Aller au contenu

free jazz

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    11 323
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par free jazz

  1. Cela dépend où tu places le curseur de la démesure. Pour moi, il est dans les lois sur les suspects, dans les ligues de vertu, dans l'égalitarisme vengeur et non dans la résistance à l'oppression de la majorité par des minorités.
  2. On a bien compris à vos arguties positivistes que la liberté ce n'est pas votre souci principal tant qu'il n'y a pas de bruit de bottes trop frappant, que la néo-inquisition prend le masque des revendications communautaires sympas et égalitaires.
  3. Le communautarisme? Un monstre Philippe Muray Tout récemment, dans l’émotion soulevée par un crime odieux, et aux applaudissements d’un certain nombre d’associations, on a pu voir le garde des Sceaux Dominique Perben annoncer qu’il allait soumettre au Premier ministre des propositions tendant à sanctionner les « injures homophobes » ; ce qui d’abord, précisa-t-il, impliquait de « modifier la loi de 1881 sur la liberté d’expression ». On ne saurait trop conseiller à ce garde des Sceaux de ne pas perdre son temps à modifier la loi de 1881 sur la liberté d’expression mais de la supprimer sans façon, car très bientôt elle ne servira plus à rien dans la mesure où, par la grâce des sanctions qu’il prépare, c’est l’expression en soi, toute possibilité d’expression quelle qu’elle soit, et non pas seulement ses « abus » comme par le passé, qui va disparaître. Et nul ne s’en alarmera puisqu’une fois de plus, « dans le silence de l’abjection », l’on n’entendra « retentir que la chaîne de l’esclave et la voix du délateur ». Sauf que le délateur, aujourd’hui, loin de raser les murs, couvert de crachats et de honte, tient sous le nom jamais tout à fait revendiqué de communautariste le haut du pavé, dicte ses volontés au ministre de la Justice et déploie son hystérie sans limites sous forme de lois imposées, via les médias amplificateurs, au nom de la tolérance et de la liberté. Et lorsque les nouvelles sanctions qu’il aura exigées seront votées, ce n’est plus seulement l’expression de ce qui lui déplaît dont il réclamera la répression accrue, mais même sa manifestation potentielle ou virtuelle. Ainsi se constituera un nouveau délit non prévu par Orwell : le crime d’arrière-pensée (ou de sous-pensée, ou de non-pensée, ou de pensée in statu nascendi). L’annonce de cette répression nouvelle et prévisible réjouit déjà les belles âmes officielles, et on a pu lire dans Le Monde un éditorial où, après quelques hypocrites bouffonneries (« Trop de loi tue peut-être la loi, comme le dit l’adage. Mais dans notre société – même si l’on peut regretter cette dérive légaliste –, sans doute faut-il un texte pour arrêter le sexisme ordinaire, celui qui fait mal et peut tuer », etc.), on s’empressait de désigner à la vengeance un journaliste de province coupable d’avoir parlé de « lynchage » ou d’«Inquisition» à propos de ce début de croisade contre l’homophobie. Et il était aisé de deviner qu’on regrettait de ne pouvoir encore le traîner devant un tribunal. Chez les plus logiques des communautaristes, la persécution emprunte d’ores et déjà les voies du principe de précaution, et implique qu’on abatte tout le troupeau avant même qu’il ait fait la preuve de sa nocivité : pourquoi se gêneraient-ils puisque les ministres se couchent devant eux et s’empressent de transposer en mesures législatives leur délire ? Bien d’autres maîtres chanteurs, également groupés en associations de malfaisance patentée, piaffent déjà derrière la porte, avec à la main leurs innombrables pétitions qui se résument pour la plupart à exiger des pouvoirs publics un accroissement de l’arsenal répressif, ainsi qu’une politique enfin efficace de prévention, dans des domaines variés : contre les actes et propos handiphobes, contre les actes et propos féminophobes, contre les actes et propos islamophobes, contre les actes et propos jeunophobes, contre les actes et propos zoophobes, etc. Dans l’apocalypse communautariste