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Asthenik

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Tout ce qui a été posté par Asthenik

  1. Il y a aussi le fait qu'on a tendance à trouver que les représentants d'autres origines ethniques se ressemblent, faute de maîtriser la clé de déchiffrage permettant de distinguer 2 personnes appartenant à un groupe racial différent du sien (ex. les problèmes d'identification de suspects noirs par des témoins blancs aux USA). Ce sentiment d'uniformité est renforcé par d'autres facteurs sociologiques, tels que les modes vestimentaires ou la façon de parler. Tout ceci forme un terreau favorable à une forme d'essentialisme, et à la méfiance dès qu'une partie d'un groupe pose des problèmes. Ensuite, je crois aussi qu'il y a dans la perception de sa sécurité une part du phénomène qu'on connaît souvent avec ses voisins : quand ils commencent à nous agacer, le moindre de leur bruit est perçu différemment que quand c'est une personne que l'on apprécie qui en est l'auteur, on fait une fixation et on peut avoir le sentiment d'être provoqué et on peut commencer à être un peu paranoïaque.
  2. Au moins, c'est paleo-compatible
  3. Nop... pur instinct L'hiver, il distribue les pommes de pin. Pour la voiture, je n'ai pas eu à lui expliquer 2 fois la technique pour faire demi-tour rapidement. Il sait que c'est important d'optimiser ses déplacements pour pouvoir échapper, in extremis, à son père qui le poursuit dans l'appartement en quête de cruelles chatouilles à infliger.
  4. Ils ne sont pas si bêtes que ça... Fiston, à 1 an et des poussières, avait très bien compris le concept de reculer en contre-braquant les roues pour manœuvrer avec sa voiture-porteur (je vous conseille les Bagghera, elles roulent super bien !). Je ne suis pas certain que ma femme aît bien saisi le concept à voir comment elle se gare en voiture. Là, à bientôt un an et demi, il s'amuse à faire des dérapages en faisant chasser les roues arrières en faisant pivot avec un pied à terre. Par contre, pas fichu de dire un mot. Ce sera un pilote muet. Dragueur aussi. Il cueille des fleurs partout où il passe pour les donner à toutes les petites filles qu'il croise. Pas con, il a tout compris.
  5. Bienvenue au club Ils deviennent de plus en plus mignons au fil des mois... et c'est quand ils sont à leur top de mignonitude que l'envie de faire un nouveau petit chauve frippé commence à pointer le bout de son nez C'est un traquenard !
  6. Dans (WIN7) "Panneau de configuration" > "Horloge, langue et région" > "Région et langue" > onglet "Administration" > bouton "Modifier les paramètres régionaux", tu es bien en France ?
  7. La densité à Bretigny est de 1600 habitants par km2. Ensuite cela dépend de la chronologie des faits : je pars du principe que les vols ne peuvent avoir eu lieu qu'avant l'arrivée de la police sur les lieux, ce qui n'a pas dû excéder 3-4 minutes. Ce qui nous fait un rayon de 300 mètres si on marche 5km/h, soit un bassin de population de 400 - 500 personnes. Si les voleurs étaient une dizaine, ça nous fait du 1-2% d'ordre de grandeur. Ce n'est pas si peu compte tenu de ce qui est reproché et que l'on n'a considéré que les passages à l'acte sur une occurrence unique.
  8. Ça dépend aussi du niveau de l'homme politique en question. Laisser une trace, c'est une ambition du très haut du panier. Mon voisin du dessous va bientôt être maire d'une ville de villégiature normande bien connue (pas celle-là, l'autre...) et j'ai l'impression que ce qui le motive, c'est pas mal de vanité... Un oncle de ma femme va être maire de son village, et c'est encore autre chose, juste une autre "carrière" quand la retraite approche.
  9. En fait, cela dépend des médias dont on parle. Certains sites internet par exemple se donnent tout de même pour mission de faire le recensement des violences urbaines. Les médias traditionnels sont moins prolixes là-dessus, c'est vrai, parfois même peut-être de manière déontologiquement questionnables. Mais ça me semble quand même normal que le JT ne devienne pas la longue litanie des chiens écrasés et des baskets chipées. Il y a nécessairement une sélection des faits, selon leur gravité mais aussi leur valeur informative. Quoiqu'il en soit c'est la pluralité politique dans les médias qui est probablement la meilleure garantie de fidélité à la réalité, si les gens veulent bien se donner la peine de confronter les informations des médias politiquement antagonistes. Mais bon, on n'échappe pas facilement à sa grille de lecture.
