics ) en les enfermant dans une pièce sans aucune alimentation. Afin de simplifier un incroyable système complexe, aging in essence est le résultat de dommages accumulés sur votre ADN. Le professeur de génétique David Sinclair et son équipe ont observé que ne pas manger stimule les sirtuines (classe d'enzymes)., lesquelles sont directement responsable d'un processus de réparation de l'ADN. Mark Mattson, professeur de neurosciences à l'université John Hopkins, a donné une conférence TEDx dans cette université au sujet des bienfaits du jeûne sur le corps et le cerveau. Jeûner stimule notamment les facteurs neurotrophique de croissance, BDNF et FGF, lesquels favorite le développement de nouveaux neurones dans le cerveau. Ceci explique pourquoi jeûner a été relié à la prévention de maladies neurodégénératives tel que Parkinson ou Alzheimer. Cette information m'a particulièrement emballé en ce qui concerne des jeûnes ponctuels. Avec ceux-ci, vous ne mangez pas durant 16h, ce qui donne à votre corps le temps d'épuiser vos réserves de glycogènes et ainsi de commencer d'une part à brûler les graisses, mais aussi de tirer bénéfice des bienfaits vus plus haut. De nombreuses sources pointent le fait que, quelque soit votre type de jeûne – long, ou ponctuel – ou juste que vous mangiez moins, vous donnez à votre corps la possibilité de réduire ses stocks de glycogène, et d'entrer ainsi en cétose, permettant ainsi de nombreux apports bénéfiques à votre santé. Jetez un œil à ces deux études : ''Les cétones gardent vos neurones en vie'' et ''Les propriétés neuro-protectrices d'une restriction calorique, le régime cétogène et les corps cétoniques''. J'étais emballé par l'idée d'avoir des effets similaires au Paléo avec davantage de liberté dans mon régime.The problem with Intermittent Fasting was I found with myself craving food outside of the 8 hour eating period, and I still had to be somewhat strict with what I ate (although not as strict as my 3 meals a day regimine) Upton Sinclair, qui est né vers la fin du 19èm siècle, et qui vécu jusqu'à l'âge avancé de 90ans, publia un livre en 1911 appelé «The Fasting Cure». Ce livre est inspiré par les cas particuliers de 250 personnes qui se sont soignées de diverses affection par le jeûne. Ces affections vont d'un simple rhume, mal de tête ou constipation, à de l'arthrite, des maladies vasculaires ou du cancer. Dr. Alan Goldhamer raconte comment, en 2012, un patient de 42ans guérît d'un cancer (lymphome folliculaire, avancé au stade 3) par un jeûne de 21 jours. De nos jours, vous pouvez trouver différents cas personnels sur Youtube, d'individus qui ont guérît d'une simple affection grâce à un jeûne dit hydrique ( ou l'on ne consomme rien d'autres que de l'eau). Mon voyage vers le repas unique par jour « The fasting cure » fut l'une des premières choses qui me donna matière à ouvrir mon esprit sur les bénéfices potentiels de plus de jeûnes prolongés. J'avais au départ beaucoup de freins en dépit de toutes les incroyables expériences personnelles décrites dans le livre, mais une fois avoir entendu l'histoire de l'écossais (mentionné plus haut) qui jeûna 382 jours durant, je me convaincs qu'avec une semaine, il n'y avait pas de quoi en faire tout un plat. J'ai ainsi essayé une longue semaine de jeûne et abandonna vers le quatrième jour bien que je ne me sentais pas nécessairement mal en point. Alors que je n'avais pas atteint mon objectif et que rien n'avait particulièrement changé, je me rendis compte les jours suivants que je n'avais plus autant d'intérêt pour les aliments malsains et autre malbouffe. J'étais du genre à adorer m'empiffrer de diverses cochonneries au sucre raffiné alors while doing intermittent fasting since it was within my 8 hour eating period, mais cette diète m'a fait revoir toutes mes références nutritives. Dr. Nagumo in his later 50’s Un peu plus tard, j'en suis venu à lire 「空腹が人を健康にする」”Avoir faim permets d'être en bonne santé” écrit par Dr. Yoshinori Nagumo, qui nous fournit un certain nombre d'arguments convaincants pour nous limiter nous-même à un repas par jour. Il aborde un certain nombre de points