où nous nous enfonçons, chaque groupe de pression particulier peut bien être en guerre avec les autres, ou faire semblant de l’être ; ils n’ont ensemble qu’un seul ennemi : la liberté. Du moins le peu qui en reste. Et ils sont décidés à l’achever. Le communautarisme est un monstre. Par là, il reflète bien notre époque monstrueuse qui semble n’avoir plus d’énergie que pour en terminer de toutes les manières possibles avec la définition fondamentale de l’être humain. Et c’est bien à cela que l’on travaille lorsqu’en exigeant, par exemple, que les grands singes bénéficient des droits de l’homme on contribue à faire disparaître la barrière qui se dresse encore entre l’humanité et le monde animal ; et c’est à cela aussi que l’on s’adonne lorsque, à l’occasion d’un crime, on fait ressortir que la victime était homosexuelle avant d’être une personne humaine. D’un côté comme de l’autre, c’est l‘anthropos en général qui est nié ou en passe de l’être. Le communautarisme n’est certes pas un humanisme. Il ressemblerait plutôt à ces maladies qu’on appelle auto-immunes où le système immunitaire, brusquement, ne reconnaît plus comme siens certains constituants de l’organisme et s’attaque à eux. Dans un cas comme dans l’autre, la destruction est aussi et d’abord une autodestruction. Ce n’est pas seulement jouer sur les mots que de remarquer qu’entre communisme et communautarisme il n’y a que quelques lettres de différence, et que tous deux ont la même origine latine, communis. Ce n’est pas non plus se laisser aller à des abus historicistes que de noter le parfait synchronisme avec lequel on a vu finir le communisme et, presque aussitôt, apparaître les délires des communautarismes et leurs premières actions d’éclat. Comme si, des ruines de l’un, avaient émergé les autres. Et comme si le dogme de la dictature du prolétariat n’avait attendu que l’occasion de se transformer en despotisme des minorités dans un monde décentralisé, désorbité, où le centralisme démocratique de jadis accouche finalement d’un décentralisme frénétique tout aussi ennemi de la démocratie, bien sûr, que l’ancien centralisme. Dans le même temps, est rétablie la vieille notion bolchévique de « suspects », indispensable dans toute situation de terreur, et sont désignés de nouveaux « ennemis du peuple » (les homophobes, les sexistes, les islamophobes, etc.). La nuisance a horreur du vide. Les espoirs d’égalité illimitée que l’ancienne idéologie avait donné à l’homme, même s’il ne vivait pas en régime communiste, et même si ces espoirs avaient été rapidement bafoués, loin de disparaître avec cette idéologie, se reconstituent mais par morceaux, de manière éclatée, en poussière de néo-soviets ou de milices vigilantes qui exercent d’abord et comme de juste leur tyrannie sur ceux qui appartiennent au groupe, puis répercutent cette tyrannie et l’étendent à l’ensemble de la société, contrainte dès lors de s’incliner devant leurs exigences particulières et de les reconnaître comme autant de bienfaits. Tous les droits à la différence additionnés débouchent alors sur l’unique droit qui reste à l’individu ordinaire, celui qui ne peut se réclamer d’aucun particularisme : le droit à la déférence. Ces exigences, d’ailleurs, se chantent sur l’air du Bien absolu et de la positivité la plus irréfutable. Les « offres » communautaristes sont de celles qu’on ne peut pas refuser puisqu’elles parlent de justice, de tolérance, d’amour, d’équité, de métissage et d’ouverture à l’autre. Ce qui se traduit aussitôt en demandes insatiables de lois répressives. Car c’est bien sûr le Mal, ce Mal que l’on entend éradiquer (sous les divers masques du « phobe »), qui est d’ores et déjà passé avec armes et bagages dans le charabia du Bien. Il habite tout entier là même où se rabâche sa dénonciation. Il est la maladie qui parle de remède, il est la contention qui s’intitule liberté, et la haine qui tremble d’amour. Il est la mort qui vit une vie humaine et qui lui emprunte sa force. Il est la perversion qui se nomme Loi. Sous son action, les lois elles-mêmes, par