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Tout ce qui a été posté par Flashy
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Oui. Et la SNCF continuera à faire chier et faire grève. Sauf qu'on aura d'autres alternatives.
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Oui. Et ça va nous coûter un bras. Mais on ne sera plus dans la situation "la SNCF ou rien".
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L'ouverture à la concurrence du rail est une fatalité. De fait, cela implique l'abrogation du monopole. Avec la fin de leur monopole, leur situation va pouvoir durer quelques années, voire une ou deux décennies. Mais, tôt ou tard, ils paieront cash.
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C'est ce qu'il est en train de se passer. D'où les ruades de la Bête.
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Choix de métiers, héros randiens et epinards au beurre
Flashy a répondu à un sujet de Slonner dans La Taverne
A 15 ans, tu sais ce qu'est la thune. A 18 ans, combien de gens débarquent en L1 à Assas en disant un truc cliché genre "je veux devenir avocat d'affaires international" (ça ne veut rien dire, mais bon). Ils veulent de la thune, sans réaliser une seconde ce qu'est, très concrètement, la vie et le taff d'un avocat d'affaires ayant de gros clients. C'est clair. J'ose même ajouter que tu peux découvrir ce que tu veux faire dans la vie après avoir commencé à bosser. J'aboutis à la conclusion que le droit du travail m'ennuie. Même le contentieux. J'aime gagner, démontrer que j'ai raison, j'adore les plaidoiries, pouvoir sortir du bureau pour partir en audience je ne sais où, me disputer avec le président (ou plaisanter, le plus souvent) mais franchement... je ne sais pas, le droit me rebute de plus en plus. Je trouve cela vain. Stérilisant. Loin d'être un ensemble de règles permettant l'action ou à tout le moins l'encadrant, j'ai l'impression que c'est une laisse qui empêche d'agir. Je ne le regrette pas, car cela permet d'acquérir une certaine rigueur intellectuelle (lorsqu'on s'investit un minimum dans ses études...) : je détecte les sophismes aisément, et rien que ça, c'est précieux. Mais j'ai envie de faire autre chose, et j'avoue ne pas trop savoir quoi... Je ne conçois ces sacrifices que pour un boulot qu'on aime. La vie d'avocats d'affaires implique de tels sacrifices : très gros horaires, travail le WE parfois, voire la nuit, disponibilité permanente, exigence absolue de qualité (et donc grande concentration/implication requise). Faire ça uniquement pour la thune, je ne vois pas comment tu peux tenir plus d'une poignée d'années. -
Pour info, je me barre en audience. Je fais le point demain ou, en tout état de cause, ce WE pour passer à la prochaine étape. Qu'on soit sur 10, 12 ou 13 thèmes, on le tranchera. Mais cela ne nous empêche pas d'avancer sur les points où il y a consensus. Je vais faire un sondage pour que les gens puissent manifester leur intérêt pour tel ou tel domaine. Parmi les gens intéressés, j'en désignerai deux (en fonction de ce que je sais d'eux et de leurs domaines d'intérêts/compétences tels qu'ils ressortent de ce que j'ai pu en voir sur le forum). Je commence aussi à réfléchir sur la nomination d'éventuels autres modérateurs, pour animer le groupe et s'assurer que, même lorsque je suis sous l'eau (ce qui sera le cas en avril vu mon calendrier d'audiences et les grèves...), quelqu'un puisse s'assurer que ça bouge. Des avis?
