-
Compteur de contenus
6 866 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
17
Tout ce qui a été posté par Vilfredo
-
Ca par contre je crois que c’est une pratique universelle
-
Non moi je vais dans la cabine fermée toujours. C’est une des questions du Woodworth Psychoneurotic Inventory
-
Présidentielle américaine 2020, l'ultime combat
Vilfredo a répondu à un sujet de PABerryer dans Europe et international
(Bon je passe sur le fait que j'ai vu cette vidéo 3 fois dans la soirée, merci les gars.) Au début: "Savais-tu que 95% de la population détenait 5% des richesses? Est-ce que tu veux en faire partie?" Bah non du coup, j'ai 95% de chances d'en faire déjà partie. Et sinon ça fait pas envie. Au revoir donc. -
Présidentielle américaine 2020, l'ultime combat
Vilfredo a répondu à un sujet de PABerryer dans Europe et international
Ou alors il abandonne juste l’idée de parler c’est bien aussi -
Images fun et leurs interminables commentaires
Vilfredo a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
r/insanepeopleonquora un pour @Lancelot Damn right it needs editing La réponse de celui-là est fantastique -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Vilfredo a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Laissez les journalistes vous prendre par la main et vous expliquer la vie On vous explique pourquoi "enculé" est une insulte homophobe Et comme disait Jean-Luc Godard, dans masculin, il y a "masque" et il y a "cul". Nous allons donc peut-être vers un usage neutre et respectueux du terme "enculé" s'il n'est pas employé comme insulte (pour désigner exclusivement les bottomy: "mon ami enculé", ça passe très bien). -
Jordan B. Peterson
Vilfredo a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Je prends note alors: "Petit. Coquinou. Va." Ça peut servir pour répondre aux arguments de la théorie du genre. -
Guerre civile culture, IDW, SJW & co
Vilfredo a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Deux articles du NY post sur des violences à Portland et Seattle BLM mob beats white man unconscious after making him crash truck: video Vous trouvez ça creepy? Attendez voir Seattle BLM protesters demand white people ‘give up’ their homes -
Jordan B. Peterson
Vilfredo a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Les tas de sable sont faits de sable. Le vagin d’un côté et les cocks & balls de l’autre sont faits de quoi exactement? Une trop petite ou une trop grande verge se met-elle à ressembler à un vagin? Parce que si non (comme je pense), il n’y a pas un mais deux continuums ie deux sexes. Assez d’accord aussi mais je suis défavorable à une loi envoyant les gens qui mettent les coudes sur la table en prison. D’accord avec tout le reste -
Libéralisation du transport de passagers
Vilfredo a répondu à un sujet de dexter79 dans Politique, droit et questions de société
Il faut boycotter! (Ca ne me changera pas beaucoup)- 1 576 réponses
-
- libéralisation
- train
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Les articles que vous voulez faire buzzer
Vilfredo a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Strong institutions and good policy - not foreign aid - will lift Africans from poverty. The Questionable Economics of Foreign Aid By Marian L. Tupy 1960. PIB/hab, Corée du sud = 1000$. Ghana = idem 2015. Corée du sud = 25k$ (aucune aide). Ghana < 2000$ (aide entre 30 et 70k$ depuis 1985) La recette? Ouverture commerciale, respect du droit de propriété (pour attirer les capitaux étrangers qui remplacent l'aide internationale). L'aide internationale est un outil géopolitique qui détruit les incentives locaux à la modernisation et subventionne les mauvaises politiques. Article très bien sourcé. https://humanprogress.org/article.php -
Jordan B. Peterson
Vilfredo a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Les IP c'est pas justement des gens qui coupent les cheveux en quatre en inventant 36 identités pour chaque groupe de personnes? Ca ne me frappe pas comme un exemple de stabilité. Pour le reste tu connais bien mieux les "po-mo" que moi donc je m'incline, mais je rappelle tout de même que mon propos était davantage de montrer comment on pouvait utiliser l'argument po-mo pour critiquer le capitalisme que de dire que c'était la même chose. On peut aussi faire des lectures marxistes d'auteurs non-marxistes. On observe les chromosomes pour déterminer le sexe. Personne n'a dit que le sulfate de cuivre anhydre était de l'eau. Pour le reste je te suis très reconnaissant pour la clarification conceptuelle mais TL;DR dit-il autre chose? Il dénonce le gloubi-boulga définitionnel de cette youtubeuse qui voit dans la moindre différence anatomique une différence