Lancelot Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Ouais, le gars se prend 100% de rateaux mais c'est d'abord parce qu'il est en short avec des chaussettes noires qui remontent à mi-mollet... top mauvais goût, typique des anglo-saxons. Il demande à n'importe qui dans n'importe quel contexte, aussi. Genre la mère avec ses filles, n'imp... Il faut faire la même en ne retenant que des contextes acceptables de rencontre sociale et en demandant à la fille si elle serait d'accord pour passer la nuit ensemble (ce qui n'est pas une tromperie mais une meilleure manière de présenter l'information). Un volontaire ? Sanksion ? Il y a une dissymétrie H/F dans ce type d'expérience, quoique fasse le gars. Bien entendu.
Noob Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Déjà tenté. Même le mode sans échec ne marche pas. Grrmm ben alors là comme ça je dirais essaie de démarrer sur un cd ou une clé usb knoppix ou Ubuntu pour tester si le pc marche hors installation... Mais bon j'imagine que tu as pas ça sous la main, ni forcément le moyen d'en faire un maintenant sans démarrer sous windows justement. Mes compétences de dépanneur sont vachement limitées je dois reconnaître.
adrct Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Du coup j'ai regardé celle là : Ca fait peur !!! http://www.youtube.com/watch?v=0YpIhcQex98
Barem Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Pensée personnelle : Le malheur d'une majorité de la population (prit dans sa dimension culturelle et non uniquement, comme le font trop souvent les journaleux, économique) vient, à mon sens, du fait que ces derniers se trouvent en grande partie dans l'incapacité d'opérer un détachement d'eux mêmes vis à vis de leur corps et du monde qui les entoure. Le repli sur soi incite ces hommes à ne se préoccuper plus que de leur bien être physique (déification du sport, adoption strict d'un régime alimentaire miraculeux) et matériel, rendant au final ces derniers particulièrement vides (l'ignorance profonde d'une très (trop?) grande part des bacheliers n'en est qu'une des manifestations) et vindicatifs. Sans idéal, sans le moindre signe de travail intellectuel durant sa semaine de travail servile et régulier, comment un homme peut il se considérer être heureux ? (dans un sens opposé à celui du marketing qui assimile le bonheur à la possession et la jouissance de bien matériel)
NoName Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Pensée personnelle : Le malheur d'une majorité de la population (prit dans sa dimension culturelle et non uniquement, comme le font trop souvent les journaleux, économique) vient, à mon sens, du fait que ces derniers se trouvent en grande partie dans l'incapacité d'opérer un détachement d'eux mêmes vis à vis de leur corps et du monde qui les entoure. Le repli sur soi incite ces hommes à ne se préoccuper plus que de leur bien être physique (déification du sport, adoption strict d'un régime alimentaire miraculeux) et matériel, rendant au final ces derniers particulièrement vides (l'ignorance profonde d'une très (trop?) grande part des bacheliers n'en est qu'une des manifestations) et vindicatifs. Sans idéal, sans le moindre signe de travail intellectuel durant sa semaine de travail servile et régulier, comment un homme peut il se considérer être heureux ? (dans un sens opposé à celui du marketing qui assimile le bonheur à la possession et la jouissance de bien matériel) Même si c'est sur du court terme, ne pas avoir à réfléchir quand je travaille est quelque chose de particulièrement agréable. Franchement, je comprends certaines personnes qui apprécient de faire un travail ne demandant aucune capacité intellectuelle développée et n'engagent aucune responsabilité. Mais ce n'est que mon simple avis.
Mathieu_D Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Pensée personnelle : Le malheur d'une majorité de la population (prit dans sa dimension culturelle et non uniquement, comme le font trop souvent les journaleux, économique) vient, à mon sens, du fait que ces derniers se trouvent en grande partie dans l'incapacité d'opérer un détachement d'eux mêmes vis à vis de leur corps et du monde qui les entoure. Le repli sur soi incite ces hommes à ne se préoccuper plus que de leur bien être physique (déification du sport, adoption strict d'un régime alimentaire miraculeux) et matériel, rendant au final ces derniers particulièrement vides (l'ignorance profonde d'une très (trop?) grande part des bacheliers n'en est qu'une des manifestations) et vindicatifs. Sans idéal, sans le moindre signe de travail intellectuel durant sa semaine de travail servile et régulier, comment un homme peut il se considérer être heureux ? (dans un sens opposé à celui du marketing qui assimile le bonheur à la possession et la jouissance de bien matériel) Non mais boit un coup de bière du Vexin quoi.
