Rincevent

Hmmm ceci dit, compter le nombre de points au dessus et en dessous, ça se fait en maîtrise statistique des processus, avec des cartes de contrôle sur les chaînes de production, tout ça tout ça. Mais ça se fait avec des règles un peu plus précises, certes.

N'a pas la chance de Chirac qui veut, plutôt.

Oui, et ?

Il y a plus de cervelle dans un seul fil de LibOrg que dans tout l'UMP.

Je ne crois pas qu'il y ait tant de décollecte, pour ce qui est des fonds de pension 401(k) par exemple. Mais des chiffres seraient préférables.

Aucune idée. Mais je serais bien étonné que les particuliers représentent ne serait-ce qu'un ou deux pourcent du total dans la configuration la plus excessive possible (comme les USA de 1998-1999, où le seul endroit où l'on ne se refilait pas de tuyaux pour investir en Bourse était l'ascenseur de la Fed).

Je crois que tu n'as juste aucune conscience du rapport quantitatif entre l'activité causée par les petits porteurs et l'activité causée par les investisseurs professionnels. Nous allons en rester là, je pense.

Oui, mais ils se reproduisent nombreux.

Pourquoi les volumes de transactions ne cessent de baisser depuis des années.

Ca dépend de quels marchés ils visent.

Mouais, là encore le gouvernement est à côté de la plaque. Le problème en France n'est pas de pouvoir créer une entreprise ; il est de pouvoir la faire survivre.

Le "vous avez deux heures" permet aux gens de faire des calculs. J'imagine que les formules existent ; au pire, un petit modèle numérique paramétrable (vraiment simpliste, genre une chaîne de ressorts angulaires avec une extrémité fixe et l'autre accrochée à un poids) et le résultat tombe rapidement, I suppose.

Nous parlons de basse des volumes des transactions. Oui, le phénomène que tu mentionnes existe. Et non, il n'a rien à voir avec la question de départ. Il vient la contrebalancer, à mon sens, mais il est très probablement insuffisant pour enrayer la chute des volumes. Par ailleurs, le HFT, ça se fait aussi sur les dark pools (et peut-être plus facilement, d'ailleurs).

Bon, le saut à la perche, d'un point de vue purement physicien, ça se décompose en gros comme suit. Première étape : le sauteur court. Énergie potentielle de pesanteur zéro, énergie cinétique m*v*v/2, énergie de déformation de la perche zéro. Seconde étape : le sauteur plante sa perche. L'énergie potentielle de pesanteur ne varie guère, et l'énergie cinétique du sauteur est convertie en énergie de déformation de la perche, qui se déforme. Troisième étape : le sauteur s'élève. L'énergie potentielle de pesanteur augmente, l'énergie cinétique diminue encore un peu (mais surtout, la vitesse change de direction), tout ça parce que l'énergie de déformation de la perche diminue (elle se redresse). Quatrième étape : le sauteur est tout en haut. Energie potentielle de pesanteur m*g*h, énergie cinétique nulle, énergie de déformation de la perche nulle. Si la conversion des énergies est parfaite, alors on a m*v*v/2 égal à m*g*h, d'où la hauteur atteinte est h = v²/(2g). La masse ne joue aucun rôle, le calcul se fait classiquement au niveau Première S (en négligeant les éventuels frottements de l'air). La masse du sauteur ne peut donc éventuellement jouer un rôle que lors de la déformation, pour assurer que la perche se déforme bien (et donc qu'elle emmagasine bien l'énergie) et qu'elle se redresse bien (restituant l'énergie). Ca, c'est un calcul de résistance des matériaux, et d'énergie de déformation d'une poutre, qu'un ingénieur en génie mécanique pourrait faire (attention, on sort largement de l'hypothèse des petites déformations, mais pour simplifier, on négligera les phénomènes de torsion). Vous avez deux heures pour en conclure si en fin de compte, la masse joue un rôle ou non.

A une énergie donnée, pas certain. Imagine une fourmi qui porterait une perche pour sauter : elle ne parviendrait sans doute pas à lui faire accumuler de l'énergie de déformation, et n'irait pas bien haut. Bref, j'imagine que de nombreux scientifiques se sont penchés sur le problème, non ?

Le genre d'histoire qui me fait sortir de mon indulgence envers les femmes, pour me donner des envies de violence. C'est mal.

Pas grand chose à voir avec les petits porteurs, en fait, mais tout à voir avec le fait que, pour une entreprise, aujourd'hui, l'entrée en bourse est tellement source d'emmerdes (à cause des tombereaux de nouvelles réglementations) qu'il est plus simple de faire son financement hors marchés financiers.

Et plus ça change, plus ça reste pareil. Connard.

Comprenez bien qu'aujourd'hui, un ministre ça sert à passer à la télé, et à choisir son cabinet. Ceux qui décident, ce sont les membres du cabinet, et ceux qui bossent, ce sont les hauts fonctionnaires (qui ont pour les précédents un mépris sans borne).

Merci d'en parler, la FCBF est une statistique très, très sous-utilisée en regard de sa signification économique ! Au hasard : tempête de réglementation des bourses depuis une douzaine d'années.

Faudrait que quelqu'un lui envoie un MP pour lui dire qu'on a besoin de ses services ici.

Qui avait ce super-pouvoir, déjà, sur le forum ?

Voilà, celle-là même.

Je vote Trierweiler avec vingt ou trente ans de moins. D'ailleurs il y a une vieille photo de Valoche, jeune, qui traîne sur le Ouaibe...

Voilà. Classer, ça ne suffit pas.