  10. Nous sommes d'accord alors. Je te suis sans réserve quand devant une accumulation de faits divers, tu mets en perspective la pertinence statistique de ces faits par rapport à leur probabilité réelle. C'est exactement comme quand on entend à la télé, des trucs du genre "1 femme meurt chaque heure sous les coups de son mari dans le monde" par exemple. "C'est terrible, 1 femme c'est déjà trop", mais on se rendra tous compte que c'est une déclaration sensationnelle et qu'elle ne veut pas dire grand chose si on ne l'exprime pas en proportion. Je le redis pour qu'il n'y ait pas de malentendu. J'ai cependant l'impression qu'en l'absence de statistiques fiables, complètes et pertinentes, tu privilégies de ne donner aucun ou très peu de crédit sociologique aux faits rapportés par les médias, ce qui donne l'impression que tu veux minimiser le sens social de ces faits. Par exemple, les incidents de Bretigny, je trouve que tu tournes ça en dérision alors qu'on peut trouver très effrayante l'idée que partout dans un rayon de quelques centaines de mètres autour de soi, il y a une dizaine de gars qui vont considérer un accident de train comme une opportunité. Statistiquement pourtant, on peut dire qu'il n'y a que 0.000000001% des 15-25 ans qui se rendent coupables de ce genre de choses, et donc que ce n'est pas un phénomène de société, juste un fait divers malencontreux. Mais est-ce que cette seule approche statistique donne un reflet pertinent de la situation ? De manière similaire, les heurts autour du PSG par exemple frappent l'esprit des gens, pas par l'ampleur des destructions, mais par l'impression que la violence est tapie et qu'une simple opportunité suffit pour la réveiller, et c'est la confiance entre les membres de la société qui s’érode.. Ça a peut-être toujours été comme ça, à vrai dire, je ne sais pas. J'ai rarement entendu parler de faits similaires ailleurs, mais je ne sais pas après tout. Reste quoiqu'il en soit que certains genres de faits divers donnent une information dans l'absolue sur la société dans laquelle on vit, et que cette information, les statistiques ne peuvent en rendre compte en pratique. Je me trompe probablement, mais je trouve que tu le négliges.
  11. On peut admettre tout de même que Chitah a raison de se méfier de l'effet déformant du miroir de la société que forment les médias, puisqu'en matière de faits divers notamment ils rapprochent tellement chacun du sordide de la violence ordinaire qu'on peut penser qu'elle est réellement partout autour de soi, alors que, sans cet effet zoom, nous n'en aurions probablement jamais entendu parlé, ils n'entreraient en tout cas pas autant dans la vie de chacun. Maintenant, il faut aussi voir que sans les médias, les faits sont aussi rapportés et transmis, mais alors avec d'autres facteurs de déformation où les fantasmes jouent sans doute un rôle autrement plus dramatisant. La mise en accusation des médias a donc ses limites, mais il reste vrai qu'il sont une machine à transformer des faits quelconques en faits de société très opportunément pour les hommes politiques qui y trouvent un moyen d'exister. On peut sur ce sujet rappeler que l'être humain est incapable d'appréhender réellement dans ses processus mentaux les différences d'amplitude entre par exemple 1/1000 et 1/10000, et que cela a un effet de grande incertitude dans notre perception des dangers, d'où une forte possibilité de surréaction en particulier. J'ai un peu le sentiment que Chitah poursuit une sorte de chimère, une information objective basée sur des statistiques objectives et exhaustives. Cela n'arrivera jamais et quand bien même ce serait possible le cerveau humain toujours à la recherche d'informations sur sa sécurité va se charger tout seul de rendre subjectif tout ça, en filtrant, sur-pondérant, etc. toutes les informations que l'on reçoit. Bref, c'est une chimère d'un bout à l'autre. Ça n'empêche pas d'interroger les faits, de demander des compléments, etc. évidemment (et c'est normalement le rôle des médias antagonistes de faire ce travail). Mais une exigence méthodologique excessive peut donner le sentiment d'être un prétexte rhétorique visant finalement plus à mettre une discussion dans une impasse pratique qu'à rechercher réellement la vérité puisqu'il y aura toujours un angle mort quelque part.
