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Pan

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Tout ce qui a été posté par Pan

  1. A condition bien sûr de supprimer la taxe sur les carbutants.
  2. Et c'est celui qui veut décider à la place des autres comme à Simcity qui dit ça?
  3. Vous avez lu ça où? C'est peut-être plutôt un problème de compréhension, en fait. Il me semble que les intervenants disent quâvoir une voiture ou non, c'est neutre, mais que chercher à influencer les choix privés par la contrainte, c'est mal.
  4. Au fond, tout ceci est probablement d'abord une affaire de snobisme. Se démarquer et se moquer des autres. C'est probablement là qu'il faut creuser, l'argumentation n'étant manifestement pas la bonne voie.
  5. C'est à dire 2 fois par jour, à des horaires très précis. Dans ces conditions, le bus est plus rationnel. J'ai moi-même fait ces trajets pour aller au collège, donc je vois de quoi je parle. Cool. "la fin justifie les moyens". La propriété, la liberté des gens qui ne sont pas d'accord, on passe dessus au Caterpillar. La vie est belle dans le monde harmonieux de l'autoritarisme et de la brutalité. On, c'est qui, le joueur de Simcity?
  6. C'est tout réfléchi : habiter dans ces coins de paradis est un privilège et il s'en suit des conséquences. Rouler à Chandolin est un luxe de riche, tout comme se déplacer en train de Massongex à Collombey. Dans ces deux cas, le billet de train devrait être à 60 francs les 12 km et la vignette automobile permettant d'accéder à Chandolin à plusieurs milliers de francs par année. Il y aurait alors probablement moins de routes et beaucoup moins de trains en dehors des villes.
  7. Parlons-en! Une partie de mes impôts paie les CFF (les trains). Et que je sache, les clients des CFF ne paient pas un impôt spécial pour financer les voies en plus du prix de leur billet. Si les coûts étaient réellement assumés par les utilisateurs, on verrait bien à quel point le train est peu efficace et ruineux.
  8. Je suppose qu'on peut en dire autant au Japon. Vraiment, je ne vois pas le rapport. C'est intéressant. Plus la loi se durcit contre les armes, plus il y a d'homicides. Ce n'est pas le plus important, parce que le point fondamental est que le droit de s'armer est une conséquence naturelle du droit de vivre (et donc de protéger la vie), mais ces statistiques sont toujours utiles pour ceux qui pensent que la violence est inversement proportionnelle aux nombre d'armes légales en circulation.
  9. Cela n'a n'a aucun rapport. C'est pour cela qu'on en parle pas. La Suisse est un pays plutôt paisible avec un nombre extrêmement élevé d'armes dans la population.
  10. Je maintiens que redistribuer le prix de la vente aux contribuables est la solution la plus juste. Mais ce n'est pas le plus fondamental, il est vrai.
  11. C'est vrai que c'est une bonne question. Il suffit de redistribuer le prix des actions aux contribuables pour remédier à cela. C Blocher y avait pensé.
  12. Je crois que cet argument lumineux aurait pu être prononcé à chaque nouveau concept dans l'histoire de l'humanité. Par exemple à propos de la maîtrise du feu, de l'agriculture ou de la fin des sacrifices humains en faveur des récoltes.
  13. Etre capable de faire très mal, c'est très souvent ne pas avoir besoin de faire mal du tout. Et tant mieux.
  14. Je pense aussi que la proportionnalité est un élément fondamental de la légitime défense. On ne tue pas pour protéger une chose.
  15. + 1 Le droit de défendre sa vie est inséparable du droit de vivre. En outre, il est important qu'il n'existe pas de registre documentant qui possède quelles armes. A la limite, pour le cas des malades mentaux et assimilés, il pourrait exister une liste de gens à qui il serait interdit d'en vendre. Ca me paraît être une règlementation supportable bien qu'un peu sévère et problématique (combien de gens peut-on classer dans les malades mentaux et assimilés, qui le fait, etc?).
  16. Du même auteur et sur ce sujet, pour le côté émotionnel, vous pouvez vous rabattre avec bonheur sur les confessions d'un coureur des bois hors la loi. C'est pas cher : c'est gratuit.
