Ultimex

Juan Gimenez (du fait du coronavirus).

Tiens, Douglas Pearce s'est découvert une passion pour Nashville et Cash ?

Le PCC ne paiera malheureusement jamais assez pour toutes les horreurs qu'il a commises...

Bof... Je vois le confinement comme le prétexte idéal pour tenter le mulet.

Bienvenue !

République Féodale Populaire Berrichonne indépendante !

Dans la tête des gens, Fillon est associé aux mots : - libéralisme, - défaite, - malhonnêteté. Donc autant tout balancer à la poubelle. Tu dis ça parce que tu es libéral et que tu en connais les grands principes. A partir de là, tu es à même de juger si la majorité mène des actions libérales ou non. Par contre, pour le reste des français (pour une bonne partie en tout cas) le libéralisme est une idéologie floue. Macron était présenté comme un candidat libéral, sa politique est donc libérale (d'ailleurs la preuve : il rabote sur les dépenses sociales : -5€ sur les APL !). Et 5 mins sur les réseaux sociaux ces derniers temps me conforte dans l'idée que, pour une partie de la population, Macron reste un libéral ("Ah mais, si les libéraux n'avaient pas diminué les dépenses dans la santé, on n'aurait pas un manque de lits dans les hôpitaux pour faire face à la pandémie -> on gifle tous un libéral en sortie de confinement !").

Bah, c'était initialement une blague de @Rincevent sur les différences intra/extravertis, ce qui ne nécessitait pas une surinterprétation aussi poussée de ta part. Tu trouves ? Il y a : - l'héritage du gaullisme (plutôt dirigiste/adepte de l'État stratège historiquement : plan calcul, Concorde et autres grands projets nationaux du même acabit, tout ça "C'était de Gaulle") ; - l'opposition frontale au parti au pouvoir présenté historiquement comme libéral -> Donc, le libéralisme, c'est maaal.

Tu connais beaucoup d'introvertis avec plus de 20 potes (les amis imaginaires ne comptant pas) ?

Fillon et ses attachés parlementaires.

Je réalise qu'avec le confinement et ses rues désertées, son absence d'animation, ses magasins à moitié vides, la récession qui guette, la France découvre enfin ce que veut dire vivre à Vierzon... Welcome in my world.

Si, il me semble bien que c'était lui. Soupçonné d'être un informateur de la police.

Les débuts du thrash/death franchouille.

Bon sang, cet album de thrash (à la pochette particulièrement moche) est une vraie pépite... Merci @fryer.

Le type qui vient d'une région où l'on appelle "chocolatine" (sic) les pains au chocolat avoue aimer les pizzas hawaïennes. Coïncidence ? Je ne pense pas.

Quel grognon... November Növelet : The World In Devotion Murmuüre : L'adieu au Soleil Yawning Man : Laster Arte Neil Young & Crazy Horse : Walk Like A Giant Deftones : Risk Gnod : Visions of Load Khana Bierbood (คณะ เบียร์บูด) : Bangsaen Lady (นวลนางบางแสน) The Wounded Kings : Baptism of Atlantis Blut aus Nord - Nebeleste Godflesh : Be God

Le NSK (le collectif d'art politique slovène auquel appartient Laibach) a fait ce genre de détournement dans les années 80. Dans un pays où c'était un poil plus dangereux que la France d'aujourd'hui. Ah oui, l'art russe officiel (d'"avant-garde") du début des années 20 déboîte bien. Après, quand arrive la vague du "réalisme soviétique", c'est moins glop (amha)...

Et (avec une semaine de retard) Danny Ray Thompson, saxophoniste baryton au sein de l'Arkestra.

Ben non, le crayon c'est pour expliquer la complexité du système de prix. Dans l'explication de BLM il n'est aucunement question des prix. La vidéo de Friedman (inspirée par Read) ne parle pas de prix (de mémoire) mais montre surtout que personne ne peut construire un crayon de A à Z tout seul (et, il rappelle donc les bienfaits de la spécialisation, des échanges entre individus, entreprises, etc., tout ça du fait de notre dépendance aux uns et aux autres, ne serait-ce que pour produire l'objet le plus insignifiant). Edit : à la revoyure, il parle bien des prix mais comme moyens de coordonner les actions de toutes les personnes impliquées dans l'élaboration du crayon (le tout, sans faire appel à un système centralisé à base de bureaucrates, de commissaires planificateurs, etc.).

Sale temps pour la scène indus/ebm...

On peut aussi ajouter, dans le cadre des étudiants chinois à l'étranger, qu'il y en a souvent un chargé de s'assurer de la bonne orthodoxie de pensée parmi eux. Et que si on ajoute un Institut Confucius local dans la danse, il est encore plus difficile pour un étudiant chinois d'oser émettre la moindre réserve envers le Parti. Oui, grâce au travail des Instituts Confucius qui semblent bien manier l'art de la menace et de la pression dans les universités où ils sont implantés.

J'avais cru comprendre (en lisant un/des article(s) de Quillette de mémoire) que le PCC avait réussi à imposer l'idée que le PCC = la Chine = le peuple chinois. Si on ajoute un certain patriotisme dans l'équation, critiquer/remettre en cause le PCC revient donc à critiquer le peuple chinois -> critique du régime difficile à émettre de la part des chinois/à entendre pour les chinois.

Idem Taïwan d'ailleurs : aux dernières nouvelles, le pays n'est pas particulièrement chaud pour devenir une province de la RPC.