que j'ai déjà traité, mais aussi d'autres dont je n'ai jamais fait mention, and it dispelled some worries I had like malnutrition and whatnot. (Il était aussi très facile d'avoir confiance en lui du fait qu'il est de plus de trente ans mon aîné, et qu'il paraît plus jeune que moi). C'est ainsi que durant deux semaines, je ne mangea qu'une seule fois par jour. Les trois semaines précédentes, j'ai fait visité à ma sœurs les environs de Tokyo, et je me suis nourri de tout et de n'importe quoi, tant que cela me semblait bon. Puis j'ai démarré le Nagumo Plan le jour après qu'elle soit partie et les trois premiers furent définitivement les plus compliqués. When the clock hit around 11AM, I realized I wasn’t getting the joy from eating that I was used to around this time of day and started really wanting to eat. Mon estomac ne me faisait pas particulièrement mal, c'était plutôt comparable au fait d'être dans l'incapacité de faire une partie de jeux-vidéo les soirs où je rentrais de l'école. Vers 16h, je me rendais compte que j'avais vraiment très faim, et qu'il fallait que je mange. L'attente jusqu'à 16h30 pour manger était comparable à la dernière série d'une longue séance de squats. Les deux jours suivants était à peine plus simple, et vint le quatrième jour où je réalisa que je ne regardais plus ma montre me disant « Plus que X heures à attendre » ! Je décidais donc de retenter la diète la semaine suivante et de faire un tour de 50 kilomètres à vélo, d'Atsugi à Tokyo. Je n'en avais jamais fait autant, et je dois même dire qu'un tour à vélo ne fait habituellement pas plus de 3 kilomètres pour moi. Sans surprise ce fut plutôt difficile, mais physiquement je ne me suis jamais senti largué. Des sensations de faim sont apparues plus tôt que d'habitude mais je n'ai jamais senti avoir moins de force lié à un éventuel manque de nourriture. C'est ceci qui me fit adhérer au repas unique par jour. Cela va faire un mois que j'ai débuté, et je me sens plutôt bien en général, mon niveau d’énergie est plutôt stable, tolère mieux de moins dormir, aussi je suis davantage concentré et j'ai curieusement moins de soucis avec la faim, que je n'ai eu par exemple avec le jeûne intermittent. It’s not until an hour or 2 before my usual eating time that I start thinking about food and if I’m focused on something I might even eat an hour later than normal. Même si je ne mange pas le repas le plus sain, Je peux me sentir désormais confiant sur le fait que mon corps aura plus de temps pour épuiser n'importe quel excès de glycogène ou de toxines ingérées. (The only time I do crave unhealthy food is when I’ve had some alcohol.) Looking back, it’s hard to imagine having to pile so much food into my stomach throughout the day. En plus des bénéfices sur la santé, l'autre raison pour laquelle j'ai fait cela est la même raison qui faisait que Steve Job s'habillait de la même manière tous les jours : Cela me permet de choisir plus facilement et permet de libérer mon esprit pour me concentrer sur d'autres tâches. (See “Decision Fatigue”) Pour ma part, les nombreuses nouvelles informations obtenues ne modifient seulement qu'une légère part de mes habitudes. Par exemple, si mes connaissances sur les méfaits de l'alcool s'amélioreraient de 60%, peut-être que je diminuerai ma consommation de 30%. Avec ce seul article, je ne m'attends pas que vous débutiez soudainement à manger qu'une fois par jour, espère néanmoins que vous commenciez à donner un break à votre corps, en ne mangeant que lorsque vous avez faim, et pas quand l'horloge vous dit qu'il le faut. (J'ai laissé quelques phrases en anglais, j'arrive pas à traduire de manière efficace ce qu'il souhaitait dire.)
Nick de Cusa Posté 23 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 23 juillet 2017 tu as obtenu l'autorisation écrite ?
RaHaN Posté 23 juillet 2017 Signaler Posté 23 juillet 2017 J'ai fait la demande pour Contrepoints éventuellement. Il en aurait fallu une pour le forum ?
Nick de Cusa Posté 23 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 23 juillet 2017 non, non Pour Contrepoints, tu as reçu une réponse positive ?
