poney Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Déjà rien que "marxiste". J'en discutais encore ce soir avec quelques libéraux d'Aix autour d'une bière. Marx se suiciderait sans doute si il voyait certains marxistes se revendiquer de lui.
Stendhal Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Je sais qu'il y a quelques anthropologues/ethnologues de formation sur ce forum, donc je me disais qu'il pourrait peut-être me renseigner sur un certain Alain Testard. Il a écrit sur de nombreux sujets comme la monnaie, la dette, le don, la servitude volontaire, les inégalités, le communisme primitif, et quand je consulte les résumés et extraits de ces livres me semble-t-il avec une certaine hostilité à l'anthropologie marxiste ou maussienne. Alors, est-ce que ces travaux valent la peine où c'est du flan ?
Barem Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Comment interprèteriez vous cette phrase de Barthes : “La naissance du lecteur doit se payer de la mort de l’Auteur” ?
Lancelot Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 L'auteur n'a rien à dire sur l'interprétation qu'on fait de son oeuvre.
poney Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Le 06/04/2013 à 12:51, Stendhal a dit : Je sais qu'il y a quelques anthropologues/ethnologues de formation sur ce forum, donc je me disais qu'il pourrait peut-être me renseigner sur un certain Alain Testard. Il a écrit sur de nombreux sujets comme la monnaie, la dette, le don, la servitude volontaire, les inégalités, le communisme primitif, et quand je consulte les résumés et extraits de ces livres me semble-t-il avec une certaine hostilité à l'anthropologie marxiste ou maussienne. Alors, est-ce que ces travaux valent la peine où c'est du flan ? Il me sert de cadre théorique dans mes recherche sur l'esclave ("la dette et l'esclave" est un très bon livre). Je n'ai pas lu le reste. C'est un Durkheimien pur jus, les libéraux étant de manière générale plutôt weberien, c'est parfois surprenant. C'est un auteur à lire, à mon avis. Ce que je sais de son livre "avant l'histoire" me pousse à penser qu'il sort de son domaine empirique pour parfois porter des analyses a posteriori sur des sociétés qu'il ne connait pas. C'est à double tranchant, l'exercice peut-être intéressant mais peut se révéler du grand nawak. Les histoires sur le communisme primitif en sont les plus connue, "la société contre l'Etat" est un autre exemple connu. Mais sans le lire, difficile d'en dire plus.
Tramp Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Je lis Rothbard sur les expériences communistes des Anabaptistes au Moyen-Âge dans An Austrian Perspective on the History of Economic Thought et c'est incroyable comme le communisme c'est toujours la même chose. J'en viens à me demander si être communiste au XXIème siècle n'est pas une maladie mentale.
Stendhal Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Le 06/04/2013 à 17:31, poney a dit : Il me sert de cadre théorique dans mes recherche sur l'esclave ("la dette et l'esclave" est un très bon livre). Je n'ai pas lu le reste. C'est un Durkheimien pur jus, les libéraux étant de manière générale plutôt weberien, c'est parfois surprenant. C'est un auteur à lire, à mon avis. Ce que je sais de son livre "avant l'histoire" me pousse à penser qu'il sort de son domaine empirique pour parfois porter des analyses a posteriori sur des sociétés qu'il ne connait pas. C'est à double tranchant, l'exercice peut-être intéressant mais peut se révéler du grand nawak. Les histoires sur le communisme primitif en sont les plus connue, "la société contre l'Etat" est un autre exemple connu. Mais sans le lire, difficile d'en dire plus. Ok, merci pour ton commentaire. Du holisme donc, c'est une tradition bien française. Les weberiens se font rare... J'ai un peu tiqué dans sa présentation, je me méfie des gars qui débarquent avec un "projet de sociologie générale". Mais ça me donne bien envie de poursuivre un peu plus loin, je songeais commencer avec "Aux origines de la monnaie" ou celui sur le don, mais du coup je vais peut-être essayé "La dette et l'esclave". J'ai lu et je relis régulièrement "La société contre l'Etat", un classique à mon avis.