  12. Pas de petits sites mais client d'AWS. Si c'est pour te former, tu lances et fermes tes instances en 5 minutes, ça ne te coûtera pas grand chose au final. Si c'est pour faire quelque chose de plus permanent, la micro-instance est vraiment très faible mais à toi de voir. Gratuit pendant un an, tu ne risques rien à essayer.
  13. Oui, évidemment, ce que je dis prête le flanc à la caricature Mais il y a quand même des différences religieuses, économiques, climatiques, etc. entre les lieux et ces différences ont un feedback sur des centaines de normes comportementales, feedback qui va avoir lui-même un effet de renforcement de son stimulus initial, ce qui fait émerger un système qui a une cohérence, un équilibre émergeant... La granularité de ces systèmes est extrêmement fine, puisque entre régions, départements et villes, des différences de comportements, de langages, d'accents, de cuisine sont facilement observables. Ce que je dis là s'appliquait déjà dans la conversation "Les Français, ces gros râleurs" : les différences culturelles sont plein de choses très fécondes, mais aussi une source de malentendus. Plus encore, il peut parfois y avoir des incompatibilités entre une norme comportementale d'un lieu et celles d'un autre lieu. Ce que je dis sur la forme d'éducation (collective / parentale) me semble en être une à l'origine de certains problèmes. Il y a alors 2 moyens de résolution de la tension, l'évolution de la pratique de l'individu vers le consensus social préexistant, l'évolution de la société vers un environnement plus compatible avec la pratique des nouveaux entrants. C'est cette dernière possibilité d'action sur le système qui est pour moi en grande partie à l'origine de la montée du sentiment xénophobe. Les gens installés se trouvent alors moins bien adaptés à leur propre société, étrangers chez eux, ce qui génère immanquablement de la colère et de la frustration. De l'autre côté de l'équation, on observe la même frustration de sentir devoir renier son identité sans adhésion très spontanée.
  14. C'est bien pour cela que je disais que ce ne serait pas le type d'éducation en lui-même qui poserait un problème mais le fait d'importer un modèle d'éducation collective dans une collectivité qui n'est pas organisée pour la gérer de cette façon. S'il y a cohérence entre l'environnement et les comportements, il n'y a pas de problème.
  15. Par rapport aux asiatiques qui s'illustrent au contraire souvent par la vigilance et souvent la rigueur de l'éducation parentale, il me semble que les personnes d'origine subsaharienne ne bénéficient souvent pas d'une éducation structurée autour de ses parents, en particulier souvent des pères assez absents. Je crois savoir que le fonctionnement du village en Afrique noire génère une éducation "collective" des enfants à laquelle chacun prend part même quand ce ne sont pas les siens. C'est pour moi l'origine d'une mauvaise compatibilité, au moins transitoire, avec d'un côté des parents qui ont un comportement correspondant à une certaine forme d'organisation de l'encadrement et de l'éducation des enfants, et de l'autre côté un environnement qui ne correspond pas bien à ce fonctionnement, où les adultes sont absents la journée par exemple. Pour les populations des cités en général, ma perception est que les pères semblent souvent avoir du mal à s'y faire obéir de leurs enfants. Ma théorie personnelle est que la culture matérialiste ambiante et en particulier en ces lieux, crée une tension avec un niveau social modeste vécu comme une humiliation dont les pères sont responsables, et qui sont alors moins respectés. Et d'autant moins quand on gagne plus qu'eux en dealant trois conneries. Cette déchéance symbolique crée un cercle vicieux menant les pères à ne souvent pas beaucoup s'investir et à laisser à leur femme seule une tâche devenue quasi impossible. Ensuite les effets de seuils des comportements nuisibles suffisent probablement à expliquer l'impression que des quartiers entiers deviennent des zones où tout est permis...