Nick de Cusa Posté 25 juillet 2017 Auteur Signaler Posté 25 juillet 2017 Pas long. Climat : Trump assemble son "équipe rouge" pour le débat sur la science https://wattsupwiththat.com/2017/07/24/trump-administration-lining-up-climate-change-red-team/
Nathalie MP Posté 26 juillet 2017 Signaler Posté 26 juillet 2017 Traduction de : https://fee.org/articles/employers-think-recent-college-grads-have-an-attitude-problem/ ---------- La moitié des employeurs se plaignent du comportement des jeunes diplômés Annie Holmquist, FEE, 23 juillet 2017. Les jeunes d’aujourd’hui le savent car on le leur répète du matin au soir : le passage par les études supérieures est l’élément le plus important pour décrocher un emploi. De ce fait, beaucoup d’entre eux se dirigent vers la meilleure université qui rentre (ou pas) dans leurs moyens financiers. Mais si l’on en croit une étude récente venue du Royaume-Uni, un diplôme de l’enseignement supérieur ne fait pas pour autant un bon professionnel. Ainsi que le montre le graphique ci-dessous, de nombreux employeurs se déclarent de moins en moins satisfaits de leurs nouvelles recrues, notamment en ce qui concerne l’attitude à l’égard du travail, les capacités de communication et de résolution de problèmes, ainsi que l’aptitude à développer de bonnes relations avec les clients. (Graphique : voir ci-dessous) Le quotidien britannique The Telegraph a apporté de l’eau au moulin de cette étude en relatant les expériences de plusieurs employeurs. Parmi eux, Crescens George : « Crescens George est Directeur de l’exploitation dans l’entreprise d’assurances Be Wiser Insurance Group. Il a expliqué au Telegraph que les jeunes diplômés ne sont pas préparés au « vrai monde du travail » et qu’il est souvent nécessaire de flatter leur ego. « En tant qu’employeur, vous attendez d’un diplômé qu’il maîtrise un tant soit peu les règles de base de l’entreprise et qu’il dispose de quelques compétences en communication. » Une expérience vécue avec un jeune diplômé qu’il avait préalablement recruté, lui rappelle de mauvais souvenirs : « Il ne voulait pas passer par l’apprentissage de terrain. J’attribue cela au stress d’avoir à rembourser 50 000 dollars d’emprunt étudiant, et à la découverte déconcertante que le « vrai monde du travail » est très différent de ce qui en est dit dans les amphis. SI nous n’avions pas perdu 12 à 14 mois à flatter son statut de diplômé, je suis certain que ce jeune professionnel aurait rencontré le succès bien plus tôt et qu’aujourd’hui il serait en mesure d’obtenir des postes d’encadrement. » Des employeurs tels que Crescens George attribuent les problèmes des jeunes diplômés à certaines caractéristiques propres aux grandes universités, mais on ne peut s’empêcher de se demander si le mal ne serait pas plus profond. Serait-il possible que les lacunes pointées par les employeurs – manque des connaissances entrepreneuriales de base, faibles compétences en communication et attitude négative face au travail – provinssent directement de l’enseignement reçu dès les premières années scolaires ? Regardez par exemple ce qui est enseigné sur l’individu. Selon les mots de C. S. Lewis, le système scolaire encourage une attitude du style « tout le monde vaut tout le monde » sans se préoccuper des aptitudes ou des capacités des uns et des autres. Eduqués dans cette idée, les étudiants ont facilement tendance à se croire sortis de la cuisse de Jupiter. Si ce travers n’est pas corrigé, ils ne seront que trop enclins à exiger de plus de plus de louanges et d’avantages à mesure qu’ils grandissent et accèdent au marché du travail. Ou regardez la façon dont l’école développe la socialisation des élèves. C’est depuis longtemps l’un des objectifs les plus importants du système scolaire, mais force est de constater que cette socialisation ne se fait qu’à l’intérieur d’une seule classe d’âge. Les élèves ont alors du mal à interagir avec des individus n’appartenant pas à leur cercle immédiat. Cela devient problématique lorsqu’ils entrent dans la vie active et doivent coexister pacifiquement avec des personnes, clients ou collègues, ayant 10, 20 ou même parfois 50 ans de plus qu’eux. De plus, le système éducatif a éliminé bon nombre d’expériences qui permettaient de se familiariser avec le monde de l’entreprise - les classes-ateliers par exemple - tout en dénigrant le concept d’apprentissage. Sans ces expériences précoces, il n’est guère étonnant de constater que les jeunes salariés n’ont aucune idée du monde de l’entreprise dans lequel ils entrent. Verrions-nous plus d’employeurs satisfaits et plus de salariés hautement qualifiés si le système éducatif commençait par prendre ses distances avec son fonctionnement essentiellement basé sur le pré-formatage des élèves et le culte des égos ? ------------------- Article d’origine : Employers Think Recent College Grads Have an Attitude Problem Article publié initialement par le site Intellectual Takeout le 11 juillet 2017. Annie Holmquist est chercheur associé pour Intellectual Takeout. Elle s’intéresse tout particulièrement aux aspects historiques du système éducatif des Etats-Unis. -------------------
Nathalie MP Posté 26 juillet 2017 Signaler Posté 26 juillet 2017 Il y a 13 heures, Nick de Cusa a dit : Pas long. Climat : Trump assemble son "équipe rouge" pour le débat sur la science https://wattsupwiththat.com/2017/07/24/trump-administration-lining-up-climate-change-red-team/ Je prends. Demande de précision : je traduis bien tout l'article initial paru dans The Washington Examiner, pas seulement la partie qui apparait dans WUWT ? (je demande car j'ai vu que pour une précédente trad ci-dessus seule la première partie avait été traduite).
