Rincevent

AlléluJ.A., ça marche ! Merci !

C'était pourtant presque aussi marrant qu'Anne-Lise d'Hurine.

Aucun alcool (tout au plus, une bolée de cidre par an), parce que je sens l'alcool dès qu'il y en a une dose infime, et que j'en déteste le goût. Je me souviens avoir essayé, dans ma folle jeunesse, un verre contenant un quart de doigt de vodka et le reste de jus d'orange. Jamais pu en boire plus de trois gorgées. Non, je carbure plutôt au Champomy. Mais ma drogue, c'est l'eau gazeuse, et surtout la Perrier. Tiens, pour le coup, je m'offre une bonne rasade. Ce qui explique beaucoup de choses à ton sujet. (J'te taquineuuu !) Sinon, je crois que l'acide sulfurique pur est à une concentration molaire d'environ 20 mol/l (à moins que je me sois embrouillé dans mes vieilles formules de chimie) : je ne sais pas ce que tu as goûté, mais ça semble aussi étrange que bizarre.

… NEEEEEEEEEEEEEERD ! Ahem.

En plus je viens de me faire couper les cheveux.

Alors dans ce cas, très, très peu de gens ont des principes (mais énormément de gens disent en avoir).

Non non, même si j'avais compris que tu parlais du comportement du forum, j'admet avoir moi aussi eu un doute : c'était partiellement ambigu, et je comprend parfaitement que quelqu'un d'énervé (genre, quelqu'un qui cherche une erreur sans la trouver) ait pu mal le prendre.

On t'aura menti. (cf. mon gros post, plus haut : que Fredo me pardonne d'avoir salopé son fil).

Je reprends ici et explicite ce que j'ai compris (à partir de sources de troisième main) de la théorie des étapes du développement moral selon Lawrence Kohlberg. Kohlberg a donc découvert et formalisé un certain nombre de grands niveaux de développement moral, indépendants de l'époque, du lieu et de la culture : Niveaux pré-conventionnels : la moralité d'une action est jugée a posteriori, selon ses conséquences directes sur soi. Niveau 1 - Niveau typique de l'enfant, exempt des notions de bien et de mal, n'obéit qu'à ses besoins et désirs, seuls des stimuli négatifs peuvent inhiber ce comportement (punition ou menace de punition, douleur physique…). Le jugement éthique est directement basé sur le plaisir et la douleur. Niveau 2 - Niveau de l'égoïsme instrumental, du "qu'est-ce que ça m'apporte ?". Autrui n'a d'importance que dans la mesure où il peut servir l'intérêt propre de la personne de ce niveau, sans préoccupation de loyauté ni respect. On peut parler de relativisme moral. Niveaux conventionnels : la moralité d'une action est jugée en la comparant à celles d'autrui, ou à ce à quoi autrui s'attend. Niveau 3 - Dans ce niveau, on remplit avant tout un rôle social. Les individus accordent de l'attention aux remarques d'autrui, qui leur permettent de juger de leur conformité à ce rôle attendu. Au niveau 3, on veut être avant tout "un bon garçon", et on commence à accorder de l'importance au respect d'autrui, à la gratitude et à la réciprocité. On respecte les règles et l'autorité car elles ont alors pour but de maintenir ces rôles sociaux stéréotypiques. Niveau 4 - Cette fois, les lois et les conventions sociales sont considérées comme importantes en soi et sont respectées parce qu'elles permettent de "faire fonctionner la société". Il ne s'agit plus d'approuver chacun dans son rôle, mais d'apprendre à aller au-delà des besoins individuels. Violer une loi est alors moralement mauvais, et c'est la culpabilité qui sépare le bien du mal. Souvent, le Buste tourne autour d'une idée centrale (ce qui peut dégénérer en fondamentalisme). Niveaux post-conventionnels : ils se basent sur l'idée selon laquelle les individus sont des entités distinctes de la société (idée qui fondait les niveaux conventionnels). Niveau 5 - Ici, on reconnait que les individus ont des valeurs et des opinions différentes. Les lois sont vues comme des contrats au sein de la société plutôt que comme des faits rigides, et celles qui sont néfastes doivent être changées quand c'est nécessaire, pour atteindre le plus grand bien pour le plus grand nombre. On y arrive par des compromis et des votes : la démocratie procède d'un raisonnement de niveau 5. Défendent les droits des autres, et font d'excellents avocats. Niveau 6 - Au niveau 6, le raisonnement moral utilise un raisonnement abstrait et se base sur des principes éthiques universels. Les lois ne sont valides que dans la mesure où elles sont justes, et il est nécessaire de désobéir à celles qui ne le sont pas. Les droits ne sont plus nécessaires dans la mesure où l'action juste ne repose plus sur des contrats sociaux. On aboutit aux décisions morales de manière absolue (cf. l'impératif catégorique de Kant), chacun se mettant dans la peau d'Autrui (cf. le voile d'ignorance rawlsien) : le consensus qui en résulte détermine l'action entreprise. L'action n'est alors jamais un but en soi, mais un moyen : on agit parce que c'est juste, pas parce que c'est ce qu'autrui attend, ce qui est légal ou ce qui a été convenu). Ce niveau compte très peu de représentants. Voici un tableau synthétique résumant à peu près ces niveaux : Kohlberg a aussi tenté d'introduire un certain nombre de niveaux additionnels : Niveau 7 - Niveau essentiellement spéculatif qui lierait religion et raisonnement moral. Jésus ou Bouddha en auraient été des représentants. Niveau 4 1/2, ou 4+ - Partageant les caractéristiques des niveaux 4 et 5, ce niveau est toutefois assez original. La nature arbitraire du légalisme est devenu source de mécontentement, et la culpabilité du niveau 4 est rejetée sur la société. A la différence du relativisme moral du niveau 2, l'individu considère que la société - par rapport à laquelle il fait des choix différents, et donc avec laquelle il est en conflit - a moralement tort. Niveau répandu à l'entrée de l'université. Niveau 0 - Kohlberg a aussi découvert qu'une partie des êtres humains était absolument dénués de repères moraux : ils ne cherchent même pas à éviter la punition, ni à transgresser quoi que ce soit. Ces sociopathes sont incapables de discerner un acte immoral d'un acte moral. 1 à 2% de la population.