Orval Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Le 06/04/2013 à 19:38, Tramp a dit : Je lis Rothbard sur les expériences communistes des Anabaptistes au Moyen-Âge dans An Austrian Perspective on the History of Economic Thought et c'est incroyable comme le communisme c'est toujours la même chose. J'en viens à me demander si être communiste au XXIème siècle n'est pas une maladie mentale. C'est quand même génial tout ces livres libertariens gratuit sur le net. Je lis çà et 5 minutes plus tard je suis au même endroit sur le livre.
poney Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Le 06/04/2013 à 19:49, Stendhal a dit : Ok, merci pour ton commentaire. Du holisme donc, c'est une tradition bien française. Les weberiens se font rare... J'ai un peu tiqué dans sa présentation, je me méfie des gars qui débarquent avec un "projet de sociologie générale". Mais ça me donne bien envie de poursuivre un peu plus loin, je songeais commencer avec "Aux origines de la monnaie" ou celui sur le don, mais du coup je vais peut-être essayé "La dette et l'esclave". J'ai lu et je relis régulièrement "La société contre l'Etat", un classique à mon avis. Ce n'est pas à jeter simplement parce que c'est une approche holiste. Sur ce que je connais le mieux chez lui, sa typologie (de l'esclavage ou des sociétés), ça permet de poser un cadre. Sur l'esclavage, par exemple, il a une approche juridique basée sur une définition minimale. Il montre que les définitions de l'esclavage classique ne peuvent fonctionner parce qu'on trouve toujours un exemple d'esclavage qui contredit la définition. Donc il adopte une approche dans laquelle l'esclave est un dépendant qui bénéficie d'un statut juridique qui le place en dehors d'une dimension considérée comme fondamentale dans la société. Classiquement, la parenté, mais ce n'est pas le seul exemple possible, puisque la caractéristique de certains types d'esclavage est justement une re-parentalisation. Cette approche définitionnelle minimale a l'avantage d'englober tous les systèmes possibles mais le défaut d'être un peu simple. Alors, ensuite, il se sert de différentes classifications de sociétés pour la complexifier. Par rapport à l'esclavage, deux grands types : société esclavagiste VS société à esclavage. Il montre après, c'est amusant, que la condition de l'esclavage s'améliore dans un régime despotique, principalement parce que l'esclave ne rend pas de compte au souverain, puisqu'il dépend uniquement de son maître. Il ne paye pas d’impôt, il n'est pas un sujet du roi. Quelque part, il n'existe pas pour le despote, en tant qu'individu. Ce livre est une compilation ordonnée d'articles qu'il avait écrit les années précédent la publication. Je crois (je n'ai pas vérifié) qu'on peut en lire le plus gros sans acheter le livre. Si j'ai bien fait mon job sur le paragraphe précédent, je pense que j'ai montré que c'est stimulant à lire même si c'est une sociologie holiste. Comme je n'ai pas lu ses livres sur la monnaie ou le don, je ne peux absolument rien t'en dire. Sur Pierre Clastres. Je crois qu'il a eu plus d'écho dans la sphère philosophie que chez les anthropologues, ça en dit long sur ce qu'il y a tirer du livre. J'aime cependant beaucoup ce texte que j'ai lu plusieurs fois, spécialement fameux chapitre 11, celui ou il retourne l'argument des "sociétés d'absence" : "société sans écriture", "société sans histoire", ...toujours vue d'une manière péjorative alors que pour lui, "société sans Etat" est positif. C'est un reversement fondamental dans la pensée ethnologique et ce livre n'est d'ailleurs lu plus que pour ça. Clastres était une sorte de marxiste-anarchiste (bien qu'il combattait l'anthropologie marxiste) qui à vu son idéologie chez les autres. Je n'ai pas les références en tête, mais plusieurs de ses collègues ont critiqué son matériel empirique (qui était abondant chez lui, "chronique des Guyaki" le prouve, c'est une ethnographie fine, mais qu'il a visiblement surinterprêté pour "la société contre l'Etat").