RaHaN Posté 26 juillet 2017 Signaler Posté 26 juillet 2017 il y a 11 minutes, Nathalie MP a dit : (je demande car j'ai vu que pour une précédente trad ci-dessus seule la première partie avait été traduite). Heureusement que tu me le fais remarquer ><. merci 1
Nathalie MP Posté 27 juillet 2017 Signaler Posté 27 juillet 2017 Le 25/07/2017 à 18:27, Nick de Cusa a dit : Pas long. Climat : Trump assemble son "équipe rouge" pour le débat sur la science https://wattsupwiththat.com/2017/07/24/trump-administration-lining-up-climate-change-red-team/ L’administration Trump monte un « shadow GIEC » sur le changement climatique John Siciliano, Watts Up With That, 24 juillet 2017. L’administration Trump commence tout juste à mettre sur pied une « équipe rouge », sorte de « shadow GIEC » censé jouer l’avocat du diable dans le débat sur le réchauffement climatique et apporter des arguments contradictoires à ce que les climato-sceptiques appellent l’alarmisme climatique. La Maison-Blanche et l’Agence pour la Protection de l’Environnement (Environmental Protection Agency ou EPA) sont en effet en train de recruter des scientifiques avec l’aide du Heartland Institute, lequel est considéré comme le Think Tank de référence dans la remise en cause du consensus scientifique majoritaire sur le climat. L’Institut possède sa propre « équipe rouge » : antithèse du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU), elle a été baptisée sans complexe Groupe d’experts international non gouvernemental sur l'évolution du climat. « La Maison-Blanche et l’Agence pour la Protection de l’Environnement ont fait appel au Heartland Institute pour les aider à identifier les scientifiques qui pourraient participer à une équipe rouge, et nous avons été heureux de pouvoir leur rendre service », a expliqué Jim Lakely, Directeur de la communication de l’Institut, au Washington Examiner. « Un projet de cette nature est attendu depuis longtemps », a-t-il ajouté. « Les scientifiques du climat qui dominent les délibérations et les publications du GIEC n’ont rencontré pratiquement aucune contradiction. C’est une violation de la méthode scientifique et une atteinte à la confiance de l’opinion publique. » Le Heartland Institute soutient l’idée d’une « équipe rouge » depuis longtemps. Selon Jim Lakely, il s’agit « d’examiner de façon critique ce qui est devenu depuis trop d’années un dogme alarmiste plutôt qu’une sobre évaluation de la science du climat. En fait, l’Institut Heartland a travaillé étroitement avec une équipe rouge qui étudie la science du climat depuis de nombreuses années : le Groupe d’experts international non gouvernemental sur l‘évolution du climat* ou GINEC. » L’équipe rouge envisagée par l’administration Trump pourrait ressembler au groupe créé par le Heartland Institute. D’après ce qu’a confié le mois dernier un haut fonctionnaire au site d’information sur le climat Climatewire, le Directeur général de l’EPA Scott Pruitt « estime que l’agence sera capable de recruter les meilleurs dans le domaine du climat et qu’elle sera à même d’organiser un processus spécifique dans lequel ces personnes apporteront une analyse critique à charge et à décharge à propos des nouvelles études sur le climat. » « A vrai dire, cette initiative nous motive à l’extrême. Comme d’autres domaines scientifiques, la science du climat est en évolution permanente. Une nouvelle évaluation, transparente et sans préjugés, c’est quelque chose que tout un chacun devrait applaudir des deux mains », a aussi jugé le haut fonctionnaire cité ci-dessus. L’équipe du Heartland publie régulièrement des rapports critiques sur les études du GIEC ou d’autres scientifiques du climat. Depuis ses débuts il y a huit ans, elle a produit quatre volumes complets intitulés « Le changement climatique revisité ». Le cinquième est annoncé pour la fin de cette année. « Des centaines de chercheurs ont participé à la rédaction ou à la revue de ces volumes publiés par le Heartland Institute » a précisé Jim Lakely. Au total, ils représentent plus de 3000 pages. Alors que l’administration Trump se lance dans une approche similaire, il est ironique de se rappeler qu’à