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Sarkozy, la défaite du ravioli francais


Messages recommandés

Posté

Ça ne me semble pas beaucoup de monde rapporté à la population de travailleurs totale.

non mais c'est emplois clefs qui fournissent des services à toute la population et dont toute la population est tributaire.

 

C'est compliqué de se passer de notaire, d'avocat, de médecin, ou de pharmacien. Il n'existe pas vraiment d'alternative.

Posté

C'est compliqué de se passer de notaire, d'avocat, de médecin, ou de pharmacien. Il n'existe pas vraiment d'alternative.

Oui justement autour de moi les gens n'en sont pas ravis.

Posté

Évidemment que les gens travaillant dans les professions à numerus clausus sont peu nombreux. C'est le principe du truc.

Posté

non mais ces emplois clefs qui fournissent des services à toute la population et dont toute la population est tributaire.

 

C'est compliqué de se passer de notaire, d'avocat, de médecin, ou de pharmacien. Il n'existe pas vraiment d'alternative.

Ouai t'as raison

Faut un notaire pour vendre une maison, faut un avocat pour un divorce à l'amiable, faut un médecin pour faire du foot, faut un pharmacien pour acheter de l'aspirine..

Mon dieu sans eux, on va tous mourir.

Posté

Ouai t'as raison

Faut un notaire pour vendre une maison, faut un avocat pour un divorce à l'amiable, faut un médecin pour faire du foot, faut un pharmacien pour acheter de l'aspirine..

Mon dieu sans eux, on va tous mourir.

 

je suis pas sûr que t'ai compris mon message

Posté

Il faut un BEP pour avoir un salon et un CAP pour être coiffeur a domicile.

Posté

Il y a plusieurs niveaux de déréglementation et de dérégulation. Supprimer le numérus clausus est une solution, mais génère d'autres problèmes : faut il contrôler la formation des professionnels concernés ou bien vraiment laisser faire : tu veux être notaire, vas y met ta plaque, et démarre ton activité, tu veux être médecin, idem, la formation on s'en fiche ?

Posté

Il y a plusieurs niveaux de déréglementation et de dérégulation. Supprimer le numérus clausus est une solution, mais génère d'autres problèmes : faut il contrôler la formation des professionnels concernés ou bien vraiment laisser faire : tu veux être notaire, vas y met ta plaque, et démarre ton activité, tu veux être médecin, idem, la formation on s'en fiche ?

ouais

 

les vrais médecins et les vrais notaires vont vite, très très vite avoir intérêt à se mettre ensemble pour créer des labels d'authenticité et de vérification de la formation.

Posté

Dans les pays civilisés, ils accrochent leur diplôme au mur et ils font parti d'un ordre professionnel qui les contrôle et il y a ton assureur qui les conventionne et donc surveille.

Les notaires disparaîtraient sûrement, soyons honnête.

Posté

oui, où plutôt leur métier se fondra dans celui d'avocat.

 

Après des notaires ça a existé dans le passé sans contrainte particulière je crois

Posté

La Blockchain >>> notaires

Coucou Jesrad,

puisque tu évoques justement la blockchain, est-ce que tu aurais des articles basiques style "la blockchain pour les nuls" à recommander stp.

 

Je suis tombé sur ça :

nozomimagine: Coding Freedom; Can Blockchain Technology Help Build A Foundation For Real Democracy? https://falkvinge.ne...real-democracy/

... et j'aimerais bien creuser.

 

Merci.

Posté

Hollande humilié, Sarkozy se rendra à Bruxelles demain.

 

 

Nicolas Sarkozy participera au sommet du Parti populaire européen (PPE) dimanche à Bruxelles alors qu'un sommet extraordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement est prévu dimanche pour trouver un moyen de sauver la Grèce sur le plan financier.

 

Posté

Humm..

Je ne comprend pas ta réponse..

Ta réponse me laisse à penser que tu crois que je défends les Professions à numerus closus, alors qu'il mon post tenait simplement à rappeler un fait simple qui est que les professions concernés sont souvent des professions que, par nécessité ou par légalité nous sommes obligés d'utiliser.

Posté

Il y a plusieurs niveaux de déréglementation et de dérégulation. Supprimer le numérus clausus est une solution, mais génère d'autres problèmes : faut il contrôler la formation des professionnels concernés ou bien vraiment laisser faire : tu veux être notaire, vas y met ta plaque, et démarre ton activité, tu veux être médecin, idem, la formation on s'en fiche ?

Pour les médecins, ce qui compte, c'est la sécurité de l'acte. Pour s'en assurer, on met en place des notes éliminatoires aux épreuves mettant en danger les patients.

C'est comme pour les mécaniciens aéro. Ils ont des notes élémentaire sur toutes les épreuves ayant un effet sur la sécurité des vols.

Ça me semble suffisant.

L'étape suivante étant celle du contrôle des compétences au long terme.

Posté

Très bien. L'état n'est pas légitime pour le faire. Et sûrement pas efficace.

Posté

L'étape suivante étant celle du contrôle des compétences au long terme.

Et de leur réactualisation.
Posté

Ta réponse me laisse à penser que tu crois que je défends les Professions à numerus closus, alors qu'il mon post tenait simplement à rappeler un fait simple qui est que les professions concernés sont souvent des professions que, par nécessité ou par légalité nous sommes obligés d'utiliser.

