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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

Messages recommandés

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  Le 23/10/2018 à 09:54, Dardanus a dit :

Mais quelle galère pour traduire les citations de Soljenitsyne. J'ai réussi à trouver la traduction française de presque tout mais pas de tout. Donc il y aura un peu de moi dans la transcription de certains textes de l'écrivain.

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Et personne ne t'en voudra, bien au contraire. :)

  • Yea 1
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  Le 28/10/2018 à 11:49, Séverine B a dit :

Et évidemment, la France est le cancre du classement : https://taxfoundation.org/publications/international-tax-competitiveness-index/

NB : ne pas s'embêter à refaire les tableaux (sauf esprits méticuleux...). Mettez juste la traduction des titres des colonnes et du titre du tableau, on s'arrangera avec ça.

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Je prends.

  • Yea 2
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  Le 02/11/2018 à 09:15, calypso13 a dit :

https://www.theatlantic.com/amp/article/488828/

 

Un article qui rappelle quelque chose qui me paraît évident mais qui ne l'est pas forcément pour tout le monde.

Je peux le traduire pour dimanche si ça intéresse la rédaction.

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L'article consiste essentiellement en la citation d'un autre article, de Stephen Carter (un type foutrement intéressant, par ailleurs). Est-ce que tu pourrais retrouver l'article d'origine, et demander à ce que nous ayons les droits de le traduire et le publier ?

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  Le 02/11/2018 à 10:32, calypso13 a dit :

https://www.bloomberg.com/opinion/articles/2014-12-04/law-puts-us-all-in-same-danger-as-eric-garner

 

Il me semble que c'est l'article original, je dois envoyer un mail à Carter ou à BloomBerg? Ou les deux? @Rincevent

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Ouch, Bloomberg. C'est mal engagé.

 

Demande à Carter, au pire il te redirigera vers Bloomberg ; mais si Carter te dit oui, c'est gagné (l'article est très bon, hein).

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J'ai déjà envoyé le mail à Carter, vu ses opinions politiques ça ne devrait pas poser trop de problèmes je pense.

Posté
  Le 05/11/2018 à 14:03, F. mas a dit :

Un petit article philo po sur la liberté et le nationalisme

 

https://www.cato.org/blog/what-nationalism-what-does-it-mean-liberty

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La traduction brute a été faite, mais il n'y a ni intertitres, ni rien niveau SEO (notamment, pas de liens internes) ; chers journalistes, à vous de jouer !

  • Yea 2
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  Le 05/11/2018 à 15:29, Rincevent a dit :

La traduction brute a été faite, mais il n'y a ni intertitres, ni rien niveau SEO (notamment, pas de liens internes) ; chers journalistes, à vous de jouer !

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waouw, du VTBT ! (Vraiment très beau travail). Là, bravo !

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  Le 07/11/2018 à 04:41, Nick de Cusa a dit :

waouw, du VTBT ! (Vraiment très beau travail). Là, bravo !

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Merci. :) Mais le gros du travail, c'est tout de même DeepL qui marche bien. On ajoute une passe de cerveau actif pour galliciser un peu, et détecter les éventuels contre-sens (c'est là que la culture générale et l'intérêt pour l'histoire donnent un avantage), et le tour est joué.

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Je compte traduire celui-ci, si jamais.

 

https://fee.org/articles/capitalism-understanding-its-secret/

 

EDIT : voilà :

 

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
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  Le 06/12/2018 à 08:48, Nick de Cusa a dit :
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Dette US : Trump s’en fiche, il ne sera plus là !

Pas faux…

 

Matt WelchReason, 5 décembre 2018.

 

Si vous admirez l’ostentation avec laquelle Donald Trump pratique sa politique de dépenses publiques décomplexées, réjouissez-vous car il vient de récidiver de belle façon. Le Daily Beast nous apprend en effet que Trump « a systématiquement écarté avec désinvolture » toute inquiétude sur la dette publique américaine, laquelle est immense et en rapide expansion. « Yep, mais je ne serai plus là » a-t-il répondu lors d’une discussion sur les dangers d’une telle situation dans un futur proche.