l’origine elle fut avancée par Steven Koonin, ancien fonctionnaire de l’administration Obama. Il proposa en effet de procéder selon le mode contradictoire équipe rouge vs équipe bleue afin d’éclaircir l’ensemble des tenants et aboutissants de la science du climat. Koonin enseigne à l’Université de New York. Il suggéra cette idée en avril dernier dans un contre-édito** du Wall Street Journal. L’exercice comprendrait une « équipe rouge » représentant les climato-sceptiques prêts à affronter une « équipe bleue » représentant la majorité des scientifiques qui croient que la planète se réchauffe en raison de l’accroissement des émissions de gaz à effet de serre dû aux activités humaines. Ce type d’approche par équipes opposées fut mise au point par l’armée à l’époque de la Guerre froide afin de tester les différentes thèses en circulation à propos des capacités militaires de l’Union soviétique. Pour le changement climatique, elle permettrait de disposer de points de vue contradictoires afin d’évaluer les différentes thèses et déterminer quelle part du réchauffement est due aux émissions de dioxyde de carbone et quelle autre part à la variabilité naturelle du climat. En juin, à l’occasion des auditions sur le budget 2018, le Secrétaire d’Etat américain à l’énergie Rick Perry a lancé l’affaire en ces termes devant la Commission sénatoriale du budget : « Pour ce pays, c’est une belle occasion d’avoir une conversation sur le climat, et d’amener les scientifiques à se parler en dehors de toute pression politique. Effectivement, le sous-secrétaire d’Etat à l’énergie du Président Obama, Steven Koonin, est un spécialiste de la physique théorique et il connaît bien ce sujet. Or il a dit qu’il est probablement temps que les scientifiques abordent la question sans politiciens dans la pièce. » Perry fut le premier membre éminent de l’administration Trump à évoquer l’idée en public, mais cela restait très hypothétique car il n’avait pas le moindre plan en tête pour la mettre en oeuvre. Mais le patron de l’EPA, Scott Pruitt, est en train de la concrétiser. « D’après ce que je comprends, Scott Pruitt essaie de recruter Koonin pour prendre la tête de l’opération », a déclaré Myron Ebell, ancien chef transitoire de l’EPA avant la nomination de Pruitt et actuel directeur de l’environnement dans le Think Tank libéral Competitive Entreprise Institute. Ni l’EPA ni Koonin n’ont répondu à nos appels pour confirmer que ce dernier serait pressenti pour diriger l’équipe rouge. Mais Ebell souligne la logique qu’il y aurait à le voir participer au projet : « C’est un médiateur de choix, non ? Il appartenait à l’administration Obama, mais il pense que le débat fut insuffisant. Il aurait la crédibilité idéale pour mener à bien tout le processus. Je ne sais pas ce qu’ils ont en tête sur la façon de procéder, et j’en sais encore moins sur ce que Koonin a en tête. En général, nous avons besoin d’aller au-delà de ce que l’establishment dit lorsqu’il est contesté, c’est-à-dire « vous pouvez nous faire confiance ». Je ne pense pas qu’on puisse faire confiance à l’establishment. » Reprenant à son compte une formule de Ronald Reagan à l’époque de l’Union soviétique, Ebell explique qu’il préférerait de beaucoup « faire confiance, puis vérifier. » « Je ne dis pas que les scientifiques sont des soviétiques. Je pense simplement que c’est une bonne approche, surtout quand on sait que les mesures recommandées vont coûter des milliards de dollars dans les prochaines décennies. » Moins enthousiaste, le Bipartisan Policy Center (centre bipartisan des politiques publiques), entité qui sert souvent à réconcilier des points de vue politiques divergents, s’interroge sur la façon dont les équipes seront constituées et se demande quels seront les objectifs du processus : « Pour l’instant, les contours de l’exercice équipe rouge vs équipe bleue ne sont pas parfaitement clairs. D’après nos propres évaluations, l’activité humaine a un impact sur le climat », explique Tracy Terry, directeur du projet énergie dans ce centre. « Comme le changement climatique est une réalité, l’exercice pourrait se révéler utile s’il se concentrait sur