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Jeudi soir : répression routière, politique efficace ou racket policier ?


Aurel

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Du symbole de liberté dans les années 60, la voiture est devenue un moyen de transport surtaxé et reprimé. Dans un processus de culpabilisation de l’automobiliste, les taxes explicites comme la TIPP, et implicites comme les PV, se multiplient régulièrement. Pour quel résultat ? Comme l’amélioration de la qualité des véhicules et des routes, la baisse des seuils de tolérance et le renforcement des peines ont aussi incontestable favorisé une forte baisse du nombre de tués sur les routes chaque année. Pour autant, cette politique répressive ne semble pas toujours avoir pour unique objectif d’assurer la sécurité routière. L’Etat a aussi vu en elle une nouvelle manne financière.

C'est la thèse de Philippe Vénère, ancien commissaire divisionnaire en charge de la prévention et de la répression routière. Notre fédération parisienne le recevra jeudi soir au café de Flore. Nous vous invitons à venir écouter ses arguments et à en débattre.

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