climax

Il s'agit surtout d'un renversement (aberrant) de la charge de la preuve. Le procédé est aussi utilisé dans la loi belge contre les discriminations, et avait été fort critiqué…

On n'en est plus si loin dès lors que discriminer (soit le fait de distinguer deux choses) devient répréhensible.

Ben, ça, par définition, seul l'avenir nous le dira.

A propos de la liberté d'expression, la Cour de cassation donne raison au député Vanneste dans cette sinistre affaire d'homophobie :

Déjà posté, je le crains (faut bien que quelqu'un reprenne le rôle de RH )

Compagnon de route du Sardou de la grande époque…

Rien (que RH a cité par ailleurs) est, je pense, le premier exercice dans ce genre. Qui d'autre que roubachov aurait pu faire un rapprochement entre Sardou et Léon Defosset ?

En effet, il est de notoriété publique que Dominique nique, nique.

Gilles Vigneault Mon Pays

Sans oublier "Cet impuissant fou d'ambition" ! + 1 J'aime beaucoup les derniers vers : Nous sommes le trois février Ce sera un beau jour férié Les fonctionnaires nous béniront Allez sonnez clairons Sachez qu'à l'autre bout du monde Dans une fabrique du nord On forge la médaille ronde Avec deux palmes en plaqué or

Neil Diamond - Jonathan Livingstone Seagull (extrait : Looking sky)

A moins que ce ne soit Bonsoir Clara ? [dailymotion]x28844_michel-sardou-bonsoir-clara_music[/dailymotion] Remarque, moi ce serait plutôt Après cinq passés

Pour les admirateurs de Serge Lama (et RH en particulier), le voici déguisé non en Napoléon, mais en guignol en compagnie de Chantal Goya

Bravo, j'adore cette chanson !! Adolescent, c'était surtout le Surveillant Général qui me plaisait (et tous les titres de l'époque : Danton, Zombi Dupont, etc.)… Les arrangements des enregistrements live de cette période me plaisent toujours.

Plus ancien encore : Les beatnicks

Air Supply Goodbye

Bossuet à l'heure du petit-déjeuner, quel délice ! Cela ne me déplairait pas d'être ton voisin Moi, je commence rarement ma journée sans lire un poème de Leconte de Lisle… ça décrasse les neurones.

Crosby Stills & Nash Carried away

C'est même très douteux… A cette époque, Wakeman carburait exclusivement à des breuvages typiquement britanniques (cette habitude n'est pas étrangère au fait qu'il ait quitté Yes après l'album Tales from topographic oceans, mais c'est une autre histoire…). Ne transformons pas ce fil en succursale de la Casacosmani, merci . http://casacosmani.blogspot.com/2008/09/jesus-is-friend-of-mine.html

Emissions assez plaisantes au total, même si le film sur ABBA n'était qu'une longue promo pour la comédie musicale "Mamma Mia". Quant aux reportages sur le disco, ils montrent les limites de la critique rock… Les intervenants ne pouvaient s'empêcher de ponctuer leurs analyses du phénomène disco de considérations sociologiques à deux balles, du genre "les rockeurs n'aiment pas le disco car ce sont de méchants blancs qui ne supportent pas tout ce qui vient des noirs"…

Aurais-tu regardé Arte hier soir ?

Nick Gilder Hot child in the city