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Tout ce qui a été posté par Largo Winch
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Ce n'est pas facile de faire cours aux lycéens avec un masque !
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Le confinement et les autres mesures autoritaires : diktat médical, pour quoi ?
Largo Winch a répondu à un sujet de Freezbee dans COVID-19
Je n'avait pas pensé à cette analogie mais, dans cette vidéo par exemple, on peut voir effectivement que le comportement de la flicaille et du préfet est exactement le même que celui d'un caïd de cité qui joue des gros bras et décide arbitrairement qui a le droit ou non de passer un chemin... -
Je ne te visais pas, bien évidemment. D'ailleurs j’apprécie beaucoup tes contributions depuis le début de la crise du Covid, alimentant lib.org de nombreuses sources sur le sujet. Mon propos était plus général : je m'agace de ce discours ambiant depuis l'été, porté par le gouvernement et les médias, visant à culpabiliser les jeunes et en stigmatisant leurs prétendus "relâchement", "irresponsabilité", voire "égoïsme". Entreprise de culpabilisation qui semble avoir porté ses fruits si j'en juge le comportement des étudiants en cette rentrée universitaire...
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Ou un doctorat en médecine...
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Encore un chouette schéma, plein de couleurs rouges qui font peur, pour continuer de culpabiliser les jeunes... Franchement, tirer des conclusions de campagnes de dépistages dont les pratiques n'ont jamais été homogènes n'a aucun sens.
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Petit à petit, chaque semaine, l'Etat pousse toujours d'un cran l'imposition du masque en tout lieu. Hier, c'est Frédérique Vidal, ministre de l'enseignement sup, qui a demandé aux présidents des universités d'imposer le port du masque en tous lieux sur les campus, y compris les extérieurs.
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Le féminisme
Largo Winch a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
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Sauf quand le film de super-héros est réalisé ou produit... par Nolan.
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J'ajouterais à ça une méconnaissance totale des principes de base de la prise de décision et, a fortiori, des diverses théories de la décision en situation complexe et dans le champ social.
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Ric Hochet et Chick Bill, toute mon enfance...
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Si l'Etat maintient toutes les contraintes sanitaires illégitimes et que la deuxième vague ne vient toujours pas, on va certainement voir se multiplier ce genre de scène.
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Je viens de lire l'article. Tu aurais pu également faire attention à la remarque de Jensen : Voilà. Personne sur lib.org n'a imaginé, je pense, que la Suède était Anarcapland en temps normal (hors Covid). Et si "la politique habituelle de la Suède est profondément anti-libérale", tous les indicateurs montrent que la situation française est bien pire, tant du point de vue des libertés économiques que de l'importance de l'Etat-providence. Mais bon, ce n'était pas mon propos. Le sujet portait sur la gestion de la crise sanitaire. Et je maintiens mon point de vue : c'est un sophisme que de prétendre que la Suède a "imposé un confinement" pour conclure que la gestion de la crise suédoise a été aussi autoritaire que la gestion de la crise française. Le statu quo n'est pas semblable à la coercition. Laisser en l'état l'organisation économique et sociale d'un pays (avec ses imperfections en matière de libertés publiques) n'est pas identique à la mise en place d'un confinement généralisé. Enfin, je ne suis pas convaincu par cet article de Quillette qui àmha détruit un strawman avec une argumentation fondée sur un biais de confirmation d'hypothèse. Je préfère nettement celui de Johan Norberg dans lequel on retrouve aussi les points concernant le consensus et l'immunité collective, mais mis en perspective avec bien d'autres... Il dresse un tableau qui me semble plus complet et nuancé.
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De mon côté j'avais traduit pour CP les propos du libertarien suédois Johan Norberg, qui a une analyse bien différente : https://www.contrepoints.org/2020/04/28/370150-coronavirus-letonnante-politique-de-la-suede Dans la gestion suédoise de la crise sanitaire, il souligne : le respect des responsabilités individuelles le fait qu'il ne s'agit pas du tout d'un système autocratique. Je manque de temps pour lire en entier l'article dont tu parles. Mais si c'est là son propos, alors ça me semble être de la belle novlangue. Ne pas confiner la population, c'est "imposer un non-confinement" ? Ça me fait penser aux communistes qui nous expliquent que les libéraux veulent "imposer" une dictature de liberté économique à la population...
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Ah bah oui. Voir les chroniques des différentes formes de socialisme de Dan Mitchell : https://www.contrepoints.org/2019/02/26/337952-le-socialisme-aujourdhui-2-le-social-liberalisme-scandinave https://www.contrepoints.org/2019/02/28/337974-le-socialisme-aujourdhui-4-le-dirigisme-francais et son continuum des socialismes : https://www.contrepoints.org/2019/03/01/337983-le-socialisme-aujourdhui-5-quels-pays-sont-reellement-socialistes
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Voilà. C'est l'aboutissement de l'idéologie social-démocrate. (et c'est vrai que "covidémence" est un bonne idée de néologisme )
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Oui, enfin, même sur les masques... C'est quand même un peu hallucinant de voir Bouzou défendre le modèle autoritaire chinois de gestion de crise et traiter ses "amis libéraux" d'égoïstes contre Pujadas qui défend le modèle suédois qui repose sur les responsabilités individuelles.
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Peut-être... mais peut-on être libéral et défendre depuis 3 mois une sortie de crise par une relance keynésienne ? Et expliquer que Le Maire mène une bonne politique économique de sortie de crise (... depuis qu'il fait partie du cercle des conseillers du ministre de l’économie, ce dont il se vante sur LinkedIn...)