de sexe. Dans mon souvenir, elle explique même que comme il y a des organes génitaux de différentes tailles et formes, il y a plus que 2 sexes. C'est une absurdité complètement indépendante de ta clarification lexicale. La langue est définie par l'usage. JBP s'oppose au compelled speech != usage. Oui. Et d'un autre côté il y a dans Marx une féroce critique des Droits de l'homme comme outil idéologique de domination de la bourgeoisie. Elle ne parle pas du tout de Jung et de la Bible. Et si JBP veut parler de Jung, il parle de Jung, il ne se cache pas derrière l'apparence de quoi que ce soit. Il a juste tendance à voir dans la neurobiologie des confirmations des théories jungiennes, mais je ne vois pas pourquoi ça serait du mote and bailey. -
Jordan B. Peterson
Vilfredo a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Hm. 14 minutes in (50%), aucun argument avancé (à part la prétérition: je ne dis pas que JBP est nazi mais il utilise les mêmes mots que Hitler). Son récap du postmodernisme est un peu vaseux pas parce qu'il est rapide (manquerait plus que ça soit long) mais parce qu'elle tend quand même à faire de Maps of meaning un livre structuraliste. Il faudrait peut-être rappeler que les archétypes jungiens n'ont pas grand chose à voir avec Lévi-Strauss (me semble). Je ne pense pas non plus que les Identity Politics et le postmodernisme n'aient rien à voir. Pour s'en tenir à sa définition, les postmodernistes déconstruisent les grands récits d'explication du monde et de l'histoire. Et les Identity Politics s'en prennent aux conceptions traditionnelles des sexes, à la liberté d'expression, au droit de propriété donc à ce qu'on pourrait appeler comme JBP et Philippe Nemo l'héritage culturel de l'Occident. Au contraire, la théorie du genre qui motive une bonne partie des identity politics des pronoms aux dessins sur la porte des toilettes est chez elle dans les livres de philosophes postmodernes y compris dans leur contestation de la psychanalyse freudienne (attaquée par Deleuze dans L'Anti-Oedipe aussi bien que, plus récemment, par les bouquins illisibles de Luce Irigaray qui reproche en gros si je comprends un minimum à la psychanalyse freudienne d'être sexiste). Ces taré.e.s penseurs postmodernes traitent souvent avec scepticisme la science, le réalisme externe et le positivisme qui ne sont que des attitudes conservatrices vis-à-vis de la réalité. La sociologie de la connaissance est passée par là et les connaissances scientifiques ne sont qu'un outil idéologique du statu quo. Voici par exemple ce qu'écrit Luce Irigaray (citée par Sokal et Bricmont): Donc ça, ça n'a rien à voir avec le postmodernisme, l'ironisme, la remise en question des grands narratives? Nah Les identity politics ne sont que la mise en pratique de la déconstruction théorique des postmodernes. Les résultats scientifiques n'ont aucun poids, le monde est ce qu'on le fait, toutes les tentatives d'établir des invariants humains ou une nature humaine (que ce soit par la psychanalyse, le structuralisme ou la sociologie du XIXe et indépendamment du fait que ça n'a foutrement rien à voir) sont du pipi. Pourquoi nous faire chier avec les pronoms transgenres si on considère les hermaphrodites comme des anomalies génétiques? Ce n'est qu'à partir du moment où on arrête de le faire (parce que "anomalie" renvoie à une norme sociale oppressive) qu'on commence les identity politics, càd à changer les petits dessins sur la porte des toilettes. Car il n'y a no such thing as "genre", c'est inventé par le capitalisme pour justifier la division du travail et continuer d'opprimer les femmes, ce qu'il a toujours fait nesspa. Par ailleurs, je ne suis pas non plus convaincu qu'il y ait une opposition stricte du marxisme et du postmodernisme. ContraPoints est plus convaincante sur ce volet parce qu'elle restreint le marxisme à son interprétation orthodoxe des années des éditions sociales, mais les interprétations postmodernes du marxisme fleurissent. Le marxisme a été mis à toutes les sauces, sinon à quoi auraient servi les années 70? La théorie critique s'est spécialisée dans la critique culturelle (tous les Marcuse et Adorno que vous voulez) qu'ils prennent pour le fin du fin du marxisme indépendamment du fait qu'ils se font traiter de tous les noms par le PC pour hérésie parce qu'ils rejettent le matérialisme historique. Mais il y a longtemps qu'on sait qu'être conchié par le PC ne fait pas plus de toi un anti-marxiste qu'être diffamé dans le journal de la SS n'a fait de Carl Schmitt un social démocrate. Et c'est ce que fait par exemple Frederic Jameson, cette contradiction vivante selon ContraPoints: un marxiste à peu près postmoderne