Mobius Posté 17 avril Auteur Signaler Posté 17 avril je m'en suis toujours voulu d'avoir découvert Nick Cave si tard parce que pour moi, très longtemps, ca a été:
Adrian Posté 18 avril Signaler Posté 18 avril Le 22/03/2025 à 18:28, Adrian a dit : Alors je vous préviens avec Kaaris les paroles c'est pas la même
Carl Barks Posté Mardi at 09:12 Signaler Posté Mardi at 09:12 Le 17/04/2025 à 15:36, Mobius a dit : je m'en suis toujours voulu d'avoir découvert Nick Cave si tard parce que pour moi, très longtemps, ca a été: Bah, les deux sont bien, non ? Il y a un taux exceptionnellement faible de déchet chez Nick Cave et il a donné dans des styles sacrément différents en 45 ans, c'est ça qui est sympa.
Mobius Posté Mercredi at 11:26 Auteur Signaler Posté Mercredi at 11:26 On 4/22/2025 at 11:12 AM, Carl Barks said: Bah, les deux sont bien, non ? Il y a un taux exceptionnellement faible de déchet chez Nick Cave et il a donné dans des styles sacrément différents en 45 ans, c'est ça qui est sympa. j'ai passé le pas et j'ai pris 4 albums de manière semi random: - Ghosteen - You Funeral... My Trial - The Boatman's Call - The Firstborn is Dead - Murder Ballads
Adrian Posté il y a 3 heures Signaler Posté il y a 3 heures Citation Avec Psappha, Iannis Xenakis poursuit son exploration du rythme. Ainsi, l’instrumentarium est laissé libre à l’interprète avec des installations que l’on appelle “multi-percussions”. Seul impératif : utiliser des groupes d’instruments en bois et/ou peaux, ainsi que trois groupes d’instrument en métal. Grâce à ce dispositif, le percussionniste dispose d’une grande liberté de jeu. “C’est une perpétuelle recherche et une exploration pour créer l’installation”, raconte Adélaïde Ferrière. Pour sa représentation, elle a décidé d’avoir quatre installations différentes. Au fil des treize minutes d’interprétation, son instrumentarium se métamorphose offrant autant de fugues que d’instants de chaos. "Quand je le joue, c'est une sorte de transcendance. C'est très puissant, il y a une puissance physique, une puissance sonore et une énergie folle” martèle Adélaïde Ferrière. A la recherche d’une “pulsation retrouvée”, Xenakis plonge dans ses racines grecques et s’inspire de la figure antique de Sappho, poétesse de l’île de Lesbos, née au VIe siècle avant JC. Il y délaisse toute l’imagerie sentimentale propre à la poésie de Sappho pour mieux convoquer la structure rythmique de ces vers dit “strophes sapphiques”. Car chez Xenakis, pas de partition classique. Symbole de la modernité musicale, il est celui qui a introduit les mathématiques dans le processus de composition. Pour Psappha, il a construit sur du papier millimétré un système de lignes et de points, dont la rencontre crée une pulsation métronomique. ”En quoi consiste le rythme ?, écrivait Xenakis : C’est choisir des points sur une droite, la droite du temps. Le musicien compte le temps de la même façon qu’en marchant on compte les bornes kilométriques. ” Adélaïde Ferrière dispose juste d’“indications de catégories de hauteurs ou de registres”. Citation On trouve un bel exemple de cette démarche probabiliste dans Pithoprakta, une de ses œuvres les plus connues, dans laquelle Xenakis fait intervenir plus de 1 000 notes ! On entend des sons glissés et pincés de violons, indépendants les uns des autres et, comme il y en a plus de 1 000, Xenakis ne peut pas s’attarder sur chacun d’entre eux. Il va donc utiliser les probabilités pour associer à chacun de ces sons une durée et une hauteur. Et pour ça, il s’inspire d’une formule mathématique : la formule Maxwell-Boltzmann, qui permet de déterminer la vitesse de particules dans un gaz... ou les courbes elllptiques :
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