Rincevent

Ce ne sont pas les meilleures, et pourtant, j'en ai les poils des bras qui se hérissent.

Tu es encore trop jeune, petit scarabée.

Ne pas oublier :

Un scénario très semblable, que j'ai d'ailleurs fait mien en attendant davantage de lumière sur cette affaire, a été évoqué dès les premières page du fil par h16, qui tient cette hypothèse me semble-t-il d'un brillant ancien du forum.

J'avais vu, il y a quelque temps, la plaque d'une ORL, le docteur Tronche.

Exprimer un point de vue libéral, d'une manière intelligente. Soit en rapport avec l'actualité, soit sous la forme d'un article de fond. Ah, et écrire en bon français.

+2. Un crank totalitaire doublé d'un wannabee dicateur paranoïaque. Et Thierry Meyssan l'aime beaucoup, c'est tout dire.

J'avais un chapeau chaud pour l'hiver. Désormais, j'ai aussi un galurin pour la mi-saison.

So predictable… Et en plus tu n'en penses pas un mot.

Tu m'intéresses. Des noms de logiciels qui font ça ?

Vu de l'extérieur, ça ressemble à la liste des excuses habituelles que les bien-pensants servent pour déresponsabiliser ceux qui seront leurs victimes. Mais bon, vu de l'extérieur, hein. Vu de l'extérieur, un pays créé relativement récemment, avec des frontières arbitraires rassemblant des ethnies sans réel rapport entre elles, ça ne me semble pas suffisant pour faire un peuple, une nation, à partir des gens qui se trouvaient sur place. Mais bon, vu de l'extérieur, hein.

A ceci près que la Grèce n'est pas du tout un pays latin, et qu'à enfiler les préjugés comme l'on enfile des perles, tu risques le ridicule.

De même, le procès d'Hitler n'a jamais eu lieu.

Hmmm c'est vrai, c'est pénible à la longue (même si je ne les remarque presque plus). Mais pour des PDF courts, ça peut s'envisager. Le problème, c'est si j'ai bien compris surtout le format EPub lui-même, qui est somme toute assez rustique.

Ou alors, tu convertis ton PDF en EPub (par exemple via Calibre). Et ça marche tout seul (enfin, sauf pour les notes de bas de page et les formules mathématiques, que le format EPub ne sait pas gérer).

Le mec en question a commandité des assassinats aveugles et de masse. Il me semble normal que l'Etat dont les victimes étaient les ressortissants, et dont la mission est d'assurer la sûreté desdits ressortissants, aille chercher le coupable par la peau du cul. Puisqu'il a semblé aux les mecs mandatés pour ce faire qu'ils n'arriveraient pas à l'arrêter vivant, il me semble relativement normal qu'ils l'aient abattu. Mince, un Etat, ça sert à quoi, si ça ne sert pas au moins à ça ? (Et non, je ne veux pas de réponse d'anarcap dogmatique à cette question).

Ayant entendu Ugo Bellagamba sur le sujet, l'idéal d'Heinlein est clairement la République Américaine des premiers temps, qui est effectivement une société à la fois militariste (chaque homme prend les armes pour bouter les Tuniques Rouges hors d'Amérique) et libérale (pas besoin de détailler ce point).

Ca vient du Talmud. On me souffle, à l'oreille, que ce serait dans le traité Sanhédrin, au folio 37a (dans une michna, probablement la cinquième du chapitre 4). En anglais, un traducteur autorisé donne cette version : Le traducteur précise que "Of Israel" n'est présent que dans certaines versions du texte, pas du tout dans toutes. Délétioniste talmudique notoire, je pense qu'il s'agit d'un ajout tardif (et qui de toute façon, ne fait pas l'unanimité).

La vache, non seulement il a de la merde dans la tête, mais en plus il en a de différentes sortes, et hautement incompatibles entre elles.

Bof. Niemöller a dit la même chose, en mieux.

Joyeux !

Au contraire, je monte d'un cran. Parmi ceux qui défendent le droit des connards à être ce qu'ils sont, il y a des libéraux, mais il y a aussi beaucoup d'autres connards. Le fait est qu'il y a un continuum entre les deux (comme entre de nombreuses autres positions), ne serait-ce que parce que l'être humain est incarné, imparfait, intéressé. Bon, c'est la vie, quoi. Et reprocher aux libéraux d'avoir de la sympathie pour des connards ne devrait pas se faire avec une telle véhémence, ne serait-ce que parce que chacun d'entre nous fréquente ou apprécie des gens que d'autres, parmi nous, classent parmi les connards.

J'en ai vu un tagué à Nation (et Citronne peut en témoigner). Anthony Kavanagh emploie l'expression dans son dernier spectacle.

Tout ça pour se rendre compte que défendre la liberté d'expression oblige souvent à défendre des connards…

J'avais beaucoup aimé Sleeper : sans prétention aucune, fait passer un bon moment.