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Tout ce qui a été posté par Gio
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Tu as vraiment un humour spécial, j'aime.
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Et ? Ils ont fait ce choix, ils sont responsables.
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Aussi incroyable que ça puisse te paraître on peut être libéral sans faire des analyses simplistes. Je ne crois pas un seul instant que la classe politique maintienne sciemment le trafic de drogue. Mais quand bien même on admet ta théorie du complot, elle justifie d'autant plus la non-intervention de l'État dans cette affaire. Bref, on voit pas où tu veux en venir. La conséquence concrète, c'est qu'ensuite les gens qui font ce choix se droguent. Et alors ? C'est leur problème.
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1- Complotisme à deux balles 2- Ils ont fait le choix d'être des junkies. Ça justifie pas la colonisation. So what ? Sinon, pourquoi ne pas avoir posté dans les topics existants ? http://www.liberaux.org/index.php/topic/51424-drogues-d%C3%A9pendance-et-free-to-play/ https://www.liberaux.org/index.php/topic/38178-legalisation-des-drogues/
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Je trouve pas du tout que Bastiat fasse désuet au niveau du style.
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Pour ma part, de ce que j'ai lu, Bastiat est effectivement un écrivain hors-pair, mais plus moderne, je pense également à Jean-François Revel, qui est très percutant et très drôle.
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Ostalgie quand tu nous tiens.
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Quel est l'auteur libéral, qui, selon vous, écrit le mieux ? Qui est le plus agréable à lire par exemple, qui a la plus belle langue, qui est le plus fluide, qui a le meilleur sens de la formule...? Question dans la question : quel est l'économiste qui selon vous écrit le mieux ?
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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Gio a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Et moi encore moins. -
Je regarde l'émission de "Zemmour et Naulleau" du 17 Janvier dernier avec Charles Beigbeder, et je viens de m'apercevoir que shiva88, en fait c'était Zemmour.
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Il y a 20 ans : La sortie en français de «La constitution de la liberté» de l'économiste Friedrich Hayek a fait l'objet d'un débat dans les locaux de l'Assemblée nationale.
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Faut pas oublier qu'il est la VF de Chomsky : Bref, un "anarcho-socialiste".
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Critique de la théorie de Bastiat par Ambroise Clément dans le Dictionnaire de l'économie politique de Charles Coquelin, 1854, extrait de l'article Richesse (p.539) : Voilà, assurément, qui est fort spécieux, et qui, si nous ne nous trompons, paraîtra sans réplique à bien des Économistes ; et, cependant, nous croyons pouvoir établir que toute cette argumentation n'est fondée que sur une notion incomplète de la valeur, sur l'oubli de quelques-uns de ses caractères essentiels. La question est importante, et nous prions que l'on veuille bien nous accorder ici quelques moments d'une attention soutenue. Est-il bien vrai que, selon les assertions de Bastiat, un peuple qui, par les progrès de son industrie, parvient à se procurer, avec moins de travail, les mêmes satisfactions qu'autrefois, réduise ainsi la somme de ses valeurs ? ou que celles-ci restent stationnaires, dans le cas où ce même peuple, continuant à travailler autant qu'autrefois, obtient plus de produits? Examinons : Comment se mesure la valeur d'un produit, d'un service, ou d'un ensemble de produits et de services? Par la quantité de tous autres objets valables qu'ils peuvent faire obtenir en échange. C'est là un axiome d'Économie politique qui n'a jamais été contesté. Supposons maintenant qu'un peuple soit parvenu, sans plus d'efforts ou de travaux humains qu'autrefois, à doubler la quantité des produits de tout genre servant à ses besoins : on dit qu'alors la valeur de ces produits, bien que leur quantité soit doublée, ne se trouve pas accrue ; mais sur quoi fonde-t-on une pareille assertion ? Comment mesure-t-on la valeur des produits avant et après le doublement ? Si on la mesure comme elle doit l'être, c'est-à-dire par la quantité de tous objets valables que chaque classe de produits peut faire obtenir en échange, on trouvera inévitablement qu'en doublant la quantité de tous les produits on a également doublé leur valeur totale, puisque chaque classe de produits pourra s'échanger contre une quantité double de toutes les autres. Mais, dit-on, cette quantité double n'aura pas plus de valeur qu'auparavant la quantité simple. Comment cela ? Et, encore une fois, sur quoi base-t-on une pareille assertion ? Puisque la valeur d'un objet ne saurait mieux se mesurer que par la quantité de tous autres objets valables qu'il peut faire obtenir en échange, n'est-il pas évident qu'une classe de produits qui, parce qu'elle aura été doublée en même temps que toutes les autres, permet d'obtenir en échange le double de celles-ci, a doublé de valeur aussi bien que de quantité ? Ce qui fait illusion, et ce qui empêche de bien saisir cette vérité, c'est, d'abord, que l'on confond la valeur et le prix, et il est bien vrai que si la quantité de la monnaie ne s'est pas accrue pendant le doublement des autres produits, le prix de ceux-ci aura pu baisser de moitié ou à peu près; mais ce qui indique déjà clairement que ce n'est pas leur valeur qui aura baissé, c'est que si l'on suppose la quantité de monnaie doublée en même temps que celle des autres produits, on reconnaît que le prix de ces derniers, pris en masse , doit être également doublé. Ce qui empêche ensuite de concevoir et d'accepter la vérité que nous venons d'indiquer, c'est que beaucoup d'économistes continuent à supposer, avec Smith, que la valeur des produits se mesure par la quantité de travail humain employée à leur création, notion inexacte, qui a donné lieu à beaucoup