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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Enquête sur l'entendement liborgien
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Elle est idéaliste parce que la seule chose connue (connaissable) c'est l'idée, la représentation du monde plutôt que le monde lui-même. Le kantisme ne va pas jusqu'à nier l'existence d'un monde extérieur (ce qui semble être le cas de Berkeley et de la phénoménologie), mais il est inconnaissable. Du coup l'idée prime, ce qui est un peu la base pour reconnaître une philosophie idéaliste. -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
L'adjectif naturel est de trop, il n'y a pas de communautés politiques dans la nature.- 3 507 réponses
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Enquête sur l'entendement liborgien
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Perso, la partie de la phrase que je ne pige pas, c'est "être la mesure de". D'où coup tous le débat Platon & les chrétiens versus Protagoras me passe un peu à côté. De toute façon, le sens que Protagoras donnait à sa phrase n'est pas non plus clair. -
Les articles que vous voulez faire buzzer
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Très bien ! On peut aussi opposer aux propos caricaturaux de ce de Plunkett (digne de l'anti-libéralisme primaire des militants d'ATTAC), la judicieuse observation de Salin: "Dans la mesure où elle repose sur le respect des droits d'autrui, [la société libérale] consiste essentiellement à établir des barrières devant l'exercice illimité de l'esprit de lucre." -Pascal Salin, Libéralisme, éditions Odile Jacob, 2000, 506 pages, p.383. -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Sinon, tu peux faire preuve d'un brin d'humilité, et essayer de lire le texte correctement. Genre, l'article 2: "Art. 2. - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression." http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/la-constitution/la-constitution-du-4-octobre-1958/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789.5076.html Tu peux suivre les recommandations de Poney que j'ai mises dans ma signature aussi.- 3 507 réponses
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Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
On ne peut passer des compromis qu'avec des gens qui ne partagent pas l'essentiel de nos idées, et ces derniers ne le feront que parce qu'ils y trouveront un avantage quelconque. Étape 1: devenir une force politique avec laquelle compter, sur la base d'un programme authentiquement libéral. Étape 2: si on ne peut pas gouverner tout seul, gouverner en coalition et faire passer des avancées au moyen de concessions mutuelles. Autant dire qu'on en est très loin, et donc il n'est pas nécessaire de parler concessions maintenant.- 3 507 réponses
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Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Et qu'est-ce que ça implique pour la politique moderne (on ne peut pas dire que Descartes ou les cartésiens aient développés une philosophie politique) ? -
[Sérieux] Religions et libéralisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Coligny dans Philosophie, éthique et histoire
Hum, ce coup d'auteurs chrétiens (C. Schmitt, Denis de Rougemont, Pierre de La Coste, etc.), qui nous expliquent que les doctrines et/ou problèmes du monde moderne, ne sont que des hérésies sécularisées, commence à devenir répétitif... "Serais-ce donc possible ! Ce vieux saint dans sa forêt, il ne l'a donc pas encore appris que Dieu est mort !" -Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, prologue, 2. Cela dit, je note la référence. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Cette histoire du primat de la Volonté de Dieu sur ses autres facultés/aspects vient des nominalistes et de la théologie d'Ockham , non ? Il a plein de gens (Michel Villey, Alain de Benoist), qui racontent cette histoire, histoire que contredit Gilson (j'ai les citations des uns et des autres si ça t'intéresse). Personnellement j'ai fais des recherches sur le sujet et ça ne donne rien. Si on considère que la modernité philosophique naît avec (l'anti-aristotélisme de) Francis Bacon et Descartes, il n'y a rien dans leurs œuvres (pour autant que je sache) qui renvoie explicitement aux nominalistes. Et je n'ai pas non plus remarqué des commentateurs ou de la littérature secondaire affirmant un lien. -
Présidentielles 2017
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Flashy dans Politique, droit et questions de société
Seulement si on considère que la Russie n'est pas géographiquement (en partie) en Europe.- 4 258 réponses
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Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