Et bien justement, je te rappelle toutes les fois où l'intervention du professionnel est obligatoire et inutile, ce qui représente +/- 50% de leur activité..

 

M'enfin on va pas troller la dessus :)

Posté

Et bien justement, je te rappelle toutes les fois où l'intervention du professionnel est obligatoire et inutile, ce qui représente +/- 50% de leur activité..

 

 

Tu as raison sur l'aspect obligatoire, cela dit le fait que cela soit inutile n'est pas un pb dans un marché libre.

Posté

Un diplôme ce n'est jamais que la validation des compétences acquises à un moment m, et parmi les diplômés, on trouve des bons et des moins bons. Ouaaah, le scoop ! Concernant les toubibs, c'est flagrant, et surtout surtout c'est l'actualisation des connaissances qui fait souvent défaut, je pense. Et là, aucun diplôme d'État, aucune obligation, sinon le désir du médecin de se tenir informé des avancées de la science. Le médecin généraliste libéral a t il le temps pour cela ? Du coup, le patient aura intérêt parfois à ne pas se fier à un seul avis. 

 

En fait, le diplôme fait croire aux ignorants et aux naïfs que le professionnel est forcément bon et ne peut se tromper, il a reçu l'onction du D.E

 

Dans un marché plus libre, y aurait il une espèce de dispositif qui permettrait de faire émerger les meilleurs, ou en tout cas les plus sérieux ?

Posté

Pour les médecins, ce qui compte, c'est la sécurité de l'acte. Pour s'en assurer, on met en place des notes éliminatoires aux épreuves mettant en danger les patients.

 

Non, ce qui compte c'est que le patient soit responsable de ce qu'on va lui faire, pas que l'esclavage soit bien fait ou mal fait, le problème de fond des "professions reglementées" c'est qu'elles déresponsabilisent le principal responsable: celui qui va voir le médecin, ça enlève de fait tous les feedbacks positifs et négatifs, ensuite au regard des conséquences catastrophiques de l'absence de ce feedback, on colle des tas de règles qui fossilisent la profession "pour protèger les patients" mais ces règles ne sont -soit disant- nécéssaires qu'a cause du crime initial majeur: la pénalisation de la responsabilité individuelle du consommateur et des fournisseurs des services de santé pour les remplacer par l'irresponsabilité infantile des premiers et une responsabilité corporative pour les seconds.

 

On ne guérit pas un bras coupé en mettant des tas de pansements et d'antiseptiques sur le bras pour ralentir la putréfaction, on le gérit en le recollant, les mesures "compensatoires" pour ajouter des couches et des couches de règles pour tenter d'équilibrer statiquement une situation qu'on à rendu statique par la force ne sont pas une solution, elles ne font que rendre la situation encore plus statique et donc fondamentalement mortelle, le seul état stable, garenti et sans risques qu'on puisse faire atteindre à un ètre vivant, c'est de le buter.

 

 

 

 

 

 

 

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Posté

Non, ce qui compte c'est que le patient soit responsable de ce qu'on va lui faire, pas que l'esclavage soit bien fait ou mal fait, le problème de fond des "professions reglementées" c'est qu'elles déresponsabilisent le principal responsable: celui qui va voir le médecin, ça enlève de fait tous les feedbacks positifs et négatifs, ensuite au regard des conséquences catastrophiques de l'absence de ce feedback, on colle des tas de règles qui fossilisent la profession "pour protèger les patients" mais ces règles ne sont -soit disant- nécéssaires qu'a cause du crime initial majeur: la pénalisation de la responsabilité individuelle du consommateur et des fournisseurs des services de santé pour les remplacer par l'irresponsabilité infantile des premiers et une responsabilité corporative pour les seconds.

On ne guérit pas un bras coupé en mettant des tas de pansements et d'antiseptiques sur le bras pour ralentir la putréfaction, on le gérit en le recollant, les mesures "compensatoires" pour ajouter des couches et des couches de règles pour tenter d'équilibrer statiquement une situation qu'on à rendu statique par la force ne sont pas une solution, elles ne font que rendre la situation encore plus statique et donc fondamentalement mortelle, le seul état stable, garenti et sans risques qu'on puisse faire atteindre à un ètre vivant, c'est de le buter.

Absolument pas d'accord.

La responsabilisation du client n'est pas possible dans ces cas là car le domaine est trop complexe à aborder. Un client ne peut, à lui seul, comprendre ce qui se passe ici.

Quand on est en telle dissymétrie de compétence, il faut faire intervenir un tiers. Dans un premier temps, c'est la structure de formation qui va valider la compétence du médecin entrant. On pourra alors se tourner vers les universités pour leur demander des comptes. Une fois en activité, le tiers qui rétabli cette dissymétrie est l'assureur car lui a la capacité d'appréhender l'état des connaissances médicales au moment de chaque acte.

Responsabiliser le client est une illusion. Sinon, autant qu'il fasse médecine lui même.

Posté

Sauf que c'est bien le client qui choisit l'assureur. C'est donc lui qui décide le niveau de service qu'il souhaite.

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