  17. Vous aimez bien répondre à côté en prêtant à vos interlocuteurs des arguments ou des idées qu'ils n'ont pas, n'est-ce pas? Hier, vous expliquiez que faire justice soi-même, ce n'est pas bien alors qu'il était question de légitime défense, et maintenant vous nous faites la caricature de l'amateur d'armes frustré et agressif. Plus le temps passe, plus je pense que les prohibitionnistes les plus acharnées prêtent peut-être en partie des sentiments qui sont les leurs aux autres, ce qui les effraie. J'ai de la peine à interpréter autrement votre manière de "discuter" à coups de hors sujets et d'hommes de pailles. Heureusement cela dit, la réalité pratique (par exemple, dans le bâtiment où je vais, de 4 appartement environ, il doit y avoir au moins une dizaines d'armes à feu) montre que l'immense majorité des gens aiment la paix et la tranquillité. Les désaxés existent, mais ils sont rares heureusement, et moins longtemps nuisibles lorsqu'ils n'ont pas le loisir de massacrer des innocents désarmés.
  18. Ce n'est pas tout à fait juste. Il existe la situation de légitime défense qui permet de mettre en danger la vie d'autrui pour sauver une autre vie en dernière extrémité. Les armes servent à cela. C'est pour cette raison que toutes "les" libertés ne se valent pas. Pour pouvoir publier des abominations à son compte, il faut être vivant; pour pouvoir consommer de la drogue, il faut être vivant. Je n'ai pris que des exemples libéraux-tarte-à-la-crème mais j'imagine que l'idée est assez clair : la vie précède le reste. C'est à se titre que le droit de protéger la vie (et donc les outils qui servent à cela) constitue quelque chose de si fondamental sur lequel il n'y a pas à transiger.
  19. Il faut voir comment sera défini "malade mental". Ce qui est aussi choquant, est qu'il s'agit d'une loi fédérale. En cela, effectivement, il s'agit d'une régression. Pour précisier un peu ma pensée, qui ne correspond pas à ce que vous dites, je ne suis pas opposé par principe à l'interdiction de la vente d'arme aux malade mentaux mais à l'établissement d'un registre. S'il faut faire des listes, on doit lister qui ne peut pas en avoir, et non qui peut en avoir. L'état ne doit pas être en mesure de dire qui a quelles armes parmi les citoyens honnêtes, puisque les armes sont supposées, de l'avis mêmes de Jefferson, protéger les gens contre l'état en cas de besoin. Après, comme je ne suis pas anarchiste, encore une fois, si les états fédérés veulent faire des listes de gens dangereux à qui il est interdit de vendre des armes, je ne suis pas contre. A condition de définir clairement qui est "dangereux" et de définir un nombre maximum de la population pouvant tomber sous cette définition (comme 2 ou 3% par exemple) pour éviter d'en arriver une fois encore à voir les états détourner leur loi et désigner tout le monde comme "dangereux".
  20. Ce qui est intéressant, c'est que justement, l'armée a décidé qu'il était plus sain de laisser les soldats vivre avec leurs armes. C'est à dire qu'ils prennent la pause le fusil munitionné et chargé, rigolent, se cachent peut-être pour fumer quelques joints (je condamne vivement l'usage de stupéfiants avec les armes, mais c'est quand même une réalité), etc. On a justement constaté qu'il était important de les responsabiliser. A l'époque de mon père, les entrainements de tir de combat étaient commandés dans le sens où l'on disait "chargez 20 coups" et ce genre de choses. Désormais, ils sont au contraire responsables de contrôler eux-mêmes la munition qu'il leur reste et d'en réclamer s'ils n'en ont plus. Bref : tout ça pour dire que c'est possible, et pas dans un monde parallèle. La responsabilisation et une approche froide (pas banalisée : froide et posés, tout le contraire de l'attitude excitée si caractéristique des régimes de prohibition) sont extrêmement bénéfiques.
  21. Et papa et maman aussi. Ok. Merci.
  22. J'ai pas du suivre. Qui est anarcap et qui demande quelle intervention de l'état?
  23. Concrètement, mon expérience militaire m'a montré que l'on peut faire vivre des jeunes de 18-21 ans jour et nuit avec des armes chargées et de la munition distribuée sans compter ni faire signer quoi que ce soit. Les gens cessent justement de se comporter n'importe comment lorsqu'on leur demande de tirer à 5 mètres au-dessus de leurs camardades. Ils font les fous avant, ou après, et pendant les pauses, ils rigolent et délirent comme il se doit, mais pas avec leurs flingues.
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