
Raoul.
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Ben voyons, il faut à la fois que l'autre ne puisse pas refuser et qu'en même temps il soit libre d'accepter. Vous vous rendez compte du caractère profondément absurde, délirant, irationnel et contradictoire de ce que vous écrivez ? Si, le contractant (le créancier) peut refuser. S'il dispose d'un droit d'opposition, c'est qu'il peut refuser. C’est le principe d’un droit d’opposition. [/objection]. La réserve à 100 % n’a rien avoir avec la RL. La RL concerne les conséquences d’une faillite. La réserve à 100 % empêche la faillite. [/objection]. (Accessoirement, j’ai déjà eu l’occasion de vous préciser que, sauf en cas de monopole étatique de la monnaie, je ne « propose » pas de rendre obligatoire la réserve à 100 %.)
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Je l'ai modifiée parce qu'elle n'était pas parfaite. Vous n'oublierez pas de m'envoyer par MP l'adresse de votre dealer.
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Vous aussi. J'espère que vous ne m'y verrez pas vous "insultant".
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J'ai une photo de ma grand-mère, enfant à boucles blondes, en train de fumer avec ses frères et soeurs, hilares. (Le photographe étant mon arrière-grand-père.)
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On dirait une racaille qui agresse les gens et se met à pleurnicher quand les agressés se défendent un peu vigoureusement. Exactement les mêmes faits, exactement la même mentalité. (J'imagine que Bastita va gémir sur "racaille").
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Ah d'accord. Ca, pour vous, c'est une insulte.
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Surenchère victimaire.
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Otan pour moi. Enthousiasmé malgré moi par les sublimes élans patriotiques déployés dans ce documentaire, j'ai posté sans réfléchir une image qui se rapportait au sujet de la vidéo, mais qui ne s'inscrivait pas dans l'objet de ce fil.
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Vous avez raison, essayez de passer pour une victime.
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Eh bien vous attendrez au moins jusqu'à demain, peut-être davantage. J'ai déjà posté bien trop de commentaires aujourd'hui. Par contre, si vous pouviez préciser à quelle question vous faites référence par vos "A n'est pas égal à non-A", ça m'arrangerait. Quand je clique sur le lien que vous donnez, je tombe sur un autre commentaire avec la même formule, avec pour toute objection le tableau que vous aviez fait à l'époque et que vous n'avez toujours pas corrigé.
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Oui, bien entendu, depuis cinq jours, je n'ai littéralement donné aucun argument. J'ose espérer que écrivez sous l'emprise de la drogue.
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Mes "insultes" ne sont certainement pas "gratuites". Les vôtres le sont.
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Faudrait vraiment que vous appreniez à lire. Où voyez-vous que je "défendrais" Snow ? En quoi aurais-je interprété ses besoins ? J'ai rappelé qu'il vous avait posé LA question à plusieurs reprises pour montrer que vous n'aviez pas l'excuse de l'impréparation et que vous ne pouviez pas sous-estimer l'importance que cette question revêtait.
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Faut pas s'étonner après que les libéraux passent pour des andouilles dans les média.
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Son problème est aussi de ne pas lésiner sur les moyens pour faire passer sa thèse - et d'insulter copieusement ses interlocuteurs au passage. Mauvais mélange.
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Vous parlez vraiment dans le vide. J'ai cité les articles relatifs au contrat de dépôt, à l'opposition des créanciers, à la solidarité des débiteurs et à la poursuite des associés d'une SCI. J'ai cité un extrait LexisNexis rassemblant plein de jurisprudences sur la RL. Par ailleurs, je vous rappelle que l'idée que la RL serait rétroactive était a priori absurde, et qu'il fallait donc avoir à un minimum de preuve pour l'avancer ; je vous rappelle également que vous aviez été interrogé à ce sujet au moins quatre fois par Snow et par moi ; je vous rappelle enfin que vous n'avez cessé d'insulter vos contradicteurs sur ce fil. Autant de circonstances qui rendaient indispensable d'étayer un minimum votre assertion absurde. (Je vous rappelle encore que vous n'avez toujours pas cessé de fanfaronner)
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Vous êtes prié de le mentionner quand vous pratiquez des "edit" sur des commentaires ayant déjà reçu au moins une réponse. Au cas où vous ne l'auriez pas encore compris, je suis en train de répondre aux messages auxquels je n'avais pas encore répondu jusqu'à présent, en partant des plus anciens. Le tour du message que vous donnez en lien viendra, ne vous inquiétez pas.