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Ce n'est pas la première fois que Pujadas tient ce genre de propos concernant la gestion de la crise sanitaire. La semaine passée, à propos de la Suède, il s'est ouvertement opposé à Nicolas Bouzou (vous savez, ce grand économiste qui accuse ses "amis libéraux" d'être des égoïstes parce qu'ils osent critiquer l'obligation du port du masque en toutes circonstances, alors qu'il s'agit, selon lui, d'un chouette "accessoire de mode") : pour Bouzou la Suède a été irresponsable en n'imposant pas un confinement général, alors que pour Pujadas, le bilan de la Suède montre que le confinement n'était pas utile.
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C'est surtout quelqu'un qui se concentre uniquement sur ce qu'il veut voir (biais de confirmation). Ses analyses des courbes de cas détectés n'ont ni queue ni tête. Mettons bout à bout la courbe de production passée de pommes et la courbe de production actuelle de carottes, ça nous donne la courbe de production prévisionnelle de fruits et légumes... mais bien sûr...
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C'est déjà le cas : https://www.courrierinternational.com/article/violences-la-colombie-du-president-duque-prise-dans-une-spirale-meurtriere https://www.20minutes.fr/monde/2844743-20200823-colombie-groupes-armes-font-33-morts-11-jours
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La situation en Amérique du Sud est absolument dramatique. J'ai mon frère qui vit en Colombie : cela fait 5 mois que le pays est confiné. 5 mois, vous vous rendez compte ? Le confinement a débuté alors qu'il n'y avait qu'une dizaine de morts pour tout le pays, 2 semaines après le confinement de la France. Depuis, les mesures sont devenues toujours plus restrictives : couvre-feu chaque soir, autorisation de sortir pour faire les courses uniquement 1 jour par semaine (!!)... Les gens deviennent tous cinglés : aux problèmes psychologiques évidents suite à un si long et si drastique enfermement s'ajoutent de sérieux problèmes sociaux et économiques. Les gens ne bénéficient pas du "chomage partiel" à la Française. Beaucoup vivent d'économie informelle. Interdire aux gens de sortir de chez eux, c'est les enfermer dans la misère. Pour beaucoup, ne pas respecter les mesures sanitaires est une question de survie. Mon frère m'a raconté plusieurs histoires d'accidents, semblables à celles de Lima, de personnes qui fuient les contrôles policiers. Si on veut avoir des exemples pour montrer que le confinement généralisé est non seulement inefficace, mais aussi un remède pire que le mal, ce n'est pas la Suède qu'il faut regarder mais ces pays-là. La Colombie a mis en place un confinement généralisé au plus tôt (c'est un peu comme si la France avait été confiné dès janvier) et nettement plus sévère qu'en France, et ça n'a pas du tout empêché le développement de l'épidémie selon la même courbe en cloche que dans tous les pays. Pire, le pays, qui avait enfin retrouvé une dynamique économique et un climat social serein depuis la signature de l'accord de paix avec les Farc, se retrouve désormais au bord de la guerre civile, le confinement généralisé ayant ranimé d'anciennes tensions...
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Une Europe coupée en deux, voire en trois Le flux de nouvelles infections en France, Allemagne et Espagne atteint aujourd'hui des sommets depuis début mai. Mais l'Europe est, inexplicablement, coupée en deux : la plupart des autres pays n'enregistrent pas de flambée récente, voire constatent un reflux des nouvelles infections. https://www.lesechos.fr/amp/1233802 Tous les pays européens, sauf la Russie, ont enregistré un rebond de cas quotidiens à partir de début ou mi-juillet, pour atteindre des niveaux parfois équivalents à ceux du printemps. Mais cette ébauche de deuxième vague ne progresse généralement plus depuis début août. C'est même un net reflux qui est observé depuis huit à dix jours au Royaume-Uni (longtemps le « mauvais élève » du continent et où le nombre de décès a même chuté de manière spectaculaire), Pays-Bas, Serbie, Suède, Bulgarie, Danemark, Etats baltes, Norvège et Belgique, où le gouvernement envisage pourtant de durcir la « bulle sociale ». Les flux de cas quotidiens sont grosso modo stables en Italie, au Portugal, en Pologne, en République tchèque, à Chypre et en Finlande, à des niveaux très faibles, de l'ordre de 0,001 % de la population. En revanche, le rebond amorcé en juillet continue de s'amplifier, sans flamber pour autant, en Grèce, Irlande, Suisse, Ukraine, Slovaquie, Roumanie. Chez cette dernière les flux de cas sont le quadruple de ceux du printemps. Quant à la Croatie, elle semble vivre l'étrange expérience d'une… troisième vague en cinq mois. Dans tous ces pays,le nombre de décès demeure toutefois stable, à un faible niveau. En France, la situation est plus contrastée et suscite une forte inquiétude des pouvoirs publics. Le nombre de patients en réanimation a cessé sa chute, amorcée début avril, pour stagner à trois cent soixante personnes, du fait que le nombre d'arrivées quotidienne, monté à vingt-sept jeudi contre une quinzaine en moyenne au début du mois, est équivalent désormais au nombre de sorties. Il en est de même, en raison d'une progression des arrivées à environ 140 par jour, pour le nombre total de personnes hospitalisées, stable désormais à un peu moins de 5.000. Un sixième toutefois du pic d'avril. Le flux quotidien de décès est stable depuis mi-juillet, à une quinzaine de personnes. Et demeure très inférieur au pire du printemps. Le bilan de mercredi représentait ainsi environ un centième du record du 15 avril.
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Pareil à Nice. Ma prédiction de début de mois est de plus en plus probable :