Barem Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Le 06/04/2013 à 16:15, Lancelot a dit : L'auteur n'a rien à dire sur l'interprétation qu'on fait de son oeuvre. J'ai du mal à comprendre ton interprétation. De prime abord, j'avais entendu cette phrase de cette façon : pour qu'un auteur puisse s'imprégner de son texte, il doit s'extraire de celui ci, faire abstraction qu'il en est le propre créateur ou encore être le plus objectif possible pour l'appréhender.
Rincevent Posté 6 avril 2013 Signaler Posté 6 avril 2013 Le 06/04/2013 à 20:26, poney a dit : Il montre après, c'est amusant, que la condition de l'esclavage s'améliore dans un régime despotique, principalement parce que l'esclave ne rend pas de compte au souverain, puisqu'il dépend uniquement de son maître. Il ne paye pas d’impôt, il n'est pas un sujet du roi. Quelque part, il n'existe pas pour le despote, en tant qu'individu.L'esclavagisme comme proto-fédéralisme ?
Lancelot Posté 7 avril 2013 Signaler Posté 7 avril 2013 Le 06/04/2013 à 20:59, Barem a dit : J'ai du mal à comprendre ton interprétation. Je n'ai pas lu le bouquin en question de Barthes, mais c'est l'énoncé classique de sa thèse. Sur Wikipedia : Citation "The Death of the Author" is a 1967 essay by the French literary critic and theorist Roland Barthes. Barthes's essay argues against traditional literary criticism's practice of incorporating the intentions and biographical context of an author in an interpretation of a text, and instead argues that writing and creator are unrelated. [...] In his essay, Barthes argues against the method of reading and criticism that relies on aspects of the author's identity — their political views, historical context, religion, ethnicity, psychology, or other biographical or personal attributes — to distill meaning from the author's work. In this type of criticism, the experiences and biases of the author serve as a definitive "explanation" of the text. For Barthes, this method of reading may be apparently tidy and convenient but is actually sloppy and flawed: "To give a text an Author" and assign a single, corresponding interpretation to it "is to impose a limit on that text."Readers must thus separate a literary work from its creator in order to liberate the text from interpretive tyranny Sur tvTropes : Citation Death of the Author is a concept from the field of literary criticism which holds that an author's intentions and biographical facts (the author's politics, religion, etc) should hold no weight when coming to an interpretation of his or her writing; that is, that a writer's interpretation of his own work is no more valid than the interpretations of any of the readers. The logic is fairly simple: Books are meant to be read, not written, and so the ways readers interpret them are more important and "real" than the ways writers write them. There are also the more practical facts that a lot of authors are not available or not willing to comment on their intentions, and even when they are, artists don't always make choices for reasons that make sense or are easily explained to others—or, in some cases, even to themselves. [...] Isaac Asimov repeated in several places an anecdote based on this: He once sat in (in the back of a large lecture hall, so semi-anonymously) on a class where the topic of discussion was one of his own works. Afterward, he went up and introduced himself to the teacher, saying that he had found the teacher's interpretation of the story interesting, though it really wasn't what he had meant at all. The teacher's response was "Just because you wrote it, what makes you think you have the slightest idea what it's about?" There is an echo of this concept in Asimov's short-short story "The Immortal Bard", in which William Shakespeare is brought into the present day and takes a college course about his writings. He flunks.
Rincevent Posté 7 avril 2013 Signaler Posté 7 avril 2013 Le 07/04/2013 à 13:18, poney a dit : Dans quel sens ?Au sens où, das la théorie fédéraliste authentique, chaque niveau de subsidiarité ne connaît que deux autres niveaux, celui qui est immédiatement supérieur, et celui qui est immédiatement inférieur. D'où la nécessité de devoir faire passer le 16ème amendement à la constitution américaine pour permettre à l'Etat fédéral d'imposer directement les revenus des citoyens sans passer par les Etats fédérés.