Miss Liberty Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 sans le moindre signe de travail intellectuel durant sa semaine de travail servile et régulier, comment un homme peut il se considérer être heureux ? (dans un sens opposé à celui du marketing qui assimile le bonheur à la possession et la jouissance de bien matériel) Personnellement j'aime beaucoup faire du travail manuel ou systématique. Précisément parce que cela libère l'esprit : cela me permet de réfléchir à des choses personnelles, ou de me reposer, ou de laisser mon esprit aller d'idée en idée jusqu'à s'accrocher à quelque chose de précis et de fructueux. En fait, si je pouvais passer la moitié de mon travail hebdomadaire sans devoir fixer mon esprit sur un sujet imposé, je considérerais ça comme une chance.
Nirvana Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Personnellement j'aime beaucoup faire du travail manuel ou systématique. Précisément parce que cela libère l'esprit : cela me permet de réfléchir à des choses personnelles, ou de me reposer, ou de laisser mon esprit aller d'idée en idée jusqu'à s'accrocher à quelque chose de précis et de fructueux. En fait, si je pouvais passer la moitié de mon travail hebdomadaire sans devoir fixer mon esprit sur un sujet imposé, je considérerais ça comme une chance. +100. C'est d'ailleurs ce qui m'a vite dissuadé de choisir la recherche comme plan de carrière :
NoName Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Personnellement j'aime beaucoup faire du travail manuel ou systématique. Précisément parce que cela libère l'esprit : cela me permet de réfléchir à des choses personnelles, ou de me reposer, ou de laisser mon esprit aller d'idée en idée jusqu'à s'accrocher à quelque chose de précis et de fructueux. En fait, si je pouvais passer la moitié de mon travail hebdomadaire sans devoir fixer mon esprit sur un sujet imposé, je considérerais ça comme une chance. +1000 Tout est dit.
Mathieu_D Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Comment est-ce possible qu'un accident de voiture ait occupé la une ded journaux ce samedi ?
ph11 Posté 10 août 2013 Signaler Posté 10 août 2013 Ne pas répondre, ne pas répondre, ne pas répondre... Bon si quand même. Il y a une dissymétrie H/F dans ce type d'expérience, quoique fasse le gars. C'est de la discrimination sexuelle. Que fait Najat ?
Rübezahl Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Sans idéal, sans le moindre signe de travail intellectuel durant sa semaine de travail servile et régulier, comment un homme peut il se considérer être heureux ? La sécurité, enfin plutôt l'illusion de la sécurité, est suffisante à un grand nombre de gens pour se sentir heureux. La projection de l'apparence du bonheur leur suffit aussi. La conformité aux injonctions répétées 24h/24 provoque aussi du "bonheur", par le seul fait qu'elle procure un sentiment de soulagement. en contrepartie, faire marcher l'intellect (et pas juste au boulot) ... à court terme cela n'apporte finalement que du déplaisir. (Faut dépasser un certain seuil pour passer de l'autre coté du miroir). "Many people would rather die than think; in fact, most do". ~Bertrand Russell "Le plaisir peut s'appuyer sur l'illusion, mais le bonheur repose sur la réalité." Chamfort
Barem Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Personnellement j'aime beaucoup faire du travail manuel ou systématique. Précisément parce que cela libère l'esprit : cela me permet de réfléchir à des choses personnelles, ou de me reposer, ou de laisser mon esprit aller d'idée en idée jusqu'à s'accrocher à quelque chose de précis et de fructueux. En fait, si je pouvais passer la moitié de mon travail hebdomadaire sans devoir fixer mon esprit sur un sujet imposé, je considérerais ça comme une chance. J'en conviens, car nous ne pouvons de tout façon pas nous concentrer de manière assidu et productive durant une journée entière, le mieux étant de faire preuve de patience et de prendre du recul sur ses pensées. L'une des principales manifestations sociales qui m'a incité à écrire mon commentaire précédent est que aussi bien dans mon cercle familiale (ce qui me frustre depuis de nombreuses années) qu'au sein de mes relations amicales, je n'ai JAMAIS trouvé de personne partageant mon goût pour le travail intellectuel et la musique. Même à l'université, je fais fasse au même problème. Comme le dit Tocqueville, "je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. Chacun d'eux, retiré à l'écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres" D'ailleurs, ce sont des relations sur internet qui me sont les plus enrichissantes, que les personnes qui y prennent part partagent ou pas mes opinions.
laurett Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Plus simple : C'est moi ou le gars adopte la stratégie Sanksion (je parle de son langage corporel) ?