l’amplitude des impacts potentiels et sur les meilleurs moyens pour les atténuer et s’y adapter. » Une chercheuse du Think Tank environnemental World Ressources Institute considère pour sa part que l’approche est clairement erronée. « Il est vrai qu’elle a été utilisée par les plus grandes entreprises pour des exercices stratégiques internes, mais c’est complètement inapproprié pour la science », a écrit Kelly Levin dans un récent article de blog. « Cette approche n’a pas sa place dans la détermination de la science du changement climatique. » Chez World Ressources Institute, Kelly Levin dirige le programme qui traque les émissions de dioxyde de carbone des pays développés. « L’écrasante majorité – 97 % - des études révisées par les pairs soutiennent le point de vue du consensus selon lequel les activités humaines contribuent à la plus grande part du réchauffement climatique récent. » Seule une « proportion de plus en plus réduite » d’études rejettent le consensus scientifique, estime Kelly Levin. Aussi, « donner dans cet exercice un poids égal à l’équipe rouge et à l’équipe bleue aurait pour effet de suggérer à tort à l’opinion publique qu’il y a un débat là où il n’y en a pas », ajoute-t-elle. « Et l’administration Trump va vraisemblablement truffer l’équipe rouge de personnes dont les intérêts dans les industries des énergies fossiles sont connus, comme elle l’a fait pour les membres du gouvernement. » *En anglais : Nongovernmental International Panel on Climate Change, ou NIPCC. ** En anglais : op-ed ou « opposite the editorial page ». ------------------- Article d’origine : Trump administration lining up climate change ‘red team’ Article publié initialement par The Washington Examiner le 24 juillet 2017.
Nathalie MP Posté 29 juillet 2017 Signaler Posté 29 juillet 2017 Je me mets à celui-là : http://reason.com/archives/2017/07/19/how-capitalism-saved-the-bees/ (suggestion de @Nick de Cusa) Comme il est un peu long, je vais voir s'il n'y aurait pas lieu de le saucissonner (mais pas le charcuter, soyez tranquilles) en deux parties.
RaHaN Posté 29 juillet 2017 Signaler Posté 29 juillet 2017 Pour le climat, pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions Par LORRIE GOLDSTEIN, du Toronto Sun Pas d'enfants, pas de voitures, pas de viande, pas d'avions! Et même cela ne vous sauvera pas du changement climatique lié à l'activité humaine. Si le premier ministre canadien Justin Trudeau souhaite réellement sauver la planète d'un réchauffement dont l'Homme serait responsable, il devrait commencer par dire à tous les canadiens d'arrêter d'avoir des enfants, de ne plus conduire, de ne plus prendre l'avion, et de ne plus manger de viande. Ce sont les quatre facteurs les plus utiles pour réduire les émissions de gaz à effet de serre corrélées au changement climatique sur la scène mondiale. A l'inverse, les solutions appuyées par le gouvernement canadien et autres pédagogues, tels que le recyclage et la transition vers des ampoules à basse consommation, bien qu'elles puissent être "feel good" exercises, sont insignifiantes. Ce point a été souligné par Seth Wynes, doctorant de l'université de la British Columbia et le professeur Kimberly Nicholas de l'université de Lund en Suède, dans leur article « The climate mitigation gap: education and government recommendations miss the most effective individual actions » publié la semaine dernière dans le journal Environmental Research Letters. L'action la plus utile, et de loin, serait de ne plus faire d'enfants, ou alors le moins possible. Chaque futur bébé éviterait en moyenne l'émission de 58,6 tonnes de dioxyde de carbone par an à une famille canadienne, en comparaison en 0,213 tonnes d'émission liées au recyclage. Arrêter de rouler en voiture épargnerait 2,4 tonnes d'émissions, par rapport aux 0,1 tonnes gagnées par le remplacement des ampoules incandescentes par celles à économie d'énergie. Eviter un vol transatlantique par an épargne en moyenne 1,6 tonnes d'émissions, par rapport au 0,247 tonnes obtenues en lavant son linge à l'eau froide. Opter pour un régime alimentaire végétarien ferait nous ferait gagner 0,8 tonnes d'émissions, comparativement