d'erreurs, et qui ne permet pas à ceux qui l'admettent de reconnaître que la valeur puisse être accrue sans alimentation dans la quantité du travail. Mais ce qui apporte le plus d'obstacles à la saine appréciation de la question qui nous occupe, c'est, en premier lieu, que l'on oublie trop facilement que la valeur est une qualité essentiellement relative, qui ne peut varier dans un objet sans varier en même temps, et en sens inverse, dans tous les autres ; en sorte que si le sucre ou le blé baissent de valeur, tous les autres produits sont nécessairement affectés en hausse relativement au blé ou au sucre, et que si le fer ou la viande haussent de valeur, tous les autres produits sont affectés de baisse relativement à la viande ou au fer ; c'est, en second lieu, qu'en considérant la valeur des produits, on confond la valeur de l'unité avec celle de la classe, et qu'après avoir observé la baisse de valeur dans l'unité, en l'applique à la classe entière, sans remarquer que cette baisse est compensée, et souvent plus que compensée par l'accroissement de la quantité. Nous allons éclaircir ce dernier point par quelques développements. On observe que l'emploi du métier à tricoter, par exemple, permet d'obtenir une paire de bas avec la moitié moins de travail ou de frais de production qu'il n'en fallait pour obtenir la même paire par le tricotage à la main ; on dit alors que la valeur des bas a baissé de moitié, et cela est vrai quant à l'unité ; mais est-il également vrai que la valeur totale de la production des bas ait été réduite de moitié depuis l'emploi du métier ? Assurément non, et il est fort probable, au contraire, qu'elle a plus que doublé ; il en est de même de la production des livres, comparée à celle des manuscrits, de celle des fils obtenus à la mécanique , comparée à celle des fils produits par le rouet ou le fuseau, du transport opéré par le porte balle, comparé à celui effectué par la locomotive. Dans ces diverses classes de production , l'unité a considérablement baissé de valeur, mais la classe entière représente une valeur incomparablement supérieure à ce qu'elle était avant la baisse. Depuis trois siècles, la valeur de l'unité des produits a été plus ou moins réduite, en Europe, dans beaucoup d'autres branches de production, mais il n'en est pas une seule peut-être qui, dans son ensemble, ne fournisse une somme de valeurs très supérieure à ce qu'elle était avant cette réduction. La valeur des produits, pris en masse, est donc bien loin de s'amoindrir par l'effet des progrès industriels; ce que les hommes réduisent sur la valeur de l'unité, ils le rétablissent, et fort au delà, par l'accroissement de la quantité. C'est là évidemment ce qui a échappé à Bastiat dans le passage que nous avons cité. Il croit qu'une même quantité de travail ne peut jamais produire qu'une même somme de valeurs, et que le seul résultat des progrès de l'industrie est d'accroître l'utilité gratuite; il est pourtant bien certain qu'ils accroissent en même temps l'utilité valable, car personne, assurément, ne saurait hésiter à reconnaître que les peuples les plus industrieux sont aussi les plus riches en valeurs échangeables. Bastiat était pénétré de la pensée que les valeurs iront se réduisant sans cesse par l'effet des progrès industriels : cela peut être admis pour diverses classes de produits, quant à l'unité; mais quant à la classe, ou quant à la masse des produits, l'effet de ces progrès a été, jusqu'à présent d'en accroître considérablement la valeur, et rien n'autorise à croire qu'il puisse en être autrement dans l'avenir. Il n'y a donc pas ici, pour l'économie politique, l'écueil qu'a cru apercevoir Bastiat; elle peut hardiment affirmer que les richesses sont composées d'objets pourvus de valeur échangeable, et qu'elles sont proportionnées à la somme de ces valeurs, mesurée comme elle doit l'être. What do you think ?
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Moi le style me fait aussi un peu penser à Jabial. Mais bon c'est un peu la même école.
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Pour Chitah ou pour Nabe ?
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C'est pas plutôt le contraire ?
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Il n'est pas plus libertarien que Robert Ménard par exemple, qui défend pareillement la liberté d'expression tout en étant interventionniste par ailleurs.
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Une tribune dans Le Point
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Je suis quand même partiellement d'accord avec ce qu'il dit dans l'interview sur CSOJ. Après je sais pas si le livre vaut le coup, j'ai jamais rien lu de Nabe, mais il paraîtrait qu'il écrit bien. (Bon l'extrait qu'on voit n'en donne pas spécialement l'impression....)
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Beuh non, rien n'a changé. Il défends toujours la liberté d'expression totale comme Chomsky, ça n'en fait pas un libertarien pour autant...d'autant qu'il considère, comme il le dit dans l'interview, que Hollande est néolibéral et pas socialiste.
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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Gio a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Et puis h16, j'ai donné seulement quelques exemples, il y a certainement une multitude d'autres choses qui nécessitent des moyens qu'on ne peut pas nécessairement connaître à l'avance parce que ça se présente en cours de fabrication. (Un exemple au pif : si on veut utiliser des images d'archives, il faut avoir les droits...) Et j'ai même pas parlé des ordis mastoc ou en tout cas des disques durs de ouf qu'il faut. Bref, des trucs qui sont hors de mes moyens financiers. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Gio a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
1/ J'en doute, bien que je ne connaisse pas la qualité vidéo des téléphones récents. 2/ J'ai pas les moyens de m'acheter ce genre de téléphone. Ça j'ai. Si tu habites déjà à Paris. Moi j'ai pas les moyens d'y aller tout le temps, quand je veux. J'ai les compétences, I said. Pas forcément besoin de matériel pour la lumière.