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Bonjour à tous ! Je vous propose de discuter, ici, des catégories et groupes de personnes susceptibles d'être intéressées par tout ou partie du discours libéral, en ciblant très précisément les sujets porteurs et les (éventuels) points de blocage. Pêle-mêle, voilà des idées de groupes de personnes susceptibles d'être libéral-compatibles, pour vous donner une idée de ce que je cherche à identifier ici : Les juifs libéraux de France (coucou @Rincevent), les survivalistes, les "digital nomads" (coucou @ttoinou), les avocats, notamment ceux liés aux libertés civiles, les entrepreneurs et indépendants, les tenants de la dépénalisation du cannabis, les adeptes du drone de loisir (courses de drones etc), les tenants d'un internet libre (Quadrature du Net?)... Pour ces groupes, il faudra réussir à identifier les éventuelles structures représentatives, les parties du discours libéral susceptibles de les intéresser, les divergences et points de blocage. A terme, on en fera une synthèse exploitable. Qu'en pensez-vous? Avez-vous des informations? Au plaisir de vous lire.
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Pour créer une structure, ou s'y incorporer, il faut avoir de la matière, des gens motivés. Là encore, je retombe sur le serpent qui se mord la queue. J'ai ouvert plusieurs sujets sur la récolte de contacts, la création de réseau, les structures libérales existantes à contacter/rejoindre. J'ai même ouvert un sujet sur les objectifs du programme. Pour ma part, j'essaie de prioriser. D'abord, réunir quelques personnes (dans ce club, mais pas que, j'espère). Ensuite, bosser sur un projet pour qu'il prenne forme. Une fois qu'on a un projet -c'est-à-dire un programme, mais aussi une vague idée de comment le présenter, à qui s'adresser, etc-, alors on pourra sérieusement se pencher sur la structure, les personnes chargées de causer, etc. Comme quand tu crées ta boîte : savoir que tu vas faire une SAS, ça ne sert à rien si tu ne sais pas avec qui tu vas t'associer, quel sera ton business, quelle sera ta stratégie, ou si tu n'as aucun réseau/aucune idée de comment financer le bouzin. Bref : il faut prendre les choses dans l'ordre pour éviter que des questions lointaines ne viennent paralyser l'action présente. C'est, du moins, ma conception des choses. Je comprends tes remarques, qui portent sur la motivation des uns et des autres : pourquoi s'investir si un tel projet n'est pas sûr de déboucher sur quoique ce soit? A cela, je n'ai pas de réponse toute faite, car je n'ai aucune certitude à apporter à quiconque. Je tiens toutefois à poser la question suivante : à quoi bon relever systématiquement les défaillances, arguer sur les principes libéraux dont la France manque et aborder toute cette variété de sujets qui fleurissent sur Liborg si on se refuse, à un moment ou un autre, d'en tirer la moindre conséquence concrète? Peut-être que le programme n'aboutira à rien, peut-être qu'on ne saura pas s'organiser pour faire un réseau efficace, peut-être qu'il restera lettre morte faute d'avoir pensé à la façon de le porter convenablement : mais au moins, on aura essayé, et nous aurons appris de cet échec éventuel. Peut-être, aussi, qu'on réussira. Bref : le "méta-programme" est essentiel. Avoir une structure juridique ad hoc, un logo, ou rejoindre une structure déjà existante, tout cela devra être discuté, j'en suis bien conscient, mais ne me paraît pas nécessaire a priori pour avancer sur les autres sujets (programme, réseau et communication interne).