D'accord, autant pour moi. J'avais déjà commencé de toute façon, je suis au livre II. Mais c'est pas un petit traité hein. J'espère que @Bézoukhov n'est pas pressé.- 3 507 réponses
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Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
D'un côté je suis d'accord. Mais il faut voir aussi que la frontière entre la non-authenticité libérale et le pas-du-tout-libéralisme est aussi poreuse et pleine de nuances. On passe souvent progressivement d'une opinion politique à une autre. C'est pour ça que je suis gêné que Nigel est traité Alain Laurent de "nul" ; si c'était une appréciation de son œuvre, je ne serais pas d'accord mais ça aurait un autre sens. Là j'ai l'impression que c'est une disqualification trop facile de la valeur de quelqu'un au prétexte qu'il est train de passer du côté obscur de la Force, c'est un peu court. Je pense qu'il faut voir l'égarement de Laurent (et d'autres) comme un vrai problème à résoudre. C'est le signe que la lepénisation des esprits est à l'œuvre, y compris où on ne l'attendrait pas.- 3 507 réponses
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[Sérieux] Religions et libéralisme
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Coligny dans Philosophie, éthique et histoire
J'ai trouvé ça: Après tu veux peut-être parler d'un point particulier, auquel cas un nouveau fil serait plus approprié. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Après Macron, le candidat contre la géographie (je vote pour l'envoyer résoudre la crise dans l'île de Guyane), Macron, le candidat contre l'histoire... -
Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Tu soulèves plein de questions intéressantes (qui mériteraient sans doute un fil dédié), qu'une philosophie politique libérale se doit de prendre en considération si elle veut répondre aux interrogations et aux angoisses qui empêchent à la fois certains de se rallier au libéralisme, et qui poussent d'autres de dériver lentement jusqu'aux terres glacées du conservatisme (voire pire). Mais si on veut s'y attaquer sérieusement, ça suppose au préalable tout un travail de définition pour savoir de quoi on parle. Par exemple, qu'est-ce qu'une communauté politique ? C'est forcément beaucoup plus qu'une coopération entre des hommes (monter une tente dans un group de scouts, faire du commerce international, ce sont des exemples de coopération, mais pas des communautés politiques). Je n'ai pas forcément la réponse à tes questions, qui me donnent une furieuse envie d'aller voir si Les politiques d'Aristote peuvent y répondre. Si on suit ce dernier, la communauté politique (la Cité pour lui), est une "communauté de communautés". Ce qui pose la question de savoir ce qui fait la jonction, l'unité de ces communautés: est-ce que c'est la simple subordination de fait à des mêmes lois / à un même pouvoir politique, lui-même réduit à la force d'un groupe dominant (définition qui me paraît la meilleure au point de vue descriptif, car la plus générale ; mais aussi la plus pauvre et la plus aliénante) ? La culture ? L'Histoire ? L'intérêt ? La participation à un affect commun (et dans cette perspective spinoziste, l'amitié entre citoyens mise en avant par Aristote me paraît un fondement plus crédible et plus sain que la fraternité ; ne serais-ce parce que la fraternité est une notion issue de la sphère familiale, et je me méfie des tentatives de confondre des ordres de choses distincts. De surcroît la fraternité n'exclut pas le fratricide, on voit mal comment cette notion pourrait servir comme principe exclusivement unifiant) ? Une combinaison de certains de ces éléments ? Encore autre chose ? Ensuite se pose la question de la relation entre préservation de la communauté politique et préservation des droits individuels, laquelle n'est pas claire ni consensuelle. Pour finir, je ne suis pas d'accord avec ton affirmation: "si on est incapable de dire pourquoi on forme une communauté politique, toutes les autres questions politiques n'ont plus de sens." Non pas que je ne trouve pas ta problématique importante, mais cette affirmation me semble faire violence aux faits. C'est un peu comme si tu disais: "si on ne sait pas comment fonctionne un ordinateur, son usage est vide de sens". De toute évidence, la réflexion critique n'intervient qu'après coup ("la chouette de Minerve ne prend son envol que dans le crépuscule", comme disait poétiquement Hegel), on vit toujours ensemble avant de se demander pourquoi. Et vu que ce pourquoi (qui marque une distance avec nos sentiments instinctifs) n'est pas facile à élucider, on peut visiblement trancher les problèmes politiques au fur et à mesure qu'ils se présentent, avant de pouvoir répondre à une question aussi complexe (aussi fondamentale soit-elle).- 3 507 réponses
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Elections législatives de 2017 en France.