 

Cette attitude n’est pas une surprise pour les politiciens de moins en moins nombreux qui s’inquiètent de la fuite en avant des comptes publics américains. Trump a fait campagne avec succès sur la « préservation » de la sécurité sociale et Medicare, sur l’augmentation des moyens de la défense qui sont déjà énormes et sur la baisse des impôts. Rien au monde ne pouvait faire que ce cocktail réduise les déficits et la dette. Bingo ! C’est justement tout le contraire qui se passe.

 

Dans cette histoire, la plus grosse surprise reste quand même qu’il se soit trouvé « des consultants et des conseillers » pour « tenter de convaincre [Trump] de l’importance de s’attaquer à la dette US. » Malgré les larmes de crocodile de Paul Ryan, cette préoccupation est devenue pratiquement introuvable dans les principaux partis politiques. Gary Johnson est le seul politicien connu que j’ai vu tirer la sonnette d’alarme à propos de la dette et des déficits lors des Midterms. « Les jeunes sont en train de se faire baiser » a-t-il martelé, et cela lui a valu 15,4 % des voix dans son Etat du Nouveau Mexique, soit la moitié de ce qu’a récolté son opposant républicain, un parfait inconnu, dans la course pour le Sénat. Quant aux Démocrates, ils n’ont pas retrouvé la majorité au Congrès des Etats-Unis en promettant de la rigueur budgétaire.

 

Les Républicains qui prétendaient à une époque se préoccuper de cette affaire ont quatre options :

 

1)    Abandonner la politique (RyanJeff Flake)

2)    Faire cavalier seul (Justin AmashRand Paul)

3)    Ne plus aborder le sujet (la majorité des Républicains du Parlement américain)

4)    Se mettre opportunément à croire à la « magie de la croissance », et faire l’expérience concrète du plaisir d’accroître le pouvoir de l’Etat tout en prétendant faire le contraire. 

 

Ce dernier point est la tactique préférée de Mick Mulvaney, ancien faucon anti-déficit du Congrès devenu aujourd’hui Directeur du budget de la Maison-Blanche. Il a aussi les faveurs de Stephen Moore. Longtemps connu comme le « monsieur marché libre » de Washington, il fut aussi le conseiller économique de Trump lors de sa campagne présidentielle de 2016. Moore confia au Daily Beast que selon lui « lorsque [Trump] fut confronté à ces scénarios de cauchemar sur la dette, il les rejeta parce que si vous faites croître l’économie… vous n’avez pas de problème de dette. »

 

Dans le monde tel qu’il existe, non seulement la croissance de court terme (plus les réductions d’impôts) n’efface pas la dette comme par magie, mais elle ajoute au fardeau, avec pour effet de contribuer au risque très réel de voir l’accumulation de la dette et le service qui en découle affaiblir… la croissance économique. Et gardez à l’esprit que nous en sommes à la neuvième année de double croissance dans l’économie et à Wall Street ; quand ces bulles vont éclater, les recettes fiscales vont s’effondrer tandis que le recours à l’endettement va augmenter.

 

Donc, yep, le Président Trump se fiche pas mal de la dette, si ce n’est qu’il faut payer des intérêts, ce qui l’irrite beaucoup (raison pour laquelle il met la pression sur la Réserve fédérale). Si George W. Bush a pu doubler la dette US, si Barack Obama a pu la doubler à nouveau, et si Trump a pu gagner sur un programme dont on estimait qu’il la doublerait une nouvelle fois, vous voyez la bulle de pensée qui se forme au-dessus de sa tête : « La responsabilité budgétaire, c’est un truc de losers. »

 

Il fut une époque pas si lointaine où l’expression de tels sentiments était considérée comme irresponsable, voire téméraire. Mais ce tabou a sauté vers la fin de 2014 et ne semble pas près de revenir. Les politiciens élus au niveau fédéral ont appris que les électeurs préfèrent les candidats qui ne facturent jamais aux contribuables le coût véritable des politiques menées. Il faudra au moins un désastre économique ou des coupes récurrentes dans les prestations sociales pour enrayer cette dynamique dangereuse.

 

Texte d’origine 

Trump, on a Future Debt Crisis: 'Yeah, But I Won't Be Here'

 

  • Ancap 1

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