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Je n'ai pas de questions particulières, et je ne crois pas qu'un questionnaire google formalisé soit une bonne idée. Il s'agit d'obtenir des informations sur la vie militante dans ces partis, sur leur façon de s'organiser en interne : Quels rôles? Comment sont-ils répartis? Comment recrutent-ils? Quelles actions? Etc etc
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Je suis d'accord avec toi sur la définition des priorités. Je pensais commencer par l'essentiel, et dans un second temps aborder des sujets plus connexes (famille, ruralité...). Je pense aussi y inclure deux autres thèmes, essentiels : Relations Internationales (Zone Euro/UE inclus) + Libertés Civiles. OK? C'était la division retenue, avec un sujet sur le diagnostic, un sujet sur les propositions détaillées, un sujet "marketing". Why not, encore faut-il réussir à identifier un volontaire pour chaque thème. Mais je peux voir ce qu'on va faire. +1. Je veux que ça soit actif, mais j'ai aucune idée de comment "créer" l'action, ou l'entretenir. Si on ajoute les deux thèmes complémentaires, ça ferait 12 mois. J'espère qu'il sera possible, grâce à de nombreux volontaires & si l'activité des participants le permet, de raccourcir le délai. C'est ma conception des choses : pas d'anarcapisme pur, pas de compromission pure. Quelque chose de ferme et réalisable. Cela recoupe les sujets étude/proposition détaillée d'un côté, le sujet "marketing" de l'autre. Il faut à la fois être solide techniquement et parler à l'imaginaire, au symbolique. Pas très compliqué sur certains sujets... Faudra bosser sur ce sujet en parallèle. Le réseau, c'est fondamental. A tout le moins, savoir à qui s'adresser. Il fallait bien commencer quelque part. Si les gens ne se lancent que s'il y a quelque chose de concret (candidat, programme, réseau), et si le programme nécessite des gens qui se lancent, hé bien on aboutit à l'inaction : personne ne se lance faute de programme ; pas de programme faute de gens qui se lancent.
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Le droit de propriété à la francaise
Flashy a répondu à un sujet de Rusty dans Politique, droit et questions de société
Attribuer à une courbe une cause unique, surtout idéologique, c'est probablement se planter, oui. Mon post avait un but humoristique. Après, on peut compter les famines du XXème siècle, et comparer entre pays communistes et non-communistes La conclusion, c'est que les pays libéraux font grossir tandis que les régimes communistes sont très efficaces pour perdre du poids, parfois, même, définitivement. -
Ce qui me conduit à penser qu'ils ont un dossier d'autant plus solide, hein.
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Franchement, le ministre doit avoir autre chose à foutre que de se pencher sur les cas individuels... On a eu 20000 demandes d'autorisation auprès de l'IT en 2014 (http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2017-018.pdf). Mettons que tu as 10% de recours hiérarchique (je suis sympa), ça fait 2000 dossiers par an traités par les "services de la ministre".
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Les services de Muriel Pénicaud ont validé la chose. C'est ce qu'on appelle le recours hiérarchique. J'ai déjà vu des infirmations de décision de l'IT, avec autorisation subséquente du licenciement. J'ai vu l'inverse, aussi. C'est du classique depuis des décennies... Insinuer : C'est de la désinformation pure et simple.
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Les structures libérales existantes
Flashy a répondu à un sujet de Flashy dans Comment s'organiser - le méta-programme de Programme libéral 2022, une ébauche
That's the spirit ! Tu es doctorant en quoi? Et où? (Sans indiscrétions). Students for Liberty, j'ai l'impression que leur activité, au moins en ligne, est épisodique. A voir, donc. Mais ils ont du boulot à abattre. Think Liberal Assas, à Paris II, est une association étudiante libérale que je ne connais pas. Ils ont l'air d'avoir été actifs. Je connais assez peu les associations dédiées aux doctorants (et je les soupçonne d'être peu politisées, non?) -
Regarde les moeurs de l'époque. La tolérance à la violence, et le recours aux armes pour des questions de principe (et non pas de survie), ce sont deux facteurs qui ne s'évaporent pas avec un Big Mac dans le bide.
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École & éducation : Le temps des secrets
Flashy a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Politique, droit et questions de société
Si je devais avoir une fille et qu'elle exigeait que je l'autorise à porter un string, hé bien la sentence serait inéluctable : le couvent. Non mais oh. Papa Flashy. -
C'est clair. Visiblement, sur ce forum, tu as des gens qui, s'ils partaient en vacances, partiraient en camping en amenant leur propre bouffe pour toute la durée du séjour. Des néerlandais, quoi.
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Les anciens étaient moins timorés, ou plus violents. Avoir un Bernard d'Audijos qui prend les armes et affronte l'armée royale pendant deux ans, à la tête de cohortes de paysans, pour contester la taxe sur le sel, c'est peu courant de nos jours. Oh, tu as bien quelques mouvements de fronde, que ce soit contre les portails en Bretagne, l'Aéroport de Nantes, les radars & autres trucs du genre. Mais franchement, si tu téléportais de nos jours des gars d'il y a quelques siècles, je tiens les paris que ces derniers auraient pendu du fonctionnaire à la pelle.