aux 0,21 tonnes obtenues en faisant sècher son linge dehors plutôt qu'avec un sèche-linge. Malgré ceci, Wynes et Nicholas rapportent : “Nous nous sommes aperçu que 10 manuels scientifiques destinés à des lycées canadiens (couvrant 7 provinces, avec 80% de la population) négligent en grande partie de mentionner ces actions – Elles comptent pour 4% des actions recommandées – préférant mettre l'accent sur les changements progressifs ayant un potentiel de réduction d'émissions plus faible”. Aussi, “Les ressources gouvernementales pour un changement climatique, que ce soit en Europe, aux États-Unis, au Canada ainsi qu'en Australie, mettent l'accent sur des actions à faible potentiel”. Fort heureusement, les scientifiques ne recommandent pas au gouvernement de forcer les canadiens à avoir des familles moins nombreuses, bien que cela soit une position courante chez les environnementalistes les plus extrêmes, dont l'amour pour l'Humanité est surpassé seulement par leur haine envers les gens, save for themselves of course. Dans ce contexte, considérez la « dictature élémentaire » en Chine (dont Trudeau est admiratif), qui abandonna en 2015 seulement son immonde politique de l'enfant unique, imposée depuis 1979. But that didn’t stop China from taking credit at international meetings on climate change for decades, avançant que sa mesure pour l'enfant unique avait empêché la survenue de 300 millions de naissances, l'équivalent de la population américaine, et préservé ainsi de l'émission de l'équivalent de 1,3 milliard de tonnes de dioxyde de carbone, en se basant sur une moyenne globale de 4,2 tonnes d'émissions par enfant. L'étude rapportée par Wynes & Nicholas est utile dans le sens où elle rend compte des changements fondamentaux dans nos modes de vie en société que nous aurions à effectuer pour atteindre les objectifs de réductions de gaz à effet de serre pour lesquels Trudeau nous a engagé en signant les accords de Paris sur le climat. Paradoxalement, même si nous atteignons ces objectifs et que chaque pays au monde faisait de même, tout ce que cela ferait, c'est entraîner le monde vers un réchauffement climatique catastrophique à la fin du siècle, si on se base sur les sciences climatiques. Mais voilà dans quel monde fantastique nous vivons lorsqu'on en vient à vouloir lutter contre le changement. Leurs programmes de tarification du carbone ne sont que du prélèvement d'argent déguisé en programme environnemental, destinés à prendre quelques milliards de dollars de nos poches pour permettre au gouvernement de les utiliser comme ils leur convient de faire. L'étude effectuée par Wynes & Nicholas illustre simplement comment il serait compliqué de faire face au changement climatique, en débit des discours positifs de nos politiciens qui déclarent que ce sera simple. Ce n'est PAS simple. C'est compliqué ! Cela demanderait un programme obligatoire de restrictions d'émissions qu'aucun citoyen Canadien, ou même de n'importe qu'elle autre pays démocratique (espérons-le) ne pourrait accepter. Il existe des mesures concrètes que nous pourrions prendre pour réduire nos émissions, such as 100% revenue neutral, carbon fee and dividend carbon pricing, dont le seul objectif est d'arrêter les émissions, et pas d'augmenter les revenues du gouvernement. Donc évidemment, nos représentants de l’état n'y sont pas intéressés. Nous pourrions nous concentrer sur l'amélioration des énergies vertes et renouvelables que nous disposons, in addition to hydro power, which are nuclear energy and natural gas, the lowest emitting fossil fuel, au lieu de gaspiller notre argent dans l'éolien et l'énergie solaire, lesquels sont à des années d'être en mesure de répondre efficacement à une puissante économie industrielle moderne comme la notre. Ou, on peut prétendre résoudre le problème en élisant des hommes politiques qui prétendent eux-même le résoudre en nettoyant nos fonds de poches. __________________________________________________________ Article d’origine : http://www.torontosun.com/2017/07/15/no-kids-no-cars-no-meat-no-flying publié le 15juillet 2017.
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