  16. Je comprends en bonne partie le sentiment dont fait part adrct. Mais je crois aussi que les français collectivement ont été lâches en gardant leurs agacements pour eux et en en déléguant la gestion à des organes étatiques (école, police...). À force de marmonner dans leur barbe, beaucoup sont devenus frustrés et incapables de gérer aujourd'hui les confrontations individuelles nécessaires pour qu'une société fonctionne harmonieusement, et, signe du sentiment d'impuissance, leur dernier recours, encore et toujours, est de faire appel à l'état pour se substituer à eux. En quelques sortes, la police plutôt qu'un peu de couilles pour ne pas se laisser manger par l'incivilité des uns et des autres (des pieds sur les banquettes, aux crottes de chiens dans la rue, en passant par tout l'éventail de gênes que l'on constate tous au quotidien). Bref, le carburant du FN, c'est une frustration généralisée alliée à un regret impuissant devant l'évolution de la société dont le centre de gravité culturel semble s'éloigner de soi.
  17. Je ne crois au fanatisme ni des uns ni des autres. D'ailleurs, personne à ma connaissance n'a ici réclamé la tête des médecins pratiquant des avortements, encore moins des femmes qui y ont recours. "Fanatisme" ici est un mot employé avec désinvolture pour simplement dire "buté" de manière sans doute plus fleurie. "Buté" donc parce qu'après 20 pages de discussion, aucun rapprochement des positions n'a pu se faire. Pas plus que la dernière discussion sur le sujet ne l'avait pas plus permis. Ce qui est frustrant pour tout le monde. Plusieurs personnes ont clairement expliqué pourquoi les positions contraires sont ici difficilement réconciliables tant leurs points de départ sont différents, et moi-même c'est ce que j'essaie de dire en rappelant aux pro-avortements que leur raisonnement est, comme celui des anti-, marqué par une forme de parti pris concernant ce qui fonde le droit. Cela ne veut pas dire que je ne considère pas que les uns ou les autres puissent avoir tort ou raison, mais simplement qu'on atteint une limite de ce qu'une discussion sur un sujet peut atteindre quand son pivot est une question antérieure à ce sujet. Mes premiers messages dans ce fil s'intéressaient uniquement à la recherche des moyens pour ceux qui considèrent que l'avortement pose un problème de respect des droits des êtres humains aux stades embryonnaire et fœtal, de faire concrètement diminuer le nombre de cas d'avortements, et c'est manifestement la seule question d'une quelconque utilité qu'un débat sur l'avortement peut utilement produire directement. Une discussion sur le droit peut très utilement avoir lieu mais pas en filiation d'un cas d'application. Toute autre méthode aura tendance à mener à faire comme si l'on rabotait les pièces d'un puzzle pour mieux se donner le sentiment de l'assembler. On peut faire ainsi correspondre les 2/3 les formes d'encastrement mais le puzzle ne sera jamais complet et ne représentera rien d'intelligible vu de plus loin.
  18. Si, puisque juché sur des épaules de géants, on doit relativiser, dans une certaine mesure, son mérite intellectuel personnel, on doit nécessairement relativiser aussi et dans une même mesure, ses erreurs de pensée, en ayant aussi héritées en partie. Et ce qui vaut pour soi, vaut pour les hommes d'hier. La question donc est celle de la prégnance d'un héritage intellectuel et le jugement moralo-intellectuel que l'on peut émettre concerne l'apport personnel en "positif" et en "négatif" à cet héritage (qui est d'ailleurs multidimensionnel, époque, pays, régions, classe sociale, famille...). Bref, ce n'est pas évident à juger tant il faut connaître l'oeuvre, la sociologie, l'histoire, mais aussi parce que notre jugement est lui même à relativiser n'étant ni plus saints ni plus géniaux que nos prédécesseurs.
  19. Merci nofreedom, ça ne me semble donc pas un bon choix. Je chercherai donc une arme plus ordinaire...
  20. Je me demandais si une arme de collection (genre Femaru M37 ou autres) constituait un bon choix d'achat pour apprendre le tir ou s'il vaut mieux se diriger vers une arme plus moderne ?