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Vous avez parfaitement tiré la morale de la pièce de Batista, je vous en remercie pour lui. Vous êtes son public.
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Non, c'est vous qui aimez donner des leçons ici - des leçons ineptes, mais des leçons quand même. C'est pour ça que vous vous exposez à des réponses assez vives de ma part, de celle de Yozz et de bien d'autres intervenants encore.
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C'est ce que j'ai toujours fait jusqu'à présent. Ca me paraissait d'autant plus nécessaire que, bien souvent, je ne connaissais pas la réponse exacte dès le départ - je pouvais simplement en deviner les contours en réfléchissant à la combinaison des principes impliqués.
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Ci-dessous, "Mensonge à Cuba", pièce en huit actes écrite par Batista et inspirée de la vie réelle de l'auteur. Acte I : Snow demande à Batista si la transformation d'une SNC (société à responsabilité illimitée) en SARL (société à responsabilité limitée) a un effet rétroactif. (J'avais déjà posé la même question à plusieurs reprises). Acte II : Batista ne lui ayant pas répondu clairement, Snow le relance. Acte III : Scène I : Batista consent enfin à répondre, quoique sans apporter le moindre élément de preuve. Une réponse péremptoire devra suffire. Scène II : Batista édite son commentaire pour tenir compte d'une réponse postée par Raoul. entre temps (v. acte suivant pour comprendre). Il y affirme que sa réponse est correcte depuis 2005. (On notera la "rupture dramatique" entre la scène I et la scène II) Acte IV : Raoul. démontre formellement que Batista raconte des inepties. Acte V : Batista soutient, en se fondant sur la phrase mise en gras ci-dessus, que la RL serait rétroactive depuis 2005 (d'où son édit à l'acte III scène II). Acte VI : Raoul. fait comprendre à Batista que ce dernier a mal interprété le texte qu'il a lu, i.e., que ce qui a été supprimé en 2005 n'est pas la non rétroactivité de la RL. Acte VII : (Le drame) : Batista assure qu'il avait très bien interprété le texte, i.e., qu'il avait bien compris que la non rétroactivité de la RL n'avait jamais été mise en cause (mais il oublie de reconnaître au passage que, selon sa propre analyse, il racontait n'imp depuis le début du fil), et qu'il voulait parler d'un point tout autre (à savoir, le nombre de procès à intenter). Acte VIII : (flashback et dénouement) : Batista oublie qu'il avait donné une interprétation totalement différente dans son "édit" de la scène II de l'acte III, édit que je recite ci-dessous (oui, c'est un flashback, comme annoncé) : Rideau. Bon, cette pièce était très confuse, je l'admets, mais c'est normal : c'est du Batista.
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Vous ne comprenez vraiment rien. Il n’y a pas d’opposition nécessaire entre acte unilatéral et contrat synallagmatique. Une offre est un acte unilatéral, et néanmoins, si le contrat se conclut, elle s’y trouve intégrée. La publication de CGV constitue un acte unilatéral, mais celles-ci entrent dans le champ contractuel si elles ne sont pas expressément rejetées. Il en serait de même si elles contenaient une clause de limitation du droit de gage aux apports des associés. Oui, tout à fait, la phrase que vous avez mise en gras n’était pas du tout insignifiante ; au contraire, elle était absolument redoutable et inédite, c’est bien pour ça que je l’ai « sucrée » ! J'aurais été incapable d'y répondre ! J'étais littéralement KO ! De l’argent « volé » à des gens qui ont accepté de conclure un contrat avec vous en toute connaissance de cause… (Soupirs). Privilège = privata lex = loi privée => Ce qui peut être obtenu par tous n’est pas un "privilège". En fait, je vais vous laisser chercher. Votre mauvaise foi m'a déjà fait perdre assez de temps comme ça. Un contrat d’assurance déresponsabilise l’assuré. Ca s’appelle l’aléa moral. Je vous renvoie à ce que j'ai écrit plus haut. Franchement, vous auriez dû vous abstenir de fanfaronnades de ce genre. J’aurais été très indulgent avec vous si vous étiez resté correct, mais votre comportement d’adolescent attardé et mythomane me force à faire preuve de sévérité.