Miss Liberty Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 aussi bien dans mon cercle familial (ce qui me frustre depuis de nombreuses années) qu'au sein de mes relations amicales, je n'ai JAMAIS trouvé de personne partageant mon goût pour le travail intellectuel et la musique. Tu n'as pas de chance... Mais permets-moi d'émettre un doute sur la partie en gras : où as-tu développé toi-même ces goûts si tu n'as pas grandi de personnes ayant de la curiosité intellectuelle et donnant de l'importance à l'apprentissage de la musique? Tu dis que tu es à la fac ; je te croyais moins jeune. Peut-être que tu n'as tout simplement pas encore eu le temps de rencontrer les personnes qui partageront tes goûts.
F. mas Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Comment court-circuiter la médiocrité ambiante faqueuse et se donner de bonnes incitations à penser contre le monde entier, puis par soi-même ? Engage-toi dans un groupuscule
NoName Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 J'en conviens, car nous ne pouvons de tout façon pas nous concentrer de manière assidu et productive durant une journée entière, le mieux étant de faire preuve de patience et de prendre du recul sur ses pensées. L'une des principales manifestations sociales qui m'a incité à écrire mon commentaire précédent est que aussi bien dans mon cercle familiale (ce qui me frustre depuis de nombreuses années) qu'au sein de mes relations amicales, je n'ai JAMAIS trouvé de personne partageant mon goût pour le travail intellectuel et la musique. Même à l'université, je fais fasse au même problème. Comme le dit Tocqueville, "je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. Chacun d'eux, retiré à l'écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres" D'ailleurs, ce sont des relations sur internet qui me sont les plus enrichissantes, que les personnes qui y prennent part partagent ou pas mes opinions. Pour moi c'était plutôt le contraire. C'est à la fac seulement (excepté deux ou trois cas très particuliers au lycée) que j'ai commencé à rencontrer des gens qui avaient un peu de curiosité et d'intelligence. D'où me vient la réflexion que quand on me parle des incultes béats, illettrés et stupides issus de l'éducation nationale, c'est un peu la facilité. Mes amis sortent tous de l'éducation nationale aussi: ça ne les empêchent pas de lire Sénèque, Maupassant et Nietzsche, pas plus que ça ne les empêchent de regarder Eisenstein ou Cocteau. Après, il y a une constante: celle de s'être tous éduqués par soi-même.
PABerryer Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Comment court-circuiter la médiocrité ambiante faqueuse et se donner de bonnes incitations à penser contre le monde entier, puis par soi-même ? Engage-toi dans un groupuscule Liborg?
Barem Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Mais permets-moi d'émettre un doute sur la partie en gras : où as-tu développé toi-même ces goûts si tu n'as pas grandi de personnes ayant de la curiosité intellectuelle et donnant de l'importance à l'apprentissage de la musique? J'ai fais une rencontre décisive : mon professeur de science politique au lycée.
NoName Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 J'ai fais une rencontre décisive : mon professeur de science politique au lycée. Y'a de la science politique au lycée ?
Miss Liberty Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Y'a de la science politique au lycée ? J'allais le dire. Tu faisais quelle filière exactement au lycée, Barem?
Invité Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 Il demande à n'importe qui dans n'importe quel contexte, aussi. Genre la mère avec ses filles, n'imp... Il faut faire la même en ne retenant que des contextes acceptables de rencontre sociale et en demandant à la fille si elle serait d'accord pour passer la nuit ensemble (ce qui n'est pas une tromperie mais une meilleure manière de présenter l'information). Un volontaire ? Sanksion ? Bien entendu. Je peux faire ça mais il me faut quand même une forme de rémunération, à mon avis mes couilles resteraient pleines. Et tenter loin de chez moi
Invité Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 C'est moi ou le gars adopte la stratégie Sanksion (je parle de son langage corporel) ? Je disais que ça faisait flipper. Bon faut que je change de tel, plus de flip flop à 20€. Faut malheureusement envoyer de l'iphone là... fais chier les femmes
Brock Posté 11 août 2013 Signaler Posté 11 août 2013 juste avant de rentrer au pays du bonheur j'ai fait une derniere soiree en fRance, cas sociaux et fumage de petards ( 99.9% tabac, 0.1% pneu ), buvage de cro et tutti quanti.Ca m'a rappele la fac et les hippies qui ecoutaient Billy The Kick.Triste.
Alliterator Posté 12 août 2013 Signaler Posté 12 août 2013 Qui connaît un bar qui reste ouvert tard dans la nuit en semaine près de la Gare de l'Est ? Je vais voir Eminem en concert le 22 et comme on avait pas envie de payer 100€ les 5h de sommeil, on cherche de quoi patienter jusqu'à 6h
Alliterator Posté 12 août 2013 Signaler Posté 12 août 2013 Oui j'aimerais pas trop une boîte Il y a le bar "Au passage" pas loin du tout mais il ferme que à 2h... Vous avez mieux ?
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