  21. Je t'en prie. Je m'enorgueillis d'être utile au distributeur officiel de bons et mauvais points du liborg. Je dis simplement que les pro-avortements partent de leur ressenti intuitif qu'il n'est pas raisonnable d'étendre aux embryons et aux fœtus un droit à la vie supérieur au droit de la mère, et que toute la théorie des droits variables selon le développement vient de là. Il est courant que la théorie précède la démonstration, mais en l’occurrence, je trouve l'ensemble de règles et d'exceptions suspectes intellectuellement tant elles semblent être du sur-mesure pour exclure foetus et embryon. La solution à l'avortement c'est l'avortement ? Heureusement que les pro-avortement (dont tu ne fais pas partie) sont là. Je sais que tu adores la rhétorique de la pleurnicherie mais c'est un peu systématique non ? Ce ne sont pas de sombres desseins que je suspecte mais de la partialité. D'ailleurs, quand je te dis que tu manques de lucidité, c'est bien parce que je crois que cette partialité est essentiellement inconsciente, ce qui n'est une diabolisation affffreeesuse de mon contradicteur. Et quand je précise que j'ai été de l'autre côté de la contradiction, c'est aussi une accusation quand même super violente que j'étais une sacrée crapule complètement idiote autrefois ! Toi par contre, si tu pouvais aussi éviter d'avoir le sombre dessein selon lequel les autres auraient de sombres desseins, ce serait super ! Merci ! Et merci aussi pour le "fanatique", c'est sympa, je prends des notes pour un jour arriver à ton niveau de respect de ton contradicteur. Rien que cette phrase montre ton a priori. C'est "incroyable" de penser que moi et le foetus que je fus sont une seule et même personne. Parti de là, il est normal que tu ne puisses pas comprendre qu'il me semble normal que les droits attachés à ma personne à un instant t+36589 étaient déjà là à t+1. Non ce n'est pas vraiment ça. Je dirais plutôt que ce que tu peux me demander c'est de prouver que le fondement du droit est de nature sociale et non lié à une qualité particulière des êtres humains. Toi, tu as l'air de penser que les êtres humains ont des droits uniquement dans la mesure d'une qualité donnée mais pour moi, les critères que vous recherchez pour qualifier cette qualité sont ceux qui permettent à une société de droit d'exister mais ça n'en est pas le fondement à mon sens.
  22. J'entends d'ici le charmant bruit du tire-lait ! Bon courage à ta femme, c'est fatiguant et assez désagréable mais c'est ô combien utile, tant qu'elle pourra le faire. Bravo à elle de tenir bon Je comprends mieux les quantités dont tu parles, le terme idéal était en fait il y a une quinzaine de jours... C'est vraiment un tout tout jeune bébé encore. Tu verras que les quantités prises aux biberons peuvent augmenter rapidement avec un peu de chance. Dans un mois, il est possible qu'il puisse s'être beaucoup rapproché de l'objectif fixé par son médecin. Plus de force de succion, plus de capacité d'estomac, et plus de résistance avant qu'il ne pique du nez en plein biberon... Un conseil probablement totalement inutile mais a le grand mérite de m'en donner l'illusion : si possible, il est bon de choisir un biberon avec le plus petit débit de tétine possible, genre objectif minimum 20 minutes pour un biberon de 90ml. Vouloir aller un peu trop vite pour "gaver" le bébé produit souvent l'effet inverse avec son cortège avec régurgitations, œsophagite, etc. Et le petit rot, à la fin ce n'est pas pour le folklore ! Vous pouvez même aussi essayer patiemment de le nourrir à la petite cuillère un peu tout le temps, ça marche bien pour pas mal de bébé (3-4ml par petite cuillère, c'est pas si peu...). Pas du tout, désolé. Un simple papa comme toi. Comment s'appelle votre petit ?
  23. Les quantités m'étonnent un peu, ce sont des chiffres liés à sa prématurité ? Quel est son âge corrigé ? Il boit mal au biberon pour l'instant ? Reflux ?
  24. Certains types d'intrusions sont manifestement considérées par défaut comme des menaces vitales, constatant que la défense de sa propriété expose en général le bijoutier à une violence létale.
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