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Anton_K

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Tout ce qui a été posté par Anton_K

  1. Oui c'est vrai, je pense même que c'est revenu dans les années 90, en tout cas dans le Bordelais.
  2. L'histoire de France ne manque pas de fameux "Anne" masculins et dans sa jeunesse, on appelait Marie-Antoinette "Antoine". C'est sans compter les Paul(e) féminins et les Camille masculins qu'on rencontre encore un peu. Tu ne passes pas assez de temps dans les rencontres libérales trustées par une certaine droite...
  3. En effet, la sarabande est une variation lente sur une partie du thème de la folie. Notez que la chaconne est aussi une variante de la folie. Ah oui, on oublie Bach ! :
  4. Le problème principal avec cet article c'est qu'en le lisant on ne comprend pas précisément ce qui s'est passé en Suède... Parle-t-on d'élections annulées ou d'élections au résultat prévisible à cause de l'alliance des partis ? De quelle nature est cette alliance... Les faits sont évacués dans un court paragraphe extrêmement trouble.
  5. De Montgomey ? J'ai un doute : ah si en fait t'as raison : Je dirais que ça en impose quand même un peu moins.
  6. Il croit que les bretons sont des gaulois ou quoi? Intolérable.
  7. Je suis d'accord, caban comme duffle coat sont trop courts pour avoir une autre veste en dessous. La présence de capuche sur le second n'arrange pas et peut donner l'air adolescent. Quand le froid m'y oblige je mets parfois une parka par dessus un blazer, et ça ne passe que parce que la parka est assez longue. Mais une veste court à capuche par dessus un blazer, voire, pire, en costume, je ne le ferais pas. edit : ne vous méprenez pas, j'aime bien les manteaux courts, j'en ai un bleu en laine que j'aime beaucoup, mais je ne mets rien en dessous qu'une chemise épaisse ou un pull.
  8. En effet mais il y a clairement la possibilité qu'ils foutent tout en l'air. Une connaissance mieux disposée face à Syriza m'envoie cet article très mesuré et assez intéressant, qui pointe surtout les problèmes de rule of law et de gestion. http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2015/01/gr%C3%A8ce-syriza-est-peut-%C3%AAtre-la-solution.html Mais qui place un espoir démesuré dans ce parti qui annonce d'emblée la santé gratos. Il montre en effet que la Grèce est mine de rien sur la bonne voie et il me donne l'impression que les taux d'intérêt pratiqués envers l'état grec ne sont pas du tout si usuriers que nombre de gauchiste le disent. Autrement dit si la question de rembourser ou non la dette est celle de savoir si on choisit la stabilité bancaire européenne ou une rehausse précoce des dépenses publiques en Grèce... La responsabilité en cas d'echec de cette politique de relance serait probablement très très très lourde. Elle engagerait notamment la cordialité des rapports germano grecs.
  9. Je ne suis pas spécialiste mais il me semble que la situation dans laquelle on est est justement celle où tout le monde sait que dans un monde parfait le risque n'est pas négligeable, mais sait à la fois que certains mécanismes magiques sont à l'oeuvre pour l'atténuer.
  10. Je suis d'accord, il vaudrait presque mieux (modulo les conséquences dont a parlé Alex6 dans le cas où les acteurs ne se sont pas assurés, ce qui après tout est possible dans un contexte ou le défaut paraît improbable), pour la clarté économique de la situation, que la Grèce fasse défaut, qu'on laisse parler les taux d'intérêts, qu'on cesse de verser toute aide au pays. Les gouvernements seraient mis devant la responsabilité de s'endetter à gros taux, et arrêteraient de promettre la lune. Malheureusement on dirait que ce n'est pas ce qui va arriver.
  11. Et tu as vu le vide intolérable et débraillé que tu exposais à l'assistance.
  12. La moindre des choses dans ce cas là c'est de pas s'en vanter !
  13. Donc il y aura négociation pour l'aide de la BCE, donc il y aura amendement du programme. Les politiques de relance et de taxation annoncées amèneront l'inflation et la fuite des capitaux s'il en reste, et la Grèce sera toujours pendue aux aides. La situation se dégradera lentement mais la prochaine fois les grecs ne voteront pas pour Syriza, il voteront pour un parti plus radical.