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J'ai pas encore de gosses, mais j'ai une conscience aïgue du problème (j'ai 30 ans, et putain ça va vite). Gros +1. Mon style de vie d'il y a dix ans, ou même d'il y a cinq ans, et mon style de vie actuel n'ont rien à voir. Bouffer des pâtes, boire de la bière premier prix, dans un studio sur cour sans lumière où tu entends ton voisin tousser (true story), c'est possible un temps mais tu aspires à mieux au bout d'un moment. +1000. C'est mon plus gros regret : ne pas avoir profité du temps que j'avais pour faire plus. J'ai économisé comme un crevard, en mangeant que le soir, en n'achetant pas de fringues, en limitant ma consommation d'alcool au bar, en piratant tout ce que je pouvais pirater, pour me vautrer par ailleurs dans une glande relative. Maintenant, je réalise que l'essentiel c'est le savoir-faire, le savoir-être, l'expérience. Faut définir la "glande". Je veux bien me consacrer à un travail non rémunérateur, comme écrivain ou blogueur, à raison de 6 ou 7 heures par jour. Je veux bien aussi consacrer mon temps à des projets qui m'intéressent, comme la constitution d'une bibliothèque qui claque, ouverte sur critères au tout-venant, avec établissement d'une bourse pour financer les études & recherches qui suscitent mon intérêt (et permettent de nourrir ma bibliothèque). Quelques dizaines de millions d'euros suffiraient à mes projets les moins excentriques.
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Les français, trop agressifs pour les canadiens?
Flashy a répondu à un sujet de Marlenus dans Actualités
Mêmes échos et constat ici. La dérision et la moquerie ne sont pas admis. -
Ce ne sont pas des épouvantails. Un mariage, ça coûte cher. Une voiture aussi. Le permis aussi. Les enfants, n'en parlons pas. Être dépendant de sa famille, ce n'est pas être indépendant. Tout cela est exact. Quant au budget de 20€ par mois pour les cadeaux, repris par les projections de Lexington, il me paraît très conservateur. Pour les 30 ans de mes potes, je mets entre 40 et 100 €, parce que merde, hein, oh. Compter ses sous pour ça, c'est de la pingrerie, je ne vois pas comment le considérer autrement. J'avoue que je préfère investir dans un projet cool comme un parc à dinosaures que de jouer à Picsou. My point. Pour parvenir à l'indépendance financière, il faut, de fait, renoncer à la baraque, à la bagnole et aux gosses (et au mariage, ou alors un truc cheap avec les invités qui ramènent leur bouffe). C'est pas une question de dépense ou pas. C'est une question de projet de couple. Quand t'es à deux, bah tu finis, tôt ou tard, par te marier ou faire des marmots. Si tu n'en veux pas, c'est parce que t'es dans la team "vivons à fond, ouaich, on part en voyage, YOLO". La team "on reste chez soi, on fait rien et on compte nos sous". Je me vois bien devenir écrivain. Ou autre plan irréaliste de ce genre. En m'exilant loin de la vie citadine. Avec un jardin, grand. Et un grand potager. Des pommes acides, pour faire de la gelée. Des carottes. Des framboisiers. Un cerisier. Des patates. Des courgettes. Pour les tomates et les salades, j'hésite encore, je ne me suis pas penché sur la question. C'est le résumé de ma vie. Laisse-moi te dire que je dépense plus de 20€ par mois dans les bouquins, les jeux, les films, et que tout ce que j'épargne c'est pour le flinguer dans une baraque et des terres (un grand terrain est un impératif pour mon potager). Et je veux bien des chiens. C'est inutile d'un point de vue financier, mais je pense pouvoir y survivre.