https://fr.wikipedia.org/wiki/Fredric_Jameson#Critique_de_la_postmodernité Au-delà de cette figure influente et, je l'admets, un peu ambiguë (trop pour ContraPoints visiblement), le nb de philosophes ou penseurs qui se réclament de Marx tout en en rejetant l'essentialisme et le scientisme (surtout importé d'Engels) sont légion: https://en.wikipedia.org/wiki/Post-Marxism#Important_post-Marxists donc peut-être relire Baudrillard avant de dire que les marxistes sont des brocialists sexistes et les postmodernes des anti-marxistes qui veulent des femmes PDG. La citation de Butler se fond parfaitement bien avec la bill C16. Et si tous ceux qui défendent la bill C16 n'ont pas lu Marx, tous ceux qui ont lu Marx peuvent (même s'ils ne le font pas toujours) voir favorablement une perspective théorique qui découvre un nouvel angle d'attaque contre le capitalisme qui détruit les corps et réduit les femmes en esclavage. Après on peut toujours débattre au sein du courant pour savoir s'il faudrait parler des femmes en particulier ou les fondre dans la masse des victimes du capitalisme sans particulariser par minorités mais c'est une querelle interne au marxisme. Si on commence à gueuler que ça n'a rien à voir dès que deux écoles naissent dans un même courant, c'est qu'on est un chieur de première ou qu'on est soi-même partie prenante du débat. Je note en passant que défendre que le marxisme est une continuation des Lumières est une bonne blague, surtout à entendre les marxistes rappeler matin midi et soir que les Lumières étaient esclavagistes, racistes et antisémites et pour la plupart capitalistes (on en parle des pages de Voltaire sur Colbert dans Le Siècle de Louis XIV?). Et surtout des gros profiteurs du système (Diderot auprès de Catherine II, fameux précurseur de Lénine; Voltaire historiographe du roi). Mais les simplifications, il n'y en a que chez Jordan Peterson. La paille, la poutre, tout ça. Genre Sade = les Lumières, rien que ça. J'aime aussi beaucoup comment elle consacre 20 minutes au postmodernisme et 5 à l'Occident mais ça donne une bonne application de la synthèse "marxisme postmoderne": si l'on veut s'en prendre au capitalisme, on peut très bien argumenter que l'Occident est un concept qui a des racines coloniales, basé sur l'esclavage et l'oppression nécessaires à son enrichissement et à l'élaboration subséquente des théories économiques qui nous gouvernent aujourd'hui et perpétuent sous différentes formes les inégalités de toujours dont le capitalisme a besoin pour fonctionner: déconstruire le concept d'"Occident" est une excellente arme de critique du capitalisme. Il suffit d'écrire Qu'est-ce que l'Occident? de Nemo en changeant chaque phrase en son contraire. Le point commun, et je pense que l'exemple de l'Occident le fait comprendre clairement, entre postmodernisme et marxisme est de ramener chaque objet de critique à une idéologie, un ensemble d'idées dont la pertinence par rapport au monde n'est pas questionnée. Si tu veux critiquer le capitalisme, que tu sois marxiste ou postmoderne, tu t'en prendras à l'idée de capitalisme, en la réduisant aux conditions historiques de son apparition (matérialisme historique) ou en soulignant les aspects soi-disant cachés de l'histoire qu'il raconte sur lui-même càd sur la version que le capitalisme donne de sa propre histoire (et c'est pour ça qu'il faut réécrire les programmes scolaires parce qu'on y parle pas assez de l'esclavage ). C'est pourquoi Matt Ridley et Bjorn Lomborg ne gagneront jamais un débat contre Judith Butler. Ensuite elle passe 5 minutes à dire qu'elle va être très objective mais elle ne l'est pas. Il est très clair que JBP n'est pas opposé à toute avancée pour les femmes ou les minorités (20:20), au contraire, il a plusieurs fois expliqué que les avancées dans la vie des femmes avaient cependant été majoritairement dues à des progrès techniques et non à des luttes politiques (les tampons, la pilule). Mais pour ContraPoints, ta vie ne peut s'améliorer que par la politique. A ce moment-là en effet il y a un désaccord: la recette pour devenir une meilleure personne que propose JBP est strictement individuelle et apolitique. Parce que pour les gens pas de gauche (libéraux ou pas) ni d'ED, la politique n'est pas toute ta vie, bien au contraire. Ceci dit j'admets que la vidéo est d'un meilleur niveau que le YT de gauche habituel, qu'elle a raison sur certains points comme le homard (mais JBP qui parle de biologie c'est toujours tons of fun et je me demande dans quelle mesure il ne trollait pas Cathy Newman en sachant le buzz qu'il allait faire mais bon). Ah oui en revanche elle a un humour de chiottes. -
Il Apatou sniffé donc.
