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Le 18/06/2025 à 18:05, Adrian a dit :

Les outre-mer encore mais pas pour la famille :

Version France métropolitaine:

 

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Posté

Je ne saurais trop où le mettre, donc je mets ça ici. 

 

Non seulement j'ignorais qu'on aurait pu faire une reprise rock de ça, mais pire encore je ne m'attendais pas à me rendre compte que c'était indispensable

 

 

  • 3 weeks later...
Posté

Les bizzareries sur lesquels on peut tomber sur France Musique la contemporaine : ici c'est "Charlemagne Palestine" (le nom quoi)

J'ai quand même demandé à Grok des explications :

 

Citation

La musique de Charlemagne Palestine se situe à la croisée de l'expérimental, du minimalisme et du maximalisme. Contrairement au minimalisme "pur" qui repose sur la réduction et la répétition austère, Palestine amplifie les intensités sonores pour créer des expériences sensorielles totales, où le son devient une force physique et méditative. Son approche est drone-based : des tons soutenus et prolongés qui s'accumulent en couches harmoniques riches, générant des battements, des surtons et des micro-intervalles qui évoluent organiquement. Ces drones ne sont pas statiques ; ils pulsent, vibrent et résonnent, transformant l'auditeur en participant actif d'un rituel sonore. Genres associés : musique expérimentale, drones, et même des éléments de body music ou de musique spectrale.Ses influences sont éclectiques. D'un côté, la tradition juive et religieuse – chants synagogaux et musiques germaniques (Schubert, Schumann, Wagner) – lui instillent une dimension spirituelle et vocale. De l'autre, l'avant-garde new-yorkaise des années 1960-1970, avec des collaborations auprès de Pandit Pran Nath (pour l'interprétation vocale indienne), Len Lye (sculptures cinétiques), Tony Conrad ou Simone Forti. Il puise aussi dans l'impressionnisme (Debussy, Ravel) pour ses textures fluides, et rejette souvent l'étiquette minimaliste, qu'il trouve réductrice, au profit d'une esthétique "maximaliste" où la densité sonore prime sur la sobriété.

Au cœur de son langage musical se trouve la technique du "strumming" (grattage ou pincement), particulièrement au piano. Palestine alterne rapidement entre deux ou trois touches adjacentes – souvent dans les graves – pour produire un drone continu et vibrant, qui exploite les résonances naturelles de l'instrument. Ce n'est plus un jeu pianistique traditionnel, mais une vibration hypnotique qui dure des heures, induisant un état de transe.


Je vous laisse en juger dans cette exemple où il ne fait presque que parler 🤷‍♂️
 

 

Citation
Accompagnant ces paroles, un son persistant et cristallin émerge : le tintement prolongé d'un verre à brandy (brandy snifter) frappé ou frotté, produisant une résonance pure et éthérée, comme un carillon improvisé. Ce "chant" – ou song du titre – n'est pas lyrique au sens traditionnel ; il s'agit d'une vocalisation falsetto sporadique de Palestine, entremêlée aux anecdotes, avec des onomatopées et des inflexions qui glissent vers le drone vocal. Cette introduction dure à peine quatre minutes, mais elle pose les fondations émotionnelles : elle humanise l'artiste, souvent perçu comme un ermite sonore, et invoque une tendresse grotesque (le "sweet Quasimodo" du titre), contrastant avec la densité à venir. C'est un rituel d'accueil, où le verre devient un talisman, reliant le quotidien au sacré, et annonçant les vibrations à venir comme une promesse de transe.


Ou alors :
 


20 minutes de carillon, si vous arrivez à tenir.
 

Citation


Cette pièce d'ouverture est un mur de son dévotionnel : des frappes alternées sur les batons de bois produisent des drones prolongés, avec des accélérations frénétiques qui génèrent des battements harmoniques et des surtons éthérés. Les "ferrrr" et "SSSOFTTT" du titre suggèrent une douceur veloutée sous la clangorosité – des zzzz qui s'étirent en vibrations résiduelles, comme un ronflement divin. C'est une méditation intime, où les peluches invisibles semblent veiller, transformant le studio en sanctuaire acoustique. Le style évoque les ragas de Pran Nath croisés avec le free jazz de Sun Ra : répétitif mais organique, invitant à l'abandon.


 

 

Citation

Strummmmminggg for stringggggsss (37:49) est une improvisation orchestrale dirigée par Palestine lui-même, où chaque musicien d'un ensemble de cordes (violons, altos, violoncelles, contrebasses) est assigné à une seule note ou un cluster restreint. Au lieu du "banging" percussif du piano, les archets produisent un swell lent et pacifique : un crescendo étalé sur l'ensemble de la durée, sans rythme maniaque en avant-plan, mais avec une montée progressive vers une masse critique dans le dernier tiers. Le son commence par des pizzicati subtils ou des traits légers, évoquant un murmure spectral, avant de se densifier en un drone continu où les micro-intervalles et battements harmoniques émergent organiquement – comme des "trompettes embrumées dans un rêve" ou des "test-tons vrombissants à distance". Palestine, en chef d'orchestre gesticulant, guide les musiciens par ses mouvements corporels, adaptant le strumming à une échelle collective : les cordes "répondent" aux vibrations, créant un tissu spectral fluide qui pulse et respire, loin de la rigidité minimaliste.Cette adaptation "drastique" du strumming – comme le note un critique – efface les attaques percutantes des touches pour une douceur bowée, rendant la pièce plus "conventionnelle" dans le contexte du drone ambiant, mais profondément hypnotique. Elle évoque les ragas indiens de Pandit Pran Nath (un maître de Palestine) ou les textures spectrales de Helmut Lachenmann, avec une tendresse grotesque typique : un Quasimodo orchestral piégé dans un ballet d'harmoniques veloutés. Pas de narration linéaire, mais une cosmogonie sonore où le temps s'étire, transformant l'ensemble en un rituel immersif – idéal pour une écoute contemplative, avec des peluches rituelles en fond si l'on suit le folklore palestinien.

 

Posté
il y a 34 minutes, Adrian a dit :

Les bizzareries sur lesquels on peut tomber sur France Musique la contemporaine : ici c'est "Charlemagne Palestine" (le nom quoi)

J'ai quand même demandé à Grok des explications :

 


Je vous laisse en juger dans cette exemple où il ne fait presque que parler 🤷‍♂️

 


 

 

 


 

C’est très bien Charlemagne Palestine ! Surtout Schlingen Blangen

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