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de FabriceM dans Politique, droit et questions de société
Prévu depuis des mois. Qu'ils se mangent donc entre eux.- 726 réponses
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Les droitards, quelle plaie
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
L'article est en effet confus et inquiétant (le fait même qu'un libéral aille se faire publier dans Causeur est a priori louche. Ce n'est pas comme si Alain Laurent était persona non grata ailleurs, au hasard sur Contrepoints). En gros la thèse est: une fraction du mouvement libéral français (assez confusément délimitée) se rapproche (les preuves sont où ?!) du gauchisme culturel dénoncé par Le Goff (cf: http://oratio-obscura.blogspot.fr/2016/09/le-gauchisme-culturel-des-origines-au.html ), lequel fait objectivement le jeu de l'islamisme (voire du djihadisme, Laurent n'est pas très clair et la subtilité du public de Causeur fera l'association pour lui). En réalité Laurent se droitise et verse dans la critique du "libéralisme-libertaire" (le terme n'est pas dans l'article mais l'idée, oui) ; c'est extrêmement inquiétant puisque ça le rapproche des abrutis antilibéraux Soral, Zemmour, Onfray, Michéa les quatre-cavaliers de l'apocalypse rouge-brune... C'est extrêmement gênant que Laurent verse là-dedans parce que c'est (était ?) incontestablement l'un des rares intellectuels libéraux français (son L'Individu et ses ennemis est excellent) introducteur de Ayn Rand en France, etc. Or là il se sent obligé de dénoncer la figure mythologique du libéral-libertaire (qui est un fait le bobo gauchiste, ni libéral, ni anarchiste, mais plutôt Jack Languiste, volontiers postmoderne...). Peut-être que son objectif est de réhabiliter / disculper le libéralisme aux yeux du public de Causeur, mais pour moi il produit exactement l'effet inverse, quand on lit son texte on a l'impression que le remède ne peut être que plus droitier encore...- 3 507 réponses
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/europe-la-strategie-d-emmanuel-macron-est-elle-la-bonne-670023.html -
De fait, l'article dit bien que les leaders du mouvement social ne sont pas convaincus par les propositions du gouvernement.
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C'est bizarre, parce que, si je récapitule les annonces: +50 millions dans les infrastructures de prison et de justice. +400 millions dans l'éducation. +300 millions pour les ponts et routes. ça fait 750 millions d'euros. + des renforts en gerdames et policiers, pour un montant non chiffrés. Mais on a l'air quand même un peu loin du milliard. Où va le reste ?
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
http://lille.pcf.fr/la-section-de-lille/communiques-de-la-section/article/pcf-lille-en-marche#.WN84MNy_n3g.facebook -
Mélenchon, le Tout Petit Père des Peuples
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Politique, droit et questions de société
Corrigé. -
François Asselineau, le candidat de l'UPR
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nonaud dans Politique, droit et questions de société
Pas mal, mais j'ai trouvé encore mieux: -
Liberté d'expression
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nirvana dans Philosophie, éthique et histoire
Et donc, pas de liberté pour les ennemis de la liberté ? En outre, je ne sais bien ce que c'est qu'une pensée "criminogène". Les négationnistes sont poussés à commettre des crimes par une inexorable loi de la nature ? Non ? Alors laissons-les empuantir les marges de la société. Inutile de leur faire de la pub en en faisant des martyrs. La Loi doit concerner ce que les gens font, pas ce qu'ils pensent. Les lois mémorielles et compagnie ne visent à pas à protéger les droits, elle reconnaissent de facto à l'Etat le droit de décréter le vrai du faux (tel phénomène historique est un génocide, et quiconque le conteste, aurait-il de bonnes raisons de le faire, est coupable de malpensée). "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi." (DDHC, article 10).