Barem Posté 7 avril 2013 Signaler Posté 7 avril 2013 Le 07/04/2013 à 13:34, Lancelot a dit : Je n'ai pas lu le bouquin en question de Barthes, mais c'est l'énoncé classique de sa thèse. Sur Wikipedia : +1
poney Posté 9 avril 2013 Signaler Posté 9 avril 2013 Le 07/04/2013 à 13:42, Rincevent a dit : Au sens où, das la théorie fédéraliste authentique, chaque niveau de subsidiarité ne connaît que deux autres niveaux, celui qui est immédiatement supérieur, et celui qui est immédiatement inférieur. D'où la nécessité de devoir faire passer le 16ème amendement à la constitution américaine pour permettre à l'Etat fédéral d'imposer directement les revenus des citoyens sans passer par les Etats fédérés. Mmh, parallèle intéressant mais je suis bien incapable d'en dire plus...
Tramp Posté 10 avril 2013 Signaler Posté 10 avril 2013 J'ai une question : Y a-t-il eu un seul auteur marxiste (et communiste en général) qui soit un authentique prolétaire ?
PABerryer Posté 10 avril 2013 Signaler Posté 10 avril 2013 Le 10/04/2013 à 21:52, Tramp a dit : J'ai une question : Y a-t-il eu un seul auteur marxiste (et communiste en général) qui soit un authentique prolétaire ? S'il y a une réponse elle m'intéresse aussi
Ataraxie Posté 11 avril 2013 Signaler Posté 11 avril 2013 Benoît Malon, August Bebel, Edouard Anseele.
Tramp Posté 11 avril 2013 Signaler Posté 11 avril 2013 Bebel était propriétaire d'une entreprise, pareil pour le père d'Anseele. À la rigueur pour Malon mais est-ce que les paysans c'est vraiment le prolétariat ?
Ataraxie Posté 11 avril 2013 Signaler Posté 11 avril 2013 Il s'agit de salariés exerçant des métiers manuels. Après oui, les chefs de parti ainsi que les intellectuels sont rarement d'origine prolétarienne.
Fenster Posté 17 avril 2013 Signaler Posté 17 avril 2013 Je commence Le héros aux mille et un visages de Joseph Campbell.
poney Posté 28 avril 2013 Signaler Posté 28 avril 2013 Quelqu'un aurait-il "l'inégalité des chances" de Boudon en PDF ?
kolb Posté 1 mai 2013 Signaler Posté 1 mai 2013 Un ouvrage d'anticipation politique post-1984 est apparu sur la blogosphère où l'on voit deux mondes qui s'affrontent: une tyrannie autarchique et une fédération libérale mondiale avec des outils futuristes de neuro-programmation et méta-réalité des mèmes sur la noosphère avec une pointe de théorie du complot et de lutte apocaliptique: http://www.iniscene.blogspot.fr/
h16 Posté 1 mai 2013 Signaler Posté 1 mai 2013 Le 01/05/2013 à 19:05, kolb a dit : Un ouvrage d'anticipation politique post-1984 est apparu sur la blogosphère où l'on voit deux mondes qui s'affrontent: une tyrannie autarchique et une fédération libérale mondiale avec des outils futuristes de neuro-programmation et méta-réalité des mèmes sur la noosphère avec une pointe de théorie du complot et de lutte apocaliptique: C'est bête les petites photes d'ortographe. Et à part ça, y'a du piston dans l'histoire ?
kolb Posté 2 mai 2013 Signaler Posté 2 mai 2013 @hseize j'aime bien les idées développées: Iniscene ressemble à une catallaxie individualiste parfaite et l'autarchie des olgs est similaire à certains lobotomisés actuels! Rien que la présence du mème Hamagi (liberté en summerien) mérite le buzz libertarien!
