Rincevent

Benedetto Marcello, "Come mai puoi vedermi piangere?"

"Tendance : Minarchiste". Hmmm...

Le problème de l'EdNat vient davantage d'en haut que d'en bas. Et quand ça vient d'en bas, c'est souvent parce que ça a merdé en haut (recrutement d'incompétents, impossibilité de virer les profs qui devraient voir ailleurs si j'y suis...).

Et encore, tu n'es qu'à ton premier monde, t'as même pas fait la moindre "ascension". De mon côté, j'ai déjà fait plus de 60 ascensions, et j'ai une bonne douzaine d'anciens de bon niveau et une demi-myriade d'âmes de héros... Ah oui, c'est vrai que tu ne sais pas encore ce que c'est.

Tu pourrais toi aussi, si tu ne claquais pas tout ton fric en babioles proto-électroniques.

La Sécu, dont il faut rappeler qu'elle est un organise de droit privé, est cogérée par les syndicats (théoriquement). Si elle est étatisée, les syndicats n'ont plus leur mot à dire, et ne peuvent plus en orienter la gestion pour arroser leurs clientèles.

Jeune, tu as du temps devant toi ? Alors joue à Clicker Heroes, le jeu flash où quand il n'y en a plus, il y en a encore (et ainsi de suite), et comme moi observe ta productivité s'effondrer de jour en jour ! Bon, j'y retourne, il me faut encore un fix.

Et tu ne m'as pas prévenu ? Et tu ne m'as pas prévenu ?!?

Pu...n, mais ils vont nous lâcher tous ces goys qui se comportent comme les plus malappris des Juifs orthodoxes n'oseraient pas le faire ?

Hmmm, dans une copropriété, y aurait quand même des questions de nuisances aux voisins. Mais ça se règlerait en assemblée de propriétaires.

Les gens ne sont pas des machines à transformer des chèques en futurs contribuables. Et concevoir un gamin en pensant à ton chèque des allocs, ça va bien au delà du glauque.

Il y a réserves fractionnaires et réserves fractionnaires. Prenons Philippe Nataf, l'économiste français (fort discret) le plus versé dans la théorie bancaire parmi ceux qui sont rattachables à l'école autrichienne. Il a étudié plusieurs systèmes historiques de banques libres à réserves fractionnaires ; et il en ressort que le taux de réserves typique était grosso modo compris entre 70 % (pour les banques américaines avant l'indépendance) et 30 % (pour les banques françaises au début du 19ème siècle). Je crois que ces taux n'ont rien à voir avec les 8 % que l'on demande aujourd'hui aux établissements bancaires. De plus, ce même Philippe Nataf m'a dit un jour que lors d'une des conversations qu'il a eu avec Rothbard, ce dernier lui a dit qu'au final, réserves pleines ou fractionnaires, ça n'avait somme toute pas grande importance. Ce qui a, dans mon esprit, clos définitivement le sujet en me permettant au passage de classer mes interlocuteurs.

C'est le cas de nombreux Autrichiens, notamment ceux de la George Mason University. Par exemple, George Selgin expose tous les arguments qui le poussent à soutenir la possibilité des réserves fractionnaires dans son ouvrage "La Théorie de la banque libre".

"bastiat" a pas mal de compétences PowerShell je crois, mais on le voit moins ici ces derniers temps.

Je n'irais pas aussi loin que Hartog, mais je rejoins son intuition quand il affirme "les premières institutions humaines ont eu, en fait, un fondement religieux". De cela, je suis absolument convaincu (en tout cas dans une certaine acception de cette phrase).

Le livre a quelques failles de logique, il faut le mentionner. Mais les preuves qu'il apporte restent tout de même accablantes.

Joli brushing, Frankiz !

Avant la guerre, c'est pourtant certain : nombreux étaient les Allemands qui croyaient profondément au Führerprinzip d'une manière ou d'une autre. Et après 1939, Hitler était vu comme un chef de guerre avisé (les fous) qui épargnait aux Allemands les affres que subissaient d'autres peuples comme les Anglais. Pour l'Allemand de la rue à cette époque, Weimar = Versailles + hyperinflation, et Hitler = gains territoriaux + travail pour tous. Un régime arriéré où les Arabes n'étaient pas indépendants, en gros, i.e. où les Turcs imposaient leur cruauté aux locaux. Tu me diras, aujourd'hui, il y a peut-être autant de tyrannie, mais c'est *leur* tyran à présent qui les martyrise. De ce que j'en sais, c'est assez rare de voir des Arabes (des habitants des pays arabes, je veux dire) dire du bien des Turcs, de toute façon. Parce que tout le monde s'est vite rendu compte que ce qui était exigé était trop lourd. Mais trop tard, c'était signé.

Beaucoup trop. Sinon, la meilleure preuve de ce que Mathieu_D avance (à savoir que, si les USA sont en effet fort interventionnistes, leur interventionnisme est largement moins nocif que celui de l'URSS), c'est de regarder le nombre de conflits en cours dans le monde, et le nombre de morts qu'ils font chaque année. Depuis la chute du bloc soviétique, le monde n'a jamais été aussi calme. Oui, ça pète encore de ci de là, mais c'est très, très inférieur aux années 1945-1990.

J'avais raison depuis le début. J'ai toujours raison. Depuis le début. Je l'avais bien dit. Voilà, c'est tout sauf un idéologue ; ses papiers se terminent le plus souvent en recommandations mi-figue mi-raisin. C'est une des raisons pour lesquelles les journalistes n'arriveront jamais à comprendre de quoi le monsieur est en train de causer (l'autre raison étant qu'il s'est pas mal intéressé aux déficiences de l'Etat et des instances régulatrices, c'est à dire au miroir des défaillances de marché). +1. On dirait des journalistes, tiens. J'ai mal à mon forum.

Jusqu'en 1943-1944 en fait. Tant que le pillage des voisins permettait encore de nourrir les Allemands, en fait. L'Etat-providence, tu peux pas test.

Pinochet a obtenu 44 % (et non 46 %) au référendum de 1988 (et non 1987).

Leur logo me fait tripper.

Ça tombe bien, ce n'est justement pas le cas de Tirole, qui a notamment travaillé sur des thèmes proches de la capture réglementaire (une sorte de successeur de George Stiglitz, donc).