-
A montelimar dans le café de la gare les toilettes sont fermées en raison du contexte sanitaire. Il vaut mieux éviter les endroits où on peut se laver les mains ça propage le virus. D’autant qu’il y a souvent plus de 5000 personnes dans les toilettes Brillant
-
Pour une critique libérale du conservatisme face à Burke on les oppose souvent
-
Hayek et Oakeshott? Paine/Burke?
-
Réseaux sociaux et pressions morales
Vilfredo a répondu à un sujet de Solomos dans Politique, droit et questions de société
I see what you mean Apres tu trouves aussi pas mal de profs qui en off sont bien d’accord que le show culturel de gauche est du cinéma et tu peux parler de Carl Schmitt ou de Nozick tranquille après ta colle. Dans mon expérience de la prépa les élèves sont plus chiants avec the whole cultural song and dance que les profs. Peut-être que quand tu lis la même réflexion politique formatée dans 36 copies ça te rend plus réceptif aux copies un peu originales. Au-delà du niveau des copies de bac sur la mondialisation et l’environnement je veux dire. -
J'ai dit madame
-
La nuit pour ne pas contaminer madame en ronflant. Il faudra "dormir protégé".
-
Moi non plus, ça me scie qu'on puisse ne pas accrocher à un film de Gina Prince-Bythewood. Je veux dire, Gina Prince-Bythewood quoi ! Je vois plein de classiques trop bien cet été, on devrait ouvrir un fil cinéphile comme on a un fil sur la musique (supra playlist).
-
Chem Sex, Slam et liberté de promotion de la drogue
Vilfredo a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Si l’attrait pour le plaisir est naturel et instinctif on ne prend pas pour autant tous de la meth au lit. Donc c’est bien une question d’influence non? -
Oui, par contre je n'ai presque pas de connaissances en esthétique (c'est pour ça que je me suis réfugié dans l'evopsy). Mais pour compléter mon post, je dirais que attirant définit une combinaison de traits physiques et psychologiques pour une personne. Dans cette mesure, l'attirance n'est pas objective. On peut envisager de la mesurer en ayant recours à une pléthysmographie pénienne. C'est par ailleurs une notion strictement sexuelle (un tableau attirant wtf), dont l'équivalent esthétique au sens large (càd englobant l'art) serait plaisant, dans la mesure où une oeuvre belle ou non-belle (et reconnue comme telle par le récepteur) peut être jugée plaisante si elle correspond à des attentes subjectives. On peut relier ça à mon post quand je disais C'était en effet peu rigoureux. C'est ce qui est attirant qui dépend du contexte. Cf. l'article sur les préférences des femmes en matière de taille des genitals masculine en fonction de la durée de la relation qu'elles entendent engager (<=> leur horizon d'attente ). Enfin le beau est indépendant de l'horizon d'attente: on peut reconnaître comme belle une oeuvre qu'on ne trouve pas plaisante ; les exemples de chefs d'oeuvre qui ont été décriés à l'époque de leur parution/réalisation/inauguration ne manquent pas. Il se conforme à des canons qui sont liés à ce que Hume a appelé "la norme du goût", qui est une élaboration intersubjective. Hume insiste aussi évidemment sur la nécessité d'une éducation esthétique pour percevoir le beau. Il faut maintenant élaborer une typologie du "mignon" Et je remarque que personne ne répond à mon sondage Brando/Andresen.
-
Ah si tu peux très bien estimer que l'avortement est immoral mais ne pas vouloir l'interdire pour autant. On sépare la morale de la politique. La politique n'a pas à se mêler des questions d'éthique privée car elle règle seulement les questions liées à l'emploi de la violence dans les relations humaines. Le rôle de la morale en politique est un débat vieux comme le monde et la position libérale ou libertarienne sur les questions morales non coercitives (le nudge par exemple) est un grand sujet de conflit entre les libertariens "thin" (qui suspendent leur jugement sur les questions morales qui ne mettent en jeu aucune forme de coercition) et "thick" (qui estiment que le libertarianisme doit se doter d'une philosophie morale plus compréhensive que le NAP). Hoppe est par exemple thick as fuck.