  14. Clairement, mais le couvert de la légitimité démocratique du mouvement pourrait occulter l'évaluation des conséquences de cette attitude. Est-ce qu'on peut dire que le gouvernement Grec ne trouvera plus jamais de source de financement extérieur ou est-ce que par la magie de l'aléa moral et de l'intégration européenne tout peut être amorti ? J'ai l'impression que ça pourrait n'avoir pas de conséquences à court terme. Si on prend par exemple le risque de la sortie de la zone euro, si je ne m'abuse le FMI a annoncé qu'il la considérait comme improbable. Pour ce qui est du plan d'aide prévu initialement par la BCE, qui a fait planer sans conviction la menace de sa suspension, tout le monde s'accorde à dire qu'il n'en est en fait pas sérieusement question. Est-ce une forme de bluff pour éliminer les effets de l'évènement ? La conviction que le programme annoncé ne sera pas tenu ou pourra être renégocié à volonté ? Au lieu d'une crise politique et du grand soir fantasmé par les journaux français, on s'achemine déjà vers une issue molle, une poursuite de la même tendance de lent nivellement. Simplement parce que même dirigée par Syriza, la Grèce ne peut pas faire autrement que négocier l'aide de la source la plus intarissable, parce que proprement magique, de crédit.
  15. Je suis un peu perplexe. A ce que je comprends ils n'ont pas de programme clair, ou plutôt cela fait longtemps qu'ils n'ont pas réaffirmé un programme clair. Mais à ce qu'on peut lire là et là et qui date un peu, c'est free stuff, free jobs, nationalisation du système bancaire, annulation des dettes de privés non solvables et pour ce qui est de la dette publique... je n'ai rien lu de clair. (edit : par là je veux dire qu'on lit des "refus de payer les montants prévus", mais j'ai l'impression que c'est évasif). Et tout ça devra être financé par une taxation accrue des plus riches. Maintenant, que pourront-ils faire de toute cela ? Qu'est-ce qu'on peut sensément prédire, est-ce qu'on peut prédire quoi que ce soit ? edit : Bref tout cela peut-il juste se dégonfler et finir en socialisme mou ?
  16. Vu sur touiteur : The comic sans ms is strong with those ones...
  17. D'accord, j'avais cru comprendre que tu y avais participé (comme d'autres d'ailleurs, au vu des commentaires) en lisant ton post de blog. En tout cas l'interview est très intéressante, surtout du point de vue des infos et de la vision synthétique que Conesa apporte. L'échange avec les interviewers est bon notamment sur des points où d'aucuns ici auront un avis divergeant de celui de Conesa (sur le rôle de l'Etat dans le financement du culte, sur la surveillance et le "patriot act" à la française). Sur la fin ça dérive parfois un tout petit peu en discussion de comptoir érudite (l'analyse de la violence du cinéma américain, et de manière générale pas mal de considération psychologiques très vagues). Mais globalement c'est très instructif, surtout sur l'état de la diplomatie et l'analyse géopolitique du gouvernement, ses errances et ses échecs en pratique.
  18. Je l'écoute, c'est très intéressant. Quel a été ton rôle dans l'organisation de cette interview btw ?
  19. J'ai voté "sonne bizarrement", parce que je manque d'une définition précise de ce qu'est une faute de français. On comprend certainement ce que veut dire l'interlocuteur, donc il n'y a ni faute de construction ni ambiguïté, mais ce n'est pas une locution utilisée. Je crois que quand un linguiste essaie de déterminer si une locution appartient à une langue, il distingue la grammaticalité, l'interprétabilité et l'acceptabilité.
  20. Cela faisait un bail que j'avais pas programmé (je découvre ocaml là). J'avais oublié les ascenseurs émotionnels.
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