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Réponse parfaitement idiote. L’augmentation des intérêts est nécessairement contraire aux intérêts du banquier. Il n’y a donc aucune raison d’instaurer une simple procédure d’opposition. A l’inverse, la réduction du capital peut, dans la plupart des cas, ne pas porter atteinte aux intérêts des créanciers (dès lors que la société est solvable). La règle de l’opposition est donc loin d’être complètement absurde (même si, personnellement, elle ne me satisfait pas). Je reviens un instant sur cette histoire de dettes « passées ». Vous avez introduit en contrebande cet argument absurde à au moins deux reprises dans la conversation ; à chaque fois, je vous ai expressément interpellé pour vous demander des explications, et vous n’en avez rien fait. Il a fallu que Snow vous le demande à son tour pour que vous consentiez à répondre ; mais, même alors, vous vous êtes contenté d’une affirmation péremptoire, sans donner aucun lien ni citer la moindre loi ou de jurisprudence qui aurait pu rendre votre méprise excusable. Il est donc démontré que, dans le meilleur des cas, vous n’aviez aucune idée de ce que vous racontiez, alors même que vous êtes censé « travailler » sur cette question, et que vous étiez parfaitement conscient de ne rien avoir pour étayer cette assertion. Par ailleurs, sur ces bases inexistantes, vous vous êtes permis de fanfaronner et de mettre sérieusement en doute ma compétence et celle de Yozz – et vous continuez encore maintenant, alors que votre « erreur » est démontrée par A + B. Que voilà des méthodes intellectuelles intéressantes. Au moins je sais maintenant à quel genre d’individu j’ai à faire. Je crains que vous ne vous soyez enfermé dans votre champ de mines. Bon, première difficulté : comprendre ce que Batista essaie de prouver. J’étais en train de lui demander si le client exerçait ou non sur les sommes remises en dépôt toutes les prérogatives du droit de propriété. A cela il me répond en affirmant qu’il dispose des mêmes prérogatives à l’égard de la « créance ». Une première interprétation serait que Batista confirme mon propos, quoique en employant le terme « créance » pour désigner les sommes déposées. Compte tenu de sa mentalité, je ne pense pas que telle était son intention. Deuxième interprétation : il aurait essayé de montrer que le client exerce également les prérogatives du propriétaire à l’égard des créances qu’il détient sur sa banque d’épargne. L’ennui, c’est que mon argument de départ consistait à souligner que, dans un régime de réserves fractionnaires, plusieurs personnes (le(s) récipiendaire(s) du prêt ET le déposant) se retrouvent propriétaires des fonds remis en dépôt. A l’inverse, personne ne soutient que les sommes déposées sur un compte à terme seraient simultanément possédées par plusieurs personnes. Il est donc inutile de « prouver » que l’épargnant serait « propriétaire » de la créance qu’il détient sur la banque. Une troisième interprétation serait que Batista ait noirci des lignes au hasard, sans rien comprendre à ce qu’il écrivait. C’est sans doute l’interprétation la plus vraisemblable. Tout ceci est bien lourd. Néanmoins, la réaction de Batista démontre au moins une chose : il n’avait jusqu’alors jamais entendu parler de l’argument du droit de propriété multiple, pourtant mentionné dans tous les livres autrichiens sur la question, alors qu’il prétend réfléchir sur cette question depuis « 15 ans ». Cela explique aussi qu’il comprenne bien mal la discussion sur la nature « frauduleuse » ou non des réserves fractionnaires. Vous ne savez pas lire ? Le critère de la cessation des paiements est l’impossibilité de faire face à son passif exigible, pas exigé.
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Vous êtes vraiment pénible, Batista. Je vous ai déjà demandé d’arrêter de cloner vos commentaires et d’ajouter sans cesse de nouvelles couches d’inepties. Dois-je vous rappeler que vous avez prétendu avoir peu de temps pour poster ? Dans ce cas-là, pourquoi gâchez-vous ce bien si précieux en pondant en série des commentaires bêtes et inutiles ? Au lieu de propulser en cadence de nouveaux messages, vous feriez mieux d’en écrire moins mais de vous appliquer davantage dans leur rédaction – ceux que vous postez actuellement sont extrêmement confus et difficiles à déchiffrer. C’est très désagréable pour vous lecteurs. (Bien sûr, votre comportement recevrait une explication rationnelle si vous cherchiez seulement à noyer dans la masse de vos messages les commentaires où je démontre par A + B que vous n’avez pas la moindre maîtrise des aspects juridiques et économiques du sujet sur lequel vous pontifiez.) De l’attente de ma réponse à vos messages d’hier (que j’espère pouvoir vous livrer aujourd’hui), je vous invite donc, non pas à partir dans de nouvelles digressions, mais à répondre à une objection que je vous ai faite il y a quatre jours et pour laquelle je vous ai déjà relancé plusieurs fois (v. ci-dessous, en gras). Bon courage.