Non, pas de ceux qui ont des principes éthiques universels, mais qui obéissent avant toute autre chose à des principes éthiques universels. C'est très différent.

Bien, ne reste plus qu'à utiliser mes propres proverbes, pour le ETC-DTC : A chaque jour suffit sa peine. - Bonne viande n'a pas besoin de sauce. - Bon pied, bon oeil. - Bourse vidée, argent envolé. - Bûche tordue fait bon feu. Noël au balcon, Paco Rabanne. Noël au scanner, Pâcques au cimetierre (Desproges).

Mes cookies ont l'air d'expirer les uns après les autres : j'ai déjà eu quelques fora marqués comme intégralement non-lus (i.e. où chaque fil était marqué comme non-lu), cette soirée. D'une manière plus générale, ce n'est pas la première fois que des sujets marqués comme lus deviennent spontanément non-lus alors que personne n'y a posté, mais c'est la première fois que c'est aussi massif.

Sinon, sur l'histoire de la langue hébreue, il y a ceci, qui m'a été plusieurs fois recommandé :

Dans le style, la construction du propos, c'était tout à fait misesien. Rothbard, lui, en aurait profité pour agonir d'insultes un opposant, ou recommander un livre.

Ah non, je suis un masochiste des pommes. Je prends exclusivement des Granny Smith. Résistantes sous la dent, acides comme pas deux, j'adore.

Oh, ce sont juste des proverbes, certains connus, d'autres moins, mais qui sonnent bien. Toutes mes ficelles de caleçon ! Mais quand tu verras vincponcet et xara, dis-leur plutôt que tu es dealer ou maitre-chanteur, ils le supporteront mieux. Copine absolument ravissante, d'ailleurs. Ca s'achète où, les modèles de ce genre ? Sinon, ce soir c'était saumon fumé, moules et deux petites poires. Je suis dans un trip poires, en ce moment, en attendant de me remettre aux pommes très vertes.

Ecologisme et Etat sont fait pour s'entendre : ça s'immisce dans tous les recoins de ta vie, et ça en veut à ton argent. Plus sértieusement, je me demande dans quelle mesure la sensation de baisse du niveau de vie qu'éprouvent les Français ne serait pas due en grande partie aux "pressions amicales" pour qu'ils adoptent des modes de vie plus onéreux sains. Ajoutez à ça les effets de la loi Raffarin sur le commerce alimentaire, et hop !

Sinon, on l'enverra manger chez moi, en cure d'engraissage.

Peut-être peut-on alors ajouter une tendance "Indécis", par défaut, le temps pour les nouveaux de se faire une idée des différents courants avant de choisir ?

Ca n'existe pas, les enrouleurs de câble ? CMB, dirait pankakke. Ce qui explique où passe Ronnie après ses beuveries. Par ailleurs, quel intérêt d'avoir une porte-fenêtre en hauteur ? A moins qu'elle remplisse le même but qu'une porte déchiqueteuse, les salissures en moins.

Hier soir, ma blonde préférée a réussi à me trainer à la Nuit des Musées, le pendant culturel de la Nuit Blanche (ce qui m'arrangeait, comptant ainsi éviter la frénésie ovalique qui allait secouer la France en cette soirée). Nous nous sommes d'abord dirigés vers l'aquarium tropical de la Porte Dorée, où nous avons vus… Rien. Nous sommes en effet arrivés devant une grille fermée, et avons été gentiment accueillis par une paire de pompiers qui, après avoir pris leurs renseignements, nous ont assuré que, contrairement à ce qu'affirmait le site officiel de la Nuit des Musées, l'Aquarium ne participait pas à cette manifestation culturelle. Nous sommes donc repartis pour l'autre musée que nous avions prévus, non sans faire un crochet par un restaurant que certains ici connaissent, le Falstaff, à Bastille. C'est d'ailleurs en reprenant le métro que nous avons croisés, par hasard, un des participants les plus marquants de ce forum (qui, lui, allait assister au match). Arrivés à la Cité des Sciences et de l'Industrie, nous sommes passés par l'entrée située juste en face du métro. Nous avions à peine eu le temps de remarquer que le musée semblait bien sombre que nous avons croisé un garde, en pleine conversation avec sa chérie, et qui, après avoir pris lui aussi ses renseignements, nous a indiqué que la Cité ne participait pas non plus à cet évènement. Je vous laisse imaginer notre déception. Mort au Ministère de la Culture ! Un vrai roman-photo !

La pomme, c'est comme la tomate. C'est délicieux cru, mais c'est immangeable cuit.

Non, en fait, c'était sympa : elle a du être, lors de ses études, une geekette assez mignonne. Mais là, elle mariée, et bien mariée. En tout cas, c'était intéressant.

Et moi j'ai mal dormi, et je vais voir une ancienne de mon école.

Ello, diss izz Mistèrr Patel, frrom Mumbai ! Can wi prrocide forr connfirenss côll ?