POE

Cate Shanahan, MD @drcateshanahan : " reports only 71% of ICU COVID patients had underlying conditions. More likely it's 100% but too many people don't know or aren't told they have T2DM/prediabetes, fatty liver & pulmonary hypertension so they can't report it & don't know they're actually very high risk #fatburn " 100 % me parait exagéré, il faudrait vraiment en savoir plus sur les cas de décès d'enfants.

Certes, si on met en rapport le cout d'une sérologie avec le cout d'un arrêt de travail. La question suivante c'est : Que faire des séronégatifs ?

Peu de chances. Saturation du système de santé qui entraîne morts évitables, contamination en masse par afflux aux urgences, épuisements des soignants, contaminations des soignants, sans compter les ruptures possible dans la logistique et les transports qui paralysent encore davantage l'économie, et aggravent les décès évitables...

C'est plus compliqué que ça. Si nous n'étions pas en terrain si hostile, je donnerais mon point de vue.

Je serais plutôt favorable à une enquête épidémiologique généralisé. Avec le nombre d'hommes politiques atteints, ils ont sans doute été aussi de bons vecteurs. J'aimerais bien aussi un suivi des transports sanitaires : balader un malade contagieux en TGV ou en avion, sans pister la contagion ça me parait périlleux.

Sans compter le rôle de la ventilation sans doute pas du tout adaptée pour éviter la dissémination des aérosols de virus.

Je remet ce lien ici très intéressant car il explique que l'on peut suivre à la trace le virus grâce aux différents types liés aux mutations https://threadreaderapp.com/thread/1244351052448763909.html#

Bon, sachant que le réservoir est la chauve-souris, je m'étonne que personne ici n'ait proposé de zigouiller la bestiole comme on a pu le faire pour les moustiques et le paludisme.

Lui et le journaliste n'en portent pas, bizarre tout de même ?

Je remets cet article ici qui fait une bonne synthèse sur les coronavirus : https://www.theatlantic.com/science/archive/2020/03/biography-new-coronavirus/608338/ On apprend notamment que les coronavirus sont connus depuis des dizaines d'années, qu'ils provoquent environ 25% des rhumes hivernaux, et donc sont la plupart du temps tout à fait bénin. Ce qui fait qu'ils n'intéressaient pas grand monde jusqu'à l'apparition de souches particulièrement pathogènes : SARS Cov, MERS Cov. Cette situation va très certainement changer et on peut penser qu'un bon nombre de laboratoires vont désormais étudier de plus prêt ces virus. L'article termine en disant qu'ironie de l'histoire, les experts des coronavirus qui devaient se réunir en mai dans un village Hollandais ont reporté leur réunion.

Le papier complet ici https://chemrxiv.org/articles/Repurposing_Therapeutics_for_the_Wuhan_Coronavirus_nCov-2019_Supercomputer-Based_Docking_to_the_Viral_S_Protein_and_Human_ACE2_Interface/11871402/3 Dans le top 4 : on retrouve deux antibiotiques connus et déjà utilisés dans d'autres indications, on trouve également l'eriodictyol un composant de l'Herba Santa remède traditionnel utilisé pour traiter asthme et rhume, et enfin le pemirolast utilisé pour traiter l'allergie. Prochaine étape ? Tester ces molécules à Marseille en mesurant la charge virale ? On note aussi la présence de la Quercétine un composant que l'on trouve naturellement dans l'oignon par exemple.

Le supercomputer d'IBM a testé 8000 molécules pour en sélectionner 77 qui pourraient bloquer le spike, la protéine S, qui permet la fixation du virus aux cellules : https://www.ibm.com/blogs/nordic-msp/ibm-supercomputer-summit-attacks-coronavirus/

L'idéal pour un test de dépistage large. C'est d'avoir deux tests : un premier sensible qui ne laisse pas échapper un (vrai positif) positif, un second spécifique qui relâche tous les négatifs (faux positifs) parmi les positifs en gros.

Oui nous verrons plus tard mais attention le confinement va faire baisser mécaniquement : -l'accidentologie routière -l'accidentologie sportive -la mortalité sportive -la mortalité infectieuse autre : tout ce qui est moins contagieux que le coronavirus va baisser ...

Ce topic n'est pas pour les vieux comme moi. Ou bien en attendant encore un peu je pourrais vous en citer 10 grâce au miracle de l'adolescence...

Oui, imatinib appartient à la classe des inhibiteurs des tyrosine kinase, enzyme qui joue un rôle dans le contrôle de la division cellulaire, soit extra membranaire pour induire une réaction intracellulaire, soit intracellulaire pour le contrôle d'autres mécanismes... C'est assez complexe car elle peut avoir des effets assez différents probablement selon l'endroit où elle se trouve et le type de cellules. Cette classe de médicament est plutôt utilisée comme anti cancéreux, on trouve aussi certains médicaments de la classe proposé dans la fibrose pulmonaire (un truc rare et sans traitement). Ce sont de nouveaux médicaments chers +++ à savoir que l'imatinib est aussi produit en Inde au mépris du brevet et pour beaucoup moins cher. Par contre, difficile de dire par quels mécanismes ce type de molécule pourrait avoir un effet anti viral : probable action sur la réplication intracellulaire du virus ?

C'est quoi les avantages ? Je veux dire à part pour les aristo.

Un Suisse ?

Tous les pays ont une caste élitiste, non ? Faut développer un peu tout de même. Sinon ça ressemble à une attaque en règle contre toute élite.

Cool. Le pendant du ventilateur open source, c'est la machine à café open source, la machine à café c'est l'autre machine de l'anesthésiste réanimateur.

Le problème du vaccin c'est que la méthode pour le coup est réellement expérimentale, et vacciner toute une population avec un truc expérimental sans recul ça me parait un poil plus risqué que la prise de médicaments connus depuis des dizaines d'années.

C'est quoi les noms des apply ?

Entendu à la radio ce matin, un expert américain des maladies infectieuses qui suggère que le Covid pourrait devenir saisonnier ! J'espère fermement qu'il se trompe et que le virus ne mute pas assez pour faire comme la grippe : Le tour du monde, et ça repart !

Oui, ça s'appelle la sérologie. Recherche des AC du virus.

Etude intéressante. Cela dit, l'existence d'un microbiote urinaire ne démontre pas son pouvoir pathogène pour nettoyer une plaie. Il faudrait une étude qui démontre que le nettoyage d'une plaie avec sa propre urine entraîne un risque accru d'infection VS pas de nettoyage du tout. En fait, je ne crois pas qu'il existe de zones vraiment stériles dans le corps humain, il y a même un microbiote sanguin, et on ne dit rien des bactéries et des virus dormants...