principe protectrices, deviennent meurtrières. Un programme total, pour ne pas dire totalitaire, constitue l’unité cachée de mille programmes communautaristes en apparence ennemis. C’est ainsi qu’aux militantes qui affirment vouloir « imposer la défense des revendications féministes à l’ensemble du mouvement altermondialiste », fait curieusement écho l’islamiste radical qui dit sans jamais vraiment le dire qu’il veut l’islamisation de la modernité. Le démoniaque, un nouveau démoniaque, un démoniaque moderne, n’est pas loin. Si la définition du démon est de manquer d’être, et donc de se venger de ce manque en nuisant, il est à noter que le communautariste, par manque d’être aussi, empoisonne tout le monde. Cette ancienne victime (mais le diable, « celui à qui on a fait du tort », en est une aussi) se sent menacée de disparition par intégration. La certitude de ne plus être persécutée s’échange pour elle contre le risque de mourir d’inexistence. C’est alors qu’elle se met à hurler à la discrimination et qu’elle transforme un fait-divers criminel en marchepied de ses nouvelles conquêtes. L’homme communautariste, l’homme des associations est l’homme du ressentiment sous sa figure contemporaine. Son impuissance à être l’a conduit vers les officines où bout l’esprit de vengeance. Il lui faut sans cesse des combats, des revendications, des pressions pour se sentir être parce qu’il ne peut plus éprouver l’excitation vitale que sous la forme de la persécution : celles dont il se dit menacé justifiant celles dont il demande la mise en œuvre. Mais tout cet enfer est si bien emballé dans le pathos de l’empathie qu’on l’entend à peine crépiter. En tout cas, ce serait une erreur de croire que le bruit qui s’en élève est la mélodie du bonheur.
  4. Dans la rubrique mon député est un porc champion, Le Roux explique que pour créer des emplois il faut taxer le capital, et puis c'est une mesure de progrès, donc on ne peut pas être contre. http://www.boursoram...8860ad54ac118de
  5. A PROPOS!!!! du Lundi 26 Novembre 2012 : Le mal de la Droite vient de loin par Bruno Bertez Déjà, au début des années 1900 , Gustave Le Bon écrivait dans« Psychologie du Socialisme »: « Sous l’influence inconsciente des socialistes, la classe dirigeante a perdu toute confiance dans la justesse de sa cause. Elle recule de plus en plus et plus elle recule, plus elle abandonne de terrain, plus les socialistes les méprisent. Ces derniers ne seront satisfaits que lorsqu’ils auront dépouillés leurs adversaires, aussi bien de leur vie que de leur fortune. » Comme du Mont Blanc, on devrait lire du Le Bon plus souvent. La question que soulève Le Bon est intéressante. Quel est le mécanisme qui fait que systématiquement la Droite abandonne tout à son adversaire. Par quel processus social et psychologique la Droite politique abandonne-t-elle? Au plan psychologique, il y a de la culpabilité la dedans, cela parait évident. L’une de nos idées est que le capitalisme ne sait pas assez faire son ménage; il laisse trop le champ libre aux brebis galeuses qui en fait ne sont pas capitalistes, pas producteurs, mais sont surtout des profiteurs. Et quand on est profiteur, on ne se sent pas très légitime, donc on ne sait se défendre face aux arguments socialistes. Un capitalisme qui fait du gras, ou qui devient financier klepto ou rentier est plus tenté de se laisser culpabiliser qu’un capitalisme de chef d’entreprise ou de capitaine d’industrie. En quelque sorte la version soft du capitalisme, le keynésien par exemple qui gomme les risques, produit des élites économiques qui n’en sont pas, et qui à ce titre sont prêtes à rendre les armes et plus s’il le faut aux adversaires socialistes. Il faudrait réfléchir sur cette question de la bonne ou mauvaise conscience. http://leblogalupus.com/2012/11/26/a-propos-du-lundi-26-novembre-2012-le-mal-de-la-droite-vient-de-loin-par-bruno-bertez/
  6. En tout cas l'IVG sera remboursée à 100% pour tous, ainsi que les contraceptifs, on voit où se situent les priorités de l'assemblée. http://sante.lefigar...tee-par-deputes