Nirvana Posté 3 mai 2013 Signaler Posté 3 mai 2013 Citation TEASER D'UTØYA, DE LAURENT OBERTONE (22 AOÛT 2013) Norvège, île d'Utøya, 22 juillet 2011. -15h16. Vêtu d'une tenue paramilitaire arborant les insignes de la police, l’homme stationne sa camionnette contre un bâtiment gouvernemental du centre-ville d'Oslo, puis s'en éloigne d'un pas rapide, arme au poing. -15h24. L'explosion de la camionnette tue 7 personnes. -16h57. L'homme se présente sur l'embarcadère, face à l'île d'Utøya. Déclinant une fausse identité, le faux policier demande aux gardiens de bien vouloir le débarquer sur l'île, afin d'en assurer la sécurité suite à l'explosion d'Oslo. -17h18. Équipé d'un Glock 34, d'un fusil automatique Mini-Ruger 14 et de plus de 1 000 munitions, l'homme pose le pied sur l'île d'Utøya, où se tient le camp d'été des jeunes du parti travailliste. 564 personnes y sont réunies. -17h22. L'homme tire sa première balle. -18h34. L'homme est interpellé par le groupe d'intervention Delta, sans opposer de résistance.Sur l'île, les autorités retrouvent 69 cadavres. Ce 22 juillet 2011, 50 ans après Lee Harvey Oswald et 16 ans après Timothy McVeigh, l'homme devient une célébrité mondiale du crime de masse, en quelques minutes. Il s'appelle Anders Behring Breivik et la bête vient de naître, à 32 ans. Utøya, à paraître le 22 août prochain, est un roman basé sur le massacre de masse de Norvège, les écrits intimes de Breivik, les rapports d’enquête de police, le dossier judiciaire, les témoignages croisés de survivants, de proches du tueur, de sa famille. Laurent Obertone, qui s’est rendu en Norvège à plusieurs reprises pour son enquête, y racontera le drame de l’île d’Utøya, la vie et la folie d'Anders Breivik, par le prisme de l'intime. Soit l'occasion de plonger dans la tête du tueur norvégien, un point de vue extrêmement documenté sur les faits et le parcours d'un homme qui a abouti à l'une des plus atroces tueries qu'ait connu l'Occident moderne. http://www.dailymotion.com/video/xziwjj_teaser-d-utoya-de-laurent-obertone-22-aout-2013_news http://www.surlering.com/article/article.php/article/teaser-du-prochain-livre-de-laurent-obertone
Buaires Posté 4 mai 2013 Signaler Posté 4 mai 2013 Je viens d'acheter "Le Courage de Réformer", écrit sous la direction de Claude Bébéar Le bouquin date de 2002, mais certaines questions restent d'actualité : "Comment libérer l'activité et l'emploi ?", ou encore un chapitre autour du thème "Libérez l'entreprise !" et un autre "Vers une vraie réforme fiscale ?" ; je verrais ce que ça donne. Vous l'avez lu ?
Nick de Cusa Posté 4 mai 2013 Signaler Posté 4 mai 2013 Fini Tristram Shandy. c'est vrai qu'il faut s'accorcher, mais que c'est fin et réjouissant. Un peu la honte pour le gros de la littérature qui est venue après, en particulier ce qui se veut moderne. Du coup je suis allé visiter la citadelle de Namur. Je me lance dans Les Âmes Mortes, ça, ça se lit tout seul par contre. Russe + drôle, combinaison bénie. Longue vie à la liseuse et aux ebooks gratuits.
YouplaBoum Posté 4 mai 2013 Signaler Posté 4 mai 2013 Le 04/05/2013 à 10:19, Nick de Cusa a dit : Longue vie à la liseuse et aux ebooks gratuits. Amen à ça. Même si on m'a offert les deux premiers tomes de la Comédie humaine, ce qui en fait mes premiers livres de la Collection Pléiade. Et certainement pas les derniers.
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