  7. Elle a l'air gratinée la Marisol : quand l'Etat se substitue aux parents.
  8. Voilà des années que j'analyse la montée en puissance concomitante de la tyrannie des minorités et du totalitarisme doux. Il ne suffit pas de poster des facepalms puérils en prenant une posture indignée pour se situer au-dessus du niveau de la mêlée. Les libéraux, dans cette affaire, ne sont pas plus intelligents ni plus clairvoyants que la moyenne et ce genre de ricanement satisfait est assez sot. Ils sont peu nombreux ceux qui ont vu au-delà de l'escalade de droits communautaires et ont analysé correctement cette menace d'un nouvel ordre pénal qui pèse sur les libertés individuelles.
  9. Pourquoi handicapés? Les groupes d'oppression sont organisés, leurs factions sont mobilisées comme une seule troupe, leurs menaces de procès en homophobie fonctionnent et ils en tirent licence pour mener des actions violentes, les médias complaisants leurs sont acquis, ils sont gavés d'argent public et leurs méthodes d'agitprop bien rodées : http://www.rue89.com...res-fort-237264 Ce n'est pas ce qu'on peut appeler un camp d'handicapés.
  10. Morsi et les Frères musulmans ne sont probablement pas pires que les dictateurs Moubarak & Ben Ali, mais ils ne valent pas mieux non plus. En tout cas le quotidien des gens ne s'est pas amélioré, la liberté politique n'a pas progressé, au contraire. On voit donc se confirmer la loi de Tocqueville, le nouveau régime a prolongé les tendances autoritaires qui précédaient, quoique les islamistes aient remplacé les militaires.
  11. C'est un fait social remarquable de l'époque actuelle : le retour, justifié par l'idéologie progressiste, aux communautés archaïques et tribales.
  12. C'est très directement lié à l'escalade de droits créances inhérents au mariage gay : droit au mariage, droit à l'enfant, droit à l'adoption, droit à la PMA etc. C'est directement la conséquence du chantage exercé par une coalition de minorités agressives pour obtenir des droits collectifs et des privilèges communautaires. Du communautarisme exercé par ingénierie sociale au communisme, il y a une différence de degré et non de nature. L'hystérie on l'a plutôt vue du côté du lobby gay criant à l'homophobie et des harpies féministes que tu défendais dans l'autre fil, avec ton habituelle servilité.
  13. Here we are : (badurl) http://leplus.nouvelobs.com/contribution/714612-mariage-pour-tous-chers-amis-heteros-on-compte-sur-vous-pour-repondre-aux-homophobes.html (badurl)
  14. Donnez-moi un facepalm bien consternant : http://sabrinabouarour.blog.lemonde.fr/2012/11/23/dans-les-manuels-de-maths-de-terminale-le-sexisme-ordinaire-cotoie-les-equations/
  15. On se prend à rêver d'entendre un dirigeant français déclarer qu'il va se battre pour protéger les intérêts des contribuables. Mais on en est loin, Hollande et les eurocrates continuent à demander plus de dépenses avec l'argent des autres, malgré la dégradation de la signature française en partie dûe à son exposition à la dette des PIGS. http://www.lemonde.f...95039_3214.html On voit que l'euroland, loin d'assurer la paix et la stabilité, devient la source des conflits en Europe.
  16. C'est un euphémisme s'agissant d'un groupe agressif, exerçant une pression continue sur le pouvoir pour imposer une législation totalitaire.
  17. Factuellement, Morsi concentre les pleins pouvoirs, avec une assemblée à sa botte, ce n'est pas un manquement à la procédure mais l'affirmation d'un régime dictatorial. Je ne vois pas comment interpréter autrement cette promulgation : "Le président peut prendre toute décision ou mesure pour protéger la révolution" "Les décisions et lois émises par le président, y apprend-on, sont définitives et ne sont pas sujettes à appel". Je ne dis pas que la dictature soit toujours pire que la démocratie, la dictature peut parfois s'avérer nécessaire dans certaines circonstances pour la sauvegarde de la constitution ou de l'état de droit. Mais ici comme la constitution n'est pas encore écrite et l'état de droit inexistant, Morsi et les islamistes invoquent la sauvegarde de la révolution. Il s'agit donc bien plutôt d'un coup d'Etat classique après une révolution qui trahit et mange ses enfants.
  18. L'Egypte devient officiellement une dictature islamiste.
  19. La rhétorique victimaire employée par le groupe d'oppression LGBT repose en effet sur une fraude intellectuelle et morale, un chantage émotionnel et pénal, une collection d'indignations irrationnelles.
  20. Le mariage civil ne change pas la substance du mariage, personne ne t'impose de te marier. Tu t'exprimes par slogans, mais ça ne veut rien dire d'exiger l'abolition du mariage civil comme si c'était une source d'oppression, il serait déjà plus censé de demander la liberté du mariage religieux. Si le mariage mixte est reconnu comme une ségrégation, ainsi que tu as l'air de le croire, alors pourquoi le mariage religieux n'en serait pas une? Pourquoi une agence d'adoption catholique ou musulmane ne serait-elle pas déclarée homophobe et fermée par le gouvernement? Ou un maire refusant de marier un couple homo? Ou une école qui n'enseignerait pas l'homoparentalité sous un jour favorable? Pourquoi toute opinion critique à l'égard du mariage homo ne serait-elle pas passible des tribunaux?
  21. Désolé mais encore une fois tes propos sont absurdes, ce n'est pas l'Etat qui a élaboré le mariage hétéro. On a déjà démontré que le mariage mixte ne retire aucun droit aux individus homosexuels, sauf à raisonner en terme de reconnaissance de droits collectifs pour des groupes organisés. Le prétendu mariage pour tous ne peut pas exister sans la contrainte de l'Etat, sa surveillance et ses lois anti-discrimination, les droits créances que cela implique concernant l'adoption, la filiation et la procréation.
  22. Tu reprends le vieux discours socialiste et féministe (Auguste Bebel bonjour), qui considère le mariage et la famille comme le résultat d'une oppression dont l'Etat serait l'agent. Mais c'est une grave erreur d'appréciation historique, et il revient au marxisme d'avoir introduit cette lecture frauduleuse de l'évolution sociale. Ce n'est pas l'Etat qui promeut le mariage mixte et la famille nucléaire, pas plus qu'il ne promeut l'hétérocentrisme et le patriarcat. Bien au contraire, il déploie tous ses efforts pour les détruire, puisque la famille est un obstacle au gouvernement des normes et des comportements.
  23. Mosco, Najat & Sapin m'ont quand même beaucoup fait rire avec leur déminage, en expliquant que la perte du triple A était un non événement, voire même un signal encourageant eu égard à la qualité de la signature du pays et de la prise en compte du programme de réformes, quand on sait que ce gouvernement ne pense qu'à ça et qu'il ne craint rien tant qu'un événement de crédit.
  24. La désinformation ça existe, on en a des exemples chaque jour, j'ai encore en tête l'opération récente de Femen. Mais lisez plutôt la Psychologie des Foules de Le Bon, qui explique les mécanismes d'abrutissement des masses sans faire appel aux théories complotistes. Il y a des gens qui croient encore aux communiqués du gouvernement sur le chômage, l'inflation ou la délinquance? Ah oui.
×
×
  • Créer...